Ophélie, De Femme À Femelle (14)
Jouvre difficilement un il, me demandant ou je suis, si je nai pas rêvé tout ce qui vient de se passer, mais les courbatures et la petite douleur au niveau de mes fesses me rappelle la vérité.
Jessaie de faire le point, clignant des yeux. Ouf je suis dans ma chambre, il ne fait pas encore jour donc, tout va bien ! Je me retourne pour voir lheure mais surprise, il y a quelquun dans mon lit. Je me redresse brusquement, martyrisant un peu plus mon cul sensible, pour voir qui est dans mon lit, dans la semi pénombre, je distingue que cest mon Maître. Je suis soulagée, flattée davoir dormi avec lui, mais inquiète de ne pas savoir ce quil a en tête pour aujourdhui. Le fait davoir bougée la réveillé, il tourne sa tête vers moi, dégage le drap qui le recouvre et me prend la tête pour lattirer vers sa grosse et belle queue. Je me place à quatre pattes entre ses cuisses pour la prendre bien à fond, bien au chaud. Je jette un coup dil au réveil : 7h14 et déjà humide avec une queue dans ma bouche, plus de doute, je suis bel et bien une grosse chienne.
Il mimprime le rythme quil veut, il me baise la bouche, il décide de la vitesse, de la profondeur et si je me laissai aller, je jouirai sans même me toucher. Mais il ne men laisse pas le temps, il me pousse la tête pour me dégager de sa bite.
- Un café et un grand verre de jus dorange ma salope. Me dit-il. Pour toi, Pierre va te préparer ton petit déjeuner.
- Bien Maître.
Mais quelle docilité, je ne me reconnais à peine. En arrivant dans le salon, je vois mon deuxième invité assis sur le canapé, son gros sexe à la main en train de regarder son ordinateur. Surement un film de cul, tellement absorbé quil ne me remarque même pas.
En cuisine, je mets la machine à café en chauffe, verse un jus dorange frais et, me dirige vers Pierre, pour lui dire timidement bonjour et lui demander mon petit déjeuner. Sans même lever les yeux, il me demande daller chercher une petite assiette.
- A genou sale chienne !
Je lui obéis tout en baissant les yeux, pour ne pas croiser son regard plein de mépris. Il me prend lassiette et tout en continuant de se branler, commence à dire des insultes, à la fois dirigées sur son écran et sur moi. Ne comprenant pas, je lève les yeux, et je vois ce quil regarde. Ça me glace le sang, cest moi, hier soir, il a tout filmé, avec les deux jeunes noirs. Il se raidit, souffle plus fort et tout en tenant lassiette commence à jouir. Le premier jet atterrit sur ma joue et le reste, il fait en sorte de le contenir dans le récipient. Il finit avec quelques gouttes, essorant sa bite en appuyant sur le gland et lessuyant sur le bord de lassiette puis me la tend.
- Tiens, vas porter ça avec le petit déjeuner à ton maitre salope, dit-il en riant.
Cest donc avec un café chaud, un jus dorange froid et, une assiette pleine de sperme que jentre dans ma chambre ou mattends mon maitre, encore nue, déjà au téléphone. Il me prend le plateau, boit son café, son jus dorange tout en parlant de contrat, dembauche et, moi, jattends docilement, à genoux au pied du lit attendant quil finisse. Lorsquil raccroche, il tapote sur le lit pour minviter à monter, comme sa chienne. Je me précipite à coté, à 4 pattes, admirant son corps, son sexe large même débandé, jai encore envie de le prendre dans ma bouche, boire sa semence, je men mords la lèvre inférieure denvie. Il le voit car il me sourit mais, il na pas envie de me faire plaisir, il veut mhumilier, rabaisser sa chienne.
- Tiens ton petit dej ma salope ! dit-il en mettant la petite assiette devant moi.
Mon regard va de lassiette au siens, le suppliant de ne pas me faire ça mais, je vois dans ces yeux aucun échappatoire. Alors doucement, je mappuis sur mes coupes et je pose mes lèvres dans ce liquide froid, gélifié et amer. Avaler du sperme directement à la source est une chose, mais le boire comme si cétait de petit lait, cest complétement humiliant, pire, dégradant.
Je me précipite entre et, cest à quatre pattes, entre ses cuisses que je dévore sa queue, sans les mains, juste avec ma bouche. Pas de léchouilles, ce que mon maitre veux, cest une pipe et, je mapplique à le contenter, faisant des vas et viens violents et profonds. Je me baise littéralement ma bouche, faisant cogner son gland au fond de ma gorge, bavant sur ses couilles, espérant quil matt les cheveux pour me les tirer, pour quil me baise la bouche comme sa chienne, sa pute, sa salope qui suce à quelques pas de son époux.
Cest donc à quatre pattes, le cul bien en lair, la bouche emplie du sexe de mon maître que Pierre me découvre en entrant dans la chambre. Il y a quelques jours, je me serai précipité sous les draps pour me cacher, mais aujourdhui, le sentant près de nous, mexcite encore plus.
- Putain, elle en veut toujours cette chienne ! dit-il en me claquant les fesses.
Je trémousse mon cul sous cette flatterie et cette fessée.
- Arnaud, cest bon, tout est prêt, on peut commencer.
Marrachant sa bite de ma bouche, Arnaud mordonne de mettre une culotte et un long t-shirt et de les suivre.
