Trio
Huit jours passent vite, tu verras. glisse-t-elle entre deux baisers. Pense à lintensité de nos retrouvailles.
Il est vrai que nos ébats sont toujours très intenses. Son odeur si délicate, la chaleur de son corps blotti contre moi comprimant sa superbe poitrine tout contre mon cur...
Je sais que ça passe vite, mais je naime pas quand tu pars. Je me sens comme une boussole sans nord, je tourne en rond.
Mes mains caressent son joli petit cul parfait. Elle aussi est excitée, je le sais. Son odeur ne ment pas. Cest très subtil comme changement, mais je sais instantanément quand elle a envie de sexe. Son sac est devant la porte, son blouson sur le canapé, les clefs juste là, au bout de la table...
Je vais taider à patienter. dit-elle dans un souffle.
Avec des gestes cent fois répétés, elle déboucle ma ceinture et déboutonne mon pantalon. Ma verge libérée glisse aussitôt entre ses lèvres expertes. Elle adore me sucer. Là, sur le point de prendre la route, je ne cherche pas à résister. Je la laisse exprimer tout son art. Encore quelques coups de langue et elle obtient tout mon plaisir, sans aucune restriction.
Un jour tu me noieras. me dit ma belle en se relevant. Tu men as balancé pour 8 jours !
Un dernier baiser au goût de mon sperme et je laccompagne à sa voiture. Lorsquelle disparaît au bout de lallée, je réalise que 8 jours, ça va être très long. Si bien sûr jarrive à retenir mes pulsions.
Deux jours plus loin, 21 heures. Le parking du bord de plage de St Aygulf accueille quelques voitures ; je ne suis pas seul à rechercher un peu de plaisir. Les mecs viennent ici pour y chercher du bonheur rapidement consommer. On ny fait pas dans la dentelle. Dans les taillis, des corps se croisent, des mains en quête de virilité palpent des entrejambes, on y fait son marché. Pour dautres, les rencontres se font sur la plage dune façon plus élégante, plus conventionnelle. Cela reste du sexe pour du sexe.
Le besoin impérieux de renouer avec le sexe viril me démange depuis quelle est partie, cest ce soir plus que jamais une évidence. Si jarrive à me contenir un ou deux mois à ses côtés, dès quelle sabsente deux ou trois jours... Pourtant, elle mapporte tout ce quun homme est en mesure despérer avec une femme ! De douces et fréquentes fellations, nimporte quand, nimporte où, se terminant très souvent en 69. Son vagin aux subtiles saveurs est irrésistible, nous passons de longs moments à nous unir. Sans compter que ses orgasmes les plus ravageurs, nous les obtenons à lissue de langoureuses sodomies.
Mais le plaisir obtenu entre hommes nest ni comparable ni substituable. Rien à faire, il me faut régulièrement y retourner. Plaisir inavouable, jardin secret, secret bien gardé que je ne peux ni ne veux lui révéler, plaisir brut et purement égoïste. Si elle ne me comprenait pas, je la perdrais. Et si elle me comprenait, cest moi qui perdrais probablement une partie de mon identité. Tordu, non ?
La nuit est claire, la lune presque pleine, cest beaucoup plus sympa de voir les gens que lon rencontre. Sil y a bien quelques âmes arpentant les roseaux, cest directement vers la plage que je me dirige. Jaime bien marcher au bord de leau, jy croise souvent pas mal de monde tout en profitant pleinement du calme et de lénergie que nous donne la mer.
Arrivé à la hauteur de la première baraque de plage, le souvenir dun beau métis me chatouille le ventre. Nous nous y étions autant abrités du vent que des regards, le temps de nous découvrir, puis de nous mélanger. Je me revois à genoux, sa belle queue déformant mes joues, le goût de son sperme... le temps de causer un peu, il me prenait longuement, arc-bouté contre la paroi. Le vent, la houle, sa solide queue, mon ventre... tout bougeait cette nuit-là. Étonnamment, personne nétait venu nous embêter.
Le nez au vent, je remonte cette plage où jaime à venir traîner mes guêtres. Deux hommes viennent vers moi.
Le plus grand esquisse un signe de tête alors que son comparse me salue verbalement. Polis, au moins, pensais-je en leur répondant. Le plus petit est très agréable à regarder. Harmonieux et bien charpenté, le gars. Encore quelques mètres et jarrive à une seconde baraque. Je massieds sur les premières marches, face à la mer pour profiter de lair iodé.
