Amira À Oran

Je m’appel Amira, je suis très très belle, ou bien simplement très sexy. A Oran, J’ai 26 ans avec une taille de 36 et une hauteur de 1metre 75cm, de beau cheveux châtain, des yeux marron claire et surtout avec des beaux fesses bien ronds, ferme et bien écarté. Ma poitrine est généreuse trop voyante ce qui m’attira tout les regards des gens. Même les femmes me contemplent avec leurs yeux, quand je suis au HAMMAM (le bain turc) je me mets en string et rien d’autres. Toute la salle essayer de cachet cette envi de me regarder. La KYASSA (la femme qui me fait le gommage) aimait bien me le faire et prendre son temps avec moi. Ca lui arrivait même de retirer son gant et me faire un massage pour la fin, ce n’était pas compris avec le gommage !! Mais elle aimait me caresser et me peloter mes seins. J’aimais ce qu’elle me fessait, je fermais mes yeux et laisse faire l’experte tout en caressant distraitement ma chatte.
- 3ajbatak ya la hbiba ? (ca t’a plus chérie ?).
- Sahiti tata, choukrane. (merci beaucoup tata).
Et avec un sourire vicieux, elle partait directement dans une petite chambre pour les employés et ferma la porte pour quelques minutes et sortais. Surement, elle alla pour se faire un peut de plaisir a ca chatte.
Elle jouait le jeu et, comme moi, elle aimait ca. Mais ce que j’aimais le plus moi c’était les hommes.
Apres un ftour de midi, je mettais ma DJELLABA, qui donnais des formes en plus a ma taille. Quelque fois je ne mettais que mon soutien-gorge et une petite culotte au dessous. Je suis parti à MDINA-JDIDA (ville nouvelle), c’est un grand souk, il y a des ruelles ou tu peux trouver tout ce que tu veux acheter. 7jours/7 MDINA-JDIDA est pleine a craquer de monde venus de partout en Algérie.
Jaime bien que quand je suis dans la foule les gens s’entremêlent et les vendeurs squattent tous les rus avec leurs marchandises dans des tapis aux bords des ruelles. Il y avait des hommes qui te rentre directe et ils faisaient exprès pour avoir une chance de toucher ma DJELLABA et sentir ma chaire coller a la leurs avec leurs mains ou leurs bras.

Il y a, même, qui tente de se frotter avec mes seins sur les cotés. Ca m’excitait grave et quelque fois je sente que ma chatte se mouille à cause de ces accolades spontanées.
Je sors de la foule pour me retrouver dans une ruelle plus calme avec quelque petits magasins. Je vois un bel homme devant la porte de son magasin de vêtements pour femmes. Il était beau, on dirait un Mascarien peut être de bonne famille, très classe avec un regard qui te fixe et un sourire qui t’attire des le premier croisement de regard. Il avait 30 ans peut être un peut plus.
- MARAHBA BIK KHOUTI. (soyer la bienvenue ma sœur)
Il s’écarta de la porte pour me laisser entrer. Quand je passe devant lui, je sente une odeur d’un parfum de marque, que je suis sur qu’il l’a acheté dans un magasin parisien, cette odeurs s’ajouta a mon excitation sexuelle. Elle était tellement bonne, que j’avais envi de sauter sur lui et de commencer a lui mordre les lèvres.
- KHOSSAK HAJA EN PARTICULIER ? RAH KAYEN SEL3A BEZZAF (es que t’a besoin de quelque chose en particulier ? il y a beaucoup de marchandises) me demanda t’il en analysant ma silhouette de haut en bas.
- MERCI KHOUYA DOUK NCHOUF (merci mon frère, je vais voir). Je lui réponds avec un sourire qui cachait très bien mon excitation et le désire de lui sauter dessus.
Apres 2 minutes on entendit quelqu’un dehors qui crier dehors « attention control ».
Le vendeur viens directement vers moi me demanda si je vais sortir ou, si je veux, rester dans le magasin ? Cars il y avait des agents de control des impôts et il devait fermer le magasin pour une trentaine de minutes le temps que ses contrôleurs passent. Sans réfléchir je lui dis que je vais rester pour essayer quelque vêtement. Il ferma rapidement son magasin et restâmes, lui et moi a l’intérieur. Moi, je m’enfichais complètement de sa marchandise, ce que je voulais, c’est surtout sauter sur l’occasion de se retrouver seule avec lui enfermer dans son magasin.

