Les Découvertes De Ludivine - 1 : Le Pensionnat
-- ATTENTION HISTOIRE POUR LECTEURS AVERTIS --
Pourquoi tu viendrais pas avec nous ? ça devrait être marrant.
... 'ai 'aa !
Quoi?
... 'eu 'ai 'aa !
Luce a coupé l'eau de la douche et écarté le rideau de douche :
Je comprends rien ! Tu pourrais nous rejoindre ! Tu me passes la serviette, s'te plaît ?
...mmm, ... 'iens !
Luce s'essuyait en regardant Ludivine qui lui tournait le dos, penchée sur le lavabo pour se brosser les dents. Elle regardait les fesses bouger dans la petite culotte de nylon bleu marine ; regard un peu rêveur et mine boudeuse ; regard d'envie ; regard jaloux du physique de son amie, dont elle partageait la chambre depuis 11 ans, depuis que toutes les deux fréquentaient le pensionnat.
Elle a enjambée la faïence du bac à douche et rejeté la serviette sur son épaule pour se coller au dos de son amie en l'entourant de ses bras.
... hun ! 'es 'ouillée !
T'aime bien d'habitude !
Ludivine a retiré la brosse à dents de sa bouche et craché le dentifrice dans le lavabo :
T'es conne ! Arrête ...
T'es sûre ? Je suis toute douce, rasée de frais.
Pendant que Ludivine reprenait son brossage énergique, Luce a pris ses seins à pleine main en frottant son ventre aux fesses de son amie :
Allez ! Fais pas ta bêcheuse ! ça fait longtemps ...
Luce a abandonné un sein est a glissé une main sur le ventre de Ludivine, plongeant sans hésiter sous la taille de la culotte :
Toi par contre, toujours femme des cavernes ... pourquoi tu veux pas les couper ?
Ludivine a craché et s'est redressée, se tortillant pour échapper à la main qui fouillait son sexe :
Arrête, t'es chiante !
Résister ? Parfois elle y arrivait, parfois non. Difficile de résister à une fille dont on partage l'intimité depuis si longtemps. D'autant qu'au début elle n'avait pas résisté. Bêtement. A l'adolescence, l'âge des découvertes.
Des deux, c'était Luce qui était la plus intéressée à ces jeux, qui les provoquait, souvent brusque, dominatrice, et quand Ludivine cédait, c'était rarement par envie. Aucun amour entre elles.
Tu viendras, alors ? ça sera amusant ! Une manif ! Nous en train de défiler ! T'imagine ?
Je sais pas. Peut-être !
Ce soir-là elle a réussi à repousser les avances de Luce. Pas complètement.
Toi, alors ! Tu vas voir, c'est tout doux.
Ludivine a repoussé la main qui serrait trop fort son sein et a caressé Luce qui avait posé une jambe sur le lavabo et se cramponnait des deux bras autour du cou de son amie.
Elle s'appelle Ludivine. Ludivine de Monnestier.
Sa vie s'organise entre le haras de son père où tout le monde, des lads au majordome, de la cuisinière aux deux bonnes l'appellent "Mademoiselle Ludivine", et l'école privée qu'elle fréquente depuis son plus jeune âge. Là aussi, les surs, son confesseur et ses professeurs lui donnent du "Mademoiselle" et la vouvoient, comme son père et sa mère depuis toujours.
Elle a dix-huit ans, n'a connu de véritable affection que celle de sa nounou, Marie-Paule, mais qu'il fallait appeler Marinette puisque "Mère" en avait décidé ainsi, et d'amitié complice chez elle que celle de Petit-Pierre, le fils de l'intendant avec qui elle jouait en cachette et se crottait dans les box, na damie quune amie doccasion, celle dont elle partage la chambre en pension depuis 11 ans.
La pension, lEcole ! Une école privée, bien entendu, gérée par des surs, confesseur fourni, professeurs de danse et de maintien aussi, prépare des filles ... de bonnes familles ? de familles friquées ! à la vie de salon, la vie des clubs VIP, pas à la vie « du commun ».
