Baise Au Retour D'Un Voyage
Elle sait à quelle heure je rentre. Je sais qu'elle m'attend. Enfin qu'elle m'attend est beaucoup dire, elle a du commencer comme souvent. Je ne vais même pas la surprendre, au contraire, elle est assez exhibitionniste pour commencer sans moi. Je pense déjà au spectacle qu'elle va me donner gratuitement en plus. Ma femme est ainsi faite qu'elle ne peut résister à n'importe quel plaisir.
Je suis parti depuis une semaine pour mes affaires, je lui ai téléphoné chaque soir, vers 22 heures.
Elle attend mon coup de fil pour me raconter sa journée. Elle attend aussi que je lui demande de se faire l'amour au téléphone. Je lui dit que je suis nu, que je bande en l'imaginant avec sa main sur son sexe, pas dans, mais sur. Elle sait que je ne me touche pas, au moins pas encore. Je lui demande toujours de passer ses mains sur ses seins et me dire comment ils réagissent: la réponse est presque toujours la même, elle aime se caresser la poitrine. En plus ça l'excite d'avantage pour ce qu'elle va faire quand je le lui demanderai. Je lui propose de s'allonger sur le lit, entravers, comme si nous baisions, et là je lui donne la permission de se masturber et encore ne suivant mes désirs:
elle doit commencer par se caresser les grandes lèvres, de descendre un doigt et un seul jusqu'à son anus, de le rentrer lentement presque à fond. Je sais qu'elle obéi. Ensuite elle doit continuer par se doigter pour frotter deux doigts sur le point sensible. Je sais qu'elle adore jouir ainsi. Elle me dit exactement où elle en est. Quand elle jouit pour cette première fois j'entends son souffle fort dans le téléphone. Je lui laisse le temps de se remettre pour lui imposer d'aller poser les trois doigts habituels sur son bouton. Elle les mouille avec sa salive (si j'étais là, c'est ma salive qui servirait) elle les met en biais pour que chaque doigt passe sur son clitoris, en créant un léger décalage entre les sensations. Enfin je l'entends quand elle pousse son cri de jouissance.
C'est à son tour de me diriger. Elle me demande de prendre ma bite en main, la droite, Je dois faire descendre mon prépuce lentement jusqu'aux couilles. Je dois m'arrêter là jusqu'à ce qu'elle me dise de remonter la main. J'arrête en étant en haut. Ma main attend l'ordre suivant. Quelque fois c'est dur d'attende ainsi, la bite bien bandée sans tien faire pour la soulager. Elle le sait bien, c'est pour ça qu'elle m'impose cette épreuve. Enfin je peux me branler comme je veux, jusqu'à sa demande, juste au moment où j'allais jouir: je dois lâcher complètement ma pine. Elle me dit qu'elle a envie de jouir avec moi. Elle se branle encore et me laisser me finir. Nous arrivons quelqu'un rares fois à jouir ensemble.
Je la connais assez pour savoir qu'elle n'en est pas à son premier orgasme de la journée. En se réveillant déjà elle s'est caresser rapidement le cul, s'est levée pour prendre sa douche et là encore, elle s'est faite jouir avec le jet sur le sexe, suivant son inspiration elle le fait couler sur son clito ou vers son anus. Ensuite elle a du mettre se boules de geisha avant d'aller faire ses courses matinales. En revenant elle les a enlevé pour les remplacer pas un gode, celui que je lui ai offert pour l'anniversaire de notre mariage. Elle le sort juste pour cuisiner un peu. Elle le remet pour déjeuner. Les vibrations suffisent ^pour qu'elle jouisse encore. Elle attend ensuite mon arrivée pour commencer à prendre un peu d'avance sur son futur plaisir avec ma bite et ma langue.
Aujourd'hui je dois arriver vers 20 heures. Je l'imagine nue sur le fauteuil celui qui fait face au divan, une jambe sur chaque accoudoir, ses doigts déjà dans son vagin. Elle ne va jouir que par là.
