Bastien - Chapitre 2 : Made Fantasies
Partie 1 / Joyeux Noël
Je nai vu que ça quand je me suis approché du bâtiment de cette aire dautoroute. Il avait ce regard de « crève la dalle », comme quelquun qui tinvite à la luxure dans la seconde. Il a fait naître chez moi cette enivrante envie immédiate de sexe.
Pourtant je nétais là que pour pisser, moi qui étais sur la route du repas familial de Noël. Jamais je naurai pensé prendre une si longue pause pour me vautrer dans le plaisir intense du bon sexe partagé. Je ne pensais vraiment pas que ce mec, cette étoile filante, allait memmener si loin, membarquer dans un plan dont je me rappellerai toute ma vie. Et cest déjà ce que je me disais au volant de ma voiture en repartant de cette aire dautoroute.
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Une heure auparavant
Je viens darrêter ma voiture sur cette aire dautoroute que je connais bien. Elle est à mi-chemin entre mon chez-moi et la maison de mes parents. Cest un endroit que je fréquente pour faire une pause, mais aussi traîner un peu pour y rencontrer quelques hommes et y prendre du plaisir rapide. Aujourdhui il y a quelque chose dans lair de particulier. Cest le jour de Noël. Je pense lendroit désert et pourtant, devant moi, un homme denviron 45 ans entre dans les toilettes. Je le suis pour rejoindre les urinoirs.
Je dépasse les hauts bosquets qui cachent la partie gauche du parking. Mon regard est attiré par une autre présence, un mec de 25 ans environ. Il est grand, cheveux courts, brun, corps fin, du charme mais sans être un canon. Je ne le détaille pas plus, car je suis accaparé par son regard : il me fixe, son corps se tourne pour me faire face, il semble intéressé, intrigué par ma présence. Et son regard me capture, me prend à la gorge pour ne pas dire à la queue !
Je continue à avancer vers la droite, mais ma tête tourne sur la gauche pour ne pas lâcher le contact visuel. Il a lancé un hameçon et il a fait mouche. Il ne me questionne pas, il ne demande pas dobjection.
Jentre dans le bâtiment, côté garçon. Nos regards se sont lâchés car le mur en béton a coupé le court du monologue. En deux secondes, je suis à un urinoir et jouvre ma braguette. Jai choisi celui de gauche laissant la place de droite libre. Lhomme de 45 ans ny est pas. Le jet de mon urine commence à couler quand je sens une présence dans mon dos. En un quart de seconde il est à ma droite, ses mains farfouillent sa braguette et il sort son engin. Je regarde son visage, il me scrute. Là encore, il est sûr de lui.
Je pisse encore et le regarde fixement quand, dans un mouvement lent, il décroche de notre lien. Sa tête se tourne, son regard se baisse et, comme hypnotisé, je suis son mouvement. Il mindique ce quil faut voir, lobjet de toute son envie : sa queue est bandée, érigée et il veut que la voit, ladmire. Je ne vois pas alors son regard se détourner de son engin pour venir se poser sur le mien. Je regarde son magnifique braquemart alors que lui mate le mien qui finit de pisser dans le bogue. En un rien de temps, ma verge gonfle et se raidit.
Dans un même mouvement lent, sa main quitte son jean et vient capturer ma queue. Il la caresse et commence quelques mouvements de branle. Je me laisse faire, jaime, japprécie. Je nai pas quitté des yeux sa queue quil branle aussi avec son autre main. Je suis complètement excité mais une petite lueur de raison me revient : et si quelquun venait ?
« Tu veux quon aille dans un toilette ? »
« Non ! On reste ici ! »
Il a une voix grave, assurée. Là encore, il affirme et je noppose aucune objection.