Depuis ses sept ans et son entrée à l'Ecole, elle partage la chambre de Luce.
Luce Vernay-Guilbert. La banque
Elles ne se sont pas choisies, association doccasion, imposée.
Elles ont partagé les rires et les chagrins, les vacances et les punitions, leurs émois, leurs rêves et de temps en temps les caresses sous les draps, apprentissage des corps sur lesquelles les surs ferment les yeux.
De temps en temps
par goût ? Un peu bien sûr, comme la curiosité du sexe vient aux ados, et parce quelles passent tout leur temps ensemble, mais cest également un mélange curieux de provocation et de conformisme, parce que « ça se fait », parce que les conversations « des grandes » les y entraînent, un snobisme dentre soi à découvrir ensemble le sexe comme elles ont découvert le ski à Saint Moritz et les soirées jet-set sur la Côte, les brunchs huppés.
Des deux, cest Luce la plus branchée sexe. Ludivine depuis plus d'un an sen agace parfois, mais ne la repousse pas ; pas toujours.
Céder à Luce, cest un peu pour le plaisir quelle y prend, mais surtout pour éviter les conflits : mauvaise raison ? Sans doute. Pour Luce le sexe est affaire de pouvoir, le pouvoir quelle exerce ou croit exercer sur Ludivine. Ce qui lui importe nest pas tant le plaisir quelle donne ou celui quelle prend, mais de voir son amie chavirer et sabandonner à elle, parfois de force, par jalousie, comme pour la punir dêtre devenue une superbe jeune-fille alors quelle-même avait un physique plutôt commun. Elle lui enviait ses longues jambes et ses hanches rondes, ses seins si fiers alors que déjà les siens trop lourds saffaissaient, son visage dange. Jalousie.
Elles partagent leurs caresses depuis quatre ans, comme beaucoup dautres filles du pensionnat.
Et bien sûr les surs savent. Permissives le plus souvent, complaisantes parfois, complices de fait, quelques-unes, rares, sont naïves et ne voient rien, la plupart savent et ferment les yeux sur ce quelles voient dune intimité évidente, dautres font une remontrance dun plissement des yeux démentie dun sourire entendu,
et puis il y a sur Thérèse !
Les visites dans les chambres la nuit, que font les surs au prétexte de surveillance et sécurité, sont parfois loccasion de surprises.
Certaines sannoncent et font claquer les talons dans le couloir ou la porte daccès au dortoir pour laisser le temps aux filles de se préparer à leur venue, dautres font en sorte au contraire dêtre silencieuses pour prendre les filles sur le fait.
La première fois Ludivine et Luce avaient 14 ans.
Depuis déjà 7 ans elles partageaient la salle de bain attenante à leur chambre. Le naturel avait un temps disparu, une pudeur dado, quand leurs seins avaient pris des rondeurs et que quelques poils pubiens apparaissaient sur leurs ventres, puis quand lune après lautre avaient eu leurs premières règles.
Depuis toujours elles entendaient « les grandes » faire des allusions salaces, parfois voyaient des gestes, volontairement provoquants de leurs aînées.
Et puis il y avait eu sur Thérèse. Une bêtise, une chambre en désordre, des vêtements qui traînaient, une petite culotte de Luce abandonnée sur le bord du lavabo un soir dinspection. Lil glacial et la voix sèche, sur Thérèse avait ce soir-là dans leur chambre montré aux deux filles que les histoires qui se murmuraient, séchangeaient en secret, nétaient pas que ces histoires de « grandes » pour faire rougir leurs cadettes.
A larrivée de sur Thérèse, elles étaient assises sur le lit de Luce encore vêtues de leur jupe plissée et de leur chemisier à une heure où elles auraient dû être déjà couchées. Luce racontait le baiser de son cousin Paul de deux ans son aîné, les frissons à la main qui avait effleuré son sein et qui faisait rosir les joues de Luce en le racontant, et surtout cette bosse dure contre son ventre quelle avait senti pendant quil plaquait ses lèvres aux siennes et son corps contre le sien.
