Le Joli Mois De Mai. 7Ème Partie.
Effectivement après quelques kilomètres nous prenons le chemin dun beau château typiquement Bordelais. Plusieurs voitures sont garées sur le parking visiteurs.
Nous nous joignons au groupe de touristes qui visitent ce château du Médoc. Nous commençons par une salle fraîche et dans la pénombre dans laquelle sont installées plusieurs rangées de bancs, rendus accueillants par des petits coussins de couleur bordeaux. Un vidéo projecteur nous projette des images et un commentaire sur la fabrication du vin dans ce terroir magique. Mais jai à portée de main dautres territoires à redécouvrir. Sous sa petite robe dété la peau de ma femme réagit à la fraîcheur de cette salle et je pose ma main sur sa cuisse quand je la sens frissonner. Je me fais plus curieux en remontant sa robe et en mimmisçant entre ses cuisses. Là, je trouve dans les replis humides, un trésor aussi précieux que le nectar qui enchante nos palais depuis le début de notre séjour en Aquitaine.
Je suis quand même le seul à navoir pas complètement joui de cet après-midi. Valérie et Nicolas, eux, se sont bien amusés dans leau et ma femme semble avoir apprécié quoiquelle nen dise rien son épisode avec son inconnu à la plage. De plus, je suis de mon côté resté sur ma faim après avoir assisté aux exploits de la jolie rousse dans les fourrés.
Comme si elle comprenait ma frustration, Christelle commence elle aussi à promener sa main sur mon sexe quelle sent très vite grossir sous le tissu fin de mon pantalon. Alors que les diapos sécoulent à un rythme très lent sur lécran et quun commentaire insipide nous explique ce que sont des graves, les agissements de ma femme le long de ma colonne ne laissent pas de marbre nos amis assis tout à côté. En totale décontraction, Valérie pose ses pieds sur le banc devant elle et écarte les jambes où Nicolas trouve très vite de quoi la faire frémir tout en se laissant caresser. Les autres spectateurs restent eux captivés par la géologie locale et ne se doutent en rien de ce qui se passe derrière eux dans lobscurité.
Mon sexe est complètement sorti de mon pantalon quand la lumière se rallume et que notre accompagnatrice nous invite à la suivre dans les méandres du chai. Remballant mon matériel à la hâte, je me cache derrière ma femme pour ne pas laisser trop apparaître mon émoi. Nous fermons donc la marche du petit groupe qui fait halte maintenant devant de grands alignements de barriques assez hautes derrière lesquelles nous ne sommes visibles quà moitié. Toujours placé dans son dos avec une trique impressionnante, je commence à relever la petite robe et je place mon sexe entre les fesses de Christelle.
- « Tu es fou !» me dit-elle dans un souffle.
Mais son reproche nest quune façade car dans ses yeux je ne vois que du désir. Dabord surprise, elle se détend et se cambre afin de me laisser la pénétrer tout doucement. Cette sensation de faire lamour en douceur est exquise. Je ressens le long de chaque centimètre de ma verge la chaleur de son sexe qui menserre. Le fait daller et venir en elle très lentement, en silence, décuple cette sensation. Sentir le regard et le sourire complice de nos amis sur nous et constater que devant nous la guide et ses touristes ignorent notre petit jeu est exquis. Mais bientôt nous devons passer dans une autre salle plus vaste et plus claire cette fois. Tout autour de nous : des cuves en inox immenses et un peu en retrait : des palettes de bois sur lesquelles sont empilés des cartons de bouteilles en partance vers le Japon, apprenons-nous. Toujours aussi excité, je me fais violence pour ne pas sauter sur ma femme. Nue sous sa robe, campée devant moi, je sais que son minou est encore ouvert de mon dernier passage en elle. Sur un signe de la responsable des visites tout le groupe glisse plus loin vers une cuve spéciale, ce qui me permet sous le regard de plus en plus lubrique de Nicolas et Valérie de pénétrer de nouveau ma femme. Notre relative tranquillité me permet de ne pas me réfréner et je lentreprends toujours par derrière avec vigueur cette fois, lui arrachant des gémissements suggestifs.
Quand le groupe revient vers nous, je dois à nouveau me décoller delle, rabattre sa jupe et ranger vivement mon sexe dans mon pantalon. La scène a le don de faire pouffer de rire nos amis et dattirer de nouveau sur nous les regards intrigués des touristes. Ce petit jeu commence à ménerver mais aussi à plaire à ma coquine dépouse.