Quand j'entre je la vois habillée à sa façon, une chemise à moi, ouverte, laissant vois outre sa belle poitrine, son ventre, son sexe et ses fesses où j'ai envie de rentrer. Je n'ai pas le temps de poser ma valise que je bande déjà comme un cerf. Je me déshabille rapidement: elle me regarde faire et dès que ma bite est dehors elle la veut déjà dans la bouche.
Je résiste un peu pour lui demander si l'amour téléphonique lui a suffit: non bien sur, mais c'était bon quand même. Je lui demande de continuer à se masturber devant moi. J'adore vois sa main sur son sexe, quand elle se masturbe. Je crois être comme tous les hommes, j'aime ce spectacle. Quand elle jouit elle me demande de venir la lui mettre. Je ne sais pas où, elle la veut. Moi aussi je veux la lui mettre. J'ai trois possibilité: dans sa bouche, juste ma hauteur, dans son con ou son cul.
C'est elle qui choisit: elle ouvre la bouche pour avaler presque toute ma queue. Elle ne se sert même pas des mains qui continuent à la caresser. Sa langue lèche rapidement mon gland. Elle avale le reste en le passant entre sa langue et ses lèvres par-dessus ses molaires. C'est presque aussi bon que quand je suis dans un autre orifice. Je sens qu'elle la met jusqu'à sa glotte, comme toujours.
Je sais qu'elle ne va pas me faire jouir, non pas parce qu'elle n'aime pas le sperme, mais simplement pour se la faite mettre là où je voudrais. Elle sait arrêter juste avant mon orgasme quelle sent venir, sans que je lui dise. Décidément nous sommes bien fait l'un pour l'autre. Nous nous connaissons parfaitement. Elle fini de se faite jouir et enfin est prête à se donner à moi.
Nous allons dans la chambre. Nous perdons toutes notions de ce qui se fait du reste recommander par la morale habituelle.
J'ai envie de a baiser pendant que je lui mettrai le gode dans le cul. Elle aime bien ça et moi aussi: j'aime sentir le gode vibrant quand je le croise dans son ventre. Je suis sur le dos, elle vient sur moi: me branle juste un peu, me suce à peine, vient sur moi, prend ma bite et s'assoit dessus. Elle fait quelques allers et venues, avant de se mettre complètement sur moi. Je lui écarte les fesses, y glisse doucement le gode vers son cul. Quand il est dessus, je ne force pas pour l'entrer. Je laisse aller l'imagination de ma femme: quand elle sent le gode, elle s'arrange toujours pour faire un petit bon en arrière et se le rentrer en partie.
Nos lèvres sont collées, nos langues dans la bouche de l'autre. Je sens ses seins écrasés contre ma poitrine. Notre baiser dure autant que notre baise. Nous jouissons presque toujours ensemble. C'est quand le dernier jouit que nos lèvres se quittent, pas pour longtemps.
Elle en veut toujours plus. Elle sait me faire bander encore plus rapidement, comme un jeune ado.
Cette fois elle désire que je sois sur elle. Je la couche sur le dos. Je lui fait écarter les jambes, y loge ma tête pour lui lécher son sexe. J'aime d'abord lui passer, juste en un éclair la langue sur le cul. Je la loge dans sa grotte. Je la baise avec ma langue: elle jouit encore. Je prends son clitoris, la lèche comme le ferait un petit chien à la main qui le caresse. C'est encore le nirvana pour elle. Enfin je me met entre ses jambes. Là je connais le chemin et pourtant elle me
prend la pine pour la guider directement dans sa chatte. Elle passe ses jambes sur mes fesses. Là c'est du sérieux. Nous baisons comme si nous ne l'avions jamais fait ensemble. Nos corps sont réunis par nos sexes et nos langues, par ses jambes et par mes bras qui l'étouffent. Nous baisons longtemps parce que nous nous aimons et aimons baiser tous les deux ensemble, même si la masturbation est notre vice. Qu'importent les plaisirs solitaires quand nous baisons. Les meilleurs plaisirs se prennent à deux. Nous sommes ensemble depuis plus de quinze ans. Nous nous faisons l'amour avec
toujours le même plaisir renouvelé à chaque fois.
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