Le Joli Mois De Mai. 6Ème Partie

Après une enfilade de portes nous voyons Nicolas s’effacer pour laisser entrer Christelle dans une pièce, Valérie me précède dans la pénombre. Le temps de nous habi à la faible lumière qui y règne et nous découvrons une vaste chambre où trône un lit immense. Sur les murs les mêmes miroirs que ceux qui ornent notre chambre. Dans un coin je distingue un petit salon en cuir aux lignes modernes avec ses trois petits fauteuils, deux canapés à deux places et une table basse sur laquelle est posé un seau à champagne accompagné de coupes. Une vasque déborde presque de préservatifs, d’huiles de massages, de peinture comestible juste à côté d’un plateau d’appétissants petits croquembouches.
Nicolas invite Christelle à s’allonger sur le lit. Valérie me désigne le coin salon et d’autorité nous sert une coupe. Nous sommes lovés l’un contre l’autre maintenant et nous regardons nos conjoints faire l’amour. Sans la ménager, Nicolas le pénètre dans un missionnaire des plus classiques, mais les mouvements de son bassin entre les cuisses de ma femme me rappellent la longueur de son sexe. Il entre en elle avec douceur et fermeté pendant de longues minutes au son des gémissements de Christelle. Elle est totalement à sa merci et visiblement aime ça. Sortant d’elle, il att ses chevilles et replie sas jambes serrées l’une contre l’autre et la reprend ainsi. Puis, toujours sans égards mais sans aucune violence, il la couche sur le côté et entreprend le même mouvement de piston en elle. Je vois distinctement son sexe démesuré entrer et sortir de celui de ma femme, je les entends mêler cris et gémissements qui vont crescendo. Christelle est maintenant à quatre pattes lui offrant son cul qu’il dédaigne pourtant. Ils font l’amour maintenant à un rythme effréné, les gémissements de ma femme ont fait place à des cris, des ordres, des mots :

- « Oui ! Continue ! Oui, encore, encore, continue, plus fort, plus fort ! C’est bon continue ! Oui ! Comme ça, c’est bon ! Je viens !.

.. »

Et effectivement dans un spasme, elle jouit en retombant à plat ventre, entraînant son amant avec elle. Il en profite pour la pilonner, en se cabrant derrière elle, les bras tendus. Il finit, alors qu’elle jouit encore de lui, par la quitter et s’accroupir derrière elle. Fiévreusement il retire son préservatif et se branle vigoureusement jusqu’à gicler à long traits sur Christelle dans un cri rauque.
Haletants tous les deux ils récupèrent en silence allongés lui sur le dos, elle à son côté, tournée vers la droite, la jambe repliée sur le ventre de cet homme qui vient de la faire jouir. Il nous sourit le visage encore tendu de son orgasme et dit :

- « Pascal, j’aime beaucoup faire l’amour à ta femme… »

- « Ma femme aime visiblement aussi faire l’amour avec toi. »

- « J’ai rarement aussi bien joui que cette fois. Mon sexe vibre encore du plaisir que j’ai eu… Tu ne m’en veux pas mon Chéri ? » ajoute Christelle.

- « Je crois que si je devais t’en vouloir ce serait de ne pas m’accorder le plaisir de te voir jouir. Tu es magnifique et j’adore quand tu as du plaisir. »

Silencieuse depuis notre entrée dans la chambre, Valérie prend la parole à son tour et en se levant dit :

- « Voilà une très belle déclaration d’amour de ta part Pascal. Mais tout ce spectacle m’a donné aussi envie de dessert et comme ta bite est prête et que j’ai du Champagne, je te propose de te faire goûter à ce que Lisa a offert à Nicolas. Je ne sais pas si je suis aussi douée qu’elle mais tu m’en diras des nouvelles… »

