La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 656)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°655) - Pour la première fois, pris en double sodomie -
soumis Endymion MDE avait le cul en feu, les doigts de Monsieur Henri, lui taraudaient largement son trou, jusquà ce que celui-ci soit parfaitement dilaté et grand ouvert pour obtenir un cul béant. Monsieur le Marquis dEvans interpella les deux skippers et leur fit constater la distension de cet anus, puis il sadressa à eux deux :
- Je vais vous donner en pâture cet orifice Mappartenant. Vous laurez pour vous, pour la nuit entière, je suis sûr que vous saurez remercier Mon très Cher Ami Henri de tout ce travail préparatoire quil est en train deffec ! Ainsi, vous pourrez baiser Mon chien autant de fois que vous le voudrez, dans toutes les positions que vous souhaiterez, son trou nest fait que pour ça.
Les propos tenus par le Maître étaient des plus humiliants. Lesclave MDE nétait même plus un chien, ni même une pute, ni même un esclave mais simplement un trou, rien quun trou à baiser, à fourrer, à besogner, un vide-couilles à répétitions
Et Monsieur le Marquis livrait ce trou grand ouvert et bien exhibé aux deux mâles passablement excités et terriblement pervers. Quallait encore subir Endymion MDE, que lui réservait-on, une nuit toute entière à être sodomiser ? Ses réflexions sarrêtèrent instantanément. Le soumis MDE, toujours à quatre pattes, la tête entre les cuisses de la femelle soumise, était attrapé sans ménagement par les deux skippers toujours en rut. Ils le soulevèrent du sol, lun le tenant par derrière, par le haut de ses cuisses, lautre par devant, lagrippant par les épaules. Ils le transportèrent ainsi jusque dans la cabine de pilotage. Ils le couchèrent à plat ventre sur lune des couchettes en lui faisant largement écarter les cuisses. Les deux skippers ne parvenaient plus à maîtriser leurs pulsions et besoins sexuels, ils semblaient affamés, tel deux crève-la-faim, cherchant tous les deux et au plus vite à se rassasier, à pénétrer, tant ils bandaient fort comme des cerfs en chaleur.
- Pourquoi serais-tu le premier à enculer cette pute ?
Etienne se contentait de râler tout en cherchant à glisser son gland dans cette humide cavité, alors Maximilien le bouscula, bite raide en mains, pour à son tour tenter de la fourrer au plus profond du cul dEndymion MDE
- Soyons raisonnable Max, on ne va pas se disputer pour ce chien !
Tiens je te propose que nous le prenions tous les deux ensemble en même temps. Son trou est tellement large quil peut sans aucun doute prendre nos deux bites à la fois.
Sans attendre Etienne attrapa Endymion MDE par les cheveux, le fit se relever. Sitôt lesclave MDE debout, et sans lui relâcher sa chevelure, Etienne sallongea sur le dos à même le sol. Il tira une nouvelle fois sur la tignasse du soumis MDE afin que celui, face à lui, lenjambe, saccroupisse, et sempale sur son sexe tendu à lextrême. A peine lesclave venait-il de prendre toute entière cette queue en lui par empalement, quil sentit une nouvelle pression sur son anus. Maximilien cherchait à le prendre en se positionnant sur le dessus du corps du chien soumis. Pour y arriver, il ordonna alors à Endymion MDE de sallonger sur Etienne, puis dun trait força son accès déjà encombré dune bite et à son tour le pénétra. Pris en sandwich, deux queues dans le cul dilaté à son maximum, soumis MDE subissait les assauts en sextasiant, ce qui le faisait bander fortement. Cette bandaison ne put, évidemment passer inaperçue et le skipper qui était sur lui prenait un sadique plaisir à lui compresser sa bite dressée par une empoignade au serrement intense mais sans jamais le branler.
Après un long moment de vas et viens en double et cadencé, ce fut Maximilien qui le premier foutra le cul de lesclave en émettant de longs et puissants râles de jouissance à nen plus finir. Puis quelques secondes plus tard, ce fut Etienne qui envoya puissamment son jus en de longs jets de sperme en saccades et en accompagnant son éjaculation de râles puissants également. En même temps quil éjaculait bestialement, il enfonça profondément ses ongles dans la peau des hanches de lesclave ! Celui-ci se mordait les lèvres afin démettre aucun cri de douleur. Pendant de longues minutes, les deux skippers restèrent encastrés dans ce cul distendu, jusquà ce que leurs queues redeviennent flasques, contrairement à la bite de lesclave qui était encore en une érection forte, tant cette double sodomie lavait excité autant que lempoignade subit sur sa nouille. Il faillit même jouir quand la douleur des ongles dans sa tendre peau lui provoqua une montée de foutre quil lui fut difficile à maîtriser mais quil arriva à stopper après multiples efforts à se contenir
Après avoir relâché la pression sur sa bite, Maximilien attrapa Endymion MDE par les couilles, il le fit avancer à quatre pattes en exerçant une douloureuse pression sur ses burnes jusquà une trappe donnant sur la soute du bateau.
