L'Esclave De Pied Domestique (Partie 1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
La porte blanche du centre dachat desclave souvrit doucement en pivotant. Apparu alors une jeune femme rousse aux yeux verts malicieux, portant une combinaison blanche très serrée et affichant le losange rouge des vendeuses desclave sur la poitrine. Elle souriait de toutes ses dents et celles-ci étaient dune blancheur éclatante. Sylvie sourit à son tour.
« Bonjour, dit la vendeuse desclave. Nous avions rendez-vous nest-ce pas ?
-Oui, répondit Sylvie en entrant. Pour 15h. Je suis un peu en avance.
-Oh, ce nest rien. Nous avons lhabitude des clientes impatientes. Lexcitation, cest ça ? Cest tout à fait normal.
-Eh bien, ce sera mon premier esclave
»
Sylvie était une femme dune quarantaine dannée, veuve depuis maintenant cinq ans. Ses cheveux blonds étaient assez longs pour atteindre le bas de son dos. Physiquement, elle ne faisait même pas trente ans et les hommes le lui faisaient bien remarquer, mais elle avait un tempérament
particulier. Elle avait tenté de refaire sa vie à plusieurs reprises après le décès de son mari, mais tous ses amants avaient finis par la fuir à peine une semaine après lavoir rencontré. Il fallait dire que Sylvie entretenait des goûts que peu dindividus partageaient. Commençant à ressentir une solitude désagréable, elle avait pris la décision dacheter un esclave qui, lui, accepterait dassouvir tous les fantasmes de sa maîtresse sans broncher
puisquétant un esclave.
La vendeuse fit signe à Sylvie de la suivre. Les deux femmes traversèrent une série de couloirs blancs et éclairés par de multiples lampes incrustées dans les murs avant que la vendeuse ne jette un coup dil à Sylvie.
« Que recherchez-vous exactement ?
-Un esclave capable de supporter
enfin dendurer
Un esclave solide.
-Oh, madame a des fantasmes difficiles à assouvir ?
-Exactement.
-Lâge de lesclave ?
-Un jeune.
-Les plus jeunes que nous avons ont dix-huit ans.
-Cela fera laffaire. Ah, et il doit être beau. Je suis prête à mettre le prix.
-Tous nos esclaves sont de véritables apollons. Nous rejetons les plus laids, ou simplement les plus banals, et nous les envoyons dans des centres de vente moins prestigieux. Ici, nos produits sont luxueux et adaptés à notre clientèle.
-Je ne roule pas sur lor mais je ne reculerais devant aucun coût, ou presque.
-Jai tout à fait compris. »
La vendeuse sarrêta au milieu dun nouveau couloir se terminant par un ascenseur.
« Avant de continuer, dit-elle en se tournant vers Sylvie, je dois savoir quel genre desclave vous désirez acheter. Nous avons un catalogue très varié.
-Pouvez-vous men faire linventaire ?
-Mais bien sûr. »
La vendeuse tira de sa ceinture une petite brochure rouge et la déplia avant de se placer aux côtés de Sylvie pour lire, en même temps quelle et à haute voix, les types desclaves vendus dans le centre.
« Tout dabord, nous avons les esclaves sexuels. Nos lécheurs danus sont extrêmement performants et nous en avons de très bons retours. On les a dressés spécifiquement pour cette tâche et pour satisfaire à peu près tout ce qui tourne autour de lanus. Ils peuvent également servir de papier toilette vivant et leurs visages font dexcellents coussins pour les fesses. Les lécheurs de vagin sont également de très bonnes affaires, et nous avons aussi en stock quelques esclaves de pied de premier choix.
-Dites men plus sur ceux-là.
-Ils peuvent servir de repose-pied après une longue journée de marche ou de masseurs. Leur langue est faite pour nettoyer et humidifier les pieds fatigués et irrités de leur propriétaire. Quimporte lodeur ou la saleté des pieds quils servent, ils les lèchent avec dévouement et application, et ce dans nimporte quelle situation.
-Yen-a-t-il dautre ?
-Oh, oui. Nous avons des défouloirs. Des esclaves sélectionnés pour leur robustesse et leur endurance.
-Cest très intéressant.
-Du côté des meubles vivants, nous avons les pots-de-chambre humains dans lesquels vous pouvez faire vos besoins. Mais également des meubles plus conventionnels tels que des chaises vivantes, des tables, des porte-manteaux ou des statues.
-Jaimerais
»
Sylvie réfléchit un instant.