Nous rejoignons nos deux coquins et assis en tailleur nous commençons à nous caresser langoureusement l’un l’autre, en ayant gardé notre coupe à la main. Bien décidé à ne pas m’en laisser compter, je décide à mon tour de lui montrer mes talents et tandis que ses doigts saisissent mon sexe bandé, je fouille son intimité brûlante et fais couler sur ses seins quelques gouttes de champagne que j’entreprends de récupérer à petits coups de langue.
Sur sa peau hâlée, je cours, d’un sein à l’autre, à la recherche des gouttes d’alcool glacé. Le contact du Champagne frappé sur ses mamelons les durcit encore plus et j’alterne maintenant coups de langue et mordillements. Valérie apprécie visiblement mes caresses et tout en rejetant la tête en arrière, empoigne mon sexe avec force. Sentant les choses lui échapper, elle tend sa coupe vers Nicolas qui s’en empare et la vide cul sec. Agitée de soubresauts, elle semble s’accrocher à mon membre comme si sa vie en dépendait. Les caresses conjuguées de mes doigts qui la fouillent, de mes dents qui la mordent et le Champagne qui coule maintenant de ses seins jusqu’au ventre, commencent à la faire onduler et venir à la rencontre de mes doigts. Son clitoris gonflé, roule sous mes doigts, ses lèvres sont maintenant ouvertes et brûlantes. Je la fouille sans vergogne, la prenant de mon index et de mon majeur recourbés dans un mouvement qui l’oblige à soulever son bassin de plus en plus fort.
Bientôt ma coupe est vide et Christelle me la prend des mains. Je glisse sur sa droite et sans cesser mes caresses, je glisse l’index de ma main libérée entre ses fesses puis, de plus en plus insistant, dans son petit œillet. Elle aime et me facilite le passage en se relevant encore un peu. Je la fouille ainsi dans ses deux orifices. Pendant que je vais et je viens de la main droite en la massant à la recherche du point sensible, j’entreprends de stimuler la douce paroi qui sépare son vagin de son étroit fourreau. Je la fais rouler entre mon index resté dans son cul et mon pouce. Mes attentions en elle ont vite fait de l’amener à jouir. Envahie par une vague de plaisir elle plaque ses deux mains sur son sexe, comme pour me dire d’arrêter ces caresses à la limite de la douleur maintenant. Mais sa bouche me dit de continuer encore. Elle tourne son visage vers moi et, les yeux grand ouvert dans une expression de jouissance, se mord la lèvre inférieure pour retenir les cris d’un autre orgasme.
Insatiable, elle est maintenant complètement dressée sur ses genoux, le bassin en avant et les sphincters serrés autour de mon pouce, elle se fait jouir seule comme si je n’étais plus qu’un sex-toy la prenant devant et derrière.
Elle reprend petit à petit ses esprits et sa respiration. Retombée comme une marionnette désarticulée mais toujours pénétré par mes doigts, elle s’avoue vaincue et me dit dans une expression qui m’emplit d’une fierté toute masculine :

- « Espèce de salaud, tu m’as fait jouir comme une folle… »

Elle m’embrasse en me plantant ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur.

- « Un partout à la mi-temps ! » commente Nicolas. « Le Champagne semble nous réussir à tous les quatre ! Attendez-moi avant de reprendre la rencontre.»

Il sort le sexe encore triomphant nous chercher une autre bouteille.

Sans aucune considération pour ce qu’il vient de dire, sa femme tient à avoir sa revanche et me pousse sur le lit. Allongé sur le dos, je suis à sa merci et m’abandonne avec encore moins de culpabilité que Christelle se joint à elle pour m’entreprendre de la plus belle des façons : sa langue se joignant à celle de son amie autour de ma verge.
Quand Nicolas nous retrouve avec le ravitaillement il n’est pas surpris du spectacle que nous donnons et se joint à nous avec deux coupes : une pour Christelle et l’autre pour sa femme. Cette dernière comprend le message et commence à la porter à ses lèvres avant, la bouche pleine, de venir se poser entre mes cuisses. Gourmande, elle commence à me titiller le gland comme un petit chat lape son lait. L’alcool sur ma peau à vif me pique et me glace en même temps.
De son côté comme si la vision de mon sexe sucé par Valérie la stimulait, Christelle commence à faire de même avec Nicolas. Ainsi caressé tous les deux par nos maîtresses, nous nous abandonnons à l’extase. Avec une science consommée, elles arrivent à nous maintenir au bord de l’orgasme de longues minutes.
Mais au bout d’un temps qui me parait trop court je succombe à cette délicieuse : je me cambre en attrapant le visage de Valérie et me vide à long traits dans sa bouche. Après avoir encaissé la violence de mes spasmes, son sourire est une autre récompense.
Sans pour autant, se plaindre des soins de ma femme, Nicolas semble marquer quelque peu le pas et il faut toute la dextérité de Christelle pour qu’il jouisse enfin. S’essuyant à son tour le visage, ma tendre épouse nous propose avec humour de passer aux nourritures solides après tout ce liquide. Dans un seul mouvement Valérie se rapproche d’elle, l’embrasse et d’un coup de langue lui efface les dernières gouttes de sperme de son mari aux commissures des lèvres.
Nous retrouvons le coin salon et dans une totale désinvolture, sans la moindre pudeur, commençons à grignoter, nus comme des vers, les gourmandises posées sur la petite table, accompagnées encore une fois de Mumm.