Les deux marcheurs ont dû me suivre du regard, ils font demi-tour, certainement pour tenter leur chance. Sans précipitation, ils se rapprochent, puis me demandent sils peuvent sasseoir à mes côtés. Là, plus de doute sur la nature de leur balade nocturne. Cest le petit qui parle, visiblement plus à laise, plus direct. Sa voix est rassurante, avec un petit accent peut-être.
Les inévitables lieux communs purgés vient linstant des premiers contacts. Une main sur ma cuisse mincite à en faire de même. À leur initiative, nous nous retrouvons derrière la cabane. Mon pantalon tombe presque immédiatement à terre, aussi vite en fait que leur sexe se présente à moi, les deux sont très bien équipés. Penché pour prendre en bouche la queue du plus grand, déjà bien épaisse, mes fesses se retrouvent offertes à son collègue. Il sait quoi en faire, nhésite dailleurs pas à les pétrir virilement avant de lancer ses doigts à la conquête de mon mignon. Je lui rends sa délicate attention en cajolant ses couilles de taureau, alors que son pote se satisfait de ma bouche !
Si de prime abord il me semblait que le plus grand était le mieux monté, je commence à me raviser. Il a certes une grosse queue, mais son gland nest pas hyper développé, un peu court à mon goût. Dailleurs, il se retire de ma bouche pour venir contre mes fesses.
Le petit revient sadosser à la cabane. Je découvre à présent sa belle verge. Ses couilles sont lourdes et volumineuses, mais que dire de son mandrin ! La soirée débute bien, pensais-je en soupesant lobjet, presque euphorique.
Je crois quil veut te la mettre ! dit le petit à linstant même ou je le décalotte.
Vous avez des capotes ? osais-je, très concentré sur son membre.
Tinquiète, on a tout ce quil faut. Réponds lhomme en glissant son gland entre mes lèvres.
Quel chibre ! Doux, renflé, long... et pas encore raide. Le gars à lair dêtre un diesel, un long à chauffer. Sil est long à finir, ça peut être sympa ! Derrière moi, il se retire. Jentends le blister qui se déchire alors que je branle la hampe que je suce. Linstant daprès, je comprends quil sagit dun sachet de gel lorsque de ses doigts il sonde grassement mon trou. Puis son gland me pointe, je me dois denvoyer une main entre mes jambes pour vérifier quil a bien enfilé une capote.
Ses mains mécartent, jai envie de cette queue, déjà dingue grâce à celle qui glisse dans ma bouche. Il mencule lentement, avec respect, par de longues poussées. Rassuré quil prenne si bien les choses en mains, je recentre mon attention sur mon petit trépied. Ses couilles pendent généreusement, je les lui aspire pendant que de sa matraque il caresse mes joues.
Quelle est grosse ! dis-je en la reprenant goulument.
Son collègue y va gaiment. Son beau calibre me remplit divinement, dautant quil varie les rythmes. Sil menvoie trois ou quatre coups bien au fond, linstant daprès, il me lime doucement, plus superficiellement. Mes couilles ballotent au grès de sa pénétration, recevant même quelques coups quand il sénerve. Mais je prends presque plus de plaisir à sucer cette uvre dart ou plutôt cette uvre dard, devrais-je dire élégante et si renflée, si douce au touché, avec un gros nud si moelleux que lenvie de le mordre me traverse presque lesprit.
Pendant une bonne dizaine de minutes, je suis délicieusement embroché entre ces deux queues. Le grand me tient par les hanches pour me tirer à lui, le petit me maintient derrière la nuque pour mieux senfoncer vers ma gorge. Je voulais un sexe, jen avais deux, et pas des moindres.
Puis le grand sactive, préfère maintenant que son nud transperce mon ventre. Je lui att les bourses pour sauvegarder les miennes qui se prennent des coups de bélier.
Il est bon son cul ? demande le sucé à son vis-à-vis.
Génial ! Je vais bientôt jouir. Il est bien serré, bien profond...
Cest de moi quils parlent, mais je men fiche. Je ne suis pas venu chercher de lamour, mais une bonne bite, au moins pour tailler une bonne pipe ! Et jen ai deux en même temps. Alors je les savoure en me demandant si le deuxième sera aussi performant que le premier.
