La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 645)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode N°626) - Dernières épreuves perverses à lAcadémie (1/2) -
Monsieur le Marquis dEvans trônait toujours assis sur son haut et confortable fauteuil et prit la parole sadressant aux douze stagiaires soumis, tous maintenant à genoux devant Lui, mains sur la tête, le regard bas :
- Les chiens, Je veux que vous sachiez que votre séjour ici, en Ma Noble Académie, se termine. Prochainement vous allez tous repartir avec Les Maîtresses et les Maîtres à qui vous appartenez. Vous êtes ici depuis deux mois, et avec léducation stricte et rigoureuse que nous vous avons enseignée, nous avons fait de vous, je lespère, de bons esclaves dociles et soumis, serviles et respectueux ! Ici, vous avez pu vous retrouver dans ce conditionnement qui est le vôtre. Oui le vôtre, dis-je ! Vous êtes nés esclaves, vous avez toujours voulu le devenir, désormais vous lêtes pleinement, cest ainsi, personne ni peut rien, ni Moi ni vous, ne pouvons changer votre nature, votre destin. En revanche, Moi ainsi que Celles et Ceux qui vous ont pris en main pendant votre séjour ici, vous ont aidé à vous façonner, vous structurer, vous modeler, à vous accepter tel que vous êtes pour vous épanouir dans cette vie qui est la vôtre. Je sais que certains dentre vous nous en sont déjà reconnaissants, on les voit apaisés, confiants et sereins, dautres pas encore tout à fait. Pour ces derniers, je les invite à bien réfléchir encore, à prendre le recul nécessaire, quils comprennent quils ne peuvent pas échapper à cette vie de soumission. Alors autant la vivre dans la sérénité, lépanouissement et la plénitude de ce que vous êtes par nature.
Le Maître se tut un instant, ces mots puissants résonnaient dans toutes les têtes de ces stagiaires soumis. Certains, dont Endymion MDE, ne pouvait cacher leur excitation ...
- Un esclave doit vivre et accepter lhumiliation, un esclave doit strictement obéir, un esclave doit donner du plaisir à Celle ou Celui qui le domine, un esclave doit faire don de son corps et de son esprit à Ceux qui les conduisent et les dirigent, un esclave doit accepter les sanctions et les douloureux traitements qui lui sont imposés.
Le Maître se tut encore, un long silence voulu par Lui, pour que tous les chiens soumis simprègnent de ses ultimes et pressantes paroles !
- Là, devant moi, si jen crois certaines queues bandées, il y en a déjà parmi vous, qui vivent pleinement cette exaltation. Nest-ce pas Mon chien Endymion MDE ?
Lesclave MDE baissa un peu plus la tête plus en guise de profond respect et répondit timidement :
- Oui Maître, merci Maître pour tout ce que vous faites pour Votre chien soumis.
Le Maître se leva et vint à la rencontre de ces douze stagiaires soumis. Tour à tour, il souleva leur menton pour les regarder droit dans les yeux. Quil fut difficile pour eux de soutenir un regard aussi puissant et naturellement dominant, tous se sentaient humbles, serviles et fébriles. Ils nen menaient vraiment pas large ! Le Maître reprenait sa place, sinstallait tranquillement sur son fauteuil, en croisant les jambes, il appuya son coude sur le large accoudoir, posa son index sur sa bouche fermée, comme sil réfléchissait, tout en continuant à observer ses dévoués serviteurs. Il se leva et reprit la parole :
- Il est dans les us et coutumes ici, lors de la fin de chaque stage, quil soit désigné le chien soumis dominant ! Un seul parmi vous douze sera celui-ci, un privilège pour lui, puisquil sera installé au plus haut de la hiérarchie des slaves, lui conférant le droit de ne plus porter de cage de chasteté, de pouvoir utiliser sa nouille selon ses envies.
Monsieur le Marquis dEvans claqua des mains trois fois. Les trois éducatrices se levèrent, lune delles emmenait les douze chiens soumis dans un petit local voisin, jouxtant la grande salle.
- Attendez ici sagement, debout et mains sur la tête. Un conseil, ne vous avisez surtout pas à vous toucher vos nouilles, vous êtes filmés.
LEducatrice pointa son index sur les angles supérieurs de la pièce, quatre caméras étaient installées. Elle laissa les esclaves en leur demandant en sus de rester dans le silence absolu. Au bout dun moment, la même Educatrice réapparut, elle attrapa deux esclaves par les bras et les remmena dans la pièce quils avaient quittée peu avant. Lesclave MDE et ses congénères restèrent, quant à eux, là, toujours immobiles et silencieux, sans doute aux aguets, espérant entendre ce qui se passait à côté
Hormis des applaudissements, rien ne leur laissait présager ce qui les attendait. Au bout dun moment seulement ils entendirent un bruit sourd, comme si quelque chose de lourd venait de tomber au sol et sitôt après, les cris dun des deux soumis, puis de nouveau le même bruit et les cris du second esclave. Peu après lEducatrice réapparut et attrapa deux autres soumis. Le même scénario se présenta aux oreilles de ceux confinés dans cette petite pièce. LEducatrice revint encore et attrapa Endymion MDE par un bras et un autre stagiaire.
