La Thèsarde 1ere Partie
LA THESE
Je marche dans la rue, au milieu des passants. Je suis bien, heureuse, repue. Mes seins bougent librement sous mon chemisier. Il commence à faire frisquet. Je sens le léger vent d'automne courir sur mes jambes nues. Il passe sous ma jupe et caresse mes fesses et mon pubis. Libre lui aussi.
Je ne porte plus aucun sous-vêtement. Jimagine la tête des passants qui me croisent sils savaient. Je me sens détendue, bien dans ma peau. Je sens tous les muscles de mon corps jouer librement.
Il faut que je trouve rapidement un café avec des toilettes. Je serre mon manteau autour de mon corps. Jentre dans le premier bistrot, commande un café serré et me précipite en sous-sol dans les toilettes.
Jenlève mon manteau et relève ma jupe. Jai les fesses et les poils du pubis complètement trempés. Ça coule encore entre mes cuisses. Cest froid et gluant. Je massois sur la cuvette et me nettoie du mieux possible. Jaurai voulu garder en moi tout cela.
Jutilise beaucoup de papier. Pratiquement le rouleau. Je ressort. Un petit coup de maquillage sur le visage et part boire mon café. Le liquide chaud coule dans ma gorge et me fait du bien.
Je suis à nouveau excitée. Presque autant quen début d'après-midi. Mais ce nest pas la même excitation. Les pointes de mes seins frottent contre le tissu de mon chemisier. Mon sexe et ma raie sont humides. Pire que quand jai mes règles. Je suis moite entre mes cuisses. Si je reste longtemps assise, le fonds de ma jupe va se mouiller. Tant pis, on ne verra rien sous mon manteau.
Le serveur amène un second café. Il me regarde dune drôle de façon. Je mets un certain temps à réaliser que je suis assise jambes écartées. Je les referme aussitôt. Il a lair de regretter. Je lui fais mon plus beau sourire. Il y répond. Il est pas mal.
Il retourne à son comptoir. Il a un petit cul moulé dans son pantalon noir. Pourquoi les mecs ont tous de beaux culs. Ils connaissent pas nos problèmes de hanches et de fesses.
Il quitte son comptoir pour se diriger vers moi. Je ne peux m'empêcher douvrir à nouveau mes jambes. Mon manteau arrive à mi-cuisse et cache ma jupe. Il ralentit le pas. Je me demande sil peut voir que je ne porte pas de culotte.
Il est en face moi. Il y a peu de monde dans le troquet et jai choisi une table au fonds de la salle. Il me tend le ticket, ouvre sa main avant que je le prenne. Le petit bout de papier tombe à terre. Je laisse mes jambes ouvertes. Je suis complètement folle.
Moment de flottement. Il me sourit et se baisse pour ramasser le petit bout de papier. Visage à hauteur de mes genoux. Il a vu et se relève lentement. ses joues sont rouges. Cest un joli mec. Mignon et jeune.
Je lui tends un billet. Il le prend. Sa main tremble légèrement.
- Je vais cherchez de la monnaie
Sa voix est douce et chaude. Il retourne vers son comptoir. Je ne comprend pas pourquoi après ce que je viens de me prendre, je suis dans un tel état dexcitation. Je finis mon café dun trait.
Le serveur revient très près de la table. Jai mon visage à hauteur de son ventre. Impossible dignorer la bosse sous son tablier blanc. Il compte les pièces quil pose sur la coupelle de plastique vert. Jai envie de lui. Je sais quil en a envie aussi.
- Merci.
- Au revoir mademoiselle.
Je me lève. Il nose rien faire. Rien dire. Je me dirige vers la sortie. Je m'arrête devant lescalier qui descend vers les toilettes. Le serveur me regarde. Je fixe son regard. Je reste immobile devant les marches.
Je descends lentement lescalier très étroit. Cest plus fort que moi. Va-t-il avoir le courage de me suivre?