« Jaimerais un esclave polyvalent, capable de faire tout cela. »
La vendeuse sourit de plus belle.
« Toutes les femmes veulent ça. Vous pourrez exiger ce que vous voudrez de votre esclave lorsquil sera en votre possession, mais il vous faut quand même choisir un esclave spécialisé au départ. Nous ne vendons pas « desclaves à tout faire »
-Bon, eh bien
Les défouloirs mattirent beaucoup
Mais les esclaves de pied encore plus. Je vais en prendre un comme ça.
-Excellent choix ! sexclama la vendeuse en replaçant la brochure à sa ceinture. »
Elles prirent lascenseur et débouchèrent sur une vaste pièce circulaire ou salignaient des cages en verre dans lesquelles des jeunes garçons, entièrement nus et à genoux, les bras maintenus dans le dos par des chaînes, attendaient les yeux baissés. Comme lavait promis la vendeuse, ils étaient tous magnifiques.
« Faites votre choix, je vous en prie. »
Sylvie arpenta la salle pendant quelques minutes. La vendeuse ne la lâchait pas du regard. Elle finit par sarrêter devant une cage en verre abritant un jeune homme de dix-huit ans tout juste, les cheveux noirs et les yeux marrons, le visage angélique, la peau pâle et le corps mince et parfaitement proportionné.
« Cest lui que je veux, dit-elle immédiatement.
-Souhaitez-vous lessayer ? demanda la vendeuse. Nous proposons des séances dessai avant chaque achat, mais vous ne pouvez le faire quavec un seul esclave. Nous avons des salles à disposition.
-Oui, je veux bien. Dois-je payer plus ?
-Un peu plus, oui.
-Pas de problème.
-Très bien, nous allons vous le préparer.
-Comment se nomme-t-il ?
-Esclave numéro 7458. Mais libre à vous de le renommer à votre convenance. »
Sylvie fut conduite dans une salle secondaire du centre, insonore et assez spacieuse. Les murs rouges et mauves étaient tapissés de soie et au centre de la pièce se trouvait un large divan rembourré à côté duquel trônait une table en métal sur laquelle salignaient divers outils tels que des cravaches, des fouets, des martinets, des godemichets, du lubrifiant, une laisse de chien, un collier, etc
Sylvie sentait sa culotte shumidifier à mesure quelle savançait vers le divan. Lorsquelle sassit dessus, la porte souvrit une seconde fois, laissant entrer la vendeuse et lesclave.
« Eh bien, je vous laisse, dit la vendeuse. Vous avez une heure devant vous.
-Merci beaucoup. »
Et elle les laissa seuls.
Lesclave se présenta à genoux aux pieds de Sylvie, silencieux. Celle-ci le contempla avec délectation, excitation et crainte, car cétait la première fois quelle sadonnait à ce genre de pratique.
« Bon, eh bien
Puisque tu es un esclave de pied
»
Elle lui présenta son pied gauche tendu.
« Commence par me faire un massage. »
Lesclave, docilement, déchaussa sa future propriétaire avec des gestes lents et posa la chaussure à côté de lui.
« Passe au deuxième, intima-t-elle au jeune garçon dun ton plus assuré. »
De même, la chaussure de son pied droit lui fut ôtée, et les mains de lesclave recommencèrent à lidentique leur méthode de détente du délicat organe. Sylvie soupira et ferma les yeux. Que cétait bon. La fatigue accumulée dans la journée, le stress, la précipitation, les douleurs, les crampes de ces derniers jours, tout cela senvolait un peu plus à chaque pression du garçon sur un point nerveux de son pied.
Dix minutes sétaient écoulées quand Sylvie repoussa légèrement les mains de lesclave en agitant son pied et leva celui-ci à la hauteur du visage de son objet-masseur.
« Est-ce que leur odeur te plait ?
-Vos pieds sentent exquisément bon, madame.
-Tu en es sûr ? Prouve-le-moi. Renifle-les. Montre-moi que tu les désire et que tu les vénères. »
Ca y est, elle se prenait au jeu. Sa voix nétait plus ni tremblante, ni craintive, mais bien plus semblable à celle que devait adopter une maîtresse avec son esclave. Elle prit un malin plaisir à observer le jeune garçon agenouillé face à elle coller son nez contre ses pieds odorants et inspirer profondément, emplissant ses poumons des senteurs de transpiration et de cuir contenue entre les orteils chauds et moite quelle lui présentait. Afin den raviver lodeur, elle agita ceux-ci. Quand lesclave recula sa tête, voulant reprendre sa respiration et inspirer de lair frais, Sylvie accompagna son mouvement et maintenu son pied collé contre son visage.
