Après Midi De Débauche 2

Après midi de débauche 2

La sincérité de ma compagne ne m'avait pas convaincu !
Certes sa libido était réapparue et j'avais du mal à assumer, la belle avait de l'appétit et quand on n'a pas à manger chez soi on cherche ailleurs !
Je regardais dans son portable, je fouillais sa boite mail, j'étais certain qu'elle n'avait pas véritablement coupé avec son nouvel étalon. A force de recherche j'ai fini par trouver le plan qu'elle avait su mettre en place pour déjouer mes soupçons.
Elle l'avait mis en doublon sur le n° de téléphone de sa sœur, du coup j'ai pu suivre la correspondance avec Moussa.
En fait, huit jours après sa soit disante déconvenue à Roubaix, elle avait repris contact avec cet homme qui avait réveillé son appétit sexuel.
Il me fallait la preuve de sa débauche, après l'avoir suivi plusieurs fois en fonction de mon planning mais aussi d'une surveillance accrue des tenues qu'elle portait et de l'inspection courante du panier à linge je finis à avoir tous les éléments pour la confondre.
Ce samedi soir j'ai décidé de passer à l'attaque. Je l'ai questionné pour savoir si elle revoyait l'individu, ce qu'elle démentit outrageusement. Voyant qu'elle ne voulait pas reconnaitre les faits je lui ai déposé les preuves de son comportement.
C'est en pleurs qu'elle finit par avouer. Ce n'est pas bien grave lui ai je dit, je ne peux pas rivaliser avec ce plus jeune, par contre tu vas me confesser tes après midi en sa compagnie.
C'est comme cela qu'elle commença par me faire une première confession.
Elle l'avait revue une dizaine de jours plus tard après cette fameuse après midi.
Elle l'avait recontacté téléphoniquement dès le lendemain et tout naturellement il lui fit comprendre qu'il savait qu'elle serait accroc et lui dit c'est quand tu veux. Elle le rappela les jours suivants partagé entre l'envie et la culpabilité, excitée à l'idée de revivre des moments intense et après une semaine c'est finalement lui qui lui intima l'ordre de venir dès le lendemain tout en lui disant comment il souhaitait qu'elle se présente à lui.


