Collection Folle Du Cul. Maryse Au Temps De Sa Jeunesse (1/1)
Dans mes premiers textes suite à la demande de Maryse de mettre en forme lhistoire de sa vie, elle mavait parlé de monsieur X !
Ce monsieur a marqué la suite de sa jeunesse, mais rapidement je me suis aperçu que les débuts de son ouverture au sexe ont été assez tumultueux.
Grand-mère comme je suis grand-père, les frasques sexuelles de notre nouvelle amie ont débuté de relativement bonne heure surtout à cette époque.
À notre époque, une jeune fille à dix ou onze ans a déjà vu un sexe mâle entrer dans un sexe femelle dans des vidéos pornos que des petits malins savent aller chercher sur Internet.
Pour ma part, ma connaissance de la sexualité, cest à seize ans quand je suis rentré dans la marine que jai vue pour la première fois une chatte poilue.
La mode des vagins glabres était venue bien plus tard.
Mais je suis là pour Maryse, revenons à elle, qui a su très top devenir une salope comme les hommes les aiment et comme je les aime.
Merci Chris de me redonner la parole.
Dans mon histoire avec monsieur X, je vous ai démontré la jeune femme que jétais capable dêtre rapidement sexuellement.
Je vais vous parler des premières heures de celle que je devais devenir.
Mon premier baiser et flirt poussé, j'avais quinze ans et trois mois.
Vous voyez jeune, mais comme avec Tonio nous nous sommes contentés de la langue, jeune, mais sans plus.
Je dirais dans la moyenne pour ce premier baiser.
Bien que les seules pratiques de mon corps ou sur mon corps sétaient la masturbation, je savais déjà comment on faisait des s.
Je sentais lenvie que Tonio avait de moi, mais ma copine Agnès, enfin copine de loin, enceinte à cet âge mavait dissuadé de franchir létape suprême.
Perdre mon pucelage bien quen ces temps-là, mes envies my fassent songer de plus en plus souvent, mais élever un mioche qui maurait pourri ma vie, non merci.
Surtout que la suite va montrer que ma première pénétration était loin dêtre pratiqué par un sexe masculin.
Tonio a tenu quelques semaines pour quil comprenne que ce serait touche-pipi comme nous le disions dans ces années-là et rien dautre.
Nous venions de nous quitter quand jai rencontré, attendez un trou de mémoire.
Ça arrive, jai 67 ans, jen avais quinze et cinq mois.
Ça, je men souviens, cétait juste deux mois après avoir connu Tonio et le lendemain de lavoir quitté.
Ce garçon, ce dont je me souviens, était beau gosse, il ma embrassé pendant nos vacances et a même réussi à me caresser la chatte.
Jétais à deux doigts de céder, mais la chance des pucelles a fait que du bruit nous a dérangés, la dérangé et ça en est resté à baisers et caresses.
Seulement, ce garçon avait un peu plus accéléré mes envies, javais de plus en plus besoin de pénétration.
Cest par le plus grand des hasards que là encore, deux mois plus tard, je rencontrais Claudio qui devait devenir mon premier amant.
Il ma permis de devenir celle que je suis à ce jour.
Jai été réglée vers douze ans.
Jétais à bonne école, mon père étant médecin et je pouvais avoir atteinte malgré ces années-là à une certaine littérature même si par moments javais du mal à en saisir certains termes.
Malgré ces décalages, jai rapidement compris, comment se faisaient les s et mieux quun sexe féminin hormis cette fonction de procréation se doublait dune possibilité de plaisir.
À quelques semaines de là, à lire ces livres sous mes couvertures avec une lampe de poche, jai vu un sexe dessiné ou toutes les parties du mien étais différent.
Grande lèvres, petites lèvres, là ça a déjà bloqué avec en plus le pubis montré avec des poils, mon sexe était recouvert dun duvet blond.
Que dire de lurètre ou mon vagin que la nature mavait semblé oublier ?
Jai volontairement omis de parler de mon clitoris, que lorsque jai approché la glace grossissante de maman prise sur sa table à maquillage, je lai trouvé.
Javais peur de me faire prendre et de recevoir le martinet que mon père me promettait dès que je déviais de la route quil me traçait.
Il me le promettait sans jamais pour autant le voir et bien sûr encore moins le sentir, mais dans ces âges-là, il était facile que je le crois.
Le clitoris des femmes, toutes celles de vous qui lisez ces lignes, savent limportance, quil a tout au long de notre vie.
Clito ou vagi, impossible pour moi de dire dans quelle catégorie je peux entrer au crépuscule de ma vie.