« Ne bouge pas tant que je ne ty ai pas autorisé, dit-elle. Tu vas bientôt mappartenir alors tu ferais mieux de thabi à cette odeur et à la considérer comme la seule et unique que ton nez doive un jour sentir. Après tout, les humains respirent de lair pur mais toi tu nen es pas un. Le seul air qui tes disponible est celui qui gravite autour de mes pieds. »
Elle passa au second pied. Cette fois, elle se pencha en avant, saisit lesclave par les cheveux et appuya directement sa face contre sa voûte plantaire, allant jusquà lui écraser le nez contre sa peau moite.
« Inspire. »
Le garçon, les yeux fermés, renifla bruyamment. De sa position, Sylvie elle-même pouvait sentir les effluves qui émanaient de ses pieds. Elle naurait pour rien au monde voulu être à la place de lesclave.
Mais lhumain était cruel par nature. Si la société avait appris à chacun à être respectueux de son prochain et à ne jamais faire à un autre humain ce quon ne voulait pas quil nous fasse à nous, cela ne sappliquait pas aux objets. On punissait un quand il était violent avec un de ses camarades, mais on le laissait aisément passer ses nerfs sur son ours en peluche.
Face à cet esclave, Sylvie pouvait sentir ses instincts les plus vils se réveiller. Elle en était la première surprise mais elle éprouvait un plaisir jouissif à voir ce garçon prosterné et de renifler ses pieds suants, sans broncher.
Sylvie le lâcha et retrouva sa position assise initiale.
« Est-ce que lodeur de mes pieds te plait ? répéta-t-elle.
-Oui madame. »
Elle lui asséna une violente claque en travers du visage.
« Maîtresse Sylvie. Cest comme ça que tu dois mappeler maintenant.
-Bien maîtresse Sylvie. »
Elle contempla ses pieds, globalement assez sales. Peaux mortes, poussières, crasse sous les ongles
« Nettoie-les avant que lon ne passe à la suite. Je les veux absolument propres, comme si je sortais du bain. »
Lesclave sexécuta. Il entreprit de lécher le pied le plus proche de lui, passant sa langue sur toute sa longueur, commençant par le talon et remontant jusquaux orteils. Se faisant, il happait les traces de saleté et sa langue se noircissait très légèrement. Il prit le temps de les avaler avant de continuer, pour ne pas risquer de les déposer à un autre endroit du pied. Sylvie hocha la tête, satisfaite. Il était déjà très bien dressé, elle naurait donc pas à sen occuper.
Le garçon suçota un à un les orteils de sa maîtresse, prenant son temps pour les débarrasser de tout parasite. Il en engloutissait un, le gardait en bouche pendant une dizaine de seconde, puis le relâchait, sans même y laisser trop de salive. Cela fait, il grattait le dessous de longle avec ses dents, récupérant les morceaux de crasse qui indisposaient sa propriétaire, grimaçant à chaque fois quil devait les avaler. Ce qui demandait le plus de travail était linterstice entre les orteils, endroit où la saleté avait tendance à beaucoup plus se déposer, ainsi que la transpiration. Lesclave y introduisit sa langue, humidifiant autant quil était possible la peau moite et crasseuse, puis suçotait, tout comme avec les orteils, et ne laissait rien dautre quune parfaite propreté.
« Hum, gémit Sylvie en enfonçant ses doigts dans ses sous-vêtements. Oui
Cest parfait. »
Cétait une sensation délectable que celle-ci. On disait quun esclave de pied talentueux et expérimenté pouvait faire jouir sa maîtresse uniquement en lui léchant les pieds. Ce garçon nen était pas encore là, mais elle sassurerait quil y arrive un jour, même si elle devait pour ça lui faire lécher tant et tant de pieds quil sen évanouirait de fatigue et que sa langue serait totalement noire de crasse.
Lesclave réitéra sa méthode trois fois pour chaque pied. Par moment, Sylvie linterrompait et introduisait à moitié lentièreté de son pied dans sa bouche, touchant presque sa glotte avec ses orteils. Elle faisait tourner son pied dans la bouche de lesclave, écoutant ses « Hmmm, hmmm
» avec plaisir, puis le faisait ressortir brusquement et lui étalait sa salive sur la joue en sessuyant dédaigneusement le pied.
Elle regarda sa montre, alors que lesclave avait presque terminé le nettoyage intégral de son second pied, et se rendit compte quil sétait écoulé plus de quarante minutes.
