La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 654)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°653) - La vie à bord du Croix Rousse -
Les deux skippers étaient les seuls à ne pas avoir regagnés le Croix Rousse. Où tout au moins, ils étaient repartis tous deux, avec masques et tubas, harpons, épuisettes et casiers pour une partie de pêche. Ils savaient quici, les langoustes foisonnaient, et quils reviendraient sans doute avec quelques beaux spécimens, de bons crustacés qui agrémenteraient délicieusement le repas du soir. Pendant ce temps, les passagers du bateau vaquaient à leurs occupations. Les Dominantes et Dominants sétaient installés confortablement dans le grand salon, un verre de jus de fruits frais posé près deux et avaient entamé une partie de bridge. Endymion MDE lui, avait été chargé de briquer le pont supérieur, à genoux avec une simple brosse en main, alors que la soumise Estelle devait, dénudée, assurer le service près des Maîtres et faire le ménage en cabines. Le ciel sétait subitement chargé, le vent sétait manifesté brutalement en changeant de direction, de gros nuages poussés par des rafales annonçaient un de ces grains tropicaux, bien connus sous ces latitudes. Il se mit à pleuvoir subitement des trombes deau
Heureusement une pluie chaude, mais soutenue, si bien quen lespace de deux minutes seulement le chien soumis MDE fut totalement douché et saucé, jusquaux os ! Malgré cette pluie diluvienne, lesclave MDE continua le travail confié jusquau moment où il entendit Monsieur le Marquis le héler :
- Viens te mettre à labri Ma pute, ne reste pas sous ce déluge, tu vas attr du mal !
soumis Endymion MDE ne se le fit pas dire deux fois, il se précipita sous la bâche tendue, sur le pont à larrière du bateau, près de la porte donnant sur le salon. Le Maître lui tendit une grande serviette et lui demanda de séponger alors que Madame Marie, à gorge déployée lança :
- Du travail en moins pour moi ce soir, je naurai pas à le doucher !
Une fois sec, Endymion MDE reçu lordre de se coucher tel un véritable chien, près des pieds du Maître et dattendre sagement.
- Mais que tarrive-t-il Ma pute de chien ! Sétonna Monsieur le Marquis.
Pour le calmer, le Maître lui posa un pied sur le visage écrasant ses joues au sol, tout en lui donnant deux magistrales claques sur les fesses. Monsieur le Marquis navait sans doute pas compris le pourquoi de ces agissements inopportuns et déplacés. Ce ne fut que lorsquil vit apparaître derrière la vitre de la baie vitrée, les deux skippers tenant dans chacune de leur main de magnifiques langoustes, quil appréhenda les manigances dEndymion MDE.
- Mais cest un bon chienchien ça, un bon toutou donnant lalerte, viens vers moi Ma petite pute
Monsieur le Marquis coinça la tête dEndymion MDE entre ses cuisses et lui caressa le dessus du crâne comme il laurait fait à un véritable chien. Peut-être pour se faire pardonner des deux claques données à tort, le Maître dégrafa la braguette de son bermuda, glissa son boxer sous ses couilles et offrait sa queue à Son soumis MDE.
- Tiens Ma petite pute, une petite récompense pour toi, suce moi, tout doucement, sans empressement, donne du plaisir au Maître.
Et pendant plus dune heure de temps, lesclave MDE suça, lécha, titilla, telle une gourmandise ce sexe tendu. Et plus il honorait le Maître, plus il sentait sa queue raide dans sa bouche, plus soumis Endymion MDE éprouvait un plaisir immense et intense irradiant tout son être. De temps à autre, Monsieur le Marquis, proche de la jouissance, exigeait à son chien soumis de se retirer de sa Noble queue, le temps que la pression redescende un peu, puis le réinvitait à le fellater encore et toujours et ce, jusqu'à la fin de cette partie de bridge !
