Rêve De Paradis Sexuel
Rêve de paradis sexuel
- Attends. Hervé, je suis capable daimer mon mari et de faire en plus de la place à Nora dans mon cur sans nuire à notre amour. Je suis sûre que ton cur est assez grand pour continuer à maimer et pour souvrir à son tour à Nora. Ainsi, sans nuire à notre amour, tu pourrais aimer deux femmes qui tadorent. Nous pourrions vivre si heureux à trois. Imagine, ce pourrait être merveilleux. Nora navons-nous pas imaginé ensemble, à plusieurs reprises, cette solution paradisiaque ?
- Oh ! Si. Ce serait magnifique. Hervé, je serais si heureuse de contribuer au bonheur de votre couple. Saimer à trois
Ne plus se masturber faute de partenaire. Dites oui. Il faut que je vous embrasse. Vous verrez je me livrerai sans frein, trop heureuse de goûter à nouveau le fruit de larbre défendu. Je tappartiendrai toute, tu feras de moi ta chose, par devant et par derrière si tel est ton bon plaisir et celui de Louise
Sans complexe elle me fait connaître le goût de ses lèvres, une subtile mixture de sa propre salive et des fluides plus connus du vagin de mon épouse. Ce baiser audacieux, savamment dispensé contribue à ma perte. Avec la masturbation appliquée de Louise sur mon membre gorgé de sang, il balaie toute envie de résister. Je rends les armes sans coup férir.
-Dans le fond, ton retour impromptu est providentiel : nous allons pouvoir nous aimer ouvertement. Au diable les précautions. Une chute heureuse dans lescalier va nous permettre de tout partager à trois, dinventer lamour à trois.
Inventer ? Le mot traduit son enthousiasme. Que reste-t-il à inventer, nous avons des siècles de retard. Je croule sous les baisers de deux femmes certaines de refaire le monde. Comment résister ? Cest physiquement presque impossible avec cette entorse et en raison de mon érection entretenue par ma femme qui vient demprisonner dans sa bouche mon gland décalotté par ses doigts. Cest mentalement difficile : elles sont volontaires, consentantes, complices préparées et elles ont su si bien me flatter.
La curiosité lemporte, le goût pour une expérience bizarre et la peur de perdre Louise me paralysent. Je devrais les haïr, je devrais les fouetter puis les jeter à la porte, nues. Je me soumets, je me tais, je me laisse attendrir par un baiser et des manipulations adroites, je consens. Enfin, messieurs, que celui qui na jamais rêvé faire lamour avec deux femmes, séparément ou simultanément, lève le doigt. Je ne suis ni meilleur ni pire que beaucoup. Je naurais jamais osé demander le partage avec un tiers, mais on me loffre avec tant dinsistance ! Comment refuser ?
Ma femme me suce le gland. Linfirmière amante de ma femme embrasse mes lèvres, me fait du bouche à bouche. Jen ai besoin pour traverser lépreuve. Jouvre les mâchoires et je perfectionne le baiser. Je sens le mouvement de Nora en direction de Louise. Du coin de lil je vois disparaître dans les mains de mon épouse le string de notre alliée toujours occupée à exciter mes papilles. Cest au tour de Louise de faire mouvement. Sans bouger, couché sur le dos, immobilisé par la douleur et les quatre bras de mes deux femmes, je passe de la bouche de ma partageuse épouse dans son vagin. Elle est parfaitement humide et sembroche du premier coup sur le pieu, descend en habituée sur les poils de mon pubis et déborde sur mes bourses.
Cest elle, je reconnais son coup de rein, son allure de croisière, sa mélopée amoureuse, son petit cri après trois ou quatre mouvements daller-retour. Après des apnées de durée égale, Louise reprend ainsi bruyamment sa respiration en poussant un « ha ! » pour marquer son effort et son plaisir en devenir. Joublie lentorse de ma cheville, et lincroyable entorse à la promesse de fidélité, mais je profite de lassistance accordée généreusement par la croupe à ma hampe. Fidélité et assistance, promesse solennelle dans la salle de mariage.