Elle avait passé pour le rejoindre une robe courte boutonnée sur le devant, elle a enfilé un porte jarretelle en prenant soin de mettre sa culotte par dessus, des bas légèrement fumé et un soutien gorge pigeonnant, le tout de couleur noir puis chaussé des talons aiguilles.
La suite elle me l'a relaté.
La veille déjà, j'étais toute excitée à l'idée de le revoir mais tu ne t'ais aperçu de rien. Le jour J j'ai passé la matinée à me préparer, cela tombait bien tu ne rentrais pas ce midi. Je me suis épilée et me suis masturbée au moins trois fois avant d'y aller. J'ai pris avec moi le deuxième string de mon ensemble que j'ai passé avant de quitter la voiture tellement je mouillais.
J'ai sonné, il m'a ouvert la porte, il était en caleçon. Sur le pas de la porte et à la vue de tous les passants, il m'a embrassé puis m'a fit rentrer dans le salon. Debout comme une conne, j'attendais qu'il me dise quelque chose, il s'est mis face à moi et m'a regardé en disant : tu es obéissante, c'est bien !
Mets toi à genoux et suce moi !
Son ton était glacial, je me suis exécutée, j'ai baissé son caleçon, sa bite n'était pas très bandé, je l' ai soupesé puis avec ma langue j'ai commencé à le léchouiller, il appréciait le traitement et rapidement comme l'autre fois il m'a insulté en Arabe... sans comprendre il m'était facile de devinait ce qu'il vociférait à mon égard.
Ensuite je l'ai embouché et pareil il me fit avoir des hauts le cœur tellement il perforait ma bouche en heurtant mes amygdales. Il s'acharna de la sorte jusqu'au moment où j'ai senti son chibre grossir d'avantage dans ma gorge et que me tenant fermement la tête il s'épancha à longs jets de foutre que j'ai dû avaler. Je restais sur ma faim mais mon entrejambe dégoulinait de mouille, mon string aurait été bon à tordre.
Lui s'est installé sur le divan, je suis restée à genoux devant lui quelques minutes jusqu' a ce qu'il me demande de me relever et de déboutonner ma robe, ce que je fis.
J'avais crains un moment qu'il me congédie sans même me prendre. Au fur et à mesure que ma robe s'ouvrait et que mon corps se dévoilait à ses yeux je voyais sa queue grossir à nouveau, j'étais très fière de lui faire cet effet.
Une fois en sous vêtements et bas, planté sur mes haut talons, je le défiais du regard. Il se masturbait en me voyant m'effeuiller, sa queue prenait des proportions très intéressantes, mon sexe se liquéfier d'avantage, je n'avais qu'un souhait c'est qu'il me couche à même les tapis et qu'il se jette sur moi et me pénètre.
Il a du lire dans mes pensées car c'est ce qu'il fit, à genoux entre mes cuisses grandes ouvertes, prête à l'accueillir, il fit glisser le tissus de mon string sur le coté et sans préparations planta sa mentule au fond de ma chatte. Faut dire que mouillée et excitée comme je l'étais il n'a eu aucune difficulté à me pourfendre. J'en avais le souffle coupé, heureuse d'être possédée par cet homme si différent à mon milieu mais tellement doté par la nature. Mon plaisir était plus que secondaire à ses yeux, je n'étais ni plus ni moins qu'une bourgeoise de plus à son tableau de chasse. Il ne chercha pas à me donner du plaisir mais cela n'était pas nécessaire je le prenais toute seule. Il me fourrait de son glaive et chaque percussion au fond de mon ventre m'emportait dans des jouissances ininterrompues, je n'étais que râles et gémissements de contentement, il s'activait dans mon antre chaud et baveux et je roucoulais de bien être. M'écrasant de son poids, frottant ses pectoraux contre mes seins gonflés et compressés dans mon soutien gorge, m'embrassant tout en laissant sa salive s'écoulait dans ma gorge, je prenais un plaisir incommensurable. Ne cherchant pas à se retenir plus que cela, j'ai perçu le durcissement et grossissement de sa queue dans mon nid, annonciateur qu'il allait décharger son sperme au plus profond de mon utérus. Je me suis cramponnée à ses hanches, je crois même lui avoir dit : je t'aime, et dans un dernier râle, un orgasme m'envahit en même temps que sa queue éjectait par saccades des flots crémeux dans mon corps.
Il s'est retiré aussi vite qu'il m'avait investit, je suis restée inerte sur ses tapis, les cuisses grandes ouvertes, exposant à son regard ma chatte dilaté de l'assaut de sa queue hors norme, un filet de son jus s'écoulait de mes lèvres rougis entre mes fesses, les yeux fermés, les pensées absorbaient par se moment de plénitude que jamais personne ne m'a donné.
Je prenais cette confession et ce reproche en pleine tête, pour autant son récit m'excitait, je voulais en savoir encore d'avantage.
Satisfait de sa performance, il me proposa à boire, je profitais qu'il s'affaire à nous servir pour me rhabiller, laissant toutefois ma robe partiellement déboutonnée des fois qu'il aurait eu l'envie de recommencer. Il revint s'assoir et me prenant par le cou il m'embrassa, fouillant ma bouche de son muscle buccal. Je répondais à son baiser tout en me collant au mieux contre son torse. J'ai vainement essayer de lui redonner une érection en caressant son sexe mais il avait décidé que pour ce jour là c'était fini !
Entre deux roucoulades, il m'a questionné sur ma vie, j'essayais de lui en dire le moins possible, il me demanda si j'avais des s et combien ? j'ai hésité à répondre puis finit par lui parler des filles, un sourire s'afficha sur son visage.
Tu as des photos ? me demanda t il,
je me suis levée et montrer une sur laquelle nous sommes toutes les quatre au restaurant pour mon dernier anniversaire.
J'ai du mal à penser que tu as eu quatre filles me dit il, cela ne se voit pas. J'étais peu fière du compliment.
Il me questionna sur chacune d'elle, je ne savais quoi lui répondre, je crains qu'il profite de ces confidences pour essayer d' obtenir des faveurs particulières.


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