Quelques silences et des rires étouffés.
Ludivine racontait les chevaux du haras de son père, les juments poulinières et les étalons, le boute-en train, ce cheval qui nétait là que pour éveiller le désir de la jument et quon écartait quand létalon approchait, ce membre si gros, si long, et la saillie, quelle regardait cachée derrière une haie avec Petit-Pierre, cachés parce que les adultes faisaient tout pour les tenir à lécart de ce spectacle dun index menaçant.
Ludivine racontait aussi pour la troisième fois à Luce qui ouvrait de grands yeux cette fois récente où elle avait surpris Petit-Pierre dans une stalle le pantalon aux chevilles en train de secouer « son machin » de grands mouvements du bras en poussant de petits gémissements.
Luce réclamait souvent cette histoire, et chaque fois Ludivine rajoutait un détail, racontait avec de nouveaux mots : ce soir-là il ne « secouait pas son machin », il « se branlait » et à la fin il « giclait », ce soir-là elle inventait, en disait un peu plus que les fois précédentes, racontait avoir aperçu un petit bout de chair rose qui dépassait de sa main. Luce ouvrait grand les yeux et la bouche, les poings serrés sur sa jupe plissée au creux de son ventre.
Jusque-là, aucune des deux navait avoué à lautre les gestes quelles avaient pour elles en solitude et secret, parfois sous la douche ou tard dans le noir de la nuit, ne parlant avec un regard voilé et un sourire gêné que de cette fille de leur classe dont sa copine de chambre disait quelle se « masturbait » presque tous les soirs. Jamais elles nen disaient plus, mais ce nouveau mot faisait rosir leurs joues.
A lentrée de la sur, les deux filles se sachant en faute sétaient figées, avaient pâli en reconnaissant sur Thérèse. Elles sétaient levées et placées chacune devant son lit, mains croisées devant elles, évitant le regard froid.
La sur à pas lents avait parcouru la chambre, bousculant dun doigt les vêtements en désordre, ouvrant les armoires. Elle avait inspecté la salle de bain, en était revenue en tenant devant elle à deux doigts la petite culotte de Luce abandonnée sur le lavabo. Luce baissait la tête, et avait levé la main en réponse à linterrogation muette de la sur.
Vous devriez être couchées ! Que faisiez-vous sur ce lit, mesdemoiselles ? Des cochonneries ? En tenue de nuit ! Tout de suite !
Les deux filles avaient pris leurs chemises de nuit de drap blanc dans leurs armoires, éléments imposé du trousseau des pensionnaires de lécole. Elles échangeaient un regard pour savoir quoi faire : habituellement elles se changeaient lune après lautre dans la salle de bain après leur toilette du soir, salle de bain dont la sur leur interdisait laccès en examinant la petite culotte quelle tournait dans tous les sens entre ses doigts, levant un instant les yeux sourcils froncés vers une Luce aux joues cramoisies en lui montrant la longue trace jaune un peu croûteuse qui maculait le gousset de coton blanc.
Changez-vous ! Tout de suite !
Elles se sont déshabillées, se tournant le dos et tournant le dos à la sur, affolées de la voir confisquer leurs chemises de nuit quelle jetait loin delles sur le dos dune chaise, émettant un grognement de réprobation en voyant que Luce était nue sous sa jupe quand elle la enlevée :
Et voilà ! Petite dévergondée ! Il va falloir vous expliquer, maintenant ! Au pied de votre lit, mesdemoiselles ! Alors ? Que faisiez-vous à demi-nues sur ce lit ?
On parlait
on na pas vu lheure
Vous parliez ? Vous parlez mieux sans culotte, mademoiselle ?
Tenant toujours la petite culotte entre ses doigts elle sest approchée de Luce, a écarté sèchement les mains quelle tenait croisées crispées sur son ventre :
Pliez les genoux !