Nous reprenons ainsi des forces avant de nous retrouver de nouveau à faire l’amour tous les quatre. Cette fois de manière plus classique. Nos délicieuses épouses sont allongées côte à côte sur le dos et nous les prenons dans un missionnaire langoureux. Nous allons et venons bien campés sur nos avant-bras et les pénétrons d’abord doucement puis de plus en plus vite et fort. Etonnamment Nicolas et moi arrivons à trouver un rythme commun. Alternant les mouvements plus calmes et d’autres plus violents nous emportons nos compagnes vers le plaisir. Loin d’être repues elles échangent les rôles et ce sont elles maintenant qui nous chevauchent. Amazones dans la pénombre, c’est un spectacle merveilleux que de voir les corps de ces deux femmes. Leurs globes qui se balancent appellent nos mains et Nicolas tout comme moi, ne résiste pas à les caresser. Christelle devient lascive sur mon sexe tendu vers elle. Je pince les pointes des seins de ma femme entre mes doigts en les faisant rouler. Ma paume les soupèse en même temps et j’apprécie le galbe de sa poitrine. Je l’attire vers moi et me mets à la mordiller, à l’aspirer tout en faisant glisser mes dents sur ses tétons sans pour autant les mordre. Le simple contact de l’émail dur contre cette chair si tendre redouble son plaisir. Variant les plaisirs j’aspire et je tête ces deux extrémités de plaisir comme je le ferais avec deux clitoris, passant de l’un à l’autre.
Parfois elle se laisse comme tomber sur ma bite et en faisant jouer son bassin d’avant en arrière je la pénètre profondément. Dans ces moments-là elle prend la totale mesure du désir que j’ai pour elle. Je la possède de mon sexe dur, intensément. Parfois elle joue avec mon sexe en ne le laissant que glisser sur sa fente humide de désir. Je ne la pénètre que de mon gland, en profitant de cette sensation que me procurent ses lèvres autour de lui. Totalement penchée en arrière, les bras tendus, retenue simplement par mes mains, elle vient de plus en plus fort contre moi, en me laissant venir en elle. Je sens son bassin qui tape contre le mien. Abandonnant toute retenue, oubliant nos amis à nos côtés, à moins que ce ne soit leur présence qui ne l’excite encore plus, elle se met à crier dans une série de mouvements désordonnés qui disent toute l’intensité de cet orgasme. À mon tour n’y tenant plus je jouis en elle et je sens mon sperme jaillir de moi, se déverser en de longs jets. Revenant dans le monde réel après quelques secondes nous retrouvons Valérie et Nicolas, sourire aux lèvres, que nous avions oubliés. Eux aussi, ont aimé faire l’amour contre nous et les filles se mettent à se caresser les seins l’une l’autre, en commentant son plaisir. Ma femme se penche sur le côté et roule pour se tourner vers son amie et tout en l’enlaçant plonge ses doigts dans ses cheveux en dégageant son front des mèches blondes collées par la sueur pendant cette partie carrée torride. Leurs gestes sont empreints d’une grande tendresse et de beaucoup de sensualité. Lorsqu’elle pose ses lèvres sur celles de son amie Valérie sent bien à cet instant qu’elle jouit elle aussi de la complicité qu’elle enviait dans notre relation avec Lisa et Sébastien. En promenant ses mains sur le corps brûlant de Christelle elle atteint son sexe de ses doigts. À ce contact ma femme tressaille comme si elle recevait une décharge d’électricité. Encore trempée de mon sperme, sa chatte est un appel aux caresses. Son clitoris tellement sollicité par ce missionnaire, est lui aussi en attente de baisers. Valérie se détend et commence à glisser à ses pieds quand Christelle lui demande :

