La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 653)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°652) - Humilié et souillé sur la plage -
Après que les passagers du Croix-Rousse aient débarqué sur cette petite île qui semblait oubliée de toute présence humaine, les deux skippers firent encore deux allers et retours jusquau bateau à la plage pour récupérer tout ce que Madame Marie avait prévu pour le repas en mode pique-nique, mais aussi des transats et chaises longues pour les Dominants. Elle pesta, malgré tout contre elle-même car elle avait oublié de prendre une seule chose, la cage de chasteté de soumis Endymion MDE.
- Ne tinquiète pas Ma chère Marie, Mon chien sait désormais se tenir, nous pouvons lui faire confiance, et puis nous laurons à lil. Il est bien, par contre, que tu naies pas oublié mon short, dit avec une amitié certaine, le Marquis dEvans à sa cuisinière.
Madame la cuisinière et Madame Gabriella installèrent une grande nappe sur le sable puis dressèrent un succinct couvert, pendant que Monsieur Henri et Monsieur le Marquis discutaient ensemble les pieds dans leau. Les deux skippers quant à eux, soccupèrent des deux slaves et les enchainèrent par leur sexe, à proximité lun de lautre au tronc de deux cocotiers. En effet, une chaine avait été enroulée et cadenassée autour des couilles et de la bite de soumis Endymion MDE alors que pour la femelle soumise Estelle, Etienne avait accroché au bout de la chaine, un mousqueton à ces piercings intimes.
- Couchés les salopes et pas bouger ! avait lancé Etienne.
Endymion MDE couché sur le côté et sur ce sable tel un véritable chien, sinterrogeait. Ni Madame Gabriella, ni Monsieur Henri, ne sétaient occupés de lui. Pire même, ils navaient eu aucun regard, une moindre attention ou un simple geste, à son égard. Ils lignoraient complètement, totalement
Il se mit à gamberger à se dire quil nétait rien à leurs yeux, même pas un objet, même pas un slave, rien, le néant, il nexistait pas
il nexistait plus et cette sensation dabandon totale le déprimait comme un animal abandonné
Cette humiliante idée cogitée et méditée, le secoua et lébranla, le blessant même quelque peu.
Maximilien, beaucoup moins disert et éloquent quEtienne, était peut-être beaucoup plus vicieux que lui. Cest lui qui apporta aux deux esclaves une seule gamelle contenant leur repas. Avec précision, il la déposa à même le sol, sur le sable, juste à bonne distance calculée. Une distance suffisante pour que les deux slaves puisse atteindre la gamelle mais au prix de quelques vicieux tourments. Pour manger, autant Estelle quEndymion MDE devaient faire tendre la chaine partant de leur sexe et tirer sur leurs génitaux pour atteindre leur pitance. Il les regarda accepter cette contrainte autant douloureuse que délicieuse, et manger ainsi en gémissant à chaque fois quils réussissaient à saisir une petite bouchée. Maximilien resta là un temps, souriant béatement devant ce spectacle dont il était lauteur. Il prenait un vrai plaisir sadique à humilier, à bafouer, dailleurs il se tripotait le sexe gonflé sous son caleçon de bain. Il était même excité de constater que la femelle avait le sexe béant dapparence très humide à lévidence par une excitation masochiste. Heureux et fier de son invention, il regagna sa place autour des Dominants, et à son tour se laissa sustenter des délicieux mets préparés avec talents par Madame Marie, la dévouée cuisinière du Château
Sitôt le repas terminé, Monsieur le Marquis dEvans, et les deux Dominantes sinstallèrent dans les transats et sombrèrent rapidement dans une sieste bercée par le bruit régulier des vagues et la chaleur moite.
- Tu sais ce quon fait aux putes lorsquelles offrent leur trou comme tu le fais grosse salope ?
Endymion MDE ne répondit pas à ces calomnies, il ne pouvait dailleurs le faire avec ce bâillon toujours en bouche
- Nous allons te donner du plaisir la chienne, fais nous confiance
Etienne avait récupéré une palme séchée de cocotier et caressait avec celle-ci lentrejambe dEndymion MDE.
- Putain que cest bon de voir rougir un cul de salope, un cul dune grosse pute comme toi ! lançait Etienne, comme sil voulait se justifier.
Impossible pour Endymion MDE de se débattre, il ne pouvait que subir ce traitement physiquement douloureux, mais terriblement excitant mentalement
Les endorphines jouaient leur rôle, la douleur satténuait, le chien soumis tendait désespérément la nuque et frottait son nez contre les couilles de Maximilien en respirant bruyamment.
- Mais tu as vu cette pute, elle réclame, elle cherche de la pine, elle veut ta bite !
Maximilien avait bien noté ces trémoussements, il dégagea rapidement le bâillon de la bouche de lesclave, se releva un tant soit peu, présenta sa grosse queue entre ses lèvres puis lenfourna en fond de gorge.
- Suce la chienne, suce bien ! ordonnait Maximilien.
Les coups avaient cessé, son cul rouge, zébré et bouillant était écartelé, la main dEtienne essuyait la raie du cul du soumis pour ôter les derniers grains de sable resté collé et sans attendre força lanus et pénétra dun trait Endymion MDE. Ce divin ramonage de ses deux trous à la fois, comblait lesclave MDE, il subissait cet assaut avec un immense plaisir, il offrait ses orifices, se faisait démonter, limer à grands coups de butoir coordonnés dans un rythme de plus en plus rapide et cadencé. Les deux queues senfonçaient en lui au même moment, et se retiraient pour mieux le pénétrer encore. Au bout dun certain temps, la coordination de leurs mouvements pénétrants devint plus aléatoire, Maximilien, au bord de lextase sagitait frénétiquement, ne contrôlait plus rien, et cest dans de forts râles de jouissance quil giclait abondamment, étouffant presque Endymion MDE, tant la dose produite de sperme était conséquente.
