Le Joli Mois De Mai. 6Ème Partie
Après une enfilade de portes nous voyons Nicolas seffacer pour laisser entrer Christelle dans une pièce, Valérie me précède dans la pénombre. Le temps de nous habi à la faible lumière qui y règne et nous découvrons une vaste chambre où trône un lit immense. Sur les murs les mêmes miroirs que ceux qui ornent notre chambre. Dans un coin je distingue un petit salon en cuir aux lignes modernes avec ses trois petits fauteuils, deux canapés à deux places et une table basse sur laquelle est posé un seau à champagne accompagné de coupes. Une vasque déborde presque de préservatifs, dhuiles de massages, de peinture comestible juste à côté dun plateau dappétissants petits croquembouches.
Nicolas invite Christelle à sallonger sur le lit. Valérie me désigne le coin salon et dautorité nous sert une coupe. Nous sommes lovés lun contre lautre maintenant et nous regardons nos conjoints faire lamour. Sans la ménager, Nicolas le pénètre dans un missionnaire des plus classiques, mais les mouvements de son bassin entre les cuisses de ma femme me rappellent la longueur de son sexe. Il entre en elle avec douceur et fermeté pendant de longues minutes au son des gémissements de Christelle. Elle est totalement à sa merci et visiblement aime ça. Sortant delle, il att ses chevilles et replie sas jambes serrées lune contre lautre et la reprend ainsi. Puis, toujours sans égards mais sans aucune violence, il la couche sur le côté et entreprend le même mouvement de piston en elle. Je vois distinctement son sexe démesuré entrer et sortir de celui de ma femme, je les entends mêler cris et gémissements qui vont crescendo. Christelle est maintenant à quatre pattes lui offrant son cul quil dédaigne pourtant. Ils font lamour maintenant à un rythme effréné, les gémissements de ma femme ont fait place à des cris, des ordres, des mots :
- « Oui ! Continue ! Oui, encore, encore, continue, plus fort, plus fort ! Cest bon continue ! Oui ! Comme ça, cest bon ! Je viens !.
Et effectivement dans un spasme, elle jouit en retombant à plat ventre, entraînant son amant avec elle. Il en profite pour la pilonner, en se cabrant derrière elle, les bras tendus. Il finit, alors quelle jouit encore de lui, par la quitter et saccroupir derrière elle. Fiévreusement il retire son préservatif et se branle vigoureusement jusquà gicler à long traits sur Christelle dans un cri rauque.
Haletants tous les deux ils récupèrent en silence allongés lui sur le dos, elle à son côté, tournée vers la droite, la jambe repliée sur le ventre de cet homme qui vient de la faire jouir. Il nous sourit le visage encore tendu de son orgasme et dit :
- « Pascal, jaime beaucoup faire lamour à ta femme
»
- « Ma femme aime visiblement aussi faire lamour avec toi. »
- « Jai rarement aussi bien joui que cette fois. Mon sexe vibre encore du plaisir que jai eu
Tu ne men veux pas mon Chéri ? » ajoute Christelle.
- « Je crois que si je devais ten vouloir ce serait de ne pas maccorder le plaisir de te voir jouir. Tu es magnifique et jadore quand tu as du plaisir. »
Silencieuse depuis notre entrée dans la chambre, Valérie prend la parole à son tour et en se levant dit :
- « Voilà une très belle déclaration damour de ta part Pascal. Mais tout ce spectacle ma donné aussi envie de dessert et comme ta bite est prête et que jai du Champagne, je te propose de te faire goûter à ce que Lisa a offert à Nicolas. Je ne sais pas si je suis aussi douée quelle mais tu men diras des nouvelles
»
Nous rejoignons nos deux coquins et assis en tailleur nous commençons à nous caresser langoureusement lun lautre, en ayant gardé notre coupe à la main. Bien décidé à ne pas men laisser compter, je décide à mon tour de lui montrer mes talents et tandis que ses doigts saisissent mon sexe bandé, je fouille son intimité brûlante et fais couler sur ses seins quelques gouttes de champagne que jentreprends de récupérer à petits coups de langue.