Le châtelain éjacula sans retenue, à gros jets de sperme dans la bouche de son soumis au moment où il abattit sa dernière carte finalisant la partie de bridge ! Puis le chien soumis nettoya avec application et sa langue le noble Vit du Maître
La préparation du dîner fut en partie organisée par les deux skippers, ils soccupèrent de faire griller les 4 grosses langoustes pêchées. Madame Marie, divine cuisinière, quant à elle prépara une entrée digne de ses excellentes compétences en la matière par une mousse davocat avec quelques petites crevettes, elles aussi pêchées par Etienne et Maximilien, une sauce armoricaine pour les crustacés et un dessert glacé à base de noix de coco ramassées sur lîle. LorsquElle eut fini, et avant de passer à table, Elle soccupa de la douche de soumis Endymion MDE. Tel un , Elle se chargea de le laver de la tête aux pieds, sintéressant plus particulièrement aux parties intimes de son corps qui devaient être dune propreté absolue. Avec application mais aussi fermeté, Elle nettoya la nouille, les couilles et le cul de lesclave MDE, qui lui, au contact de cette main ne put retenir son excitation. Mais Madame Marie fit comme si Elle ne voyait pas cette bite tendue, Elle lava les cheveux du soumis MDE, puis le sécha et le parfuma même un tant soit peu avec une eau de toilette citronnée.
- Tiens, un peu de citronnelle sur ta peau en prévention des piqûres moustiques.
Madame Marie sen mit également sur les bras tout en continuant à converser sinon dordonner :
- Attention Endymion MDE, le Maître taccorde un privilège ce soir, tu ne porteras pas de cage de chasteté cette fin de journée, ou tout au moins pendant le service à table. Tu seras chargé de servir le vin, pendant tout le repas, alors que la chienne dEstelle assurera le service des plats. Ne tamuse pas à tripoter ta nouille, tu pourrais le regretter. Tiens enfile ça !
Madame la cuisinière tendit un tablier de sommelier au soumis MDE quil sempressa denfiler. Son fessier restait parfaitement dégagé
Voyant ce cul à lair, Madame Marie eut une idée. Elle farfouilla dans un grand sac et sortit un crochet en inox avec au bout une boule dun diamètre de quatre ou cinq centimètres environ.
- Écarte ton cul salope que je tenfile ce crochet anal correctement !
Endymion MDE se pencha en avant, sécarta les fesses sans ressentir la moindre pudeur ni la moindre honte, comme si montrer son cul était devenu naturel. La boule glissa dans son rectum, et une fois bien en place, Madame Marie fit redresser le soumis pour sassurer que le crochet sinsérait parfaitement dans sa raie. Au moyen dune corde, elle attacha lanneau du dit crochet au collier que portait le soumis MDE autour de son cou.
- Je sais que ton cul sécarte facilement maintenant que tu es devenu une bonne pute, mais ça nempêche pas quil faille poursuivre ton éducation et tes entraînements. Et puis tiens, en parlant dentrainement, ten quon y est, on va soccuper de tes burnes, et continuer à les étirer et les allonger. Soulève-moi ce tablier et présente-moi ton paquet !
Avec dextérité, Madame Marie noua sévèrement les couilles de lesclave MDE avec un lien assez fin. Elle laissa pendre un des bouts de cette ficelle entre ses jambes. Puis, telle Mary Poppins, Elle tripatouilla une fois encore dans son sac magique, et cette fois-ci, en sortit un poids dun kilogramme.
- Tu vois le chien, ce poids pendu à tes burnes à un double intérêt. Un, il étire ton sac et cest vraiment le but recherché et Deux, à chaque pas que tu vas faire, ce poids va venir cogner tout contre tes genoux et brutalisera tes articulations et donc te rappellera quune pute de ton espèce doit tenir les jambes écartés et les cuisses ouvertes.
Madame Marie était dune perverse dureté, elle prenait un sadique plaisir à contraindre et humilier Endymion MDE. Mais elle savait quen agissant ainsi sur lui, elle lui apportait ce quil recherchait. Pendant tout le repas, Endymion MDE se tint en retrait, debout, immobile, attentif. A chaque fois quun verre se vidait, il sempressait de le remplir de nouveau. Quant à soumise Estelle, elle servait les plats, et bien souvent, elle se faisait tripoter le cul ou la chatte par lun ou lautre des Dominants. Vers la fin du repas la Maîtresse dEstelle (Madame Gabriella) lui ordonna dexpliquer à Monsieur le Marquis ce quétait le rituel du soir pour Elle. Alors quelle se tenait debout, en attente, quelque peu réservée et timide, à faible voix, elle commença à donner quelques explications. Elle reçut deux claques sur les fesses de la part de Madame Gabriella.
