La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 649)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°648) - Une bien étrange escale en Guadeloupe (2/2) -
Monsieur le Marquis dEvans et soumis Endymion MDE quittèrent le bar, longèrent le petit port de pêche et partirent en direction du port de plaisance. Sur le parcours, le Maître expliquait enfin à Son esclave quavec les milliers de dollars donnés par son ami lEmir Abdallah, il avait eu lidée doffrir à Son chien soumis de belles vacances dans les Caraïbes (même si le Maître en avait largement les moyens), et plus particulièrement dune croisière dune dizaine de jours, dîles en îles, au gré du vent. Il lui expliqua aussi, quun couple damis Lyonnais ferait parti du voyage et avec eux, une femelle soumise.
- Madame Gabriella et Monsieur Henri sont un couple très exigeants, Il ne faudra pas les décevoir Mon chien. Tu devras te plier à leurs moindres exigences, tu entends ?
Endymion MDE était très reconnaissant, le Maître généreux lui offrait des vacances avec les dollars que lui avait remis son très Cher Ami, Monsieur lEmir Abdallah en échange de la prestation de lesclave MDE
Certes Endymion MDE, ou tout au moins son corps, avait contribué à cet apport financier important, mais le Maître aurait pu conserver cette somme pour lui seul
Là non, Monsieur le Marquis dEvans en avait décidé autrement et voulait partager avec son esclave MDE, un temps privilégié
Une sorte de reconnaissance à sa totale dévotion envers Lui. Des bateaux de croisière tous plus luxueux les uns que les autres, étaient amarrés dans ce port. Lun deux, La Croix-Rousse, sur lequel travaillait un homme attira lattention de Monsieur le Marquis dEvans. Il héla lindividu qui frottait énergiquement le pont avec un balai brosse.
- Sil vous plait, seriez-vous Etienne ?
Lhomme sarrêta instantanément. Il répondit quil était bien Étienne. Il était grand, fort, musclé, la trentaine dannée, les cheveux mi-longs, blond, vêtu dun seul slip de bain.
- Je suis Monsieur le Marquis dEvans.
Lhomme laissa son balai et se précipita sur la passerelle, posa pied sur le quai :
- Bonjour Monsieur le Marquis, et bienvenue à bord de La Croix-Rousse. Je vous en prie, montez en prenant soin de ne pas glisser.
soumis Endymion MDE ne savait pas que faire. Fallait-il quil suive le Maître, quil reste là sur le quai ? Il opta pour la première solution, mais il fut interrompu par la main puissante du sieur Etienne qui le repoussa vigoureusement.
- Les chiens soumis ne montent à bord que lorsquils y sont autorisés. Tu attends là pour linstant et sagement, lui ordonna, le dit Etienne.
Et lattente fut longue, pénible, en pleine chaleur. Endymion MDE, tout de suite fut mis dans lambiance, il reposa sa chemise sur ses épaules craignant les coups de soleil. Il resta immobile, tête basse, les bras ballants jusquà ce quEtienne réapparaisse sur le pont supérieur. Il interpella à sa manière, soumis Endymion MDE.
- Toi, le chien, tu te fous à poil, là où tu es, tu laisses tes vêtements sur le banc près de toi et une fois entièrement nu, tu attends à quatre pattes au pied de la passerelle que je vienne te chercher.
Lesclave MDE jeta un il à droite et à gauche, heureusement, il ny avait pas grand monde sur la jetée, seulement deux personnes un peu éloignées partant dans une autre direction. Il se déshabilla prestement et sinstalla dans la posture requise quelque peu angoissé, espérant que cette attente en quadrupédie ne perdure pas trop longtemps. Les quelques minutes dattente lui parurent des heures
Il vit enfin descendre Etienne et sapprocher de lui en tenant en main un collier et une laisse, collier quil attacha autour de son cou. Il tira sur la laisse mais au lieu de faire monter à bord soumis Endymion MDE, il lentraina dabord vers le banc sur lequel ses vêtements étaient déposés, les récupéra, puis lemmena tout contre une haie.
- Dépêche-toi le clébard, voilà du monde qui arrive !