Nous finissons bien sûr la visite par la dégustation, mais il nous est impossible de continuer à faire lamour dans la salle ouverte où dautres groupes attendent leur guide. En voyant le pictogramme des sanitaires sur une porte, je glisse un mot dans loreille de Christelle qui memboîte le pas en direction des toilettes. La première porte franchie je me dirige vers celles indiquées « Messieurs », suivi par ma femme. À peine la porte refermée elle soulève sa robe et, un pied au sol et lautre posé sur la cuvette, elle me fait face en me disant :
- « Vite je nen peux plus ! Baise-moi ! »
Mes mains sur les hanches je lempoigne, la pénètre profondément et au bout de quelques minutes nous jouissons dans un cri commun. Je me sépare delle, encore chancelant et reprends mes esprits en la regardant porter la main à son sexe doù le sperme sécoule maintenant. Elle est belle à couper le souffle et je reprends mes esprits lentement.
Quand nous ressortons encore ébouriffés de nos exploits nous croisons les regards goguenards de nos amis, mais aussi ceux réprobateurs de la guide et de certains pisse-froids de touristes.
Entre temps quelques cartons du millésime 2012 ont changé de mains et cest les bras chargés que nous rejoignons la voiture qui nous ramène cette fois sans détour à Saint Jean de Médoc.
La fin de journée est superbe. Le soleil de mai tombe derrière les collines vallonnées recouvertes de vigne. Ma femme est belle, nos amis adorables. Il nous reste une journée avant le retour vers Nantes.
Une journée et ce soir...
De retour chez Valérie et Nicolas, nous nous éclipsons afin de récupérer de cette journée riche en expériences.
Une fois propres, pomponnés et changés nous rejoignons nos hôtes dans le salon. Nous les retrouvons en compagnie de trois couples dans nos âges. Charmants à divers titres, nous leurs sommes présentés comme des amis libertins de Nantes. Le ton de la soirée est donné : tout le monde sait pourquoi il est là. Rapidement Christelle trouve en compagnie dun couple assez jeune, prénommé Pierre et Corinne, deux interlocuteurs agréables.
Je perçois dans son attitude tout ce que jaime chez une femme qui me plait : son bassin imperceptiblement en avant quand elle discute, ses mains qui recoiffent ses cheveux dans des gestes dune grande sensualité. Langle même de ses pieds, face à ce beau blond, font un angle très ouvert qui, pour qui sait décoder cette attitude, est significatif de son état desprit très « ouvert » à son égard. Chaque flûte de champagne quelle porte à ses lèvres est également loccasion de laisser transparaître ses intentions : bouche entrouverte laissant voir ses jolies dents, langue qui apparaît de temps en temps, promesse rose entre deux lèvres carmin. Et son regard que je vois plonger alternativement dans les yeux de ce bel homme et se poser sur sa bouche en une invitation muette. Tout dans son comportement dit : tu me plais !
De son côté elle semble affoler Corinne qui ostensiblement pose sa main libre sur les hanches de Christelle en se collant amoureusement à elle. Plus petite quelle, elle semble boire ses paroles, suspendue à ses lèvres. Je ne me fais pas de soucis : ce soir ma femme va passer un bon moment.
Tout autour de moi de nouveaux couples apparaissent, se forment et se mélangent spontanément lorsquils se connaissent ou papillonnent en fonction de lintérêt quils trouvent chez ces inconnus. Je ne reste moi-même pas longtemps seul puisque je suis abordé par une jolie femme en robe carmin très moulante et aux cheveux presque rouges coupés au carré. Avec une belle voix grave elle mapostrophe en me disant :
- « Ainsi, vous êtes Pascal ! »
Jai dû être présenté par quelquun ment ! Nicolas ? Valérie ?
- « Cest bien moi effectivement ! Et vous êtes ?... »
Cest ainsi que ma partenaire privilégiée de cette soirée mapprend quelle sappelle Louise.
Me prenant dautorité par le bras elle mentraîne vers quelques autres personnes en me présentant comme son nouvel amant. Je ne la contredis surtout pas car ce que me laisse deviner sa robe autant que son intelligence mont tout de suite séduit. Inévitablement, nous retrouvons Christelle et son chaperon avec Corinne et un très bel homme noir comme lébène, grand et mince ; de ce type dhomme que lon croise dans les régions du Kenya ou de la Tanzanie. Très aimable, avec un fort accent anglais, japprends quil sappelle David et quil travaille dans le limport- export de bois. Ma femme me regarde avec lair quelle devait avoir, devant son premier vélo, le matin de Noël au pied du sapin.
La soirée va être longue et nous allons vivre un moment dexception nous en sommes sûrs. Aucune jalousie, aucune envie entre nous, rien que la joie de permettre à lautre de vivre son plaisir.
