Un Rêve Bouleversant
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Je voudrais vous raconter quelque chose qui m'est arrivé il y a quelques jours. Quand je dis ce qui mest arrivé, cest une façon de parler puisquil ne sagit pas cette fois dun événement bien réel mais dun rêve que jai fait une nuit. Il arrive parfois dans la vie que lon fasse des rêves qui nous marquent, qui nous bouleversent, dont on se souvient longtemps. Des rêves qui laissent une telle marque dans notre esprit quils peuvent nous changer, réorienter le cours de notre existence. Jai eu envie aujourdhui de décrire celui que jai fait dans tous ses détails afin den garder une trace. Et je dois dire que lexercice a été assez facile car, même si ce souvenir date déjà un peu, ce songe mavait fait une telle impression quil mest resté en tête de façon extrêmement précise. Pour être exact je dois avouer que jy pense souvent : je dirais même quil me hante. Rien quen écrivant ces lignes, des images me reviennent, terriblement précises, et me donnent quasiment des palpitations
Dans ce rêve je suis à la campagne avec mon épouse Lingling. Nous marchons sur un chemin en nous tenant par la main, nous portons les mêmes costumes que le jour de notre mariage : un complet noir pour moi, une longue robe blanche à froufrous pour elle. Je revois sa tenue comme si je lavais face à moi car cest exactement celle quelle portait lors du grand jour : très corsetée, avec un décolleté, une voilette tenue par un diadème et beaucoup de dentelle. Elle est aussi magnifique que lors de nos noces, rayonnante, un sourire éclatant sur les lèvres. Comme souvent lorsque je rêve delle, je me sens débordant daffection. Nous marchons sur ce chemin tranquille, je la couve amoureusement du regard et régulièrement je marrête pour lembrasser.
A un moment, nous passons devant un petit groupe de jeunes désuvrés qui trainent au bord du chemin. Je leur jette un il rapidement mais sans mattarder : ça fait des années que jai lhabitude de faire attention, je sais que certains jeunes ont tendance à réagir agressivement à certains échanges de regards.
Malheureusement ceux-ci ont lair du genre insistants car non contents de nous importuner par leurs paroles, ils ont décidé de nous emboiter le pas et je les entends cheminer juste derrière nous et continuer leurs remarques salaces. Je commence à être mal à laise. Je tiens la main de mon épouse plus fort, accélère légèrement le pas et lui fais comprendre quelle doit en faire de même. Les jeunes ont perçu ce changement de cadence, ils rigolent et décident de rattr leur retard : en deux ou trois foulées ils se retrouvent juste derrière nous. « Faut pas être si pressés les amoureux, attendez-nous
» Deux dentre eux nous dépassent et se postent devant nous pour nous empêcher davancer plus loin. « On veut juste embrasser la mariée et après on vous laisse partir, promis. »
On ne sait pas trop quoi faire, on dirait bien quon na pas le choix. Je regarde autour de nous, ils sont cinq, trois noirs et deux maghrébins, déjà très costauds malgré leur âge et ils font tous une à deux têtes de plus que moi. Je jette un il à ma chérie, elle me souffle : « Cest bon, ça va aller » sur un ton qui se veut rassurant. Lun après lautre les mecs viennent devant ma femme et lembrassent sur la bouche. Les deux premiers se contentent dun baiser appuyé sur les lèvres mais les trois autres se font plus hardis : il y en a un qui lui passe un grand coup de langue sur le visage sous les rires des autres, et les deux derniers lui roulent carrément un patin, rentrant leur langue dans sa bouche. Pendant que le dernier la galoche de cette façon obscène, un autre sest plaqué derrière elle et lui a saisi les seins à travers son corsage.
Je prends mon courage à deux mains, lui tiens fermement la main et donne le signal du départ, démarrant dun pas qui se veut ferme et assuré. Ils éclatent de rire devant mon mouvement de panique. « Cest bon mec, flippe pas, on va pas te la prendre ta chérie, on samuse un peu, cest tout. » Ces paroles nont absolument pas de quoi nous rassurer, nous continuons dun bon pas sans nous retourner et je constate avec soulagement que cette fois ils ne nous suivent plus et se contentent de rire en nous regardant disparaître de leur horizon. Ouf !
