Défoncée.
Si vous avez lu mes textes précédents vous savez à quel point j'aime la sodomie. Mais là, j'ai pris vraiment cher.
Je vous l'ai dit aussi j'ai un homme à qui je suis fidèle depuis plusieurs mois. Il me satisfait pleinement à tous les niveaux et sexuellement il dépasse toutes mes attentes. Je prends mon pied minimum deux fois par jour, je reste dans un niveau d'énergie sexuelle permanent qui m'accompagne toute la journée.
Il dit tout le temps qu'il ne bande plus aussi vite ni aussi fort qu'avant... ben je ne sais pas comment il était avant ! Atteint de priapisme ?
Hier soir je rentre chez moi, il a déplacé la table basse et à installé deux plateaux dessus. Le premier avec deux verres à pied et une bouteille de Côtes de Graves, j'adore ce vin rouge fort et bien charpenté, le deuxième avec vibro, oeuf vibrant, gel (ouf) et, nouveau : un martinet en cuir.
Je le regarde surprise et pour tout dire mon sexe se contracte d'excitation, je mouille déjà.
Après une longue pelle, je commence à me déshabiller. Oui, je suis une grosse gourmande. J'aime le cul et j'assume. Il me demande d'attendre et m'annonce fier de lui : "ce soir c'est moi qui choisis. Au fait j'ai pris un Viagra..." Là je m'inquiète vraiment. Sans pilule bleue il me laisse régulièrement en pièces, avec ?
Il me sert un verre de vin, se sert, nous portons notre toast habituel : " À nous, à toi, à moi, au cul la chatte et la queue, au plaisir." À la fin du premier verre il m'en sert un deuxième "détend toi ma Princesse tu vas en avoir besoin" il défait sa ceinture et baisse suffisamment son jean pour sortir sa queue. Je me penche immédiatement pour le sucer mais il me repousse et commence à se masturber, moi je commence à être vraiment frustrée j'adore le sucer. Quand j'ai fini mon deuxième verre, sa main continue ses lents va et vient sur sa queue. Son gland est gonflé, et moi je suis dégoulinante une chatte en cage dans son jean moulant. Il débarrasse la table du plateau d'apéritif et me lance "mets toi à poil".
Je m'exécute au plus vite. Il revient att des coussins sur le canapé et les pose sur la table basse. "Mets toi à quatre pattes sur la table, je vais bien m'occuper de toi... non ton cul du côté du miroir. Me voici donc comme une petite chienne à quatre pattes sur la table j'espère sa queue et vu la position qu'il m'a demandé de prendre je me doute que je vais pouvoir la prendre en bouche. Oui... il vient se placer devant mon visage et enfonce son énorme bite dans ma bouche gourmande en expliquant "tu ne bouges pas, je vais te baiser la bouche." La bouche pleine je ne peux rien répondre, je hoche un peu la tête. Il pose ses mains sur ma nuque, att mes cheveux et me pilonne immédiatement, j'en ai le souffle coupé, je le pompe comme je peux, j'ai l'impression d'être un objet, et lui s'éclate visiblement :"Oui prends ça suce moi hum c'est bon ta petite chatte est trempée ma salope je la vois qui palpite dans le miroir tiens vas y suce..." il parle sans arrêt, me baise la bouche en mattant mon cul et ma chatte dans le miroir, il tient longtemps le salaud j'ai mal à la mâchoire mais je m'applique. Au moment où je crois qu'il va gicler, il s'arrête, la queue au fond de ma gorge. Il se penche en avant, je l'entends attr des objets sur le plateau resté sur la table basse, quelques secondes et je sens le gel couler sur mon anus, à peine le prépare-t-il qu'il enfonce le vibromasseur dedans, à fond, je gémis et tente de bouger, il agrippe mes fesses et enfonce son sexe encore plus profond au fond de ma gorge, il me claque fort sur le cul, se redresse et reprends sa baise interminable... il finit par jouir dans ma bouche, de longs jets chauds et salés, j'avale et commence à reprendre mon souffle. Il prend le martinet et caresse mon corps avec, visage dos fesses raie du cul et arrière des jambes. "Mets toi à genoux maintenant". "Oui" les caresses du martinet reprennent sur mon ventre et mes seins. "Mets toi face au miroir" ce n'est pas facile : la table n'est pas grande et le plateau d'accessoires en occupe le centre.