Mes seins me font mal à force de pointer. Mon ventre se contracte. Je mouille et ça se mélange. Je suis en bas. Je distingue une silhouette en haut de lescalier. Jattends devant la porte des toilettes. Bruits de pas. Cest lui.
Il a les yeux bleus, les cheveux frisés, un soupçon de barbe. Nous restons silencieux. Le parfum de sa sueur effleure mes narines. Il me sourit timidement. Mon manteau est ouvert. Il peut voir que je ne porte pas de soutien-gorge. Sa main se pose timidement à la naissance de mon sein droit. Je ferme les yeux. Mon corps frémis sous la caresse. Il a une voix virile et chaude. Il porte une alliance.
- Attends... Viens...
Il ouvre une porte à côté de lentrée des toilette. Nous entrons dans un tout petit cagibi. Une sorte de remise. Il referme la porte à clef. Une veilleuse sallume. Un tout petit éclairage. Il y a des cartons plein la remise. Très peu despace. Une atmosphère lourde de renfermé.
Il est derrière moi. Ses mains se posent sur mes seins. Il les pétrit, les malaxe, serre les pointes sous le tissu de mon chemisier. Il se colle contre mon dos. Il respire fort. Moi je serre les lèvres. Je le laisse faire. Les mains libèrent mes seins pour courir sur tout mon corps.
- Tu ne portes aucun sous-vêtement.
Je ne sais pas si cest une question. Il a lair dêtre émerveillé de ce fait. Je décide de ne pas répondre. Sa main se plaque sur le devant de ma jupe. Au niveau de mon bas ventre. Il arrive à remonter le tissus et la chaleur de sa paume touche mes poils puis les lèvres de mon intimité. Je pousse un gémissement. Les doigts fouillent et cherchent un passage.
- Tes toute mouillée...
La voix est plus sûre avec une pointe de naïveté. Je le laisse me fouiller. Jécarte même mes cuisses pour lui faciliter la chose. Je frémis de bonheur quand un de ses doigts découvre mon bouton et commence à le caresser doucement. Je feule. Son bassin se plaque contre mes fesses. Il se frotte lentement contre moi en me massant mon bouton. La pression monte en moi. Cest pas possible dêtre encore autant excitée après un tel après-midi.
Ses mains mabandonnent.
- Continue... Continue....
Ce sont mes premiers mots depuis que je suis entrée dans ce café.
- Attends....
Sa voix a une intonation beaucoup plus virile. Il est de plus en plus sûr de lui. Bruits de vêtements puis de boucle de ceinture. Un bruit de zip. Encore des froissements de vêtements. Les mains saisissent le bas de mon manteau et ma jupe et remonte le tout sur mon dos.
- Oh putain!...
Ses mains pétrissent mes fesses exposées dans la semi-obscurité. Il malaxe mes globes, les pince, les écarte, les claque. Cest moi qui tient mes vêtements roulés autour de ma taille.
- Penche toi un peu sil te plaît
Lemploi de la formule de politesse me fait sourire et mexcite encore davantage. Sil savait. Je me cambre et me penche. Je lui offre mon derrière. Ses doigts parcourent ma raie et vont à la recherche de ma chatte toute mouillée.
- Jai pas beaucoup de temps.... Mon collègue va gueuler...
Ce ne sont plus ses doigts qui sont contre ma chatte. Son gland se positionne à lentrée de mon intimité. Il est brûlant. Je pousse un feulement.
- Tas le feu au derche toi...
Il pousse dun trait. Son sexe se plante en moi. A fonds. Mon vagin se moule à la taille de son engin. Mes parois bien lubrifiées laccueillent sans problème.
- Ouahou... Putain ce que cest bon!....
Il écarte mes fesses et me penche encore plus pour bien enfoncer son pieux au plus profond de mon ventre. Je recule pour bien le sentir. Jai envie davoir le ventre remplis à ras bord. Son sexe doit être dune taille honorable. Il frotte contre mes parois vaginales. Je deviens fontaine. Ma cyprine coule.