Bientôt ma coupe est vide et Christelle me la prend des mains. Je glisse sur sa droite et sans cesser mes caresses, je glisse lindex de ma main libérée entre ses fesses puis, de plus en plus insistant, dans son petit illet. Elle aime et me facilite le passage en se relevant encore un peu. Je la fouille ainsi dans ses deux orifices. Pendant que je vais et je viens de la main droite en la massant à la recherche du point sensible, jentreprends de stimuler la douce paroi qui sépare son vagin de son étroit fourreau. Je la fais rouler entre mon index resté dans son cul et mon pouce. Mes attentions en elle ont vite fait de lamener à jouir. Envahie par une vague de plaisir elle plaque ses deux mains sur son sexe, comme pour me dire darrêter ces caresses à la limite de la douleur maintenant. Mais sa bouche me dit de continuer encore. Elle tourne son visage vers moi et, les yeux grand ouvert dans une expression de jouissance, se mord la lèvre inférieure pour retenir les cris dun autre orgasme.
Elle reprend petit à petit ses esprits et sa respiration. Retombée comme une marionnette désarticulée mais toujours pénétré par mes doigts, elle savoue vaincue et me dit dans une expression qui memplit dune fierté toute masculine :
- « Espèce de salaud, tu mas fait jouir comme une folle
»
Elle membrasse en me plantant ses doigts dans mes cheveux trempés de sueur.
- « Un partout à la mi-temps ! » commente Nicolas. « Le Champagne semble nous réussir à tous les quatre ! Attendez-moi avant de reprendre la rencontre.»
Il sort le sexe encore triomphant nous chercher une autre bouteille.
Sans aucune considération pour ce quil vient de dire, sa femme tient à avoir sa revanche et me pousse sur le lit. Allongé sur le dos, je suis à sa merci et mabandonne avec encore moins de culpabilité que Christelle se joint à elle pour mentreprendre de la plus belle des façons : sa langue se joignant à celle de son amie autour de ma verge.
Quand Nicolas nous retrouve avec le ravitaillement il nest pas surpris du spectacle que nous donnons et se joint à nous avec deux coupes : une pour Christelle et lautre pour sa femme. Cette dernière comprend le message et commence à la porter à ses lèvres avant, la bouche pleine, de venir se poser entre mes cuisses. Gourmande, elle commence à me titiller le gland comme un petit chat lape son lait. Lalcool sur ma peau à vif me pique et me glace en même temps.
De son côté comme si la vision de mon sexe sucé par Valérie la stimulait, Christelle commence à faire de même avec Nicolas. Ainsi caressé tous les deux par nos maîtresses, nous nous abandonnons à lextase. Avec une science consommée, elles arrivent à nous maintenir au bord de lorgasme de longues minutes.
Sans pour autant, se plaindre des soins de ma femme, Nicolas semble marquer quelque peu le pas et il faut toute la dextérité de Christelle pour quil jouisse enfin. Sessuyant à son tour le visage, ma tendre épouse nous propose avec humour de passer aux nourritures solides après tout ce liquide. Dans un seul mouvement Valérie se rapproche delle, lembrasse et dun coup de langue lui efface les dernières gouttes de sperme de son mari aux commissures des lèvres.
Nous retrouvons le coin salon et dans une totale désinvolture, sans la moindre pudeur, commençons à grignoter, nus comme des vers, les gourmandises posées sur la petite table, accompagnées encore une fois de Mumm.