En attendant, le voilà parti pour lassaut final. Il me perfore complètement à la vitesse dun cheval au galop, provoquant presque ma propre jouissance à linstant où il jouit en râlant comme sil souffrait. Je comprime sa queue pour laider à bien décharger, caressant le doux souvenir du temps où mes amants ne mettaient pas de préservatifs. Recevoir la jouissance dun homme qui prend plaisir à faire les choses bien est si agréable, où que ce soi !
Il simmobilise, le bassin contre mes fesses, me laissant encore lapprécier quelque temps tout en pompant lautre queue, toujours aussi délicieuse dailleurs. Il ne semble pas vraiment sur le point de jouir non plus, je vais peut-être avoir le droit à sa présence dans mon ventre.
Le grand se retire doucement, laissant ma porte grande ouverte et mon ventre tout chose, tout chaud, prêt à remettre ça dans les mêmes conditions.
Tu veux aussi ? risquais-je, dun ton faussement timide.
Jaime bien faire ça dans le confort. Mon collègue, lui, ne pouvait plus tenir. Il en avait besoin.
Vous ne pouvez pas me laisser comme ça, les gars. Jai encore envie de vos queues ! répondis-je presque dépité. On peut aller ailleurs, même à lhôtel si vous voulez.
Tu viendrais chez nous ? lance alors le grand, qui pourtant vient de jouir.
Ils habitent un petit village. Il se trouve que ce petit hameau se trouvait sur la route pour rentrer chez moi. Les 30 minutes de route à les suivre nont pas calmé mes ardeurs, bien au contraire. Les choses ont si bien commencé.
La place est éclairée par un vieux lampadaire, aucun bruit ne nous parvient. La seule âme éveillée du hameau semble être celle du chat blotti sous une voiture. Une dizaine de marches en pierres nous emmène à leur appartement au premier étage dune jolie maison de village. Lintérieur est sympa, tout refait, très propre. Le grand mexplique que cest Manu qui a tout refait. En bon portugais, il est maçon. Le prénom du grand, je lai oublié depuis. Il était infirmier, si ma mémoire est bonne. Si on lappelait Luc pour simplifier le récit ?
La bière quil moffre est bienvenue. Manu sabsente quelques instants, leau coule pas très loin, on reste à bavarder à la cuisine, parlant de mecs, de plans foireux et autres aventures. Je le félicite pour la performance quil mont offerte sur la plage. Bien quils soient en couple, ils sont actifs tous les deux et soffrent un mec passif assez régulièrement. Son collègue réapparait.
Pas grand, lhomme. Mais pas un gramme de graisse, des muscles superbement dessinés, peu de poils, et un sexe dune beauté indécente. Un vrai taurillon, tant pour le volume de ses couilles pendantes à souhait que par sa queue aussi épaisse que longue. Son visage est souriant, son teint hâlé... il ny a pas grand-chose à jeter.
Pendant que tu lui montres la chambre, je prends également une petite douche. dit linfirmier.
On passe sous une petite voute en pierre et je découvre le grand lit. Il allume une toute petite lampe et revient jusquà moi. Mes jeans glissent, mes pompes volent. Ma chemise résiste peut-être 5 secondes avant que mes mains retrouvent son puissant sexe. Lui claque ma fesse en me demandant si jen ai toujours envie. Prosterné à ses pieds, javale sa queue molle à souhait en pressant ses bourses contre mon menton. Il sent bon le mâle, en a même le goût quand ma langue se faufile sous son prépuce.
Il sassied au coin du lit, jambes écartées pour me livrer un libre accès à ses organes. Pendant ce temps, il mécartèle les fesses en me tirant sur son muscle qui déjà sépaissit et sallonge. Un mec comme lui à demeure ? Je signe immédiatement.
Hummmm. Tu suces très bien, cest bon. On va bien soccuper de toi. susurre-t-il en me doigtant.
Lorsque Luc arrive, ils me font mettre sur le lit pour me donner leurs deux queues à sucer. Si lun a une queue de compétition, lautre est moins impressionnante. Elle est grosse, plutôt cylindrique, une vingtaine de centimètres, mais son nud ne mexcite pas. Il me fait penser à un macaron, large et très court, donnant limpression que le bout de sa bite est presque plat ; ses burnes sont beaucoup plus petites, presque disproportionnées.