Les deux fonctionnent ce qui a fait de moi la femme considérée comme une salope, par certains ou certaines ayant le cul froid.
Mais revenons à ma jeunesse vers mes 14 ans, mon père étant médecin, celles qui se disaient, mes copines évitaient de venir chez moi.
Un médecin, cest lhomme des maladies et surtout des piqures !
Sans être riches, nous étions aisés et nous avions une gouvernante normande.
Normande dans tous ce que ce mot peut engendrer.
Comme leurs vaches, elle avait une croupe en rapport de la cuisine quelle aimait mapprendre à faire.
Lait, crème, farine, ufs, nous faisions de bons gâteaux dont je mempiffrais.
Si depuis que je la connaissais, sa croupe restait constante, la mienne a commencé à se développer.
Un matin ou mon père mauscultait, il ma parlé de pré-ado boulotte.
Cétait lété et il ma inscrite à un club de natation.
Est-ce le régime strict quil ma imposé ou du moins une nourriture plus équilibrée ajoutée aux heures de nages, ma silhouette se transformait.
Mon physique visible, mais aussi la partie invisible de mon être sauf sous ma douche.
Je pense à mes grandes lèvres et mes petites lèvres qui prenaient forme et ma toison qui devenait plus fournie.
Donc, ma puberté avançait normalement, javais minci.
Sur la bascule, je faisais 1 m 69 pour 52 kilos.
Jétais satisfait lorsque je me promenais au bord des bassins, de voir le regard des hommes se poser sur mes jambes devenues longilignes.
Je parle de mes jambes, à cette époque, connaissant mal la perfidie des hommes qui se posaient surement sur mon cul ou sur mes seins commençant à pointer.
14 ans, je me caressais tout le temps le clito, je jouissais chaque fois.
Je vais vous choquer, je me masturbais même en classe.
Dans mon lit, je me caressais et je menfilais des objets de plus en plus gros.
À notre époque on aurait dit que mon sexe était végétarien, car je me suis introduit des légumes de plus en plus gros.
Si lon me demande si jai eu des douleurs, comme le disent la plupart des jeunes vierges, la réponse est non.
Jaimais les carottes surmontées de préservatif qui mévitait des brisures qui mauraient posé problème.
« Maman, jai une carotte dans la chatte et un morceau est cassé à lintérieur.
Allo docteur, non, allo papa... »
Carotte, capote, courgette, capote, concombre, capote, aubergine, capote.
Pour faire la ratatouille, laubergine, cest bon, mais dans ma chatte jai reculé.
Les bananes avec leur peau, cétait bien, car rigide.
Par-dessus tout, espiègle, jaimais les remettre au fond de la corbeille à fruits ou papa les dégustaient le matin suivant au petit déjeuner, en ôtant la peau bien sûr.
Je parle fréquemment de mon père médecin, il avait une particularité, il se baladait toujours nu chez nous.
À quinze ans, aucun garçon embrassé, mais mon vagin avait déjà connu ces légumes et fruits de plus en plus gros.
Il va sans le dire que mon pucelage était le dernier de mes soucis, mais à la première occasion jespérais men débarrasser officiellement devant les copines.
Lannée de mes quinze ans, donc, je suis partie avec Noémi notre gouvernante comme lon disait dans ces années-là, dans sa famille en Normandie.
Là encore dans ces temps-là, cest au bal du village que Tonio à la sortie dun slow langoureux ma mis la langue.
Premier baiser, baiser maladroit, en arrivant à en être émouvant.
À ce moment, jignorais que cétait le premier dune longue série.
Comme on va le voir au fil de lhistoire de ma vie, conté par Chris71, le nombre damants en plus de Claudio celui que je vais très vite vous présenter ont été légion.
Un garçon qui saute des filles est un don Juan, une jeune femme faisant pareil est une salope.
Jai aimé être une salope et à 67 ans, je revendique encore le droit den être une.
La nature ma donné une chatte, comme on la vu, jai très vite découvert quun trou était fait pour être comblé et jai toujours trouvé un braquemard assez dur pour le faire.
Premier baiser avec Tonio et cinq jours plus tard, « couché dans le foin avec le soleil pour témoin » comme le chantait madame Mireille à la télé, il a commencé à me caresser la poitrine et les premiers bisous dessus.
Mes seins sétant développés, à cette saison des fraises, mon copain aimait les déguster.
Je découvrais quétant titillé, elles devenaient dures à men faire mal.
Mon minou a connu ses premières caresses et cest le sexe de Tonio que, pour la première fois je lai tenu en main.
