Bastien - Chapitre 1 - Réunion
Partie 5
« Jai envie de te sentir en moi Noah »
« Moi aussi jen ai envie »
Jouvre le tiroir sous le lit, jatt de la boite deux préservatifs perlés et nervurés. Je les pose à côté de moi sur le lit. Je prends le flacon de gel, je louvre et glisse une noix de liquide sur mes doigts et je viens détendre mon illet intrigué. Un doigt
deux doigts
je coulisse et étale le gel froid sur mes chairs. Noah me regarde faire, sa main glissant sur son sceptre turgescent, je le regarde il mexcite il me sourit il est excité je déchire lenveloppe du préso et me retourne vers lui. Je souris à mon tour.
Il tient son pénis dur par la base et me laisse tout le loisir de dérouler la gangue en latex sur son vît. Il frémit à mes caresses, je lembrasse doucement. Un baiser
un second
déposé sur ses lèvres charnues
un troisième et nos langues se caressent de nouveau langoureusement
pendant que mes doigts vérifient la bonne installation du préservatif. Je reprends le tube de gel et enduit sa queue délicatement. Le reste du liquide, je létale dans mon fort intérieur. Il membrasse de nouveau, sa langue senroule autour de la mienne. Il me rend fou et je le veux, je veux me donner à lui, je veux le sentir prendre possession de mon corps.
« Prêt ? »
«Oui
tu veux faire comment ? »
Je mallonge sur le ventre, lui demande de venir sur moi, son sexe glisse dans ma raie, je respire fort.
Jatt son pénis, le dirige sur ma rosette, il appuie. Ça glisse
deuxième essai. Il appuie de nouveau, ça rentre doucement, délicatement il fait glisser son sexe entre mes sphincters. Ça résiste, ma main sur sa cuisse lui dit de patienter, il attend. Je bouge un peu, son sexe entre un peu plus, il appuie et glisse dun ou deux centimètres. Ma main caresse son fessier, il se retire un peu puis senfonce de nouveau et gagne du terrain. Je souffle.
« Tu as mal ? »
« Non
ça va
continue Noah »
Doucement il appuie encore, il pénètre encore un peu plus ma grotte intime.
Par un effet de ses reins, il retire provisoirement sa queue de mon conduit avant de senfoncer de plus belle de suite. Il accélère le mouvement et à chaque fois son glaive écarte mes chairs, glisse contre la paroi de ma muqueuse, titille mes terminaisons nerveuses, chatouille les muscles. Ce traitement délicat devient plus rapide et surtout moins routinier. Des coups plus secs viennent ponc les coups longs et lents. Ce changement mintrigue. La chaleur du mouvement me fait glisser vers le plaisir absolu, je me laisse aller petit à petit et mapprête à lâcher prise sous peu. Cela vient plus vite que prévu, lorsquil sort de moi, écarte mes jambes avec ses genoux et me fait remonter le bassin grâce à ses mains solidement agrippées à mes hanches. Je me retrouve à genoux, la tête contre le matelas, le cul offert et ouvert, et sa queue me transperce dun seul coup. Il ressort aussi sec pour entrer de nouveau. Ses coups de reins deviennent plus sauvages et me font gémir à chaque pénétration.
Ses mains quittent mes hanches et viennent appuyer sur mes reins, il creuse ma cambrure pour mieux positionner sa queue en moi. A chaque coup de butoir, il touche ma prostate. Et comme il accélère toujours plus, cela me déclenche des gémissements continus. Peu à peu, sa peau claque contre mes fesses. Il tape ma fesse droite du plat de sa main. Je retiens mon souffle de surprise.
Il ressort son sexe et me demande de me retourner sur le dos.
