Future Lope - Episode 6 : Son Garçon Devient Son Chien
Le Prof parti, le Maître ma dégagé les yeux et détaché, je me suis relevé avec du mal. Il me fait un bisou sur la bouche, cest le premier. Il massure que les marques ne vont pas rester. Seuls les deux derniers coups vont vraiment bleuir et mettre quelques jours pour disparaître. « Tu devrais me remercier, je lui avais demandé denfiler une capote comme tu le souhaites, tu vois, je suis attentif à toi » ; « Oui » ; Oui quoi et qui ? » ; « Oui, merci, Maître ». Je suis épuisé et nai ni le courage ni la force de le contredire. « Je vais te faire un thé chaud dans un bol, allonges toi à plat ventre sur le canapé ». La soirée est bien avancée, avec le thé jai droit à des céréales et de bananes. Cest bon. Le Maître me masse le dos et les cuisses puis me branle « cest TA récompense ». Je jute dans le bol de thé quil me donne à boire. Puis il me donne sa bite à sucer : « tu vois, moi jépargne tes fesses blessées quand je prends MA récompense ». Il ne dure pas longtemps et marrose la tête avec son foutre.
Le Maître mamène dans la salle de bain pour une douche. Avec le sperme sur le corps, jen ai besoin. Alors que je me rince, il entre à son tour et mordonne de le laver : « la tête ; frottes les aisselles
le dos, les fesses
décalotte le gland
lave moi les pieds
noublie pas la raie du cul. Maintenant rince nous. Mais je vois que tu bandes, je ne veux pas que tu te touches seul. Tu vas dormir dans ma chambre mais je vais téviter les tentations ». Le Maître fixe des bracelets à mes poignets et les relie à mon collier. La nuit est arrivée, le lit est grand, je ne peux pas massoir, aussi le Maître me propose de mallonger par terre sur le ventre afin denduire mes fesses de baume. Il le fait bien, cest doux, calmant, je bande encore et il me caresse la queue. Je ferme les yeux
jentends un clic
Un cadenas se referme, mon cou est accroché au pied du lit, je suis piégé. Il mabandonne au sol sous une couverture et le sexe tendu que je ne peux satisfaire.
La seule position possible était sur le côté, les mains proches de mon cou. Nu, mais sans pouvoir me caresser et les fesses brulantes, jai fini par mendormir. Lui bien allongé dans une courte chemise de nuit, dors tranquillement dans le grand lit. Au milieu de la nuit jai envie daller aux toilettes, le thé et les bananes me font de leffet. Comme je suis attaché, je suis obligé de réveiller mon Maître. Au bout dun moment il bouge et rouspète. Mais comme je ne peux plus attendre, il me détache du lit, accroche une laisse à mon collier « A quatre pattes, Bon Chien » et memmène aux WC. je le suis et lorsque je minstalle sur la cuvette, il reste là. « Mais Maître ? » ; « Un Maître garde son bon chien en laisse quand il fait sa crotte ! ». Quelle honte, que suis-je devenu pour déféquer ainsi ? « Cest fait Maître, mais les mains attachées
» Il me détache une main et me donne une lavette et cest devant lui que je dois me nettoyer « Tournes-toi, je veux voir ».
Nous retournons à la chambre, je frissonne car la nuit est fraiche. « Tu as encore beaucoup à apprendre, alors comme tu es réveillé on va commencer ». Il rattache ma main libre à mon cou et me fait mallonger sur le dos, mes fesses sont encore douloureuses mais cest acceptable. « Je viens de voir ton trou, tu vas voir le mien ». Il relève sa chemise de nuit et sassoit sur ma figure en écartant ses fesses. « Les chiens reniflent souvent le cul de leurs semblables, lèche moi bien et frotte ta langue sur lillet ». Au début jai eu du mal. Sétait-il lavé ? Puis jai commencé. De toute façon, je navais pas le choix. Et puis la sensation nétait pas désagréable. Jai commencé à bander. « Je vois que cela te fait plaisir, je vais taider » et il ma caressé la queue et les boules, longuement, doucement. Une fois il ma embrassé le gland, jétais au bord de la jouissance. Mon Maître prenait soin de moi et moi je tentais de lui pénétrer le rectum du bout de ma langue. « Bon chien, ».
« Mais arrêtons là, il faut garder des forces pour dimanche ». Il sest installé à côté de moi, a mis une couverture sur nous et sest endormi en caressant mes tétons. Jétais content de cette complicité retrouvée même si jaurais préféré que nous jouissions ensemble, je ne débandais pas. Longtemps après, dans la chaleur de nos corps jai fait un cauchemar : jétais en maillot de bain couvrant tout le corps, mon bas ventre était plat et sous la douche jai vu que je navais plus de bite. Je me suis réveillé en sursaut. Le Maître était à côté de moi en chemise de nuit. « Ta gamelle est dans la cuisine, va manger ». Toujours nu, jy suis allé « A quatre pattes !» ; « Oui Maître ». « Mange bien, tu en auras besoin
Bien, lape leau ! » Puis il ma expliqué quil attendait un invité, que je redevenais Son bon garçon et quil me libérait de mes bracelets pour le ménage et préparer un repas froid. A 13h00 précises, je devrais apporter lapéro et les plateaux repas dans le salon.
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