- « Non pas comme ça ! Moi aussi je veux te caresser en même temps. »

Elle cesse donc son mouvement et pivote sur ses genoux pour lui offrir en se posant sur elle, son sexe ouvert. Ainsi toutes les deux commencent un langoureux cunnilingus. De ma place, je ne rate rien du spectacle de cette langue féminine qui fouille ce sexe totalement épilé. Je devine tout le plaisir de ma femme lorsqu’elle aspire le sperme de Nicolas en enroulant sa langue autour du clitoris rose de sa maîtresse. De son côté Christelle commence elle aussi à sentir le plaisir monter. Je sens à l’observer qu’elle va bientôt jouir rien qu’à la voir se cambrer en tendant son bassin vers cette bouche qui l’aspire et cette langue qui la fouille. Soudain je la sens se tendre et dans une grande inspiration se laisser submerger par cette vague qui l’emporte. Un râle qui va crescendo commence à remplir la chambre et témoigne du talent de Valérie quand ma femme jouit en secouant sans tête de gauche à droite comme si elle ne revenait pas du plaisir qui l’envahit. Les yeux éperdus elle reprend son souffle et plonge entre les fesses de son amie pour la faire jouir à son tour. Elle attire vers elle cette croupe offerte, plonge en elle pour sucer son clito maintenant décapuchonné. Elle saisit à pleines mains ces fesses rebondies et plante ses doigts dans cette chair bronzée. Elle effectue maintenant des mouvements comme pour la pénétrer de sa langue. Cédant enfin, Valérie s’abandonne aux caresses de ma femme dont la bouche est pleine du sperme de Nicolas et du parfum torride de cette femme.

Nos deux amoureuses reprennent alors leurs caresses mais cette fois sans connotation sexuelle. Ce sont des gestes d’une infinie douceur qui témoignent de leur tendresse l’une pour l’autre. Nicolas me sourit et me propose de le suivre dans un geste mystérieux. Je me lève embrasse sur les lèvres de ma femme encore frémissantes de plaisir, caresse les reins cambrés de Valérie, et disparais à la suite de notre hôte.

Après avoir abandonné nos épouses à leurs caresses mutuelles, Nicolas et moi nous retrouvons dans le salon et tout en sirotant un Lagavulin de dix-sept ans, nous échangeons comme si de rien n’était. Cette complicité, cette simplicité et cette décontraction me plaisent beaucoup. Nous avons rencontré des amis. Le temps passe et deux ombres furtives nous rejoignent. Préférant à la force du whisky, la pétillance du champagne, Christelle et Valérie, se posent à nos côtés. La discussion s’étire jusque tard dans la nuit. Enfin, il est temps d’aller nous reposer.


Quelques heures plus tard, frais et dispos, nous décidons au petit dej de notre programme de la journée. L’heure étant avancée nous nous contentons d’un café ou d’un thé. Après une bonne tête dans la piscine nous préparons nos affaires car nous allons vers l’océan. Après un bon déjeuner sur le port de Lacanau durant lequel huîtres et Muscadet sur Lie nous accompagnent, nous partons tous les quatre en direction de la plage. Christelle s’en fait une joie, elle qui adore se baigner. Les filles à l’avant dans la voiture de Vanessa papotent, Nicolas et moi faisons de même, installés à l’arrière. Nous parlons de nos boulots respectifs notamment tant et si bien que nous n’avons rien vu du paysage avant notre arrivée à destination : « une plage tranquille » nous ont promis nos hôtes sans nous en dire plus.
Nous garons la voiture à l’ombre des quelques pins plantés sur le parking, plutôt désert en ce début d’après-midi et en parfaits touristes nous nous dirigeons vers la plage proprement dite.
En tenue légère nos compagnes mènent la marche ce qui nous laisse l’occasion d’admirer tout ce que leur tenue met en valeur. Nous marchons ainsi quelques centaines de mètres sous les pins avant d’arriver après une petite montée au sommet d’une étendue de dunes et d’herbes hautes. Quelques minutes de marche encore et à nos s’étale l’océan, le sable et plein de gens … nus.