De longues secondes Luce na pas bougé, trop saisie par cet ordre de sur Thérèse, qui sest penchée vers elle, le visage à frôler celui de la jeune-fille :
Pliez les genoux !
Quand Luce sest exécutée en tremblant, la sur a plongé la main revêtue de la culotte entre ses jambes et en a essuyé le sexe quelle ouvrait de doigts durs sous le coton sans quitter Luce des yeux.
Elle sest reculée, a examiné le coton ; un sourire pincé a lentement étiré ses lèvres :
Eh bien eh bien
vous parliez
En regardant tour à tour les deux filles, elle éprouvait des doigts la trace humide sur le coton dont elle avait essuyé le sexe de Luce.
Elle sest approchée de Ludivine et a pris ses doigts dans une main pour les porter à son nez. Elle avait un sourire mauvais :
Vous parliez ! Vous parlez avec vos mains, mademoiselle ?
Mais cest vous
Bien sûr cétait les doigts humides de la sur qui avaient déposé les humeurs de désir de Luce excitée par les histoires quelles se racontaient sur les doigts de Ludivine. Bien sûr. Mais comment se rebeller, trouver les mots, dépasser la peur, dépasser la honte à se tenir nue devant cette sur glaçante, comment se défendre de navoir rien fait que
se raconter des histoires cochonnes ? En être troublée ? Parce que Ludivine savait. Si la sur lavait voulu, elle laurait trouvée elle aussi humide dexcitation : leurs histoires, le trouble né des mots ...
Elle était mortifiée de se voir accusée davoir
les images tournaient dans sa tête, la paralysaient pendant que la sur lui plaquait ses propres doigts contre son nez
odeur forte, parfum de fille quelle reconnaissait si bien, ce même parfum sur ses doigts quand elle se caressait en secret, le parfum de Luce, du sexe de Luce, qui lui tournait la tête
images
sensations.
Elle était figée parce quelle y avait pensé, avait imaginé Luce en faire de même, troublée de ces histoires, avait pensé à leurs aînées qui plaisantaient sur les caresses échangées entre filles.
On n'a jamais rien fait
jamais
cest pas vrai
Petite menteuse ! Comment te permets-tu de me mentir ! Cest rien, ça ?
Et encore elle barbouillait son nez et ses lèvres des doigts imprégnées sur le coton mouillé de la culotte de son amie.
Ma présence vous a dérangé pour vos sales petits jeux ? Cest ça, mesdemoiselles ? Toutes ! Toutes pareilles ! Toutes à vous tripoter dans vos chambres ! Toutes !
La sur tremblait, éructait, sa voix montait dans les aigus.
Couchez-vous ! Couchez-vous tout de suite !
Les deux filles se sont précipitées pour se cacher sous les draps. Sur Thérèse a jeté dans un coin de la chambre la culotte et les chemises de nuit confisquées, a éteint la lumière et quitté la chambre en claquant la porte.
Elles nont pas bougé. Pas un muscle. Immobiles, respiration retenue, loreille aux aguets, au début parce quelles sattendaient à ce que sur Thérèse revienne et ouvre la porte à la volée.
Cest Luce qui a parlé la première :
Quelle salope ! Elle me fiche les jetons, celle-là ! Elle est complètement folle ! Tu sais pas ? Ben on aurait mieux fait de le faire vraiment, comme les autres, au moins elle nous aurait pas pourries pour rien ! ... tu pleures ?
Pour la consoler ? Peut-être ... elle s'est levée et s'est approchée du lit de Ludivine, la cherchant à tâtons dans le noir de la chambre, a ouvert le drap et s'est couchée tout contre elle.
Pleure pas, elle est folle ! C'est rien, va !
La consoler ? Sans doute, peut-être ... au début. Et puis ...
Luce enveloppait un sein d'une main tremblante et sentait pousser le téton au creux de sa main, riait en rougissant en retirant sa main.