- Tu vas pouvoir prendre du repos la pute, rentre là-dedans ! Ordonna Etienne.
La cage nétait pas ordinaire, elle était dabord rectangulaire et étroite, ni haute, ni très longue, ni très large, avec une ouverture centrale sur lun des plus petits côtés, dans laquelle se trouvait un cercle métallique. Maximilien fit entrer le soumis MDE dans cette cage à quatre pattes et à reculons, aidé par Etienne qui avait glissé sa main entre les barreaux pour chopper lesclave par les couilles et lentrainer bien au fond de cette modeste cellule. Une petite ouverture permis à Endymion MDE de glisser ses pieds et mollets à lextérieur de cette cage. Sa tête, elle aussi était tenue à lextérieur mais enfermée dans ce cercle métallique prévu à cet effet. Le soumis MDE comprit bien vite que la posture serait très difficile à tenir, dans une telle position, il lui serait impossible de se coucher, il devrait rester à quatre pattes, peut-être assis en se contorsionnant un peu. Mais cette dernière idée fut bien vite oubliée. En effet Maximilien, venait de glisser sous labdomen de lesclave MDE, une barre métallique lui empêchant le moindre mouvement et le contraignant à rester, cul relevé et bien plaqué contre les barreaux. Etienne, quant à lui, lui sanglait les poignets et les accrochaient à des mousquetons suspendus aux barreaux du dessus de cage.
- Te voilà parfaitement installé la pute ! lançait Etienne.
- Trop confortablement même !
Regarde comme il bande encore ! dit Maximien en rebondissant sur les propos de son collègue... Je lui ai empoigné sa nouille durant toute la double saillie et cette pute de chien na pas débandé une seule seconde, même au contraire, je sentais sous mes doigts que plus jenserrai sa bite, plus il bandait, alors par perversité, je lai privé de le branler, je lui ai juste empoigné sa queue de chien
Ha
ha
Ha
!
Maximilien de nouveau se tripotait la queue, ce spectacle et ce quil venait de dire visiblement lexcitait de nouveau.
- Dis-moi Etienne, un esclave voulant être une bonne pute, ne doit-il pas avoir ces trous toujours ouverts et à disposition ?
Etienne le regarda étrangement ne comprenant pas visiblement où voulait en venir Maximilien. Alors Maximilien ouvrit un grand placard dans lequel était rangé impeccablement un grand nombre daccessoires BDSM. Il sortit un écarteur de bouche ainsi quun spéculum.
- Excellente idée ! Sesclaffa Etienne.
Les deux accessoires furent installés et placés sur Endymion MDE. Le spéculum lui écarta le cul, juste suffisamment pour quune queue puisse glisser sans difficulté dans cette sombre cavité devenue largement béante. Lécarteur de bouche permettait également à une bite de glisser sans la moindre gène dans cet orifice buccal grand ouvert aussi.
- Allez repose-toi bien la pute ! Tu finiras bien, peut-être, par débander tout seul
Ha
ha
Ha
lui envoya Maximilien sur un ton pervers
Les deux skippers abandonnèrent, à son triste sort lesclave MDE. Ils refermèrent la soute derrière eux en laissant malgré tout une petite lampe éclairée. Ils branchèrent une petite caméra discrète, pour surveiller du poste de pilotage, les agissements et comportements du chien soumis MDE !
Oh combien la posture était dure et pénible ! Oh combien lesclave MDE souffrait ! Et pourtant
pourtant, point de lamentation, point de jérémiade, ni de plainte, aucun regret ni remord, encore moins de désolation ni damertume. Il était là, contraint, ouvert, abusé, torturé mais à sa juste place. Son mental était plus fort que les douleurs physiques imposées. Oui, il était dans lacceptation, lapprobation, lacquiescement et le consentement, tellement fier de souffrir pour le plaisir de Monsieur le Marquis dEvans. Cette idée de souffrir pour la fierté du Maître désormais le hantait, tant il était heureux dêtre asservi et assujetti. Il ne décidait plus de rien, se laissait gérer et conduire là ou Monsieur le Marquis lentrainait, fut-ce dans la pire décadence ou la pire perversion. Aujourdhui plus que jamais, il se sentait un véritable esclave ! Sa queue, sa satanée queue ne trahissait pas ses pensées et il navait aucune envie de débandaison, bien au contraire, son érection était de plus belle
(A suivre
)
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