La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 655)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°654) - Vicieuse perception de dépendance -

Juste avant que Monsieur Henri s’amuse avec le corps de sa belle soumise, Monsieur le Marquis d’Evans interpella Madame Gabriella.

- Ma chère amie, vous le savez j’en suis certain, j’ai ce souci constant à attribuer à chacun, ce qui lui est dû par référence aux principes de la justice naturelle. Vous m’avez comblé en me donnant votre petite chienne, à mon tour de vous donner mon soumis, faites le jouir, lui aussi, sous les lanières de votre martinet !

Madame Marie s’approcha avec un œil pervers vers Endymion MDE, lui ôta tablier, crochet anal et poids aux couilles avec une excitation non dissimulée, et le poussa contre le pat

- Cambre-toi la pute ! ordonna-t-elle.

L’esclave MDE offrit son cul, ses lombes et ses épaules, aux regards de tous. Il écarta les jambes, s’arrima au bastingage en tenant fermement la barre horizontale en aluminium posée devant lui. Madame Gabriella bien que menue et frêle, porta des coups d’une rare intensité. Le chien soumis MDE, serrait les dents, crispait ses muscles, parfois se tenait sur la pointe des pieds comme si cette posture allait le soulager. Mais il n’émit aucun gémissement, aucun grognement, aucun cri. Par fierté pour le Maître, il s’était fixé l’objectif d’encaisser les coups dignement, en montrant à ceux présents son exemplarité, sa totale détermination à subir, sa volonté à faire face coûte que coûte, à résister, à accepter dignement tout traitement que lui imposait le Maître. Seule chose qu’il ne parvint pas à faire, ce fut de contrôler ce bout de chair qu’il avait entre les jambes. Il bandait dur et ferme tel un âne, comme peut-être il n’avait bandé en de pareille circonstance. Il cueillait son plaisir, dans la souffrance, dans l’humiliation vécue, dans l’obéissance totale qu’il vouait au Maître et surtout dans ces yeux excités qui devaient le regarder frémir.



- Retourne-toi la putain ! Ordonnait Madame Gabriella.

Endymion MDE n’en crut pas ses oreilles, c’était la première fois que cette Domina s’adressait à lui directement ! Il prit la même posture que celle prise initialement par Estelle. Madame Gabriella s’adressa à Monsieur le Marquis avec un sourire illuminant son visage.

- Vous parliez d’équité, Mon Cher Ami, Voyez, moi aussi, je sais donner du plaisir à Votre salope, regardez comme votre chien mâle bande et je suis sûre qu’il mouille de la queue.

Elle voulut vérifier. Elle s’approcha de l’esclave MDE, pinça son gland pour extraire une goutte de liquide pré-éjaculatoire.

- C’est bien ce que je vous disais mon Cher Edouard, votre pute mouille de la queue !

Sans attendre une réponse, elle fit voler les lanières du fouet, celles-ci s’abattaient brutalement sur les tétons d’Endymion MDE. L’esclave de Monsieur le Marquis respirait un grand coup et retint encore une fois ses plaintes. Les huit autres coups furent tout autant denses et douloureux et quasi jouissifs pour le chien soumis qui était à la limite de l’éjaculation….

- Le dixième est pour ses couilles et sa nouille, pour être parfaitement juste et équitable dans le traitement que nous faisons subir à Nos chiens et chiennes, vous en êtes bien d’accord Monsieur le Marquis ?

Le Maître acquiesça par un seul hochement de tête. Le coup donné fut maîtrisé, mais cette fois-ci, Endymion MDE se tétanisa, lâcha le bastingage et tomba à genoux, souffle coupé. On aurait cru, à voir son visage, qu’il jouissait mentalement tout en chutant sur ses genoux. Les deux skippers toujours en train de se palucher, lâchèrent leur queue pour applaudir. Ils n’en revenaient pas… jamais ils n’auraient pu subir un tel traitement, ils étaient purement et simplement admiratifs…

- Mais comment peut-on accepter une telle chose ? Questionna à haute voix Etienne.