Lui s’assoit devant sa caisse et moi je commence à voir et retirer quelques robes d’été de leurs cintres.
- SAMHILI MADEMOISELLE, HADOU LES IMPOTS SAMTINE. YMOUTOU 3LA RACHOUA (désolé mademoiselle, ses agent sont chiant. Ils adorent les pots devins)
- CE N’EST PAS GRAVE, GHAYA RANA GHIR WAHADENA (ce n’est pas grave, c’est bien on est tout seules).
Je ne sais pas comment j’ais fait sortir cette phrase de ma bouche !! Directement de retourne vers ses robes, comme-ci j’avais honte. Je me dirige vers la cabine d’essayage. Il n’y avait pas de porte, mais plutôt un rideau pour s’enfermer a l’intérieur, qui laissa voir les pieds des femmes qui rentre dans cette cabine.
Je retire ma DJELLABA et reste avec mes sous-vêtements pour enfiler une robe avec une fermeture claire au dos.
- SEMAHLI, TNAJAM TJIBLI TAILLE « M » ? HADI MZAYRA 3LYA (excuse moi, tu peut me rapporter une taille M. cela est trop serrer pour moi)
- WAH, RANI HNA …ZARGA YAH? (oui je suis la … bleu ?)
- WAH (oui). Comment il a deviné que c’était bleu !? je crois qu’il m’observait, il rinçait son œil.
- HAKI (tien). Me diras derrière son rideau en me tendent la main.
- ATTEND, HAMBOUK, LA FERMETURE ECLAIRS MA HABBATCH TANTEHAL, 3AWANNY (attend, STP, je n’arrive pas a ouvrir ma fermeture-éclaire, aide moi). Je lui demande en ouvrent se maudit rideau.
Il était surpris de voir se qui se présente devant lui. Je voyais ses yeux brillés de mille feux en regardant ma poitrine bien serrer au dessous de cette robe. Je me tourne en lui donnant mon dos. Je me penche et fais sortir mon cul pour qu’il puisse faire descendre cette fermeture éclaire qui n’était pas bloquer. La, je recule un peut, avec mes fesses je touche son bas ventre, ce geste qui lui fait un effet de sursaute mais je continue a reculer et caresser, avec mes fesses, la bosse que son ZEB la fait dans son jean.
La, je me retourne vers lui et sans demander, il attrapa mes hanches et me tira vers lui.

- ZABBY, CHA RAKI DIRI ? (mon zeb, Quesque tu fais ?) sans lui répondre, je m’approche de son visage et je commence a l’embrasser dans sa bouche. Je m’arrête et dit.
- 3JABTNY BEZZAF, RANY BAGHYA NIKAK, NALAHSSAK, NSALLAM 3ALIK (tu me plais, je veux te niker, te lécher, t’embrasser). Et je repris le travail. Je l’embrassais comme une folle et même lui entra dans le jeu et commença a jouer avec ma langue et la sucer. Il embrasse comme un dieux, j’était au anges entouré de ses deux bras. Il commence a caresser mes seins et chercher a faire tomber la robe par terre. Je me retrouver devant lui avec mes soutifs, il arrêta recule et contempla la chaire qui est devant lui.
- 3JABTAK ? (je te plais ?)je lui demande en descendant ma main tout au long de son tors essayant de dégrafer ca chemise.
- EEEHH, MA SABTE CHA NGOULE (eeehh, je ne trouve rien a dire).
- RANY MTANNA W HAMYA, BGHYA TNIKNI, RANI LIK. (je suis excite et en chaleur, je veux que tu me baise, je suis a toi)
- AROUAHI 3OMRI, LYOUM NEFARHAK (Vien ma chérie je vais te faire plaisir).
J’avance et recommence a lui donner des baisés torrides. Je descends doucement en savourant le parfum que j’ai senti en entrant chez lui.
- JBADLI DAK ZABBAK NCHOUFAH, BAYNA BALLY CHBAB (sort moi ton ZEB pour le voir, il doit être beau comme toi). Il déboutonnât son jean le temps que mon visage soit en face de cette bosse. Je fais rentrer ma main à l’intérieur pour le faire sortir. Il était épais et un peut long 16CM. Je sais qu’il ne va pas atteindre la limite de ma chatte mais sa grosseur et sa largeur allait me frotter tous les parois de mon vagin.
- HAKI, HADA MA RAH YASTENNA (tien, c’est tout ce qu’il attend).
Sorti, son ZEB était gros et un peut mat. Il bandait comme un âne. Je commence a l’embrasser, puis je le lèche avec des couts de lange qui entrait dans le trou de son gland. J’ouvre grand ma bouche et je réussis à faire entrer son gland et un peut de sa longueur.
Il était gros et j’adore ca.
- ZABBAK KBIR WA CHBAB, HADA GHADI YA FARKATLY SOUWATI. GHADI NZID NMOUSSAH BACH NCHAMKHAH MLIH (ton ZEB est gros et beau, il va exploser ma chatte. Je vais le sucer pour bien le lubrifier). Et je continue à le pomper et le lécher partout.
- NODY, BAGHI NEDAKHLAHLAK DIRECT. BAGHI NDOUK HADI SOUWA AL HLOUWA (leve toi , je veux te le faire entré direct. Je veux goutter à ta chatte bien sucrée).
La suite va venir, c’est ma première histoire que j’ai écrit. Donnez-moi vos avis. Je vous raconterais la suite et d’autres histoires réelles de mes aventures

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!