Elles auraient pu se lever, enfiler leur chemise de nuit,
elles auraient pu
ont trouvé des prétextes à nen rien faire : le froid de la chambre, rassurer lautre après le choc de cette folie ; elles ont oublié la peur du retour de la sur.
Elles ont bougé, arrangé loreiller quelles partageaient front contre front, tiré la couverture plus haut sur leurs corps nus, trouvé une meilleure position après sêtre plusieurs fois cognés les genoux, une jambe de Luce entre les jambes de Ludivine, une cuisse engagée assez haut plaquée à la toison blonde quand elle sest retournée pour regarder le réveil sur la table de nuit dans son dos, son ventre à elle appuyé à la hanche de son amie.
Un rire, tout doucement, en bougeant sa cuisse contre les poils pubiens de Ludivine , mot murmurés :
cest marrant
ça chatouille
tu les coupes pas, toi
Tu trouves quils sont trop longs ?
Luce avait une main entre sa cuisse et le ventre de Ludivine, elle étirait une mèche de poils entre deux doigts. Ludivine n'avait pas protesté, juste posé une question d'une petite voix enrouée :
Comment tas fait, toi ? avec des ciseaux ?
Un petit rasoir, juste comme ça par-dessus , pas trop court sinon ça pique.
Et ? Luce enroulait une mèche de poils pubiens sur un doigt en riant. Elle savait quelle étirait fort une lèvre en même temps ? Elle savait, levait et baissait la main, samusait du petit bruit humide quand elle décollait la lèvre :
cest comme moi tout à lheure, tes mouillée
quand elle
tas la même odeur que moi
Fais voir
Luce a passé les doigts dans la fente du sexe, deux doigts, profonds entre les jambes, a remonté la main vers son nez, et dans sa bouche après :
Cest le même goût
Ooooh ! Tas mis dans ta bouche ?
Ben oui ! Cest comme ça quelles font, les femmes ! elles se donnent des baisers entre les jambes !
Tu sais ça comment, toi ?
Cest
mes cousines
et puis elles se sucent le clitoris
Le clito ?
Bien sûr elle savait ce quétait le clito, elle sétonnait juste quon puisse le sucer comme on suce un bonbon, une sucette, une
elle savait aussi, que certaines filles prenait le machin dun garçon dans sa bouche, Petit-Pierre lui avait dit quil avait vu la cuisinière et le maraîcher
Luce, delle deux, était celle qui ne reculait devant rien, qui voulait bousculer. Aucune expérience, mais envie de montrer quelle, elle savait :
Tu veux voir ?
Quoi ?
Luce a repoussé les draps au pied du lit, sest agenouillée entre les jambes de Ludivine et sest penchée sur son ventre.
Ludivine sentait le souffle chaud, entendait le bruit de lèvres qui posaient des baisers sur sa toison, et puis a senti lhumidité chaude et la douceur de la langue qui sinsinuait entre les lèvres de son sexe, a eu un sursaut et sest redressée pour échapper à Luce en sentant sa langue sur son petit bouton :
Eh ! doucement ! cest comme une brûlure !
Tu fais comment, toi ?
Comment quoi ?
Luce tirait une main de Ludivine vers son ventre, et la abandonnée un instant pour aller allumer la lumière dans la salle de bain. Elle a à peine entrebâillé la porte, pour que la chambre soit encore dans la pénombre, avant de revenir vers le lit.
fais-le
montre
. je vais faire doucement en même temps
""C'était la première fois. La première de leurs nuits de caresses, toujours à l'initiative de Luce.
Ludivine ? Innocente ? Non ... pas vraiment innocente. Elle prenait plaisir à ces jeux, même si souvent elle ne s'y pliait qu'à cause de l'insistance de Luce.
Cette première partie s'appelle "Le pensionnat". Leur éducation ne s'arrête pas là : une étape encore, ensemble elles découvriront les garçons pendant leurs années de pensionnat.
Je vous raconterez ça bientôt !""
(à suivre)
Misa 03/2016
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!