Monsieur le Marquis apporta une réponse précise et plus qu’humiliante à Etienne :

- Il suffit d’un peu d’entrainement, d’une volonté sans faille d’appartenance, d’un désir et d’un besoin d’obéissance strict, d’un dressage ferme et déterminé.
Et puis, il ne faut pas oublier cette différence qui existe entre toi Etienne et cette petite pute. Les esclaves innés, comme celui-ci, sont préparés naturellement depuis toujours inconsciemment d’ailleurs, depuis leur premier souffle, à vivre le sacrifice, à faire don de tout leur être, à s’extasier dans la douleur et la souffrance pour servir Le Maître… Ils sont nés avec leur masochisme bien ancré déjà en eux et sans le savoir, mais le découvre souvent tardivement dans leur vie de jeune adulte. La preuve en est, regarde Mon chien Etienne, regarde bien sa bite, elle n’a pas fléchi d’un iota ! Bref, il est né pour être tout simplement ce qu’il est désormais …

Le Maître semblait fier de Son chien soumis. Par l’éducation qu’il lui enseignait depuis un an, Monsieur le Marquis avait fait comprendre et admettre à l’esclave MDE, que cette vie rude, humiliante et difficile était celle à laquelle il était prédestiné. Depuis qu’il était au service de Monsieur le Marquis d’Evans, Endymion MDE éprouvait un vrai et réel plaisir de vivre cette vie d’esclave. Il était fait pour ça, un esclave asservi mais accompli, se donnant entièrement et en permanence au Maître. Ces quelques mots du Maître l’avaient complètement et totalement requinqué et subjugué. Il était heureux, son bonheur illuminait son visage et se manifestait par un large sourire… Monsieur Henri s’adressa alors à sa soumise Estelle, en prenant soumis Endymion MDE comme parfait exemple :

- Tu as vu petite chienne, le digne comportement de ton congénère, l’as-tu entendu se plaindre et gémir ? Non rien, pas un mot, ni même un cri ne sont sortis de sa bouche, tu vois, tu as encore beaucoup de progrès à faire. C’est ce que nous n’arrêtons pas de te dire salope !

Monsieur Henri maintenant humiliait sa femelle soumise Estelle comme pour agir suite à ses propos, en lui enfonçant des électrodes dans sa chatte et dans son cul après lui avoir solidement attaché ses quatre membres écartelés au bastingage du bateau.
Il lui collait également des patchs sur son périnée, eux aussi reliés par un petit fil électrique à la boite. Monsieur le Marquis avait attrapé son chien soumis MDE, l’avait fait coucher, à plat dos, face à la soumise en lui ordonnant d’écarter les cuisses pour bien dégager et exposer ses organes génitaux. Mais contrairement à Estelle, soumis Endymion MDE n’était pas attacher, Monsieur le Marquis d’Evans le laissait libre de ses mouvements. Monsieur Henri lui enfonça des électrodes dans son cul de salope, lui colla des patchs à l’intérieur de ses cuisses et sur ses couilles, lui serra trois petits lacets élastiques sur tout le long de sa queue toujours érigées. Monsieur Henri brancha le tout à une autre boite électrique, laissée à portée de mains de l’esclave MDE. Monsieur le Marquis d’Evans s’agenouilla près du visage du chien soumis, le regarda sévèrement et perversement longuement, puis s’adressa à lui :

- Je veux Endymion, tu entends bien, je VEUX… (Le Maître se tut quelques instants pour marquer plus encore sa volonté et son pouvoir) Je VEUX que toi seul actionne la puissance du variateur, de la fréquence et de l’intensité électrique. Je VEUX que tu me prouves encore ton désir de m’appartenir, ta volonté de te donner librement à moi, à toi de me convaincre, à toi de me justifier, à toi d’illustrer ta constante détermination, fut-ce avec acharnement ou énergie, de n’être qu’un esclave, Mon esclave ! Oublie la douleur que tu vas ressentir, fait la croitre en actionnant ces deux petits boutons et accepte là telle une Evidence… Donne-toi et offre-toi Ma pute, simplement dans l’abnégation, le détachement, la résignation et le sacrifice !