Par contre, il bande instantanément, et bien dur. Le temps pour lui denfiler une capote, de mettre du gel, et le voilà au fond de mon ventre dune seule et longue poussée. Il me prend sur le côté en tenant ma jambe soulevée. Manu, lui, sallonge sur le dos ; ma tête entre ses jambes, je peux moccuper de ses très belles couilles autant que de son mât maintenant dur à briser de la roche. Sil ne fait pas 22 centimètres, moi, je suis vierge de toutes mes entrées.
Cet infirmier me saute à merveille, me donnant le meilleur de lui-même en vantant la souplesse de mon rectum. Il se retire le temps de me faire mettre à quatre pattes pour me reprendre de plus belle. Il sait me faire du bien, et même si ma bouche est pleine de Manu, mes gémissements lencouragent à sappliquer. Mon ventre chauffe agréablement, tout comme mes lèvres à force de coulisser autour de cette grosse quéquette, qui de toute évidence nest pas pressée de jouir.
Luc soudain me prévient quil ne va pas tarder. Je lui demande de venir jouir dans ma bouche. Il arrache sa capote comme je me retourne pour me présenter face à son vît. Dune main derrière la nuque, il me plante son dard et jouit en deux grosses giclées au fond de mon gosier. Javale sa sève et le garde tendrement en bouche, satisfait davoir pu me délecter dun peu de sperme. Mais jen attends plus !
Maintenant, tu vas changer de diamètre ! annonce til en retirant sa queue avant de séclipser dans le couloir, tel un hardeur qui vient de terminer une prise.
Toujours sur le dos, Manu a déjà enfilé un préservatif que je suppose XXL et me tend du gel. Jen dépose une belle noix à lentrée de mon anus béant en admirant sa virilité prête à lemploi.
Quelle est belle ta queue ! ne puis-me mempêcher de lui chuchoter. Tu iras doucement, hein ?
Je viens me placer juste au-dessus de sa verge. Andromaque me paraît être la meilleure façon de labsorber, cest souvent ainsi que japprivoise les grosses lorsquils me prennent les toutes premières fois. Je guide sa queue en moi et me laisse lentement glisser sur elle. Son gland passe sans aucune difficulté même sil est plus large que celui de son collègue. Par de longs mouvements de bassin, il minvestit à chaque fois plus avant.
Cest cela que jadore avec les très grosses queues : avoir limpression que mon ventre souvre au-delà du raisonnable. Sa hampe sélargit dès le premier tiers, me faisant frissonner en repoussant mes limites. Cela fait très longtemps que je nen ai plus pris daussi imposantes. Alors cette nuit, je méclate, à tous les termes du sens, mettant un gros coup de canif dans ma relation amoureuse.
Luc est revenu. Assis au bord du lit, il nous observe en souriant. Il a déjà joui par deux fois, une pause ne le frustrera pas trop. Manu joue de ses reins autant que moi du bassin pour gagner du terrain. Je le sens me déformer à son passage, cette très grosse queue comprime ma prostate pleine de deux jours dune totale abstinence.
Comme je suspends ma progression quelques instants pour souffler, il agrippe mes fesses à pleines mains pour me sodomiser tout doucement, ne cherchant absolument pas à rentrer davantage, bien au contraire. Les mots sortent seuls de ma bouche. Des qualificatifs adaptés à son sexe, quelques superlatifs concernant les sensations quil me procure.
Jatt ma verge à demi bandée quaucun des deux ne cherche à satisfaire, de mon autre main, ce sont ses belles bourses que jétreins, reprenant lentement ma danse du ventre. Plus je me redresse, plus mon ventre ressent la puissance de Manu. Mon esprit se trouble de tout ces flux sensoriels agissant directement sur mon cerveau.
Alors quil me possède aux deux tiers, je me retrouve sans tout comprendre sur le dos. Léger comme lair, souple comme un chat, seul son sexe semble être en contact avec moi. Sa possession est absolue, sa verge est un vérin coulissant merveilleusement dans son cylindre. Il est gros, mais bouge avec tant dhabilité ! Cette massue, je la désire de tout mon être.
Luc revient se placer dans ma bouche et Manu pose maintenant ses couilles contre les miennes, tellement enfoncé quil me semble quils se rejoignent ! Sans à-coup, il me saute très bien. Dans leuphorie, je suis conscient de ma veine, je dispose de deux belles queues dont ils savent très bien se servir.