Louise se penche, relève la tête de Nora et lembrasse amoureusement à une trentaine de centimètres de mes yeux. Elle continue son activité soutenue sur ma verge, balance inlassablement le bas de son dos, me tient au chaud dans le four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours. Elle abandonne la bouche amie et ordonne :
- Nora, donne-lui ton con à sucer. Monte sur le lit et accroupis-toi sur sa figure.
Sitôt dit, sitôt fait. Nora y met de lenthousiasme. Je vois passer sa jambe puis descendre son abricot épanoui au milieu de sa toison de blonde pulpeuse comme il se doit. La vulve tiède se pose délicatement sur mon nez. Mes mains saisissent automatiquement deux cuisses massives, attirent le fruit juteux à ma bouche. De deux doigts jouvre la voie puis je pointe ma langue. Nora se déplace davant en arrière, darrière en avant et fait glisser toute la longueur de sa vulve sur ma langue, mon nez sert de guide à sa fente en mouvement. . Ainsi je fouille toute la longueur du sexe déjà trempé de jus féminin au goût si différent de celui de mon infatigable cavalière.
À ce moment se forme un triangle de chair : mes deux femmes pratiquent un bouche à bouche ardent et me gratifient de mouvements de fesses passionnés. Mes mains semparent de leurs seins, les couvrent de caresses. Effectivement jai de laffection et de lamour à donner, le nombre ne meffraie plus. Le traitement est efficace, mon érection atteint son comble, ma verge tressaille dans la chaleur du ventre de ma femme. Lorsque Louise sent mon premier jet de sperme contre son utérus, elle sarrache à moi, empoigne la tignasse blonde, pousse la tête de Nora sur ma queue et lui crie :
- Là, cest pour toi, avale, je te loffre.
Je mépanche dans la bouche assoiffée de la veuve privée de sperme depuis trois mois.
- Mon chéri, Nora veut jouir avec toi. Baise-la. Il y a si longtemps quaucune bite na pénétré son frifri. Sois bon et généreux, prends-la. Je te le demande au nom de notre amour.
Pour une fois elle oublie lhabituel « amour impérissable ».
- Hervé, ce sera une bonne action, pas un adultère. Complète lunion de nos trois curs par lunion de vos deux corps, je ten prie, pour lamour de moi.
Nora relève ses jambes, me regarde amoureusement. Je connais sa bouche. Louise conduit mon membre au seuil du sexe à remplir et à faire jouir. Pour durcir mon pénis, elle le masturbe dune main et le suce. De lautre main elle prépare lentrée du vagin à connaître. Nora a ouvert son sexe avec ses deux index, dégagé le losange rose au milieu duquel Louise promène et enfonce un index et un majeur.
-Bon, vous êtes prêts, bien lubrifiés, pénètre-la et aime-la comme tu maimes, je le veux, mon amour.
Soif damour, gratitude, reconnaissance, envie de plaire et de profiter du moment, tout contribue à donner à cette amante particulière inespérée, imprévue, un attrait formidable. Ma femme le veut, je ne me pose pas de question, je fonce, je défonce. À grands coups de reins je pénètre au plus profond, je pioche avec entrain, je creuse avec enthousiasme, je sens les frissons de ce vagin renaissant à la vie, ses contractions violentes autour du pieu en exploration dans ces profondeurs désertées.
- Reste, crache dedans, crie Louise.
Louise sest assise sur mes fesses, me maintient au chaud et me plante un doigt. Jéjacule longuement. Nora gémit, dit :
- Baise-moi fort, je taime.
Je roule sur le côté. Louise se précipite pour recueillir sur sa langue et lavaler le filet blanchâtre du sperme de son époux renvoyé hors du berlingot honoré par son homme et elle relance lorgasme bruyant de « notre » maîtresse.
Cest le baptême de notre trio. Nous achèterons un lit plus grand pour pouvoir dormir à trois. En attendant, nous nous aimons. Quand, la nuit venue, nous avons épuisé nos ressources sexuelles, quand nous nen pouvons plus de faire lamour, nous nous serrons. Aucun de nous trois ne va dormir dans la chambre damis. Parfois pendant mon sommeil on me suce, on monte sur moi, dautres fois une étreinte des deux amoureuses me réveille et je suis prié de me joindre à mes deux femmes. Cest le paradis.
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