Elle repoussa sans ménagement le garçon.
« As-tu été formé pour autre chose que prendre soin des pieds de ta propriétaire ?
-On ma dressé essentiellement pour ça, maîtresse Sylvie, mais je aussi apte à lécher et masser vos parties intimes, ou à endurer vos coups pour votre plaisir. »
Sylvie tourna la tête vers la table métallique où sétalaient les outils quelle avait entrevue en arrivant. Elle prit une cravache, la caressa du bout du doigt et asséna un coup léger sur lépaule de lesclave. Celui-ci se raidit, craignant le second coup.
« Jaimerais beaucoup essayer ça, murmura Sylvie, mais nous nen aurons peut-être pas le temps. Den tous les cas, tu tâteras du fouet en rentrant à la maison. Mais pour linstant, jai une envie folle que tu me donnes du plaisir, et pas au niveau des pieds.
-Désirez-vous un cunnilingus ?
-Non. Tu vas me lécher, mais pas ici. »
Elle pivota sur le divan et ôta sa ceinture, la rejeta au sol, puis abaissa lentement son jean, dévoilant un fessier magnifique, parfaitement conservé et rebondi, aux courbes splendides et travaillées par des heures de gym. Elle fit descendre son pantalon jusquaux genoux, puis baissa sa culotte à la même allure. La raie de ses fesses soffrit au regard de lesclave. Sylvie tapota ses cuisses avec lextrémité de la cravache.
« Tu dis aimer lodeur de mes pieds. Et celle de mon anus ?
-Maîtresse Sylvie, on ne ma jamais appris à faire ça.
-Alors je tapprendrais. Crois-moi, cette partie de mon anatomie est lune des plus sensibles. Avec mes pieds, tu devras en prendre le plus grand soin. Elle est très érogène, donc tu finiras par ne plus compte les heures que tu passeras avec la langue fourrée dans mon trou du cul. Approches. »
Elle écarta ses fesses avec les mains et laissa lesclave savancer, toujours à genoux.
« Colles-y ton nez, ordonna-t-elle. »
Le jeune garçon obéit docilement et posa son nez contre lanus rose de sa maîtresse. Autour, la peau était quelque peu brunâtre, sans doute assez sale également, tout comme ses pieds, mais dune autre saleté. Lodeur, elle, était encore plus intense. Epicée et prenant immédiatement au nez, il y avait des relents très désagréables qui sen échappait, et en même temps, très attirants.
« Renifles, dit Sylvie. Et je veux tentendre. »
Le garçon se mit à inspirer fortement, simprégnant de lodeur du cul de sa maîtresse. Sylvie était en extase. Elle mouillait abondamment, maintenant. Ses cuisses sétaient resserrées et refermées sur le visage de lesclave, le piégeant et limmobilisant le nez enfoui dans son anus. Savoir que le garçon était condamné à lui renifler le cul tant quelle ne lui autoriserait pas à reculer, quil était proprement bloqué là, dans cette position, et quil ne tenterait même pas de bouger de lui-même de peur de se faire fouetter pour son audace
Tout cela redoublait son plaisir.
« Vas-y, lèche maintenant, ordonna-t-elle en extase, en caressant ses seins avec lextrémité de la cravache. Nettoie-moi lanus en profondeur. Avale tout. »
Mais on toqua à la porte. Elle souvrit et laissa passer la tête de la vendeuse desclave, souriante. Celle-ci observa quelques secondes Sylvie, allongée, les fesses écartées et lesclave agenouillé au sol, le visage maintenu contre son anus par la main ferme de sa maîtresse.
« Le temps est écoulé, dit la vendeuse.
-Lheure est passée si rapidement, soupira Sylvie en écartant lesclave.
-Avez-vous apprécié ?
-Oh, cétait
super. Jaurais aimé faire ça toute la journée.
-Vous men voyez ravi. Et lesclave ? »
Sylvie baissa les yeux vers le garçon en face delle. Il fixait le sol. Elle lui caressa la tête, comme on le ferait avec un chien, avec un sourire attendri.
« Je le prends, bien sûr, dit-elle. Il est parfait.
-Avez-vous pu tester tout ce que vous désiriez avec lui ?
-Presque. Mais jai toute la vie devant moi pour men servir de toutes les façons imaginables. Nest-ce pas ? »
La vendeuse éclata de rire. Sylvie également.
Oui, elle allait pouvoir sen servir de bien des manières
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!