Un coup sec tombe sur mon cul. "Plus vite" le temps de mon demi tour le martinet est retombé trois fois : une autre fois sur mon cul, une sur mes seins, je crie, je suis concentrée sur ne pas tomber de la table et ne pas perdre le vibromasseur qui m'excite toujours le cul, le dernier coup de lanières en cuir vient toucher ma petite chatte. Je suis dans un état incroyable, mon corps tremble fort, je n'arrive plus à penser, j'ai des flash de lumière dans la tête... je peux me voir maintenant dans le miroir. Décoiffée, la bouche ouverte, luisante de sperme, à genou, les seins gonflés et leurs bouts durcis, une marque rouge sur le côté du sein gauche, les jambes écartées avec le plateau entre. "À quatre pattes" je n'hésite pas. Il me tourne autour, le martinet vole léger rapide... dos, ventre, visage, je ne sais jamais si il va caresser ou frapper, je ferme les yeux, la tension est telle que n'ai pas senti de jouissance, je suis jouissance. Le martinet caresse mes hanches quelques coups sur mon cul offert puis sur ma raie et ma vulve, c'est bon et douloureux, je sens ma mouille dégouliner de ma fente. Il me parle, il commente, je n'entends plus rien, je ne comprends plus rien, je ne fais que ressentir. Je sens qu'il passe derrière moi, je sens le vibromasseur qui se retire de mon cul, je sens mon sexe qui palpite, je sens mon anus dilaté par le vibro, je sens sa queue m'embrocher. Fort, très fort. Il me tient par les hanches, je m'aggrippe à la table, il me défonce littéralement la rondelle. Il me balance des claques sauvages sur le cul. Il ressort sa queue, écarté mes fesses bien large pour avoir une belle vue, att le gel et en remet une bonne dose, reprends le vibro et l'enfile dans ma chatte. Il le pousse à fond "maintiens le" mes épaules glissent vers le coussin, ma main l'attrappe et le maintient en place. Puis il m'encule à nouveau, cette fois ci encore plus sauvagement, les coups pleuvent, je suis envahie par le plaisir et la douleur. Il tient beaucoup trop longtemps, encore et encore il me défonce le cul.
Enfin il jouit. Enfin. Je dégouline de foutre, mon trou à du mal à se refermer. Il appuie sur le vibro plusieurs fois pour le pousser au plus loin, puis il le retire et le remplace par le manche du martinet, il me branle la chatte d'une main pendant que l'autre ne cesse de me fesser violement, je supplie, je le supplie d'arrêter. Tout s'arrête d'un coup. Il retire le martinet de mon minou en miette et m'enfonce dans mon cul. Il se penche vers moi, "j'ai pas fini", mais je n'en peux plus, je lui demande d'arrêter. Il me caresse partout. Je reste là le cul en l'air sur la table. Le martinet enfoncé dans mon fondement. Je reprends un peu mon souffle. Il me propose un bain. J'acquiesce. Il retire le martinet de mon cul. Me porte dans la salle de bain et me pose dans la baignoire. Il me passe sous la douche, me lave, glisse ses doigts partout et très délicatement, l'eau me fait du bien, je m'apaise. Il me fait couler un bain, m'amène un verre de vin, m'embrasse tendrement. Il a à nouveau une trique d'enfer. J'ai envie de pleurer mais mon corps est à nouveau dans cette tension euphorisante. Il me sort du bain, me sèche, me porte jusqu'au lit, il me pose sur le ventre, le cul en l'air. Il me sodomise à nouveau, lentement profondément il gicle encore un peu et débande à peine. Je n'en peux plus. Je glisse sur le côté, il me pousse doucement sur le dos, écarte mes jambes et sa langue s'enfonce délicate, sa douceur répare. Un long préliminaire. Puis il se pose à cheval sur moi et se branle fort, il arrose mes seins de ses dernières giclées de semence.
Je suis morte, inutilisable. Il est mort lui aussi, il bande encore.
Plus jamais de pilules bleues... ou alors seulement de temps en temps...
admin
Jan. 31, 2023
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