Après larrivée dautres personnes, nous sommes maintenant une bonne vingtaine. Les couples initiaux ont, pour la plupart volé en éclat. Un peu partout dans le salon des hommes et des femmes sembrassent et se caressent. Dautre plus entreprenants ont déjà franchi le stade des présentations et font lamour dans la plus parfaite décontraction. Valérie est dailleurs à genoux dans un canapé la croupe offerte à un homme assez rond et au fort accent méridional. Les coudes posés sur le dossier du canapé, elle suce allègrement un autre homme qui lui maintient la tête en la faisant aller et venir sur un sexe de belle taille. Il senfonce au plus profond dans sa gorge en soufflant et le son étouffé quelle émet à chaque coup de rein de lhomme derrière elle témoigne du plaisir quelle a. Un couple regarde le trio. Elle, la tête penchée sur lépaule de lhomme, lui se masturbant tout doucement.
Nicolas est en train de son côté de rendre folle de plaisir une blonde aux seins lourds qui ma été présentée comme une certaine Kathy. Elle plante à intervalles réguliers ses ongles dans les épaules de son amant qui lui fait un cunni visiblement efficace.
Toujours accompagné de Louise, je me promène sur la terrasse et nous échangeons des considérations assez pointues sur la région, sa vie culturelle, les prochaines expositions dartistes à Bordeaux. Cependant nos corps échauffés par lalcool et toute cette orgie autour de nous se sont rapprochés. Imperceptiblement, lappel de la chair se ressent et nous nous posons dans le salon de jardin où la veille ma femme était assise après ses ébats avec Valérie. Les verres, les bouteilles qui jonchent la terrasse et les coupes remplies de préservatifs disposées partout sont une invitation à la luxure. Assise à mes côtés dans un grand fauteuil à deux places, elle pose sa cuisse sur les miennes en me présentant par la fente de sa robe moulante une vue superbe sur ses longues jambes fuselées. Je remonte ma main, encouragé par ses baisers qui se font plus insistant au fur et à mesure de mon exploration. Je sens sous mes doigts son sexe déjà mouillé. Le bras passé au-dessus de son épaule je soupèse ces deux seins lourds que je sens gonflés de désir. Elle tente de saisir à pleine main ma bite tendue retenue par mon pantalon et mon boxer. Trouvant le chemin de la liberté avec son aide, mon sexe jaillit enfin pour se retrouver dans le piège expert de ses doigts agiles. Je suis flatté par sa moue en constatant leffet quelle me fait et je semble être à la hauteur de ses espérances. Elle décalotte ma verge et mexcite en promenant son pouce sur mon gland. Parfois elle saventure plus bas et menserre en me branlant énergiquement.
Ses caresses me transportent littéralement et je suis obligé de linterrompre pour ne pas franchir le point de non-retour. Je me lève et linvite à venir sasseoir sur la table en teck. Elle sexécute avec grâce et, dans un geste plein de sensualité, balaie dun revers de main sur le front ses cheveux rouges. Jécarte les flûtes abandonnées, et pose ma conquête au bord du plateau de bois pour lui administrer mes caresses préférées.
Son bassin qui maccompagne davant en arrière et ses petits feulements de chat me comblent daise. Elle aime et le manifeste de plus en plus jusquà lorgasme qui lemporte bientôt. Je ne la laisse pas reprendre son souffle et me saisis dun préservatif pour la prendre. Jaimerai bien prendre mon temps comme avec Christelle cet après-midi même, mais je la pénètre dune traite et sans la ménager, je lui fais lamour à la hussarde. Elle est complètement allongée sur le dos, la table grince sur les dalles de la terrasse, ses jambes refermées dans mon dos mentourent et mempêchent de prendre tout mon élan entre chaque coup de queue. Nos mouvements se coordonnent assez vite, son bassin venant à ma rencontre pour une pénétration plus profonde encore. Elle secoue la tête de gauche à droite en poussant des gémissements de plus en plus forts et jouit dans un cri aigu. Je la pénètre de manière de plus en plus incontrôlée moi aussi et avant de jouir jai juste le temps de retirer ma capote pour lui gicler sur les seins en soufflant comme un âne éreinté par notre cavalcade.
Nous navons fait lamour que quelques minutes mais si intensément que nous en sommes surpris lun comme lautre.
Je lui tends la main pour laider à se redresser et je lui sers un peu de Champagne. Elle y trempe à peine les lèvres et mentraîne en courant vers lintérieur de la maison en me disant dun ton mystérieux :
- « Viens, je vais te montrer quelque chose
»
Le salon, mais aussi la cuisine, se sont transformés en lupanar où sébattent des couples mixtes ou non sous le regard fiévreux de voyeurs. Je retrouve Kathy qui est passée entre dautres mains, entreprise par un inconnu dont jai oublié le prénom. Elle me voit sans me voir quand je passe devant elle, toute entière concentrée sur le plaisir que lui procure la bite qui la fouille par son orifice le plus intime.