Une plage naturiste donc, sur laquelle l’apparition de nos deux couples fait son petit effet. Christelle et moi ne sommes pas vraiment adeptes du naturisme mais de temps en temps en été le calme de ces plages nous permet d’éviter la foule et les s trop bruyants. Nous allons sur la côte vers Piriac nous prélasser entièrement nus. Oh bien sûr on mate autant que nous matons, mais rien ne nous est arrivé qui ait eu une connotation sexuelle lors de ces après-midi. Une fois pourtant, nous nous sommes éclipsés sous les arbres et allongés sur nos serviettes à l’ombre entre deux bosquets nous sommes occupés l’un l’autre, Christelle me faisant jouir entre ses doigts après que moi-même lui ai permis de jouir en la fouillant le plus discrètement possible compte tenu du passage des touristes à quelques mètres de nous. Frissons des exhibitionnistes…

Nous installons notre espace à mi-chemin entre l’eau et la dune. Toujours aussi peu enthousiaste à l’idée de me mouiller, je reste seul sur le sable pendant que Valérie, Nicolas et Christelle vont se baigner. Je me tartine généreusement de crème solaire partout et ainsi protégé je me mets à observer ce qu’il se passe autour de moi : des couples prennent eux aussi le soleil de cette belle journée de mai. Dans tous les âges, hétéros ou homos, au bord de l’eau circulent des gens, nudistes essentiellement, qui vont et viennent en discutant. Parfois très beaux, parfois beaucoup moins, dans une totale décontraction.
Après mon coup d’œil circulaire je reviens à nos amis que je cherche du regard. Je les retrouve ballottés l’un contre l’autre à 5 mètres du rivage par les vagues. Ma femme après avoir fait quelques brasses s’est allongée dans l’eau sur le dos en se laissant bercer par l’océan tout au bord de la plage. À cet endroit les flots ont perdu de leur puissance et dans ces quelques dizaines de centimètres d’eau salée elle se détend. Le regard tourné vers le large elle ne remarque pas le manège de deux hommes d’un certain âge restés eux sur le sable. L’un d’entre eux, trapu et bedonnant, se caresse en regardant ma femme. Son sexe encore mou semble grossir à la vue du corps de Claire. En même temps qu’il se branle, l’autre dans les soixante ans entièrement bronzé, presque de couleur noire tient son sexe lui aussi à la main. La vue du corps de ma femme a effectivement de quoi réveiller la libido des hommes les plus blasés. Ses jambes musclées s’écartent lentement en fonction des vagues. Elle ne fait rien pour les retenir. L’écume monte à l’assaut de son sexe qui se devine plus clair sur sa peau qui commence à bronzer. Ses seins se balancent doucement au rythme de l’eau et ses bras remontés vers la nuque en augmentent encore le galbe. Nos deux voyeurs eux se régalent impunément et une belle trique commence à apparaître sous leurs doigts.
Vanessa et Nathan semblent avoir aperçu le manège des deux hommes et préviennent amusés Christelle qui se retourne. Dressée sur les coudes, elle regarde le premier finir de se masturber devant elle. Sa branlette achevée il semble lui dire quelque chose et se dirige vers la gauche aussi discrètement qu’il était apparu. Il disparaît parmi les autres baigneurs. Quand je reviens vers ma femme elle a rejoint nos amis qui sont toujours avec de l’eau jusqu’à la taille, mais ce ne sont plus les vagues qui font bouger les seins de Vanessa mais les coups de butoirs que Nathan lui donne. La soulevant en écartant ses fesses il la pénètre de dos en rythme avec les mouvements de la mer. Mais le plus étonnant tient au comportement de Christelle dont l’admirateur est tout proche maintenant. De l’eau jusqu’au-dessus des genoux il continue de se branler en avançant vers elle. Loin de s’effaroucher, les yeux fixés sur ce membre qui grossit à vue d’œil, elle le laisse s’approcher et quand il est à sa portée le saisit et frénétiquement se met à le branler de ses deux mains, sans un regard pour l’homme. Hypnotisée elle secoue ce sexe inconnu, de plus en plus fort et enfin il jouit. Un cri sort de sa bouche, qui ameute tous les regards vers lui. Comme prise au dépourvu Christelle se réfugie dans l’eau jusqu’au cou en direction de nos amis dont le va et vient ne peut plus maintenant passer pour autre chose que ce qu’il est : une bonne partie de baise en public. Loin de se démonter elle reste avec eux et faisant face à Vanessa lui caresse d’une main les seins, tandis que l’autre disparue sous l’eau me laisse imaginer son emploi. Notre heureux bonhomme ressort de l’eau et se dirige vers sa serviette à côté de l’endroit par lequel nous sommes arrivés. Il y retrouve une femme et entre en grande conversation avec elle en jetant des regards vers la plage où se trouvent encore Christelle. Loin de se montrer jalouse l’épouse en question se met à caresser ce sexe redevenu flaccide.
Je devine en les regardant que Nathan, Valérie et Christelle en ont fini eux aussi. Tous les trois commencent à se rapprocher du bord de l’eau et me rejoignent sous le regard de la plupart des gens autour de nous.
Sans échanger quoique ce soit sur l’épisode de la branlette, nous passons le reste de l’après-midi à bronzer, lire et enduire nos corps de lait, ment en insistant sur certaines zones plus que sur d’autres.