- Aurais-tu honte de dire haut et fort ce que je fais pour toi et ton éducation ?
La soumise honteuse recommença en parlant dune voix plus forte :
- Monsieur le Marquis, Maitresse Gabriella, tous les soirs après le dîner, me distribue dix coups de martinet sur les fesses et dix autres sur ma poitrine. Elle estime, à juste titre que ce rituel fait partie intégrante de mon éducation.
Monsieur le Marquis dEvans, menton appuyé au creux de sa main regardait et écoutait attentivement soumise Estelle.
- Ce nest pas tout Monsieur le Marquis
après cette séquence douloureuse, Maître Henri me pose des électrodes dans mon vagin pour tonifier mes parois intimes, et ce pendant dix minutes. Lui seul décide de lintensité et des variations électriques. Je me plie volontairement à ses contraintes physiques, sommes toute douloureuses Monsieur le Marquis, car je sais quelles sont indispensables au bon fonctionnement dune chienne soumise comme moi, je tends à le devenir !
Monsieur le Marquis demanda à Estelle de sapprocher de lui. Une fois à proximité, il lattrapa à pleine main par sa chatte
- Et bien le repas est terminé, nous allons donc pouvoir assister à ce beau spectacle, petite chienne.
Les quatre Dominants se levèrent aussitôt, Monsieur le Marquis dEvans attrapa Endymion MDE par son collier pour quil les suive, Madame Marie appela les deux skippers, tous se dirigèrent vers la proue du bateau. Il faisait nuit, une belle nuit en réalité avec un ciel qui sétait subitement éclairci éloignant ses sombres nuages dorage et désormais était parsemé détoiles, une belle lune éclairait le Croix Rousse. Estelle attrapa le bastingage de ses deux mains, écarta les jambes, tendit son dos.
- Monsieur le Marquis, me feriez-vous lhonneur de flageller ma chienne ? demanda Madame Gabriella en lui tendant un lourd martinet de cuir
Il répondit que oui, bien sûr.
- Soyez sans pitié, Monsieur le Marquis, je vous en conjure, car elle aime ça et elle ne souhaite aucune modération ! Elle me supplie même parfois de frapper plus fort, repris Madame Gabriella.
Monsieur le Marquis fit dabord glisser les multiples lanières du martinet sur le dos dEstelle, telle une caresse, comme sil voulait faire goûter lobjet à cette peau sensible, puis avec détermination il asséna les dix coups, sans cruauté, ni bonté mais avec une dextérité imputée à sa longue expérience. Estelle hurlait à chaque coup et à chacun deux, et de par son masochisme, elle semblait mouiller de plus en plus, ce qui à lévidence excitait grandement la soumise, tandis que Monsieur Henri lenjoignait à crier plus fort encore.
- Braille petite chienne, petite salope, ici au milieu de locéan, personne ne peut tentendre !
Dès le dixième coup reçu, Estelle se retourna, écarta largement les cuisses, présenta sa belle poitrine, renversa la tête vers larrière. Monsieur le Marquis récidiva, de la même manière sauf quau neuvième coup distribué, Monsieur Henri intervint et stoppa la séquence.
- Regarde mon cher Edouard, comme cette petite salope mouille
Regarde sa chatte, elle est trempée, sa cyprine lui coule sur la cuisse
Cest une vraie chienne en chaleur
Monsieur Henri glissa son majeur dans cette fente, le remua tant et plus pour limprégner de cyprine, puis dégagea son doigt et sapprocha de Monsieur le Marquis en le lui montrant
.
- Tu vois ce que je te disais, elle ruisselle
alors pour lui apprendre à se contenir, donne lui, sil te plait, le dernier coup de martinet sur sa vulve. Je suis sûr quelle va gueuler de plaisir...
Sans attendre une seconde de plus, Monsieur le Marquis appliqua ce dernier coup sur lendroit choisi par le Maître dEstelle. Elle hurla tant et plus, autant de douleur que de plaisir
Endymion MDE bandait, sa queue soulevait son tablier de sommelier. Les deux skippers se paluchaient et se branlaient allègrement alors que la belle soumise Estelle sallongeait sur le dos relevait ses jambes sur sa poitrine et mettait son petit minou à disposition de qui voudrait bien la posséder, la baiser, la prendre à même le sol
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(A suivre
)
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