Il commence à me limer à grand coup de reins. Sa bitte grossie encore dans mon vagin. Chacun de ses coup de reins me pousse contre le mur de cartons. Pourtant il me tient fermement par les hanches. Ses jambes poilues frottent contre lintérieur des mienne, cela mexcite encore plus. Il a son pantalon et son slip autour des chevilles.
- Tas une sacrée chatte.....
Il va de plus en plus vite. Son sexe bien gonflé me pistonne de plus en plus vite de plus en plus loin. Agrippée contre des carton, jai le corps cassé pour bien lui offrir mon bas ventre. Il lâche mes hanches pour me tenir par les fesses. Il les flatte et les claque gentiment. Il dévoile ma raie culière pour la visiter..
- Et par là, tes aussi chaude?
Il plante un doigt dans mon anus. Çà entre sans problème. Il accélère encore et je reçois son pieu dans mon ventre. Jai aussi deux de ses doigts dans mon anus bien lubrifié.
- Cest trop bon.... Oh putain!....
Il tente de ralentir la cadence. Moi je bouge mon arrière train pour bien en profiter. Je transpire par tous les pores de ma peau. Jai comme limpression que tout mon corps va exploser de plaisir. Je commence à crier. Il me plaque une main sur la bouche.
- Tais-toi tout le bistrot va entendre...
Je crie dans sa main et lui se vide dans mon ventre. Des jets puissants et brûlant me remplissent longtemps. Nous avons jouis les deux en même temps. Il est encore en moi. Je tremble de plaisir. Sa queue reste épaisse dans mon vagin. Il souffle comme un phoque. Jai la respiration haletante. Son sperme remplis mon trou. Il se décolle lentement. Bruit de succion quand son sexe libère ma chatte. Il me flatte les fesses. Jai les jambes en coton.
- Cétait super!.... Merci... Et toi? Tas jouit?....
Je ne lui réponds pas. Il se rajuste. On se fait face. Il me regarde. Ses yeux me remercient. Je nai même pas vu son sexe. Son sperme coule le long de mes jambes.
- Jai vachement bien jouit.... Dommage que je nai pas le temps... Rien quà te voir jai encore envie...
- Moi aussi...
Ce nest pas possible que ce soit moi qui prononce ses mots. Il me regarde avec stupeur. Son visage devient cynique. Son index se pose sur mon sein droit.
- Tas le feu aux fesses toi!...
Il arrange ses cheveux en bataille. Me regarde à nouveau du même air. Deux doigts se posent sur mes lèvres. Lodeur forte de mon intimité assaille mes narines. Les doigts forcent ma bouche. Jouvre et lèche. Il pousse ses doigts au fonds de mon palais. Ses yeux ne quittent pas les miens. Il me regarde entrain de lécher ses doigts sales.
- Vraiment dommage que jai plus de temps... Je taurai bien encore cassé la chatte!... Et autre chose aussi..... Attends! Jai une idée!.. Bouge pas...
Je ne comprends pas ce quil veut. Il a finis de se rajuster. Devant mon incompréhension. Il répète à voix basse.
- Reste ici... Ne bouge pas.... Tas dit que tavais encore envie... Alors tu restes... Jai peut-être une surprise pour toi.....
Jai pris cela comme un ordre. Il môte le manteau pour le poser sur un carton. Ses mains ont caressé mes épaules pour remonter dans mes cheveux.
- Enlève ton chemisier. Je veux voir tes seins
Jai fait ce quil me demandait. Mon sexe est en feu. Jai encore envie. Lui détaille mes globes et les flatte doucement. Il me regarde toujours. Jai baissé les yeux. Il pince les pointes et les tire vers lui. Je distingue à peine les traits de son visage. Je viens à nouveau de me faire sauter par un parfait inconnu.
- Tes une vraie salope toi!... Tinquiètes pas, tas bien fait de venir dans ce bistrot.... Tu vas bien prendre ton pied.... Le patron est absent....
Quelques secondes de silence. Il lâche mes pointes turgescentes. Sa main se pose sur mon ventre juste au-dessus de ma jupe. Il me regarde. Son sourire est très macho. Cest lui qui ouvre ma jupe qui tombe sur le sol.