Monsieur le Marquis d’Evans actionna l’interrupteur, et les premières vibrations apparurent. Elles étaient douces et excitantes. Endymion MDE entendait déjà gémir plutôt de plaisir, soumise Estelle qui, elle subissait sans pouvoir agir. Doucement, le soumis MDE tourna le premier bouton, celui jouant sur l’intensité des chocs électriques.
Ses muscles et fibres intimes, au fond de son cul, mais aussi sur ses cuisses se contractaient et se relâchaient selon les pulsions électriques. Ses couilles semblaient se faire marteler en profondeur, sa bite sursautait à chaque influx électrique. Endymion MDE augmentait encore l’ampérage et la puissance du variateur, renforçant la virulence des ondes. Elles étaient telles que l’esclave MDE se raidissait, pliait les jambes, prenait appui sur ses pieds pour soulever son bassin du sol. Mais le soumis MDE ne voulait pas en rester là, encore à plusieurs reprises, il actionna les deux boutons, les tourna de gauche à droite pour accen les impulsions secouant tout son être. Il haletait, gémissait, se tordait, mais toujours et sans cesse augmentait la fréquence électrique jusqu’à ce que les deux boutons soient positionnés sur le maximum, ce qui lui provoquait une bandaison hors norme. En effet rarement sa verge, d’une si puissante érection, était si gorgée de sang, si volumineuse, si raide et droite, au gland très violacé. Etrangement, aussi, ses sensations plus que douloureuses lui procuraient une motivation inconsciente et une perception de dépendance absolue via cette excitation autant physique que mentale...

Il était donc dans cette ivresse de la douleur physique et du plaisir mental, à la fois subjugué et affranchi, asservi et délivré, opprimé et libéré, simplement réduit à l’esclavage sous les yeux de ces quatre Dominants, et des deux skippers, tous debout, le regardant se commettre et souffrir pour mieux s’accepter et se faire accepter tel qu’il était. Ce fut ainsi pendant un bon quart d’heure… L’esclave MDE était éreinté, fourbu, harassé, et lorsque Monsieur le Marquis d’Evans stoppa cette infernale machine, l’esclave resta totalement tétanisé, comme si son corps demeurait en lévitation. Ce fut seulement qu’au bout de quelques minutes que ses muscles cédèrent, son corps tremblant subitement s’affaissa. Endymion MDE respirait et soufflait bruyamment, totalement exténué. Monsieur Henri, sans mot dire, le débranchait, puis l’attrapait par les cheveux pour le faire mettre à quatre pattes. Sitôt positionné, il plaqua la tête du soumis MDE entre les cuisses d’Estelle pour lui faire lécher cette chatte offerte, ruisselante et dégoulinante de cyprine, tant tout cela avait également excité cette femelle qui, de spasmes en spasmes, jouissait mentalement aussi, se retenant à une jouissance physique laquelle, elle n’était pas autorisée à libérer...

- Lèche-la bien ! ordonna-t-il.

Au même moment, alors que sa langue commençait à glisser entre les lèvres intimes de la femelle soumise, que deux gros doigts pénétraient son cul. Par réflexe, il sursauta et poussa un long gémissement, aussi long que la poussée de ces doigts dans son fourreau intime. Il se fit vilipender par Monsieur Henri.

- Lèche, t’ai-je simplement ordonné !

Alors soumis Endymion MDE se remit à brouter ce gentil et moelleux minou, tout en se faisant fouiller le cul…

(A suivre…)

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