Franche Camaraderie

Depuis le temps que nous étions installés dans la région marseillaise, nous avions fait un cercle important avec quelques amis( différents bien sûr de ceux de notre jeunesses), des copains et des relations, certains venaient du travail de Christophe mon mari, d'autres du voisinage, d'autres de nos activités sportives, caritatives, de loisirs ou autres, des copains de nos copains et les parents des copains de nos s. On sortait souvent, soit chez des amis, soit au restaurant ou on recevait , ça pouvait aller de relations à deux, trois ou quatre couples ou de soirées importantes dans la salle du tennis-club de notre ville. Contrairement à nos amis de toujours de la région parisienne où nos danses étaient toujours équivoques avec les maris des copines, nos relations du Sud n'avaient jamais de connotation sexuelle, je voyait bien que certains copains ne me regardaient pas toujours avec des yeux de franche camaraderie mais aucun n'avait osé me proposer de me voir en tête à tête, s'ils avaient su que j'aurais dit oui à plusieurs d'entre eux…
Au fil des années, des amitiés fortes se sont créés, certaines se sont défaites suite à des inimitiés ou des coups bas, a ma connaissance, aucune due à des histoires de sexe entre copains. Moi, je profitais toujours de la liberté sexuelle que notre couple s'octroyait mais je ne tapais pas dans les mâles de notre entourage, j'avais le choix ailleurs, une grande blonde avec des jambes qui faisaient retourner filles et garçons sur mon passage dans une région de brune de type méditerranéen, j’avais les hommes que je voulais. Mon chéri de mari était souvent en déplacement, mes s étaient à l’école en demi-pension et j'avais toutes les permissions de mon chéri, alors oui, j’ai pas mal consommé, des locaux, des touristes ou des hommes d'affaire, c’était un jeu de les mettre dans mes filets.
Parmi nos copains, il y en avait un qui ne me quittait jamais des yeux lors de nos soirées communes mais jamais il n'a eu un geste quelconque.

Il y a une dizaine d'années sa femme et lui ont envoyé des invitations pour une grande fête pour leur départ à la retraite et leur retour dans leur région d'origine la Vendée, durant la soirée, Christophe raconta qu'il partait à Paris deux jours plus tard car sa mère était très malade.
Trois jours après cette soirée en début d'après-midi quelqu'un a sonné à notre porte, c’était Charles notre nouveau retraité qui passait pour dire au revoir, j étais étonnée car il avait fait ses adieux à toute notre équipe à la fin de la soirée mais bon, c'était un copain, il n'allais rester sur le paillasson. Un fois à l'intérieur, il semblait hésiter à parler puis d’un coup il a sorti « avant de partir, je voulais te dire que depuis que je te connais je suis amoureux de toi, je suis resté avec ma femme parce que je voyais que tu ne me regardais jamais ,que j’étais presque transparent ». Je me suis approchée, j ai mis mes bras autour de son cou et je lui ai fait un innocent bisou sur les joues puis sur la bouche, j'ai reculé mon visage, je l'ai regardé puis je me suis à nouveau approchée, j'ai remis mes lèvres sur les siennes en appuyant, nos bouches se sont ouvertes et le bisou innocent s'est transformé en un gros patin interminable et très fougueux. Je l'ai pris par la main en lui disant « viens » et je l'ai amené dans une chambre d'amis, il ne disait rien se demandant sans doute ce qui lui arrivait.
Au pied du lit, je l'ai embrassé à nouveau, il a eu l'air de sortir de sa torpeur, il m'a couchée sur le lit puis a commencé à me caresser puis à nous déshabiller , lorsque je fus en slip et soutien-gorge et lui en caleçon, j ai ouvert les draps et on s'est glissé dedans, rapidement il a enlevé mon soutien-gorge et rapidement mon slip, je lui ai retiré son caleçon j'ai commencé à caresser sa verge bien raide pour un nouveau retraité , j'ai posé mes lèvres sur son gland avant de le faire coulisser dans ma bouche, il suivait mes mouvements en ayant une main sur une de mes joues, j'adore passer ma langue à la base du gland, titiller le frein puis enfoncer sa bite profondément en serrant les lèvres, j'alternais les effets en ressortant sa verge avant d'embrasser la tige dur la longueur puis aspirer les bourses.
Lorsque j'ai attaqué une gorge profonde, j'ai senti qu'il allait partir, j'ai stoppé ma fellation et bloqué sa jouissance en serrant la base de son phallus.
Il m'a étendue sur le dos, s'est positionné entre mes cuisses pour me faire un cunnilingus, comme à chaque premier, j'ai eu un orgasme presque immédiat. Je lui ai dit de venir, sa bite s'est placé en face de mon trou, j'ai senti son gland écarter mes lèvres puis commencer la pénétration , il s'est enfoncé lentement mais sans arrêt, une fois bien en moi, il a commencé son coït tout crescendo, il m'embrassait et me souriait alternativement, mes bras entouraient son cou et mes jambes le ceinturaient, lorsqu'il a accéléré, j'ai soulevé mes fesses pour me faire pénétrer le plus possible, sa jouissance a provoqué la mienne.
On s'est retrouvé couché côte à côte jambes emmêlées, je sentais qu'il allait dire des paroles que je ne voulais pas entendre, j'ai préféré l'embrasser et le caresser de partout, du coup il a fait de même.
A un moment il a dit « j'ai été le vrai son, j'aurais dû te draguer bien avant », je lui ai dit qu'étant un ami, il aurait eu un refus, je lui ai expliqué que j'avais des amants réguliers mais très rarement parois mes proches connaissances ( contrairement à ce que je faisait en région parisienne ), j'ai senti qu'il commençait à durcir sous mes caresses, je lui ai dit de venir me rebaiser, que ca6 faisait partie de mon cadeau de départ. Il savait que c’était vraisemblablement notre dernière fois, il m'a baisée comme un fou, j'ai joui 2 autres fois, lorsque ce fût son tour, j'ai eu l'impression qu’ il ne voulait pas enlever sa bite de ma chatte et pourtant ça a fini par arriver.
Il fallait se rhabiller et arranger la chambre, mes s rentraient de l’école dans moins de 30 minutes, il m'a donné son adresse, j'avais déjà son numéro de portable, il voulait que je vienne le voir, il aurait réserver un hôtel près de leur nouvelle maison, bien sûr, je ne l'ai jamais fait, il devait revenir de temps en temps avec sa femme dans notre région, on ne les a jamais revus.

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