Il prend mes vêtements et les pose sur mon manteau. Je reste uniquement vêtue de mes chaussures. Il se saisit de mes fringues et ouvre la porte.
- Tu ne bouges pas.... Jembarque tes fringues....
Quest-ce quil croit? Que je vais me casser à poil. Jai quand même un peu peur. Le sperme sort lentement de ma chatte. Jai limpression dêtre encore ouverte.
- Tourne-toi vers le mur. Tu restes dos à la porte compris...
Il sort. Seule dans ce cagibi, nue et coulante, je ne sais pas ce qui va arriver. Je men fiche. Depuis maintenant quatre heures, je vis des choses complètement folles. Je ne trouve même pas un bout de chiffon pour messuyer le bas-ventre.
Mon anus coule encore un peu de ce début daprès-midi et je frissonne malgré la chaleur. Le ronronnement des épurateurs dair couvre les bruits de la salle. Jai envie de me caresser le clitoris. Cest fou, jai encore envie de jouir.
La porte souvre brusquement et se referme aussi vite. Une présence dans le cagibi. Cest lui. Aucun mouvement. Une respiration profonde et une odeur de vin. Il doit me regarder. Une main furtive effleure lentement sur mes fesses. Je laisse faire. La main sinsinue lentement dans le bas de mon sillon pour tirer mes poils pubiens.
- Il parait que taimes la bitte.... Çà tombe bien.... Nous aussi....
La voix est très rauque, comme enrouée ou cassée par le tabac. Une voix de vieux. Je ne sais pas qui est derrière moi. Cest fou. Je suis entrain de moffrir à un mec que je ne vois pas. A un type bien plus vieux. Une claque sur mon cul me fait sursauter.
- On dirait que cest ton jour de chance ma poule...
Les mains ouvrent mes globes, dévoilent mon anus, titillent ma raie. Jécarte les jambes. Je tends ma croupe en me cambrant.
- Tu comprends vite salope.... Il parait que tu as une super moule.... On va voir si cest vrai....
Pas de fioritures. Voix vulgaire. Pas pesants. Mains grasses et lourdes. Il me tâte et flatte mon corps. Il soupèse la marchandise. Bruit de zip. Je suppose que cest lautre serveur de ce troquet. je ne lai pas vu en entrant dans ce café. Comment est-il? Grand ou petit? Brun ou blond? Jeune ou vieux? Cest complètement fou, je ne sais pas qui va me tringler.
Moi la jeune fille sage qui se crève depuis trois mois sur sa thèse. Qui bosse comme une folle depuis des jours et des jours. Qui na pas eu de mec depuis au moins six mois. Moi l'étudiante qui vit dans un studio minable et qui a du mal à boucler ses fins de mois, je suis nue dans une remise dans les sous-sol dun troquet minable et un parfait inconnu est derrière moi avec sa bitte à la main.
- Fous toi à quatre pattes... Je préfère les gonzesses en levrette... Allez la minette, montre moi ton minou... Y un bail que je me suis fait une jeunette comme toi....
Rires gras et obscènes. Je fais ce quil me demande. Jai du mal à prendre la position vu létroitesse des lieux. Je me retrouve à quatre pattes sur le sol recouvert de poussière. Jouvre bien mes jambes pour que linconnu se mette à genoux entre elles.
Il est collé contre mes fesses. Je sens son gros ventre contre moi. Son pubis gratte mes globes. Son sexe tendu sest collé contre ma fente et la caresse lentement.
Son pieu commence à chercher le passage. Son gland me parait énorme. Un espèce de gros champignon qui ouvre mes lèvres intimes et se frotte le long de mon vagin. Ses gros bras saisissent le haut de mes cuisses au niveau de mon entrejambe. Il me soulève carrément larrière train et ses doigts boudinés ouvrent en même temps mes grandes lèvres.
- Il a pas mentit le petiot, tu mouilles pire quune fontaine.... Laisse toi faire ma garce et je te fais monter au septième ciel.