- Jsais pas toi, mais à chaque fois que je jouis, jai immédiatement envie de pisser !
Les deux skippers arrosèrent copieusement lesclave de leurs urines et le laissèrent ainsi, toujours contraint et attaché. Les deux skippers regagnèrent la plage, abandonnant leur vide-burnes à son humble sort. Il resta longtemps ainsi, jusquau moment où il entendit derrière lui la voix de Monsieur Henri, dialoguant avec sa chienne toujours tenues en laisse et marchant doucement à quatre pattes derrière lui... Il sadressa à elle :
- Une petite toilette intime devrait te faire du bien ma chienne, après ce que tu viens de prendre dans ta chatte et ton cul. Tiens approche !
Il tirait sur la laisse et fit installer Sa femelle soumise à quatre pattes, juste au-dessus dEndymion MDE. Il appuya sur sa croupe pour la faire assoir et se cambrer, les cuisses de part et dautre du visage dEndymion MDE. Sa vulve chaude et encore toute visqueuse de cyprine entra en contact avec la bouche de lesclave mâle de Monsieur le Marquis dEvans. Instantanément, avant même quun ordre ne lui fut donné, le chien soumis MDE glissa sa langue dans cette fente parfumée de sucs intimes et dès quelle fut en contact avec le petit bouton rose dEstelle, celle-ci se mit à gémir et mouiller abondamment.
- Va ma chienne, fait toi brouter, je tautorise même à jouir si tu le souhaites, oui tu peux jouir dans sa bouche et ne te retient surtout pas....
Pour exciter un peu plus sa chienne en chaleur, Monsieur Henri lui palpait et pétrissait les seins, parfois ces doigts titillaient ses mamelons tendus. La chienne gémissait et mouillait de plus en plus et sécartait toujours plus pour se faire dévorer plus profondément encore le minou trempé. Un flot continu de cyprine, telle une source intarissable, inondait la bouche dEndymion MDE.
- Allez jouis maintenant, je le veux, je veux tentendre prendre du plaisir
Et sur commande soumise Estelle sabandonna, en feulant telle une tigresse en chaleur. Elle bougea ses hanches, faisant aller et venir son sexe tout contre cette bouche grande ouverte et cette langue tendue
Son orgasme fut dune violence rare !
- Cest bien ma petite salope, ta chatte en propre, maintenant nettoie ton cul !
Obéissante, elle posa son anus contre cette bouche toujours à disposition. La langue dEndymion MDE neut pas grand mal à sintroduire, les sphincters de cette jeune et petite chienne étaient souples et bien dilatés, suite à une enculade toute récente. Cette langue les taquina jusquà les agacer, glissa et pénétra dans ce fourreau humide pour aller cueillir et gouter la semence déposée peu avant par Monsieur Henri. Lesclave MDE était heureux et excité, enfin il pouvait déguster dans ce doux calice, ce présent, par cul interposé, que lui donnait Monsieur Henri.
- Fais-moi voir, ma petite chienne, si ton cul est bien propre !
Estelle instantanément, souleva ses fesses, cambra ses reins, écarta les cuisses. Son Maître inspecta scrupuleusement sn cul, examina sa raie, écarta son petit trou avec ses deux pouces, glissa un majeur en elle. Il le ressortit aussitôt, le regarda de près, le renifla même, et immédiatement après le glissait dans la bouche dEndymion MDE.
- Tu es propre ma petite chienne, nous pouvons rejoindre nos hôtes, mais avant ça, si tu as besoin de soulager ta vessie, il faut le faire là, maintenant !
Estelle chevauchait toujours Endymion MDE, son sexe juste au-dessus de la tête de lesclave MDE. Elle lâcha ses urines et pissa drue sur le visage de son congénère. Lui, surpris, suffoqua et manqua de s, il resta là, accablé, inondé mais queue bien bandée !
Peu après, les deux skippers firent de nouveau irruption, tenant sur lune de leurs épaules un long morceau de bois flotté quils déposèrent près dEndymion MDE.
- Monsieur le Marquis vient de se réveiller et recherche sa pute à corps et à cri. Nous lui avons fait croire que tu tétais évadé et que nous partions en chasse à ta recherche. Je ne suis pas sûr quil nous ait vraiment cru !
Enfin lesclave MDE était détaché et libéré de cette posture contraignante, il pouvait étendre ses jambes, des crampes le tiraillaient de partout, il ne parvenait plus à se relever. Il reçut lordre de rester couché allongé à plat dos. Maximilien lui attachait les chevilles entre elles, alors quEtienne lui liait les poignets. Une fois ses membres ficelés, les deux skippers glissèrent ce morceau de bois flotté, une petite poutre en fait, sur son ventre puis prirent chacun, une extrémité de cette chevêtre et la hissèrent sur leurs épaules. Endymion MDE était tenu suspendu, tel un gibier chassé. Il se cramponnait comme il le pouvait et ne fut pas mécontent darriver rapidement sur cette plage et dêtre déposé près du Maître.
- Tu sais ce qui arrivent aux esclaves cherchant à sévader ? (le Maître se tut un instant)
ils sont durement châtiés, pendus par les pieds et largement fouetté !
Le ton du Maître était sévère, mais ses yeux pétillants, moqueurs et enjôleurs. Il éclata de rire et fit un gros clin dil aux deux skippers
- Bon, je vais être indulgent pour cette fois-ci Ma pute, mais retient tout de même mes propos !
(A suivre
)
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