Nous reprenons ainsi des forces avant de nous retrouver de nouveau à faire lamour tous les quatre. Cette fois de manière plus classique. Nos délicieuses épouses sont allongées côte à côte sur le dos et nous les prenons dans un missionnaire langoureux. Nous allons et venons bien campés sur nos avant-bras et les pénétrons dabord doucement puis de plus en plus vite et fort. Etonnamment Nicolas et moi arrivons à trouver un rythme commun. Alternant les mouvements plus calmes et dautres plus violents nous emportons nos compagnes vers le plaisir. Loin dêtre repues elles échangent les rôles et ce sont elles maintenant qui nous chevauchent. Amazones dans la pénombre, cest un spectacle merveilleux que de voir les corps de ces deux femmes. Leurs globes qui se balancent appellent nos mains et Nicolas tout comme moi, ne résiste pas à les caresser. Christelle devient lascive sur mon sexe tendu vers elle. Je pince les pointes des seins de ma femme entre mes doigts en les faisant rouler. Ma paume les soupèse en même temps et japprécie le galbe de sa poitrine. Je lattire vers moi et me mets à la mordiller, à laspirer tout en faisant glisser mes dents sur ses tétons sans pour autant les mordre. Le simple contact de lémail dur contre cette chair si tendre redouble son plaisir. Variant les plaisirs jaspire et je tête ces deux extrémités de plaisir comme je le ferais avec deux clitoris, passant de lun à lautre.
Parfois elle se laisse comme tomber sur ma bite et en faisant jouer son bassin davant en arrière je la pénètre profondément. Dans ces moments-là elle prend la totale mesure du désir que jai pour elle. Je la possède de mon sexe dur, intensément. Parfois elle joue avec mon sexe en ne le laissant que glisser sur sa fente humide de désir. Je ne la pénètre que de mon gland, en profitant de cette sensation que me procurent ses lèvres autour de lui. Totalement penchée en arrière, les bras tendus, retenue simplement par mes mains, elle vient de plus en plus fort contre moi, en me laissant venir en elle. Je sens son bassin qui tape contre le mien. Abandonnant toute retenue, oubliant nos amis à nos côtés, à moins que ce ne soit leur présence qui ne lexcite encore plus, elle se met à crier dans une série de mouvements désordonnés qui disent toute lintensité de cet orgasme. À mon tour ny tenant plus je jouis en elle et je sens mon sperme jaillir de moi, se déverser en de longs jets. Revenant dans le monde réel après quelques secondes nous retrouvons Valérie et Nicolas, sourire aux lèvres, que nous avions oubliés. Eux aussi, ont aimé faire lamour contre nous et les filles se mettent à se caresser les seins lune lautre, en commentant son plaisir. Ma femme se penche sur le côté et roule pour se tourner vers son amie et tout en lenlaçant plonge ses doigts dans ses cheveux en dégageant son front des mèches blondes collées par la sueur pendant cette partie carrée torride. Leurs gestes sont empreints dune grande tendresse et de beaucoup de sensualité. Lorsquelle pose ses lèvres sur celles de son amie Valérie sent bien à cet instant quelle jouit elle aussi de la complicité quelle enviait dans notre relation avec Lisa et Sébastien. En promenant ses mains sur le corps brûlant de Christelle elle atteint son sexe de ses doigts. À ce contact ma femme tressaille comme si elle recevait une décharge délectricité. Encore trempée de mon sperme, sa chatte est un appel aux caresses. Son clitoris tellement sollicité par ce missionnaire, est lui aussi en attente de baisers. Valérie se détend et commence à glisser à ses pieds quand Christelle lui demande :
- « Non pas comme ça ! Moi aussi je veux te caresser en même temps. »
Elle cesse donc son mouvement et pivote sur ses genoux pour lui offrir en se posant sur elle, son sexe ouvert. Ainsi toutes les deux commencent un langoureux cunnilingus. De ma place, je ne rate rien du spectacle de cette langue féminine qui fouille ce sexe totalement épilé. Je devine tout le plaisir de ma femme lorsquelle aspire le sperme de Nicolas en enroulant sa langue autour du clitoris rose de sa maîtresse. De son côté Christelle commence elle aussi à sentir le plaisir monter. Je sens à lobserver quelle va bientôt jouir rien quà la voir se cambrer en tendant son bassin vers cette bouche qui laspire et cette langue qui la fouille. Soudain je la sens se tendre et dans une grande inspiration se laisser submerger par cette vague qui lemporte. Un râle qui va crescendo commence à remplir la chambre et témoigne du talent de Valérie quand ma femme jouit en secouant sans tête de gauche à droite comme si elle ne revenait pas du plaisir qui lenvahit. Les yeux éperdus elle reprend son souffle et plonge entre les fesses de son amie pour la faire jouir à son tour. Elle attire vers elle cette croupe offerte, plonge en elle pour sucer son clito maintenant décapuchonné. Elle saisit à pleines mains ces fesses rebondies et plante ses doigts dans cette chair bronzée. Elle effectue maintenant des mouvements comme pour la pénétrer de sa langue. Cédant enfin, Valérie sabandonne aux caresses de ma femme dont la bouche est pleine du sperme de Nicolas et du parfum torride de cette femme.