Il pose ma vulve au-dessus de son gros champignon. Limpression davoir une balle contre ma chatte. Il me laisse tomber dessus. Mon sexe se distend brutalement. Comme une courge qui senfonce dun coup en moi. Je nai pas le temps de mhabi à un tel diamètre.
Le type pousse lentement sa bitte dans mon ventre. Jai limpression que mon vagin va éclater. Cest dingue une taille pareille. Je commence à gémir. Mélange de plaisir et début de douleur.
- Tinquiètes pas, je vais aller lentement. Jai pas envie que tu ameutes tout le quartier... Serre les dents ma poule...
Je fais ce quil dit. Mon vagin est écartelé est pourtant je sais quil nest pas encore entré. Jamais je nai connu une telle impression. Comme si mon ventre se remplissait de plomb. La grosse boule du gland distend mon conduit et je ne ressent aucun frottement de la hampe. Jai la moule qui va sauter cest pas possible d'être à ce point pleine par un sexe. Ce nest pas possible un engin dune telle circonférence. Je pleure.
- Ne bouge plus! Je vais arrêter là. Il faut que ta foufoune shabitue à mon engin. Cest un engin dhomme ça ma poule. Rien à voir avec ceux de tes copains de classe. Cest de la bonne bitte ça madame.
- Vous me faites mal....
Jai la voix cassée. Une toute petite voix. Une voix de gamine. Je sais plus ou je suis. Je ne sais pas qui est entrain de planter un tel sexe dans mon ventre. Je ne comprends pas comment on peu avoir un tel engin. Je prends conscience de lodeur de sueur, de vin et de sperme qui envahi le cagibi. Lendroit est sordide. Je suis ouverte autour dun gourdin. le mec qui est en moi pue et a un gros ventre.
- Il parait que tes à poil sous tes vêtements. Même pas une petite culotte. Rien. La chatte et le cul à lair. En pleine rue...
Il recommence à pousser. Je serre les dents. Je pensais que cétait finis. Mais non. Il en reste encore. Heureusement il va lentement. Mon vagin bien lubrifié accueille douloureusement le monstre qui mempale lentement. Jai beau serrer les cuisses pour freiner la progression, rien ny fait. Le mec continue à me tirer vers lui. Je narrive pas à décrire cette impression d'être complètement ouverte par cette chose dure et chaude qui pénètre au fin fonds de mon corps. Comme si tout mon corps était empalé.
- Tu vas voir, je vais bien te farcir. Je suis sur que tu nen a jamais eu une de cette taille!... Je suis sûr que ten a jamais eu une aussi grosse dans les chiottes de ton université...
Une claque sur mes fesses. Une autre. Il continue à me tirer vers lui. Il a trouvé le bon terme. Jai limpression dêtre farcie par une chose monstrueuse qui vie dans mon ventre. En même temps, je mouille comme jamais et lenvie que cela continue devient intolérable.
- Comment tu fais à luniversité?... Tu leur présente ton cul et le premier qui passe te tringle?...
Il est enfin collé contre mes fesses. Son gros ventre est posé sur le haut de mes fesses. Ses poils grattent ma peau. Son gland est abouté contre mon utérus. Mon vagin écartelé devient glissant.
- Ma parole! Tu mouilles encore plus!
Cest vrai que je mouille. Je serre les dents et je mouille. Jai pas mal, mais cest limite. Heureusement quil commence à me pistonner tout doucement. Cest encore plus jouissif de sentir cette chose sortir lentement. Comme si on maspirait de lintérieur. Comme si je me vidais. Puis la bête revient pour se loger au fonds de mon utérus frottant à fonds mes parois dilatées.
A chaque poussée, mon vagin lâche du liquide. Un mélange de spermes et de mouille et fait un bruit de succion. Il prend son temps et cela me rend folle. Je gémis doucement.
- Tu prends ton pieds ma salope...