Le danger est passé mais jai de la peine à retrouver mon calme et je me sens mal, je men veux davoir laissé faire ça sans intervenir. Lingling na pas lair traumatisée par cette mésaventure mais je nai pas été à la hauteur de la situation. Alors jessaie de me justifier, un peu maladroitement, sans savoir vraiment où je veux en venir. Je parle, je me plains de la manière dont la situation évolue en France, du problème de tous ces immigrés que nous accueillons, de léducation des jeunes qui laisse à désirer, de la crise des valeurs, du manque de respect
Elle madresse un regard implorant : « Sil te plaît mon chéri, arrête un peu de parler de politique
» Bon bon daccord, je me tais. Il nempêche quon ne môtera pas de lidée que
enfin bref, je nen pense pas moins.
Après avoir suivi ce chemin un long moment jusque dans la forêt, nous débouchons sur une petite clairière cachée dans les sous-bois, un endroit pittoresque à souhait. Entre deux arbres est tendu un grand hamac en lin blanc qui nous invite à folâtrer. Nous y prenons place et je soupire daise quand ma chérie vient sétendre sur moi. Nous nous balançons doucement sous la ramure des arbres, je la serre contre moi et lembrasse. Elle est irrésistible dans sa robe de mariée, je nai pas assez dyeux pour ladmirer ni de mains pour la caresser, je voudrais que ce moment dure toujours.
Cet instant de grâce nétait hélas pas voué à durer éternellement et jai le cur qui semballe lorsque jentends, au loin, les voix des jeunes de tout à lheure. Après quelques secondes je nai plus de doute : ils sont en train de marcher dans notre direction. Nous ont-ils suivis ? Je fais signe à Lingling de rentrer la tête dans le hamac, que je tente dimmobiliser pour quil cesse de se balancer. Nous nous calfeutrons dans létoffe et retenons notre souffle en espérant quils passeront à côté de nous sans nous voir. Mais vous connaissez ce genre de rêves : plus on essaie désespérément déchapper au danger et plus celui-ci se précipite sur nous et nous trouve désarmé face à lui. Cest exactement ce qui nous est arrivés.
« Ah vous êtes là les amoureux ? Vous étiez en train de faire des câlins ? » On relève la tête et on se trouve face à cinq visages hilares qui nous observent. Ils se sont placés autour de nous, de part et dautre du hamac. Allongés comme nous le sommes je ne vois pas trop comment nous pourrions nous relever et partir sans leur laisser le temps de réagir. Je ne suis pas du tout tranquille, je passe mes bras autour de ma femme et la tient serrée contre moi. « Cest bon, dis-je dune voix qui se voudrait assurée, vous nous avez vus, maintenant laissez-nous tranquilles et poursuivez votre chemin. » Ils se marrent : on comprend que telle nest pas du tout leur intention.
Je nai pas le temps de comprendre ce qui se passe. Deux des jeunes me saisissent à bras le corps et me tirent sans ménagement hors du hamac. Jeté au sol je me relève aussitôt mais déjà je vois les mecs se déshabiller de façon expéditive, comme sils sétaient mis daccord sur la suite (ce qui était sans doute le cas). Ils ôtent leurs t-shirts et retirent leurs pantalons, dévoilant des corps athlétiques. Malgré lurgence quil y a à réagir, ne peux mempêcher de songer : « Cest dingue, moi je nétais pas comme ça à leur âge
» Le premier à être nu, un grand black, bondit aussitôt dans le hamac et se retrouve aux côtés de ma femme, quil embrasse et palpe de partout.
Lingling, avec sa robe pleine de dentelles et de volutes, ressemble à une petite poupée chinoise dans les bras de ce grand black nu et musculeux. Le salaud a passé une de ses grandes mains sous la dentelle et il a dû trouver le chemin de son minou car elle se pâme sous ses attouchements. « Je vous en supplie les gars, arrêtez ça
» Ce nest pas elle qui le dit sur un ton misérable, cest moi
Mais ils se foutent bien de ce que je peux éprouver à ce moment-là.
Un des garçons sest approché, à saisi le bas de la robe et la remonté sur les cuisses de Lingling et jusque par-dessus ses fesses. Il a ensuite eu tôt fait de lui retirer sa culotte, avec une dextérité telle que je me dis que ce nétait sûrement pas la première fois quil fait ça. Jen suis même quasiment sûr : ce quils sont en train de faire là, ils lont déjà fait de nombreuses fois. Les jeunes ont applaudi à nouveau lorsquils ont vu apparaître les fesses et la chatte de mon épouse surmontée de sa petite touffe de poils noirs. A peine ai-je le temps de la voir ainsi exhibée que la vue de son intimité mest cachée par lénorme bite sombre de lhomme couché à ses côtés, quil pousse avec un grognement vers le sexe de ma belle. « Non, là ça va trop loin ! Tout mais pas ça ! » Je nai pas terminé ma phrase quil la déjà pénétrée sous les hourras de ses copains. Il lui donne maintenant des grands coups de reins et elle gémit avec cette voie aigüe que je lui connais bien dans ces moments-là. Il la baise comme un affamé, en faisant aller et venir sa grosse queue dans ce vagin si adoré. Ses copains doivent stabiliser le hamac pour quil ne soit pas renversé par les mouvements de reins vigoureux quil donne en besognant ma femme. Cet adolescent noir tout droit sorti dune salle de fitness défonce la femme de ma vie comme jamais je ne pourrai le faire. A son visage submergé par lémotion je vois quelle est aux anges.