En bons baiseurs, les changements de position senchaînent régulièrement et rare sont les fois où il sort de mes fesses. Je suis étonné du self-control de mon portugais. Cest le genre de mec qui décide quand il doit jouir. Il sallonge maintenant à côté de moi. Linfirmier bande dur, jai parfois du mal à le garder en bouche lorsque son acolyte accélère la cadence, mais il ne sen plaint pas vraiment. Il en profite pour me demander si jaime, si je regrette dêtre là, si jen veux encore.
Je ne suis plus allongé, je flotte entre le matelas et le plafond. Manu joue de sa queue toute la gamme du plaisir. Le feu qui couve en moi depuis la plage est maintenant un incendie, consumant mon ventre et mes reins. Il me semble que je crie ma jouissance sous les encouragements de Luc. Manu sait exactement comment faire et gère mon envolée avec maestria. Mon sperme se répand sur mon ventre au rythme des coups de reins. Par respect du travail bien mené, je suppose, ma jouissance lautorise à partir également. Ses spasmes sont pour moi des raz de marée. Il se tétanise au fond de mon cul à chaque giclée comme sil désirait me traverser.
Je serais incapable de dire depuis combien de mois je nai pas joui par et sur la verge dun homme. Pour que la jouissance soit absolue, il est indispensable quune sodomie dure particulièrement longtemps et quelle se déroule dans de très bonne conditions. Le plaisir cérébral vient vite, lorgasme complet, lui, peut prendre du temps. Ce soir, ils ont pris leur temps et mont donné beaucoup de plaisir, memmenant graduellement vers le pied absolu quest léjaculation spontanée.
Quelle dose de foutre ! sexclame Luc. Tu nas pas joui depuis des mois pour décharger autant !
Jai toujours énormément déchargé. Pas puissamment, mais de très grosse quantité. Certains giclent avec impétuosité à plus dun mètre, voire plus, alors que pour moi, cest louverture des vannes. Une théorie tend à dire que les courtes jouissent plus loin pour optimiser la procréation. Mais jai vu des longues capables de performances bien au-delà du commun.
En apesanteur, à peine connecté avec ce bas monde, jentends, mais nécoute pas. Mon amant est immobile en moi, et cest à peine si je réalise avoir la queue de Luc entre mes doigts. Jen profite du calme pour flatter mes amants, même si ma préférence va au Portugal. Même si les deux baisent très bien, Manu est plus sensible, plus attentionné que son mec et possède un corps de rêve, queue comprise.
Jusque là immense, la hampe de manu désenfle lentement, il est temps pour lui de se retirer. Lextrémité du préservatif rempli de son jus me laisse entrevoir ce quil maurait déversé sil avait craqué entre mes lèvres. Bien que mon cul soit encore tout remuer, cette pensée moblige à lui nettoyer sa belle queue grasse de foutre.
Luc me tend du papier en me proposant une douche pour reprendre un peu de force et de fraîcheur, ce que je ne peux refuser. Leur salle deau est également très jolie, toute voutée, avec de grands miroirs sur tout le mûr côté plan de vasque et une douche italienne qui prend toute la largeur au fond, entièrement vitrée.
Leau me fait du beaucoup de bien, sans compter que de me rafraîchir lentrejambe nest pas un luxe ! Manu, toujours souriant, passe rincer sa belle queue au lavabo en me disant quils mattendent si jai encore envie de me changer les idées.
Comment refuser une telle invitation ? Luc et Manu mont pris chacun leur tour encore un bon moment, mais après leur avoir demandé de finir dans ma bouche. Linfirmier à joui le premier, ne disposant pas du contrôle de son ami. Mon solide portugais ma fait faire les quatre coins du lit avec une certaine intensité avant de moffrir une éjaculation des plus magistrale, mettant un terme à nos ébats vers 1 heure du matin.
Nous avons bu une dernière bière avant que je ne rassemble mes affaires et mes esprits pour faire les quelques kilomètres me reconduisant jusque chez moi, la tête pleine détoiles.
Ma copine avait bien fait de sabsenter quelques jours. Quant à mes deux queutards, je les ai rencontrés deux fois sur dautres lieux de drague, mais nous navons plus jamais couché ensemble. Manu maurait bien tenté, mais à consommer seul et sans modération, et surtout sans Luc.Mais ce nétait pas possible.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!