- Ah voila Mon chien ! sexclama Monsieur le Marquis dEvans voyant arriver soumis Endymion quelque peu apeuré.
Deux tréteaux BDSM étaient installés face au public. Sur chaque tréteau, un gode, dune taille respectable tenait fixé à la verticale. Les deux esclaves durent monter sur ces tréteaux et sempaler sur cet objet bien profondément. Sitôt installés, on leur attacha les mains dans le dos, les pieds aux montants des tréteaux afin que ceux-ci ne puissent plus prendre appui au sol. La posture était déjà délicate et pénible, avec le cul engodé et larête en bois de ce tréteau qui leur martyrisait le périnée, la douleur commençait déjà à être omniprésente, mais ce nétait quun début
Deux Educatrices placèrent sur le corps des deux esclaves des pinces à linge partant du pli des aisselles jusquau pli de laine et de chaque côté de leur corps, pinces reliées entre-elles par une fine cordelette. Les cordelettes étaient attachées à deux boules en fonte (dune dizaine de kilos) suspendue devant chaque tréteau par un ingénieux système de poulie fixée au plafond via une corde épaisse. On demanda à chacun des chiens soumis de tenir lextrémité de ces deux cordes rugueuses entre leurs dents. On leur expliqua que sils lâchaient ces cordes, les boules en fonte tomberaient au sol, leur arrachant au passage chacune des pinces à linge posées sur leur corps. Evidemment celui qui lâcherait le premier serait disqualifié et ne pourrait plus concourir à ce statut de desclave dominant.
On leur avait tout dit, où presque
Léquilibre était précaire, la situation était à la fois douloureuse, humiliante mais aussi terriblement excitante, soumis Endymion MDE aimait cet esprit de compétition, ça le faisait même bander encore plus fort, bandaison remarquée par lassistance qui se mit à lapplaudir. Les deux chiens soumis, semblaient ne rien vouloir lâcher, ils contrôlaient leurs moindre mouvements, crispaient et tendaient leurs muscles, et attendaient patiemment que lun de deux cède
Ils restaient ainsi devant le regard des Dominants, qui parfois chuchotaient entre eux.
- Bravo Endymion, tu es sélectionné pour un deuxième round, mais avant ça, fait-nous voir combien de temps encore peux-tu tenir sur ce tréteau ! lui lança le Maître.
Les chocs électriques étaient de moins en moins espacés, lui provoquant à la fois des douleurs intenses, et des plaisirs terribles, il avait limpression que ce gode carré dans son cul le pénétrait terriblement tout en vibant, lui envoyant des ondes abominablement délicieuses, à tel point quil pensait quil allait éjaculer encore une fois sans pour autant se branler, tant le plaisir quil ressentait était intense. Mais celui qui avait les commandes en main de cette boxe électrique en décida autrement. Le dernier choc fut terrible, soumis Endymion MDE lâcha prise. La boule tomba, les pinces sarrachèrent, il hurla ! Son cri était accompagné dune érection hors norme, sa queue était au sommet de son excitation ! A peine fut-il détaché, quune nouvelle injonction tomba :
- Viens baiser mes pieds le Chien ! lui ordonna le Maître.
Endymion MDE se prosterna devant Monsieur le Marquis dEvans qui le caressa en le félicitant. Puis Le Maître lui ordonna de se redresser, de se tenir les fesses écartées, raie bien dégagée, torse incliné à quarante-cinq degrés. Il appela ensuite le soumis vaincu, exigea quil vienne près deux à quatre pattes. Lui, penaud sexécuta. Le Maître alors lui ordonna de lécher le cul de soumis Endymion MDE. Belle récompense que Monsieur le Marquis dEvans accordait à Son chien
Les six autres stagiaires soumis vinrent chacun leur tour, toujours deux par deux subir lépreuve du tréteau. A la fin de cette séquence, les six perdants furent attachés bras tendus vers le plafond, une barre décartement entre leurs chevilles, ils subirent le fouet, quarante coups donnés à chacun par Monsieur le Marquis lui-même aidé de Son Neveu. Mais pendant ce temps, les trois Educatrices soccupaient déjà des six vainqueurs, où tout au moins de leurs couilles. Leurs burnes étaient emballées et empaquetées dans un cuir épais, fermement tenu lacées, étranglant leurs boules coincées au fond de leurs sacs à foutre ! Un anneau métallique était rivé à cet équipement de cuir. Endymion MDE et un autre congénère furent les premiers à se présenter et à se donner en spectacle. Ils furent tous les deux mis, dos à dos au centre de la pièce et Monsieur le Marquis expliqua ce que lon attendait deux.
- Vos couilles vont être reliées entre elles, par une chaine de deux mètres de long. Vous allez être placés au centre de ces deux demi-cercles dessinés au sol. Lobjectif pour vous sera de tirer sur vos couilles afin de faire sortir lautre chien soumis de ce demi-cercle, que ses deux pieds soient totalement derrière larrondi. Le vainqueur sera bien évidemment celui qui aura contraint lautre à avoir posé ses pieds à lextérieur du demi-cercle. Avez-vous bien compris les chiens ?
(A suivre
)
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