La Suite De &Quot; Il Était Une Fois&Quot;
Le prince embrasse la bergère. Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d's.
Ainsi se termine le conte. On ne raconte jamais la suite, réelle. Oui, c'est vrai ils vécurent heureux. Pour les s c'est autre chose. Pour agrémenter leur vie, ils savaient comment faire. Dès la fin de l'histoire ils s'embrassent déjà avec une idée derrière la tête. Déjà la bergère n'est pas si oie blanche qu'on le raconte elle a souvent vu ses animaux faire "crac". Lui a eu pas mal de relation avec les servantes de son roi de père: c'était même le meilleur baiseur du palais. Aucune des filles ne s'en plaignait: elles en jouissaient trop. Il fallait ensuite convaincre sa majesté, le père de léser son fils faire un mariage, d'amour sans doute, mais une mésalliance. Ce premier obstacle il fallait encore préparer un beau mariage. C'était le plus long.
L'amour entre les deux tourtereaux n'attend pas: ils vont se cacher dans les coins les plis sombres de la forêt pour ne mas être la proie des paparazzi. Le Prince possède une charmante chaumière dans une clairière très ensoleillée. C'est là qu'ils commencent à vivre heureux.
La bergère est toujours la première arrivée, le prince et son cheval n'arrivent que plus tard. Assoiffée de désir la bergère est nue, couchée sur le vaste lit, princier bien sur, les jambes ouvertes, une main sur le haut de ses lèvres pour faire ressortir son bouton, l'autre avec deux doigts qui vient se poser sur lui. Dans son nouveau milieu, on ne se branle pas: on se masturbe. Elle ne s'attache pas à des mots: elle se branle tout simplement. Elle aime se faire jouir en attendant la queue de son prince.
Quand enfin il arrive, après bien des détours, il la regarde se donner du plaisir. Il aime la voir ainsi de caresser la moule. Il jette ses affaires en tas. Il bande fortement. A cet instant le prince n'existe plus. C'est l'amant qui est là. Il se conduit en amant, sauf que sa maîtresse est bergère. Bergère ou pas, il vas vers elle qui le voyant continue à se branler.
Ils aiment l'un et l'autre faire des 69. Chaque un jouit ainsi dans la bouche de l'autre. Ils restent un bon moment avec le sexe de l'autre dans sa bouche. Ce n'est que quand le prince débande que la bergère l'embrasse sur la bouche. Elle lui garde toujours un peu de sperme pour le faire goûter.
Au lit c'est elle qui commende. Il lui faut une bite dans son abricot. Elle s'arrange pour qu'il bande à nouveau. Elle caresse la bite comme elle ferai avec un petit chat, les couilles ont droit au même traitement ainsi que l'anus. Elle le branle juste un peu. Elle se couche, appelle le prince qui sans se faire prier, se mets entre ses jambes. Elle lui prend la bite pour qu'elle soit bien en place; elle n'a pas les choses mal faites. Quand enfin il la lui met, elle gémit de plaisir. Leurs mouvements sont coordonnés.Elle jouit toujours plusieurs fois avant qu'il arrive à éjaculer dans son vagin. Cette fois elle sait que pour arriver à le faire bander ce sera plus dur: elle emploie les grands moyens. Elle le suce encore. Elle ne s'arrête pas là: elle se mouille deux doigts qu'elle pose sur le cul princier avant de les rentrer presque à fond. Le prince bande encore. Elle sait que maintenant il va bander longtemps elle en profite. Elle se met en levrette, mouille son anus, prend la bite de son amoureux, la pose sur son cul. C'est elle qui d'un grand mouvement de reins de fait mettre. Quand il est à fond, elle commence à jouir à un rythme rapide. Elle adore la sodomie à cause de ces sensations de jouissance fréquentes rapides et profitable pour son psychisme.
Elle aime tellement faire l'amour qu'elle en oublie quelque fois les convenance: ne pas être vue dans ce genre de position par la presse à scandale.
Malgré tout un photographe la surprend dans une position pas très correcte. Elle était assise sur une souche dans la forêt, robe levée sur son bas ventre, les mains biens occupées à lui donner du plaisir.
Heureusement pour elle, elle avait vu la paparazzi. Le prince pouvait intervenir à temps.
Le résultat fut que le mariage était avancé de plusieurs semaines.
Enfin libres ils pouvaient se livrer à leur instinct de baise.
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