Lorsque nous décidons de reprendre le chemin du retour, nous passons tous les quatre devant le vieux monsieur tout sourire, sa femme également, sans que Christelle ne lui adresse le moindre regard, gênée ?

Nous n’avons pas fait un long chemin dans les dunes à mater le cul des filles devant nous quand Nicolas m’att par le bras. En me faisant signe de me taire, nous laissons nos femmes continuer toutes seules en direction de la voiture. Attiré par des sons émis entre les herbes hautes, il s’y enfonce. Je le suis. Au détour d’un chemin peu fréquenté et pourtant au bord de l’accès principal une femme d’environ quarante ans, accroupie est entourée d’hommes qu’elle branle à tour de rôle, et qu’elle suce goulûment. Rousse la peau très claire et les cheveux courts elle offre un corps mince aux petits seins bien fermes, aux mains de tous ces hommes. Ses pommettes hautes et ses yeux clairs lui donnent beaucoup de charme. Sa taille bien marquée, est rehaussée par un paréo vert pomme sous lequel elle est nue. Sa toison rousse est parfaitement délimitée en un fin triangle que j’imagine très doux sous les doigts. Parfois apparaît une langue gourmande qui appelle au sexe en glissant de manière très suggestive sur ses lèvres très rouges. À ces moments-là, sa voix haut perchée donne parfois des ordres aux types qui l’assaillent de tous côtés. Parfois lorsqu’un d’entre eux jouit sur elle, elle l’apostrophe en lui disant des mots très crus :

- « Alors je t’ai fait jouir salaud, ça t’a plu, hein ? »

Puis en se tournant vers un autre mâle :

- « À toi maintenant, viens je vais te sucer et tu vas me gicler dessus…»

Subjugué par le spectacle, je ne me rends pas compte que les filles, intriguées après notre disparition, nous ont retrouvés et elles aussi ne perdent pas une miette de ce que leur offre cette femme. Maintenant debout, elle toise du regard deux jeunes mecs d’origine maghrébine en les branlant elle leur dit :

- « Alors tu aimes que je te fasse bander, tu aimes ça, c’est bon ? »…

Et, comme si elle avait le pouvoir de le déclencher, elle les regarde et leur dit :

- « Vas-y maintenant, gicle ! »

Comme par miracle simultanément ils se vident l’un sur ses seins, l’autre sur son visage tendu dans un étrange sourire. Ils accompagnant seul leur orgasme de leur main car elle est déjà passée à d’autres bites.

Elle passe des uns aux autres ainsi, gros ou minces, jeunes ou vieux, tous les hommes finissent par jouir certains plusieurs fois, en provoquant dans les yeux de la jolie rousse une lueur coquine. Les filles un temps captivées se ressaisissent et nous entraînent vers le parking en nous en promettant plus dès notre retour.
Dommage, cette belle femme rousse me plaisait beaucoup et moi aussi…je lui aurais bien fait l’honneur de mon sperme, rien que pour croiser son regard à cet instant.

- « La salope ! » ajoute Valérie

- « Elle n’en avait visiblement pas assez » rajoutais-je avec un peu de regret dans la voix qu’a semblée remarquer Valérie, tandis que ma femme ne disait rien…

Le parking, la voiture, le chemin du retour… Mais auparavant nous ferons :

- « Une halte dans une propriété viticole en chemin. Il faut que je refasse le plein de la cave. Un joli cru bourgeois, je ne t’en dis pas plus » m’annonce Nicolas.

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