Ainsi vêtue, je les suis mais, arrivée au salon mon sang se glace, je manque de mévanouir en apercevant mon époux sur son fauteuil, un ordinateur sur les genoux regardant des photos.
Mais cest tout naturellement quArnaud pris place dans le canapé en face de lui, et Pierre debout au côté de Didier commentant quelques photos.
- Alors Didier, ça te convient ? tu te régale ? demande Arnaud à mon époux.
- Ben mon cochon, tu ne tes pas ennuyer, ça dépasse mes espérances !
Tous les deux partent dans un rire en voyant ma mine déconfite. Je ne comprends pas, pourquoi mon mari ne part pas dans une colère noire ? Pourquoi ils discutent entre eux comme sils étaient amis ?
Cest Arnaud qui commence à mexpliquer voyant ma panique et mon incompréhension.
- Ophélie, tu ne tes jamais demandé pourquoi je tavais embauchée alors que tu navais aucune compétence ? Comment javais eu ton CV ?
La vérité, cest ton époux qui ma demandé, enfin supplié de te prendre. Pour te faire travailler mais aussi pour te divertir, te décoincer un peu.
- Oui ma chérie, je vois bien que je ne peux plus te satisfaire sexuellement, précisa mon mari. Cest pour cela que jai demandé à mon ami Arnaud de me suppléer, de me remplacer sur ce domaine.
Jétais au bord des larmes voyant le sacrifice de mon mari par amour pour moi, prêt à partager sa femme pour quelle soit heureuse. Mais tout au fond de moi, mes larmes avaient un double sens, dun côté pour lamour que me porte mon mari, de lautre, la peur que tout sarrête.
Maintenant que tout es dévoilé, je sens que la fin est proche, que ma vie de chienne va bientôt prendre fin pour laisser mon côté bourgeoise reprendre le dessus.
Pendant que je mapitoie sur mon sort, je les entends commenter les photos, rire ensemble, me féliciter de mes performances. Devant mon air triste mon mari me demande de venir prêt de lui, me demandant un petit bisou. Instinctivement, je regarde Arnaud, comme pour avoir son consentement et, avec un signe de tête mautorise en embrasser mon époux.
Posant plusieurs feuilles sur la table basse, Arnaud dit dun ton grave :
- Didier, comme tu peux le voir sur ces photos, ta femme a un réel potentiel et, je ne suis pas indifférent. Je vais te faire deux offres :
La première, voici son contrat quelle a signée, je te le donne, tu le déchire et tout redeviens comme avant.
La deuxième, je toffre un emploi fictif au sein de ma société comme directeur adjoint, avec le même salaire avant ton accident et, tous les avantages la mutuelle etc. en échange de ta femme, qui deviendra mon esclave à plein temps. Vous vivrez toujours ensemble mais elle sera à ma disposition 24h/24, 7 jours sur 7, mais en contrepartie, elle te racontera tout dans les moindres détails.
Voilà, à toi de choisir, dit-il en poussant dune main mon contrat de soumise, de lautre son contrat de directeur adjoint.
Latmosphère de la pièce changea, devint plus lourde et silencieuse. Je regardai mon mari complétement perdu, regardant tour à tour mon contrat, son contrat, moi, Arnaud. Le pauvre, il ne devait pas sattendre à ça !
Et moi dans tout ça ? Javais ma tête qui hurler, prends mon contrat et déchire le, et mon bas ventre qui disait, signe ton putain de contrat que je retrouve sa grosse queue qui me fait tant jouir.
Etre lobjet principal de ce deal mexcite au plus haut point, mes tétons sont durs comme du bois et lhumidité de ma culotte devient de plus en plus visible. Ce quArnaud ne manque pas de remarquer, et ça lui permet de porter le coup de grâce.
- Laissons Ophélie choisir pour toi Didier, quen penses-tu ?
- Euh
. Ben.. oui, ma chérie, quen penses-tu ? bredouilla mon mari
- Oui Ophélie, choisis, enrichit Arnaud, prends ton contrat et déchire le si tu veux que tout sarrête, ou alors fini ce que tu as commencé ce matin si tu veux devenir une vraie chienne !
Le salaud, il sait très bien ce que je veux et comment me traiter, et tout en disant cela il ouvre sa serviette pour exhiber son sexe, pendant entre ses jambes. Cest à mon tour de regarder tour à tour mon mari et mon maître, tout en sachant ce que jallais faire et, tendrement, je me penche sur mon mari pour lui déposer un bisou sur les lèvres, lui assurant que je laime. En me relevant, jôte mon t-shirt, et cest en avançant à quatre pattes que je rejoins mon maître, mon propriétaire, mon male. En le prenant en bouche, jentends distinctement Pierre derrière moi demander à mon mari de signer, surement son contrat dembauche.
Voilà, cest fait mon mari viens de signer ma vente, et cest avec la bite de mon maître dans la bouche et celle de Pierre dans le cul que nous célébrons cette vente, le tout devant mon mari qui nen perd pas une miette.
Je ne sais pas ce que lavenir me réserve, mais daprès mon maître, pleins dhumiliations, de baises, de queues
je suis daprès lui vouée à un avenir des plus jouissif et prolifique.
Et cest en me jouissant dans la bouche quil mannonce que mon âme et surtout mon corps lui appartiennent et que le changement commence maintenant.
Jai peur mais je jouis en mimaginant la suite
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