Nos deux amoureuses reprennent alors leurs caresses mais cette fois sans connotation sexuelle. Ce sont des gestes dune infinie douceur qui témoignent de leur tendresse lune pour lautre. Nicolas me sourit et me propose de le suivre dans un geste mystérieux. Je me lève embrasse sur les lèvres de ma femme encore frémissantes de plaisir, caresse les reins cambrés de Valérie, et disparais à la suite de notre hôte.
Après avoir abandonné nos épouses à leurs caresses mutuelles, Nicolas et moi nous retrouvons dans le salon et tout en sirotant un Lagavulin de dix-sept ans, nous échangeons comme si de rien nétait. Cette complicité, cette simplicité et cette décontraction me plaisent beaucoup. Nous avons rencontré des amis. Le temps passe et deux ombres furtives nous rejoignent. Préférant à la force du whisky, la pétillance du champagne, Christelle et Valérie, se posent à nos côtés. La discussion sétire jusque tard dans la nuit. Enfin, il est temps daller nous reposer.
Quelques heures plus tard, frais et dispos, nous décidons au petit dej de notre programme de la journée. Lheure étant avancée nous nous contentons dun café ou dun thé. Après une bonne tête dans la piscine nous préparons nos affaires car nous allons vers locéan. Après un bon déjeuner sur le port de Lacanau durant lequel huîtres et Muscadet sur Lie nous accompagnent, nous partons tous les quatre en direction de la plage. Christelle sen fait une joie, elle qui adore se baigner. Les filles à lavant dans la voiture de Vanessa papotent, Nicolas et moi faisons de même, installés à larrière. Nous parlons de nos boulots respectifs notamment tant et si bien que nous navons rien vu du paysage avant notre arrivée à destination : « une plage tranquille » nous ont promis nos hôtes sans nous en dire plus.
Nous garons la voiture à lombre des quelques pins plantés sur le parking, plutôt désert en ce début daprès-midi et en parfaits touristes nous nous dirigeons vers la plage proprement dite.
En tenue légère nos compagnes mènent la marche ce qui nous laisse loccasion dadmirer tout ce que leur tenue met en valeur. Nous marchons ainsi quelques centaines de mètres sous les pins avant darriver après une petite montée au sommet dune étendue de dunes et dherbes hautes. Quelques minutes de marche encore et à nos sétale locéan, le sable et plein de gens
nus.