Il accélère lentement la cadence. Mes entrailles vont exploser. Je coule et lexcitation gagne tout mon corps. Jai envie de crier. Pas de douleur. Non la jouissance est maximum. Je me cabre sous ses assauts. Lui me tient fermement collée contre son pubis. Il est trop excité pour se retenir et son arme crache des flots de liquide qui remplissent mon tunnel complètement dilaté.
Je reste pantelante contre lui attendant quil sorte et me libère. Lui ne bouge pas. Sa queue diminue de volume. Il me caresse les fesses.
- Tes une bonne pute toi. Tu peux revenir quand tu veux.
Son sexe me libère et un flot de sperme coule sur le plancher. Il se rajuste et quitte le cagibi sans un mot. Je tente de me redresser. je suis obligée de m'asseoir tellement je suis vannée. Je coule encore. Je me refringue péniblement.
Je sors de ce trou à rat. Je regarde mon visage dans la glace sale au-dessus du lavabo. Jai les traits tirés et je suis très pale. Je tente de marranger un peu.
Je remonte dans la salle. Je quitte le café en marchant lentement. Mon vagin est encore dilaté. Il y a un gros mec derrière le comptoir avec dépaisses moustaches et une crinière poivre et sel. Je suppose que cest lui qui a un tel engin dans le froc. Il me lance un «au revoir madame» sonore. Tous les clients me regardent quitter les lieux. Je regagne mon appartement minable.
Je me lave longuement sous la douche. Le seul luxe de ce studio. Mes mains se promènent sur mon vagin ou mon anus. Je suis bien. Sereine et épanouie. Mes idées sont claires. Je sais ce que je dois raconter dans ma thèse. Les idées jaillissent et s'enchaînent sans problème dans ma tête.
Je me couche complètement nue sur mon lit. Jai envie de rester nue. Je me sert un verre. Il ne me reste quun fond de tequila que je sirote lentement à toutes petites gorgées. Jécarte mes jambes sans aucune pudeur. Je sens mes lèvres intimes souvrir. Je nai pas un corps parfait, mais je suis pas mal. Jen suis sure après ce qui sest passé tout à lheure.
Il y a à peine quelques heures, je naurai jamais osé ouvrir mes jambes de la sorte. Je suis sure quil reste encore des traces de foutre en moi. Je regarde mon mont de vénus. Les petits poils châtains, la fente brune d'où on devine les petites lèvres. Je navais jamais fait attention à cette partie de mon corps auparavant.
Et mon anus. Comment est-il? Qui a lidée de regarder cet endroit de sa personne. Comment le comparer? A quoi? Jai avalé une gorgée de tequila en ouvrant mes jambes au maximum. Carrément le grand écart. Lintérieur de me chatte est encore gluant malgré la douche et la toilette intime.
Dire que jétais partie pour me faire une toile. Juste voir un bon vieux film pour me changer les idées. Pour sortir de ma solitude. Pour faire le vide dans ma tête bien pleine de toutes les théories nécessaires à cette fichue thèse.
Depuis six bons mois, je navais plus de mec. Le dernier me faisait chier et ne comprenait rien. Je navais rien dune sainte nitouche, mais il faut reconnaître que les mecs et moi, ce nétait pas ça. Enfin cest ce que je croyais. Ils me trouvent compliquée et je les trouve chiants.
Oui javais eu envie de me faire un toile. Je connaissais un ciné de quartier genre ciné art et essai. Cela me convenait parfaitement. Une bonne demi-heure de marche avant darriver devant la petite salle où il passe un vieux film dun parfait inconnu. Jentre après avoir payé ma place.
La salle est tout petite. Le film vient de commencer. Je suis surprise de trouver autant de monde pour un film de ce genre. Je fais quelques pas dans lallée avant de choisir une place au centre dune rangée dans le fonds de la salle. Je minstalle et profite du film un bon quart dheure.
Un type entre, avance, regarde dans ma direction, se faufile dans ma rangée. Il se met juste à côté de moi. Il ne laisse même pas un siège libre entre nous. Merde il y a de la place pourtant. Bon si il essaie de me draguer, je lenvoie chier. Il ne bouge pas et regarde le film.