Valérie sur un sofa, chevauche telle une valkyrie, un monsieur particulièrement bien monté, à voir lamplitude des mouvements quelle fait pour sempaler dessus. Son mari à côté delle me salue dun geste amical pendant que deux créatures se partagent à tour de rôle dans leurs bouches sa bite triomphante. Partout des couples, des trios, des quatuors senlacent, se baisent, se caressent, saspirent. Partout des cris et des gémissements retentissent entrecoupés de mots et dinjonctions plus crus les uns que les autres. Baiser, enculer, sucer, jouir, caresser, branler, aimer, sont les verbes conjugués à limpératif que jentends, parfois chuchotés mais le plus souvent criés.
Alors que je suis en train de me demander où est ma femme dans cette partouze, Louise ouvre une porte près de la chambre où avec nos hôtes nous avons baisé hier soir. La pièce est petite, sans éclairage. On pourrait croire une penderie assez vaste mais le temps de saccoutumer à la pénombre, je comprends où nous sommes. Une glace sans tain me permet de retrouver le petit salon et le grand lit au milieu duquel je vois ma femme comme je ne lavais jamais vue auparavant. Je suis invisible à ses yeux, et je ne semble pas lui manquer du tout. Corinne, Pierre et David sont avec elle.
Deux fauteuils voltaires nous tendent leurs bras avec de part et dautres deux tables basses où se trouvent les incontournables préservatifs et deux sex-toys de belle taille.
Devant la scène qui se déroule devant moi, je ne peux mempêcher dimaginer que nous nétions peut-être pas aussi seuls que nous le pensions, hier soir avec nos amis. Quelquun se cachait-il derrière la vitre sans tain, et qui ?
Ma femme, Corinne, Pierre son mari et David avaient visiblement fait plus ample connaissance depuis mon escapade avec Louise. Christelle complètement nue regarde allongée sur le côté David et Corinne faire lamour. Dans son dos Pierre caresse avec beaucoup de douceur ses seins et son ventre, saventurant parfois au niveau du pubis. Les gestes de ce bel homme, sont très lents comme des préliminaires. Cest un peu comme sils regardaient en couple un film érotique en direct dans leur lit. Le son de leurs ébats nous parvient par deux petites enceintes placées de part et dautre du miroir.
La scène est effectivement assez captivante : grand, mince et noir ébène, David prend en levrette la petite Corinne, blonde comme les blés. Le visage maintenu en arrière par son cavalier qui lui att les cheveux, elle est comme en extase. Les yeux fermés, elle prend pleinement la mesure du sexe qui la possède. Une verge très longue entre et sort sans ménagement de son sexe offert. Les reins cambrés à lextrême, toute en courbes et en formes pleines, elle sabandonne à cet homme au corps sec et bien dessiné. Chacun de ses muscles semble navoir pour fonction que de pénétrer. Tout entier tendu vers elle, il ressemble à un danseur dune compagnie de danse moderne dont le seul mouvement serait celui dun piston qui inlassablement et avec une précision de métronome, coulisse en elle. Ce ballet hypnotique met en émoi Christelle qui commence à ouvrir le compas de ses jambes pour permettre à son amant niché derrière de la fouiller plus avant. Comme sil nattendait que ce signal, sa main droite laisse la place à son sexe tendu qui, protégé dune capote, commence à la prendre dabord doucement puis au même rythme que David envoie en lair Corinne. La jolie blonde commence à perdre tout contrôle, le plaisir monte en elle et Christelle comme pour le décupler entreprend de lui caresser le sexe pendant que David continue ses mouvements mécaniques. Ma femme pose délicatement ses doigts sur le sexe mouillé et commence à stimuler les clitoris gonflé de cette nouvelle partenaire. Leffet cumulé de la bite de David et des caresses de Christelle a vite raison delle. Corinne explose en vol, dans un long râle aigu. Le marteau pilon derrière elle modifie son rythme et dans des mouvements plus saccadés senfonce de plus en plus fort dans sa partenaire pour enfin jouir lui aussi. Je trouve, de mon poste dobservation, presque dommage quil ait jouit en elle, me privant du spectacle de cette belle bite se vidant en longues saccades.
Retombée à plat ventre sur lit, abandonnée par son amant africain qui retire son préservatif de son sexe toujours aussi impressionnant, Corinne reprend son souffle.
Louise rompt le silence entre nous et me demande :
- « Le spectacle te plait ? »
- « Jattends le deuxième acte » lui dis- je
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