Il se penche vers moi, membrasse et dit quil adore mon cul. Il donne alors de violents petits coups de bite. Je suffoque, je râle de plaisir. Il sarrête. Il respire fort. Au bout de quelques secondes, il reprend plus calmement. Je le regarde fixement. Sa sueur perle sur son front. Mes mains glissent sur sa peau chaude, tantôt son torse, tantôt son dos. Il sarrête de nouveau. Je glisse alors un oreiller sous mes reins. Et il repart de plus belle dans un enchainement de coups rapides, secs puis plus lents mais plus profond aussi.
La position de mon bassin permet à sa queue de masser, cajoler et exciter toujours un peu plus ma prostate qui irradie de bonheur et de chaleur dans tout mon bas ventre. Je gémis sans discontinuer. Ça devient une sorte de plainte langoureuse, parfois augmentée dun râle guttural quand le coup de bite est plus fort ou surprenant. Alors mon regard se fait sauvage, et ne demande quune seule chose : « baise-moi ! ». Lui me sourit, et son air coquin me fait dire quil aime me provoquer, quil aime voir ces réactions, quil veut faire monter de plusieurs crans la tension sexuelle entre nous.
Ses coups saccélèrent. Il halète maintenant. Ma prostate est en feu, le plaisir bouillonne dans mon ventre, jai chaud, terriblement chaud. Sa queue me chauffe le conduit. Je sens monter la lave et dun coup, tel un geyser, ma queue expulse un flot de lait blanchâtre sur mon ventre. Noah att ma queue et la fait coulisser dans ma main. Je ne gémis plus, je suis en apnée, un volcan de plaisir ma emporté, lair est bloqué dans mes poumons, la bouche ouverte, mes yeux fermés, je sens encore sa queue coulisser dans mon conduit resserré autour de son pénis qui ne tarde pas à cracher sa semence à son tour.
Il enfonce son sexe encore en moi cinq ou six fois avant de se ficher bien au fond et de se pencher sur moi pour membrasser délicatement, tendrement. Le temps sarrête, nous sommes collés par cet emboitement que je ne veux pas rompre, par nos peaux moites et nos lèvres soudées. Il finit par attr sa queue, maintiens le préservatif de ces doigts et se retire doucement. Je gémis une nouvelle fois par ce dernier frottis sur toute la longueur de son pénis et lair frais qui entre de nouveau dans ma caverne. Maladroitement, il vient se poser à coté de moi. Me sourit. Et me demande : « ça va ? ».
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Partie 6
Nous sommes restés là de longues minutes. Un waaaaaa a coupé le silence post-coïtal. Je me suis blotti contre lui et sa main est venue flatter mes fesses qui venaient de martyriser pour mon plus grand plaisir.
« On a fait du bruit ! »
« Pas grave »
« Non pas grave. Cétait bon
très bon ! »
« Oui
merci Noah !
.
je nai jamais connu un tel orgasme »
« Ah oui ?
.
.. Moi non plus
. Jai vraiment aimé »
Un baiser. Deux baisers. Deux langues qui se retrouvent. Des mains qui caressent, câlinent, excitent encore, étalent les fluides. Un doigt qui permet de goûter la crème. Des regards qui en disent long sur le plaisir que nous avons ont eu
et que nous sommes prêts à renouveler.
« Tu veux prendre une douche ?
..
. Avec moi ? »
« Mmmmmm oui »
Je prends du gel douche dans la main, je frotte un peu avec lautre main pour faire apparaître une mousse aux parfums délicats de café et dhuile de macadamia. Leau chaude glisse sur la peau de nos deux corps qui se frôlent. Je dépose mes mains sur son torse et appliquent la mousse odorante. Par de lentes caresses, je passe à la nuque, aux épaules, au dos, aux hanches, aux cuisses, aux mollets, aux plantes des pieds.
Une fois bien dure, je délaisse cette queue de nouveau très appétissante. Mes mains partent à lassaut de ses fesses rebondies, je les malaxe, je les enduis de cette belle mousse, et quand de mes doigts experts je trouve le bel illet vierge, je prends le temps de le caresser, de le titiller. Pas dempressement, il nest pas question deffrayer mon bel amant mais dapprivoiser de nouveaux centimètres carrés de peau, de lui faire gouter de doux plaisirs jusquici interdits.