Une plage naturiste donc, sur laquelle lapparition de nos deux couples fait son petit effet. Christelle et moi ne sommes pas vraiment adeptes du naturisme mais de temps en temps en été le calme de ces plages nous permet déviter la foule et les s trop bruyants. Nous allons sur la côte vers Piriac nous prélasser entièrement nus. Oh bien sûr on mate autant que nous matons, mais rien ne nous est arrivé qui ait eu une connotation sexuelle lors de ces après-midi. Une fois pourtant, nous nous sommes éclipsés sous les arbres et allongés sur nos serviettes à lombre entre deux bosquets nous sommes occupés lun lautre, Christelle me faisant jouir entre ses doigts après que moi-même lui ai permis de jouir en la fouillant le plus discrètement possible compte tenu du passage des touristes à quelques mètres de nous. Frissons des exhibitionnistes
Nous installons notre espace à mi-chemin entre leau et la dune. Toujours aussi peu enthousiaste à lidée de me mouiller, je reste seul sur le sable pendant que Valérie, Nicolas et Christelle vont se baigner. Je me tartine généreusement de crème solaire partout et ainsi protégé je me mets à observer ce quil se passe autour de moi : des couples prennent eux aussi le soleil de cette belle journée de mai. Dans tous les âges, hétéros ou homos, au bord de leau circulent des gens, nudistes essentiellement, qui vont et viennent en discutant. Parfois très beaux, parfois beaucoup moins, dans une totale décontraction.
Après mon coup dil circulaire je reviens à nos amis que je cherche du regard. Je les retrouve ballottés lun contre lautre à 5 mètres du rivage par les vagues. Ma femme après avoir fait quelques brasses sest allongée dans leau sur le dos en se laissant bercer par locéan tout au bord de la plage. À cet endroit les flots ont perdu de leur puissance et dans ces quelques dizaines de centimètres deau salée elle se détend. Le regard tourné vers le large elle ne remarque pas le manège de deux hommes dun certain âge restés eux sur le sable. Lun dentre eux, trapu et bedonnant, se caresse en regardant ma femme. Son sexe encore mou semble grossir à la vue du corps de Claire. En même temps quil se branle, lautre dans les soixante ans entièrement bronzé, presque de couleur noire tient son sexe lui aussi à la main. La vue du corps de ma femme a effectivement de quoi réveiller la libido des hommes les plus blasés. Ses jambes musclées sécartent lentement en fonction des vagues. Elle ne fait rien pour les retenir. Lécume monte à lassaut de son sexe qui se devine plus clair sur sa peau qui commence à bronzer. Ses seins se balancent doucement au rythme de leau et ses bras remontés vers la nuque en augmentent encore le galbe. Nos deux voyeurs eux se régalent impunément et une belle trique commence à apparaître sous leurs doigts.
Vanessa et Nathan semblent avoir aperçu le manège des deux hommes et préviennent amusés Christelle qui se retourne. Dressée sur les coudes, elle regarde le premier finir de se masturber devant elle. Sa branlette achevée il semble lui dire quelque chose et se dirige vers la gauche aussi discrètement quil était apparu. Il disparaît parmi les autres baigneurs. Quand je reviens vers ma femme elle a rejoint nos amis qui sont toujours avec de leau jusquà la taille, mais ce ne sont plus les vagues qui font bouger les seins de Vanessa mais les coups de butoirs que Nathan lui donne. La soulevant en écartant ses fesses il la pénètre de dos en rythme avec les mouvements de la mer. Mais le plus étonnant tient au comportement de Christelle dont ladmirateur est tout proche maintenant. De leau jusquau-dessus des genoux il continue de se branler en avançant vers elle. Loin de seffaroucher, les yeux fixés sur ce membre qui grossit à vue dil, elle le laisse sapprocher et quand il est à sa portée le saisit et frénétiquement se met à le branler de ses deux mains, sans un regard pour lhomme. Hypnotisée elle secoue ce sexe inconnu, de plus en plus fort et enfin il jouit. Un cri sort de sa bouche, qui ameute tous les regards vers lui. Comme prise au dépourvu Christelle se réfugie dans leau jusquau cou en direction de nos amis dont le va et vient ne peut plus maintenant passer pour autre chose que ce quil est : une bonne partie de baise en public. Loin de se démonter elle reste avec eux et faisant face à Vanessa lui caresse dune main les seins, tandis que lautre disparue sous leau me laisse imaginer son emploi. Notre heureux bonhomme ressort de leau et se dirige vers sa serviette à côté de lendroit par lequel nous sommes arrivés. Il y retrouve une femme et entre en grande conversation avec elle en jetant des regards vers la plage où se trouvent encore Christelle. Loin de se montrer jalouse lépouse en question se met à caresser ce sexe redevenu flaccide.