Jusquà cette grange, en plus de mes végétaux et mes mains dans mon vagin, les doigts dun garçon sont entrés en moi.
Je le masturbais tendrement quand comme un con, il a éjaculé sur mes doigts, ignorant quil venait de perdre une occasion dêtre mon premier.
Un point positif, ce fut la première fois où jai goûté à du sperme masculin en me nettoyant les doigts en les suçant.
Enfin voilà Claudio, Coco pour ses copains.
Cest le mois suivant quun ami, oui, je dis bien un ami, pas assez encore dessalée pour faire plus avec lui.
Il ma présenté à ce que je croyais être un vieux.
Il avait vingt ans et de retour chez mes parents, jai dit à ma sur que je venais de rencontrer le garçon avec lequel je me marierais.
Il va sans dire quelle ma pris pour une folle, il faut ce souvenir que javais quinze ans et quelques mois.
Jétais à quelques jours de mes quinze ans et six mois lorsque en juillet, je suis partie en séjour linguistique en Angleterre.
J'ai flirté avec Pierre-Albert, un Parisien comme moi en séjour avec nous et qui mattirait, mais sans passer certains seuils le premier soir.
La veille de notre départ, rebelote, nous étions nus tous les deux et je comptais bien ce coup-ci perdre ma virginité.
Ce soir-là, je suis allée très loin, à un moment ma bouche sest trouvée à quelques centimètres de sa queue.
Je le masturbais et jallais faire ma première fellation quand, même cause, même effet, il a éjaculé dans ma main.
Jai pensé que jallais devoir finir bonne sur.
Par chance trois mois plus tard en septembre soirée couscous chez des copains.
Claudio était avec sa copine Aline.
Nous étions assis sur un canapé, moi dun côté elle de lautre.
La salope avait trop picolé.
Je parle de salope comme jaurais dit pute, il faut se souvenir que javais dit à ma sur que je lépouserais.
Un copain serviable pour moi sans le savoir la accompagné prendre un grand bol dair.
Le préposé au tourne-disque a démarré un slow.
En ces temps-là, les platines et les DJ étaient inexistants et nous amenions tous nos disques.
Claudio ma invité à danser et en moins d'une minute on s'embrassait.
Loin du petit bisou de copain, la galoche du siècle.
J'étais aux anges, Claudio m'embrassait.
Lorsque Aline est revenue j'étais vautrée sur le canapé avec lamour de ma vie.
Vu l'heure, tous les copains partaient.
Les amis qui nous recevaient sont partis dans leur chambre, jétais seule sur le canapé.
Jaurais pu me demander où était passée Aline, mais je men foutais et même plus que ça.
Adieu, la pétasse, Claudio m'embrassa sans arrêt, sa main était déjà sous mon pull.
Je le laissai faire comptant bien me donner à lui et éviter de rater ce 3e essai.
J'étais en jupe, un petit kilt très court.
Dautres diraient ras la moule.
Lorsque sa main a passé sous mon pull, jai laissé faire.
Ce soir-là, loin de moi lidée de me faire dépuceler, j'avais un affreux collant très gênant.
Après avoir caressé mon entrejambe par-dessus, sa main est arrivée à passer sous mon collant et ma culotte.
Car y était, Claude me caressait le sexe, fantastique le contact d'un doigt appartenant à l'homme dont j'étais amoureuse depuis quelques mois.
Lorsqu'il a entrepris de descendre mes sous-vêtements, j'ai soulevé les fesses pour lui faciliter le travail.
J'avais le pull remonté, le soutien-gorge au-dessus des seins, les cuisses ouvertes, nos langues emmêlées et sa main qui explorait mon sexe.
Lorsque j'ai senti sa bite bien raide appuyé sur ma cuisse, j'ai pensé que ce coup-ci serais le bon.
Il s'est mis sur moi, j'ai écarté les jambes au maximum, au moment où jai senti son grand à l'entrée de mon vagin, je lui ai dit que j'étais vierge.
Il a eu lair de sen foutre.
Enfin !!!
Une bite me pénétrait et surtout celle de Claudio.
Je pensais souffrir, aucune douleur, mon hymen avait dû céder avec une courgette ou un concombre.
Lors de ce premier rapport complet ce quil ma manqué cest le plaisir et lorgasme, mais quelle sensation de sentir ce sexe bien raide s'enfoncer en moi, j'ai adoré.
Ça y était, ma jeunesse se terminait, Claudio avait fait de moi une femme.
Cest de cette femme dont je vous parlerais dans un prochain chapitre, « Maryse la femme. »
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