Pisser ainsi, avec de surcroit une cage sur la nouille nétait vraiment pas évident. soumis Endymion sarrosa copieusement. Mais il fallait faire vite, tout un groupe dindividus approchait. Tirant sur la laisse, Etienne fit grimper à bord lesclave MDE très rapidement. Ouf ! Lesclave MDE était maintenant à labri des regards dun public non averti. Lintérieur du bateau était somptueux, ici un peu en contrebas, dans un grand salon, les boiseries étaient toute en acajou, du marbre de partout, et au sol de somptueux tapis ! Etienne fit installer Endymion MDE à plat dos sur une petite table basse. Il lui posa une cagoule en néoprène sur le visage, plongeant le chien soumis MDE dans lobscurité la plus totale. Il lui attrapa les jambes, les attacha relevées posées sur sa poitrine. Le cordage, non seulement lui empêchait de resserrer les cuisses, mais au contraire les lui maintenait largement écartées, dégageant bien son cul et son sillon anal. Ces bras furent eux aussi attachés et tenus fixés derrière la tête. Limmobilisation était parfait, Endymion MDE, en moins de deux, avait été placé dans une posture des plus humiliantes, il avait retrouvé son statut de salope soumise !
- Maintenant, écoute-moi bien, la pute. Je suis le skipper de ce bateau et toi de va devenir mon larbin. Quelques grands principes ici, dabord tu mappelles Monsieur et tu me vouvoies, ensuite tu me tends ton cul et tu moffres ta bouche à chaque fois que je te réclame tes trous, et pour finir, tu mobéis strictement comme tu obéiras à Monsieur le Marquis dEvans et à ses amis Monsieur Henri et Madame Gabriella. Suis-je clair ?
Endymion MDE marmonnait un « oui Monsieur » pas très distinctivement. Alors Étienne, pour bien lui faire admettre son autorité lui attrapa les couilles et les lui tordit douloureusement, ce qui dans la douleur excita lesclave MDE.
- Je nai rien entendu salope !
Entre deux gémissements, Endymion MDE sexprima beaucoup plus clairement. Alors Étienne, lui relâcha les burnes et laissa le soumis dans cette dégradante posture. Le séjour à bord débutait fort, les paisibles vacances quEndymion MDE pensant prendre avec Monsieur le Marquis sengageait sur un rythme BDSM soutenu. Il était là, nu, entravé, immobilisé, offert avec un homme déterminé à lasservir et à lassujettir. Alors quil attendait sagement, soumis Endymion MDE entendit quelques bribes dune conversation, puis plus clairement :
- Les chiennes soumises ne montent à bord que lorsquelles sont dans la tenue que leur impose leur statut. Alors vite à poil la femelle et à quatre pattes, chatte bien offerte et tu restes ainsi au pied de la passerelle jusquà ce que je vienne te chercher.
Madame Gabriella et Monsieur Henri, accompagnés de leur soumise venaient darriver. Etienne emmena, ces deux Dominants dans leur cabine pour quils puissent se rafraichir puis récupéra la soumise, elle aussi inquiète et nerveuse, au bas de la passerelle. Elle monta à bord, elle aussi tenue en laisse et à quatre pattes. Sitôt sur le pont, elle eut droit aux mêmes informations que celles données à soumis Endymion MDE, quelques minutes plus tôt. Il emmena ensuite la soumise dans le grand salon, ou était exposé soumis Endymion MDE.
- Tiens la chienne va faire connaissance avec le chien, va lui lécher le cul et les couilles, pour sa bite tu devras attendre que je décide de lui ôter sa cage de chasteté.
La jeune soumise, mince à la peau clair et aux cheveux blonds mi-longs sapprocha à quatre pattes et posa ses lèvres tremblantes sur lanus de lesclave MDE. Deux claques tombèrent sur ses fesses.
- Je tai dit de lui lécher le cul, non pas de lembrasser, et puis tes Maîtres ne tont-ils pas appris à cambrer ton cul afin de bien dégager et montrer ta vulve, petite salope.
Elle reçut encore deux claques, qui la firent gémir.
- Hum ! Quil doit être bon de glisser une bonne bite, telle que la mienne dans ces deux orifices, ne tinquiète pas ma chérie, le moment viendra, tu préfères quoi, une bonne bite dans ta chatte, ou une grosse pine dans ton cul ?
La jeune soumise ne répondit pas, humiliée, elle se contentait de lécher les organes mâles dEndymion MDE. Mais visiblement, ces humiliations avaient lair de lexciter, à en croire la cyprine qui coulait le long de sa cuisse. Lui, excité comme un diable par ces caresses, se débattait avec cette maudite cage de chasteté. Sa queue frétillait, suffoquait et implorait. Elle voulait sortir de cet enclos. Etienne, pervers, fit redresser la jeune soumise, la fit agenouiller sur la table basse. Puis il lui demanda de frotter sa vulve contre la paroi de cette cage pour finir dexciter le chien soumis MDE. Cest à cet instant quentraient Monsieur le Marquis dEvans accompagné de Madame Gabriella et Monsieur Henri.
- Je vois que nos chiennes et chiens ont déjà fait connaissance, voilà qui est bien ! lança le Noble Maître.
(A suivre
)
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