Monsieur Et Son Assistante
Il y a quelques années, jai été embauchée comme assistante personnelle dun homme daffaire. Marchand dart international, il avait besoin dune personne à Paris gérant ses affaires en son absence, et en sa présence, dune personne totalement dévouée. Je navais aucun doute sur la nature de cette « dévotion », je lavais rencontré dans un club BDSM. Paul avait une petite cinquantaine, moi, à peine 30 ans. Il était plutôt séduisant, et en bonne forme physique, bronzé toute lannée, sourire ultrabrite ! Son appartement dans un quartier chic était simplement immense, 300 m2 sur 3 étages, le premier réservé à ses affaires, les pièces dhabitation au deuxième étage et au dessus, sous le toit, un deux pièces adorable, plutôt grand et très lumineux. Le deal était que je minstalle au 3ème étage, que je sois très bien rémunérée, que je sois à son service. CDD, avec période dessai, sans préavis. Moi qui vivais dans une minuscule chambre de bonne, jétais ravie.
Les règles du jeu posées, notre « collaboration » commença. Le matin, je descendais lui préparer son petit-déjeuner, en robe ou jupe, sans culotte. Quand la table était prête, je devais aller le réveiller
par une petite gâterie. Tous les matins le même rituel. Tous les matins, il commençait sa journée en giclant dans ma bouche gourmande
puis le petit-déj. Lui assis, lisant le Figaro, moi selon son désir : débout à coté de lui, assise jupe relevée et jambes écartées, ou, son choix le plus régulier, debout à coté de lui, le haut du corps couché sur la table, le cul offert. Personnellement, cétait ce que je préférais parce quil se passait souvent peu de temps avant quil ne me doigte dune main pendant quil buvait son café ou mangeait ses croissants de lautre. Cet homme était un génie en beaucoup de choses, mais sa manière de me doigter
Mon Dieu ! Je montais au plafond en moins de deux ! A chaque fois ! La plupart du temps, il finissait son petit-déj en me prenant rapidement sur la table, à plat ventre ou sur le dos, peu lui importait, mais toujours dans ma chatte.
Pendant ses absences, je mennuyais beaucoup. A part le boulot, je navais personne qui remplissait le vide, qui me comblait
alors, jallais dans des clubs et choisissais un étalon à mon goût, avec une belle queue
Tous les soirs, joffrais mon corps à un mâle, voir deux ou trois. Le sexe était excitant, me faire attacher, fouetter, goder, limer dans tous les sens, défoncer me plaisait.
Ce que je préférais : cétait quand il revenait de voyage. Je devais confesser mes écarts. Lui raconter dans les moindres détails comme javais été une grosse salope, une traînée. Les jours qui suivaient étaient géniaux
Il me punissait jusquà ce que sa colère soit passée. Selon pratiquement le même rituel. Le premier soir, il mattachait les mains dans le dos, nue, il commençait par me coucher sur ses genoux et me fesser, les claques tombant les unes après les autres de plus en plus fortes, jusquà ce que je ne sente plus mon cul
Je devais lui dire comme je regrettais, comment jétais une vilaine fille
Une fois sa main fatiguée, il me relevait, me laissait à genoux par terre, et plaçait des pinces sur mes tétons déjà durcis par lexcitation de la fessée
puis il mattrapait par les cheveux et me baisait la bouche sauvagement et me traitant de pute, de chienne
Une fois quil avait jouit, il me détachait les mains et me laissait là, seule à genoux au milieu du salon
je navais plus quà enlever les pinces, remonter dans mon appart, prendre une douche et dormir.
Le lendemain matin, au lieu du doigté matinal, javais le droit à un plug dans le cul et à un tout petit gode dans la chatte, à plat ventre sur la table de salle à manger. Sans rien de plus. Pas le droit de me masturber, ni de bouger. Un vrai supplice. A la fin du petit déj, il retirait le plug et le gode et la journée de travail commençait. Totalement frustrée. Il me fallait attendre le soir pour être satisfaite. Il me faisait venir dans sa chambre. Mattachait écartelée sur son lit, à plat dos. Et il me baisait. Dabord le cul avec un gros gode quil enfonçait en moi sans douceur aucune, il me ramonait le cul jusquà ce que je jouisse et me laissait tremblante avec le gode enfoncé au maximum, telle la petite enculée que jétais. Puis il me limait la chatte avec un vibro, second orgasme. Enfin, il me baisait la bouche et se vidait les couilles au fond de ma gorge. Bien baisée la salope ! Par tous les trous.
Le troisième jour, jour de fête. Il contactait ceux, dans ses relations, avec qui javais accepté de coucher. Il les invitait chez lui et, si la matinée commençait toujours de la même façon, la suite était digne dun porno, version gang bang
Je les attendais à quatre pattes sur la table basse du bureau de mon boss, nue, le cul en face de la porte, les seins pincés dans des bijoux et reliés avec une chaînette, un collier de chien autour du cou. Mon boss posait le plateau de café que javais préparé avant, sur mon dos
Il les faisait entrer dans son bureau, ils se servaient un café. Puis mon boss sasseyait à son bureau, allumait son ordinateur et annonçait « Au boulot mes amis
» Je me retrouvais prise entre deux avant même que lun deux nenlève le plateau ! Je me faisais prendre par tous les trous jusquau déjeuner où après avoir pris une courte douche, je les servais, nue. Je restais à portée de mains pendant le repas et ils en profitaient souvent pour me remettre un bon coup de queue.
Quand il avait passé sa colère, la routine revenait
jusquau prochain voyage
et au prochain retour ! Ce furent de bonnes années.
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