A nouveau la porte qui souvre. Un autre mec. Même manège que le précèdent. Et bien sûr, lui aussi dans ma rangée.
Je me retrouve entourée par ces deux types. Le dernier arrivé demande si le film a commencé depuis longtemps. Lautre mec lui répond que non. Il se met à lui résumer. Je leur demande de se taire en leur faisant les gros yeux. Ma mimique ne semble pas les effrayer outre mesure.
- Excusez-moi, je voulais pas vous déranger.
- Moi cest Éric
- Moi François
- Et vous?
Je ne réponds pas et regarde le film. Ils se taisent enfin. De temps en temps ils me lancent un regard ou échangent un regard entre eux. Ils semblent plus vieux que moi. Je narrive pas à distinguer leurs traits.
En tout cas, ils ont lair cool. Je regrette un peu de les avoir rembarré. Ils me regardent à tour de rôle en me souriant. Des grands sourires francs. Ils ont lair sympa, bien dans leurs peaux. Au bout de dix minutes, je réponds à leurs sourires. Latmosphère se détend un peu. Le film est un tantinet chiant. Genre prise de tête.
Je vois bien quils lorgnent mes jambes. Je regrette dêtre en jupe. En plus elle est assez courte. Heureusement que jai des collants noirs. Instinctivement jai boutonné mon chemisier quand je me suis aperçue que de leurs sièges, ils avaient une vue imprenable sur la naissance de mes seins et sur le haut de mon soutien-gorge blanc.
François sest penché à mon oreille et sa main sest posée sur le col de mon chemisier. Javais encore mon manteau sur moi.
- Cétait mieux avant....
Il a un sourire dange. Je lui souris aussi. Il me fixe et avec une habilité diabolique, il rouvre les deux boutons de mon chemisier.
Je nai rien fait pour l'empêcher. Je ne sais pas pourquoi. Je nai pas reboutonné non plus. Il a pris cela comme une invite et a ouvert le troisième bouton, dévoilant mon soutien-gorge.
Éric ne regardait plus le film. Moi je me forçais à garder les yeux rivés sur lécran. Javais chaud, très chaud. Ma gorge était nouée. Jai bien vu que les deux garçons ont échangé un long regard. Jai bien compris quil y avait pleins de trucs dans ce regard et quune connivence sinstallait entre les deux.
Bien sûr, je pouvais me lever et quitter les lieux. Mais je nen avais pas la force, le courage ou lenvie. Je restais immobile entre eux à regarder ce qui se passait sur lécran. Jattendais je ne sais quoi.
Cest Éric qui a posé le premier une main sur mon genoux. Jai sursauté de surprise. Il a serré fort et jai pas pu me libérer. Il a compris que sil me lâchait, je me lèverais. Il est resté sans bouger. Moi aussi.
Heureusement sur lécran est apparu le message annonçant la fin de la première partie. La salle sest éclairée. Il ma lâché.
Je voulais partir. Je suis restée. Ils ont été assez surpris de voir que je ne bougeais pas. Jétais aussi surprise queux. Nous sommes restés sans bouger à attendre la reprise du film.
Louvreuse est passée. François lui a acheté deux paquets de pop-corn et un esquimau quil ma tendu.
- Je suis sûre que taimes les esquimaux...
Il y avait tellement de sous-entendus dans cette affirmation que lautre mec a souri. Un grand sourire. Dans un mouvement puéril de fierté mal placée, jai pris lesquimau, ôté lentement sa protection pour le prendre langoureusement en bouche.
- Jadore.....
Tout me poussait à partir, à déguerpir en vitesse. Je savais que si je restais, je ne pourrai plus échapper. Mais voilà, je ne pouvais pas bouger. Je ne voulais pas bouger. Eux, ont compris avant moi ou mieux que moi et attendaient sagement que la lumière séteigne. Ils me regardaient manger mon esquimau. Javais honte de sucer cet esquimau devant eux. Il y avait un coté érotique qui n'échappait à aucun de nous.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!