Les autres jeunes ne veulent pas demeurer en reste. Le spectacle de cette jolie Chinoise offerte à leur copain juste devant eux leur a inspiré des érections imposantes qui demandent maintenant à être soulagées. Cest tout naturellement quils se rapprochent du visage de ma chérie, leurs grosses queues dressées dans la direction de sa petite figure convulsée par le plaisir. Lun deux soulève sa voilette, cette bande de gaze accrochée à son diadème et qui fait partie intégrante de se tenue de mariée et, cette ultime barrière ôtée, il appuie tout simplement son gland contre la bouche de ma femme qui souvre doucement sous la pression. La place tant convoitée étant occupée (et bien occupée vu le calibre du garçon !) les autres prennent leur mal en patience en frottant leurs bites où ils peuvent, sur les joues de mon épouse, sur sa gorge, le long de ses bras pâles, entre ses seins. Leurs gémissements rauques et leurs râles se mêlent aux cris de plaisir de Lingling. Le hamac tressaute en tous sens, comme agité de convulsions. De ma femme ainsi entourée je naperçois, alternativement, que des pans de sa robe, des fragments de dentelle froissée, un bras blanc qui émerge de la mêlée, un sein pressé par une main noire, une fesse qui se soulève, une cuisse qui sécarte
Tétanisé par cette scène je parviens néanmoins à reprendre mes esprits et je me précipite vers le hamac. Je ne peux pas les laisser faire ça ! Je voudrais que celui-ci retire sa grosse queue du vagin de mon épouse, que celui-là sorte son énorme bite de la bouche de la femme que jaime, que cet autre encore arrête de lembrasser et de la peloter
Mais à peine ai-je réussi à en écarter un quun autre immédiatement prend sa place. Ainsi, en y mettant toutes mes forces, je me précipite contre un des grands noirs, appuie violemment contre son torse et parvient à le faire reculer de quelques pas. Mais lorsque je me retourne vers ma femme, cest pour voir que sa bouche a aussitôt été investie par une autre bite, encore plus massive que la précédente, qui va et vient de manière obscène entre ses lèvres roses. Pendant ce temps, un nouveau garçon, arabe celui-ci, a entrepris de la pénétrer et il la pilonne sauvagement.
Je comprends que jai perdu la partie. Dici quelques minutes la femme de ma vie sera aspergée de sperme de tous côtés, sa robe de mariée déjà déchirée par endroits sera souillée, et je ne peux rien faire pour my opposer. Quand ils nous ont vus passer sur le chemin, ces jeunes ont tout de suite conçu le projet de nous rattr pour sauter mon épouse. Ils navaient vraisemblablement aucun doute sur lissue de leur petite chasse : ils la voulaient et ils lauraient. Et de fait ils lont eue. Comme ils en ont sans doute eues beaucoup dautres avant elle, et comment ils en auront beaucoup dautres après. Ils sont jeunes, ils sont blacks ou arabes, ils plaisent aux femmes, ils passent leur temps libre à faire de la muscu, ils se moquent de notre romantisme et de notre morale. Que pouvons-nous faire contre eux ? Rien. Il ne nous reste que nos larmes pour pleurer.
Et cest en effet en pleurs que je me réveille et que je mextrais de ce songe. Les larmes aux yeux et une érection terrible dans le pyjama. Nous sommes dimanche matin, Lingling sest déjà levée : heureusement, ainsi elle na pas pu mentendre sangloter durant mon sommeil. Je ne peux pas me lever avant de mêtre soulagé, le besoin que je ressens est impérieux. Tout en continuant à pleurer je me branle énergiquement en visualisant dans ma tête les images du rêve obsédant que je viens de faire. Je jouis douloureusement en mimaginant Lingling, ravissante dans sa robe de mariée, saisie à pleines mains, embrassée, pelotée et pénétrée par cinq jeunes immigrés montés comme des étalons. Est-ce un rêve ? Pourtant je pleure. Est-ce un cauchemar ? Pourtant je bande
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