Passé le moment de surprise, mes doigts glissent de nouveau sur sa peau et remontent vers ses tétons. Ils pointent, mappellent, je joue avec la corolle brune, pince et je lui souris. Il grimace. Je quitte sa peau pour mieux attr la pomme de douche et faire couler sur son corps leau bien chaude. Je repasse dans chaque coin pour faire disparaître toute trace de mousse. Je mattarde de nouveau sur son bel illet quil me tarde de flatter de la pointe de ma langue. Ce fût fait dès le pommeau reposé. Leau coule de nouveau sur nous deux, je plaque mon amant contre le mur et maccroupit derrière lui. Je dépose des baisers charnus sur ses lobes bombés. Je fil en aiguille mes baisers se rapprochent de sa belle raie. Mes mains écartent ses fessiers et je découvre la corolle convoitée. Mes baisers sont plus précis et ma langue finit par chatouiller lendroit, par laper leau présente là et pointer les plis interdits. Plus dure que jamais, elle va à laventure dans sa grotte qui petit à petit souvre, se libère, se donne à lexplorateur que je suis devenu. Plus tendre que jamais, elle caresse, rassure et libère un plaisir que Noah découvre dans mes mains expertes. Mon amant respire fort, me dit des « oh oui » évocateurs, gémit même sous mes coups de langue.
Un doigt saventure dans ma bouche, shumidifie avant daller jouer dans ce rond nouvellement accessible. Saventurant avec ou sans la langue, il appuie légèrement, pénètre doucement pour donner de nouvelles sensations. Noah se laisse faire, leau chaude lui coule dans le dos, la buée séchappe de la cabine de douche et se fixe sur la glace du miroir. Noah a un hoquet de surprise au moment où deux phalanges se glissent en lui. Mon doigt tourne, ressort puis retourne dans son trou. Ma langue revient titiller lillet défloré avant que mon doigt chargé de salive senfonce de nouveau pour explorer plus loin la caverne secrète de mon amour de bonhomme.
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Noah souffle dans mon cou, il halète tellement ses coups de reins enfoncent lourdement sa queue dans mon trou. Je gémis, plaqué contre la faïence de la douche. Il ne faiblit pas et cest maintenant de violents coups de butoir qui me transpercent lanus. Mes pieds décollent un peu à chaque avancée dans mon antre. Mon plaisir décuple et bientôt lorgasme nous emporte tous les deux dans un même effort. La crème jaillit sur le carrelage et dans le fourreau bien chaud. Nous avons du mal à reprendre notre respiration, mais lentement il sort de mon cul et se nettoie la bite. Je me tourne, je lembrasse et mexclame « quel amant ! ».
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Je lai regardé shabiller, pièce de vêtement lune après lautre. Il lace ses chaussures, rajuste son pantalon et sa chemise. Il met sa veste. Il est prêt à partir. Je nen ai pas envie. Son regard doux vient transpercer mon âme.
« Jaimerai beaucoup te revoir »
« Moi aussi Noah ! Beaucoup ! »
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Je lai aimé très longtemps. Il ma offert sa virginité. Il ma offert deux ans de bonheur, damour inconditionnel. Mais jétais son premier amant, et il était avide de nouveaux territoires.
Je lai laissé partir, triste de le voir quitter mon nid, mon lit, mes bras. Je lembrassé une dernière fois. Il ma laissé non sans avoir fait une magnifique séance de photos où il posait nu et amoureux
jétais comblé. Je regarde ces clichés avec un mélange de tristesse, denvie de lui et de sa queue bandée quil arborait ce jour là pour moi, et moi seul !
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Chapitre 2 / MADE FANTASIES
à suivre dans une semaine ... avec des épisodes plus longs et très chauds !
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