Je devine en les regardant que Nathan, Valérie et Christelle en ont fini eux aussi. Tous les trois commencent à se rapprocher du bord de leau et me rejoignent sous le regard de la plupart des gens autour de nous.
Sans échanger quoique ce soit sur lépisode de la branlette, nous passons le reste de laprès-midi à bronzer, lire et enduire nos corps de lait, ment en insistant sur certaines zones plus que sur dautres.
Lorsque nous décidons de reprendre le chemin du retour, nous passons tous les quatre devant le vieux monsieur tout sourire, sa femme également, sans que Christelle ne lui adresse le moindre regard, gênée ?
Nous navons pas fait un long chemin dans les dunes à mater le cul des filles devant nous quand Nicolas matt par le bras. En me faisant signe de me taire, nous laissons nos femmes continuer toutes seules en direction de la voiture. Attiré par des sons émis entre les herbes hautes, il sy enfonce. Je le suis. Au détour dun chemin peu fréquenté et pourtant au bord de laccès principal une femme denviron quarante ans, accroupie est entourée dhommes quelle branle à tour de rôle, et quelle suce goulûment. Rousse la peau très claire et les cheveux courts elle offre un corps mince aux petits seins bien fermes, aux mains de tous ces hommes. Ses pommettes hautes et ses yeux clairs lui donnent beaucoup de charme. Sa taille bien marquée, est rehaussée par un paréo vert pomme sous lequel elle est nue. Sa toison rousse est parfaitement délimitée en un fin triangle que jimagine très doux sous les doigts. Parfois apparaît une langue gourmande qui appelle au sexe en glissant de manière très suggestive sur ses lèvres très rouges. À ces moments-là, sa voix haut perchée donne parfois des ordres aux types qui lassaillent de tous côtés. Parfois lorsquun dentre eux jouit sur elle, elle lapostrophe en lui disant des mots très crus :
- « Alors je tai fait jouir salaud, ça ta plu, hein ? »
Puis en se tournant vers un autre mâle :
- « À toi maintenant, viens je vais te sucer et tu vas me gicler dessus
»
Subjugué par le spectacle, je ne me rends pas compte que les filles, intriguées après notre disparition, nous ont retrouvés et elles aussi ne perdent pas une miette de ce que leur offre cette femme. Maintenant debout, elle toise du regard deux jeunes mecs dorigine maghrébine en les branlant elle leur dit :
- « Alors tu aimes que je te fasse bander, tu aimes ça, cest bon ? »
Et, comme si elle avait le pouvoir de le déclencher, elle les regarde et leur dit :
- « Vas-y maintenant, gicle ! »
Comme par miracle simultanément ils se vident lun sur ses seins, lautre sur son visage tendu dans un étrange sourire. Ils accompagnant seul leur orgasme de leur main car elle est déjà passée à dautres bites.
Elle passe des uns aux autres ainsi, gros ou minces, jeunes ou vieux, tous les hommes finissent par jouir certains plusieurs fois, en provoquant dans les yeux de la jolie rousse une lueur coquine. Les filles un temps captivées se ressaisissent et nous entraînent vers le parking en nous en promettant plus dès notre retour.
Dommage, cette belle femme rousse me plaisait beaucoup et moi aussi
je lui aurais bien fait lhonneur de mon sperme, rien que pour croiser son regard à cet instant.
- « La salope ! » ajoute Valérie
- « Elle nen avait visiblement pas assez » rajoutais-je avec un peu de regret dans la voix qua semblée remarquer Valérie, tandis que ma femme ne disait rien
Le parking, la voiture, le chemin du retour
Mais auparavant nous ferons :
- « Une halte dans une propriété viticole en chemin. Il faut que je refasse le plein de la cave. Un joli cru bourgeois, je ne ten dis pas plus » mannonce Nicolas.
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