Sacrée Ligne 13 Du Métro
Sacrée Ligne 13 du métro
Le 17/02/2013 revenant dun séminaire à Saint Lazare dans la ligne 16 du Métro bondée de monde à 18h comme dhabitude. Les gens sempilaient les uns sur les autres. Jétais coincé derrière. Le mouvement des gens en arrière a poussé une jolie fille élégante presque contre ma braguette. Au fur et à mesure du trajet, on se serrait davantage et les frottements de ses fesses contre mon membre commencèrent à me faire de leffet.
Je pense quelle le sentit de suite. Elle était habillé sexy, très court avec des collants. Mon membre grandissait encore au fond de mon pantalon et il étouffait dans mon caleçon. Jai fais un mouvement de la main pour ainsi le libérer. Il ne cessait de pointer vers les fesses de la jeune femme. Elle se collait à moi et jen ai profiter pour des petits mouvements de vas et viens tendres. Elle se retourna et me fait un sourire à peine voilé. Jai compris que cétait une incitation à poursuivre. La densité de la foule me permettait quelques mouvements. Jai alors pris sa main qui tenait la barre déquilibre juste à coté mon membre pour le lui poser dessus. Je lai dissimulé avec mon petit sac. Elle commença alors à me caresser avec ses doigts mon gros gland en érection. Elle me fait un rond de ses doigts dans lequel jintroduis ma queue pour des petits vas et viens jusquà ses fesses.
A un certain moment elle me tire doucement la queue en signe de me coller davantage contre ses fesses. Je soulève alors par ma tige sa jupe et je sens le toucher de la peau. Quelles sensations ! Je pousse ma queue entre ses fesses toujours avec une lenteur à ne pas éveiller de soupçons. Je pense que sa rajoutais davantage à lexcitation. Elle fait des vas et viens sur ma queue. Je bandais comme un cheval. Je sens que je suis lourd den bas. Elle me prend alors la tige par ses doigts humm et effleure délicatement ma verge au point de me faire pousser un petit soupir innocent. Elle continuait toujours.
On continuait notre petit jeu. Arrivé à la station du Carrefour Pleyel, je me range bien lol. Et demande aux gens de se pousser que je puisses descendre et apparemment elle aussi descend. On est alors sorti coté boulevard Anatole France. Elle me lance un sourire et me dit « coquin, ca ta plu » et moi étonné de son franc parler , je réplique « oh que oui, veux tu continuer ?». elle me répond « il ne manque que toi ». Je lai alors suivi . Nous discutâmes au bout de ces 5 minutes de marche. Arrivé à son appartement, elle mavoua quelle aime bien les grosses bites dans un langage cru et que depuis quelle avait découvert le libertinage, elle narrivait plus à sen passer.
Je lui ai avoué aussi quelle mexcitait beaucoup et que je bandais toujours à linstant. Elle me dit fais voir le monstre ». sans me faire prier dans une fraction de seconde, jétais tout nu avec ma queue en alerte. Elle se déshabilla et me poussa sur le lit et sauta sur mon membre. Aussitôt, elle le mit en bouche et commença à me sucer. Elle savait vraiment sy prendre. Pour lui rendre le plaisir, nous enchainâmes un 69 torride. Humm, je lui léchais ses lèvres, en prenant soin de son clitos. Elle gémissait de plaisir. Jintroduisais le bout de ma langue dans sa chatte déjà trempée. Humm, rien de plus excitant que de lécher une chatte déjà mouillée à fond.
Elle était tellement excitée quelle me lança dun coup : « je veux avoir ta grosse queue dans ma chatte ». je me retourne et la met à quatre pattes. Toujours pour faire durer le plaisir, jeffleurais avec mon gland lentrée de son vagin.
Je commença des petits vas et viens. Au bout de quelques minutes, jaccélère la cadence lui arrachant des cris et gémissements. Elle me suppliait de la prendre sauvagement. Jaccélère la cadence. Mes boules claquent contre ses fesses. Jaccélérais la cadence avec mes mains superposées sur son dos en forme de X pour bien avoir son vagin relevé dans la bonne visée de mon sexe bandant. Humm, quel plaisir. Je menfonçais toujours plus loin en elle. Elle mexcitait tellement. A vrai dire, elle savait sy prendre. Chaque mouvement de ma queue était accompagné de son mouvement de fesses de sorte à me pousser au plus profond en elle. Quand je ressortais ma queue, elle était trempée de mouille. Elle gémissait et me lançait « défonce moi la chatte, baise moi à fond » Nous restâmes sur cette position pendant plusieurs minutes.
Jai sorti ma queue en elle. Je me suis couché sur le dos. Elle prit mon membre dans sa bouche. Elle me suça longtemps avant de le frotter contre son vagin humide. Elle lintroduit par sa main au fond delle et commença ses mouvements. Quest ce que jai aimé ! Elle accélérait et je lai prise par les fesses en accélérant à mon tour le mouvement de ma queue sans quelle ne bouge. Elle criait « vas y, défonce moi ». ce qui me rendait presque fou. je lui demandais si elle voulait encore que je la défonce davantage. Sans surprise , réponse positive. Jintroduisais ma bite au fond delle et voyais que sa mouille commençait à couler sur ses cuisses avec la cadence des mouvements.
Je me suis levé, elle dans mes bras pour se repositionner en missionnaire sans que ma queue ne sorte delle.
La cadence était telle, quelle maccrocha ses jambes autour du dos et ses mains ceinturèrent mon cou pour que nos langues sentremêlent dans un tourbillon de sensualité. Je sens quon ne va pas tarder à jouir tous les deux. Elle me dit « je veux ton jus dans ma bouche ». jaccélère la cadence sans que mes lèvres ne se détachent des siennes. Son mouvement de bassin maidant à menfoncer en elle produit chez elle des gémissements accélérés. Elle se détacha alors de ma bouche. Et cria « je vais jouir, vas y. continue, encore , encore ! fais moi jouir. Jenfonce dans ma queue en elle dans une cadence infernale et brusquement , je la ressort avec un soupir grave et elle se lève pour la prendre dans sa bouche. Elle pris mon jus dans sa bouche sans lavaler. Je me jette sur le lit le temps de souffler. Elle se dirigea vers les toilettes pour le cracher.
Couché sur le dos, elle viens sur moi. Elle sallonge sur moi et me lance dun air coquin « cétait trop bon, mais oublie moi ». je me suis rhabillé et rentré chez moi. Depuis je ne lai pas revu.
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