Sa main quitte ma verge et vient attr son jean. Il le baisse avant de saccroupir légèrement tourné vers moi. Il minvite à mapprocher et bientôt il glisse ma queue dans sa bouche. Directement, il entame une pipe magistrale. Je lève la tête, les yeux mi-clos, je goute le plaisir de ses va-et-vient. Il enfonce mon pieu dans le fond de sa gorge et je suis aux anges.
Un bruit provient de la cabine à côté des urinoirs. Lhomme de 45 ans tire la chasse deau. Panique chez moi : jessaie de me retirer, mon homme maintient ma queue vers lui avec sa main.
« Restes là ! »
Et il plante ma queue de nouveau dans sa bouche. Le plaisir est encore là mais je ne le sens plus, je suis rouge pivoine quand je vois la porte souvrir. Lhomme de 45 ans tombe directement sur nous autres, moi debout la queue raide dans la bouche dun jeune homme qui lui tourne le dos. Son cul est découvert, et sa main empoigne sa queue dans un mouvement de branle lent mais affirmé.
« Ben cest du propre ! »
Et lhomme sen va. Son ton était vraiment désapprobateur. Sûr quil nétait pas là pour la bagatelle celui là ! Mon suceur regarde dans le couloir, et comme il ny a personne, il reprend sa pipe. Quelques secondes plus tard, il se lève et me dit quil va vérifier. Personne sur le parking. Nous sommes seuls dans laire dautoroute. Il mappelle et me dit que cest à mon tour.
Je baisse à mon tour mon jean pour être plus à laise, et je maccroupis pour lécher ses couilles. Il mate aux alentours, tournant le dos au mur dentrée des toilettes. De là où nous sommes, nous voyons les deux parties du parking. Ma langue lèche sa queue tel un cornet de glace. Jaime la glace et jaime les queues bien raides. Depuis 7 ans que jai découvert le sexe entre mecs (javais 16 ans et demi pour ma première fois), jai amélioré ma technique de pipe. Et je peux dire que jaime vraiment beaucoup donner du plaisir par la fellation.
Sa queue glisse maintenant dans ma bouche, il la ressort, la rentre de nouveau. Puis ma tête fait le boulot davant en arrière. Ma langue senroule sur le grand, caresse la peau, titille le frein, arrache des soupirs, tire des gémissements. « aaaaaaa »
Une voiture débarque, et nous nous arrêtons. Remontage de frocs et je me relève. La voiture ne sarrête pas, passe le bâtiment et nous lentendons accélérer de nouveau.
Quelques minutes de ce traitement et je me sens irrémédiablement en chemin vers la jouissance. Il le sent, il le sait. Il est sûr de ce quil me fait, de ce quil procure. Alors, dun mouvement rapide, il me tourne et de sa langue pointue il vient titiller ma rondelle. Je découvre ce plaisir, jamais personne nest venu jouer dans ce terrain de jeu là. Il lèche, pointe, enfonce, caresse. Et cela me tire encore plus dans un plaisir fou. Il crache, son doigt étale puis enfonce. Il lèche encore puis crache. Son doigt enfonce encore. Il tourne
retourne
ressort. Il lèche, pointe, caresse, lèche. Son doigt rejoint la langue dans un mouvement dune douceur incroyable. Il enfonce et lèche dune même caresse.
Dun coup, il se lève, baisse son froc, présente son dard face à mon trou, et senfonce dune seule traite. Je suis tellement détendu quil entre en moi sans résistance. Il patiente au fond de moi. Je reprends mon souffle. Mais mains appuie plus fort sur le bord du lavabo. Il se colle à moi. Et sa queue commence un lent mouvement de piston qui accélère petit à petit. Les engrenages du plaisir montent peu à peu chez moi. Ses mains empoignent mes hanches et il se démène maintenant dans un mouvement régulier. Son souffle court sur ma nuque, sa queue sactive dans mon trou. Je gémis. Je me penche, je mouvre un peu plus. Il poursuit sa tâche en moi.
Jatt ma queue et je me branle en cadence avec ses mouvements. Et dans un dernier coup de rein, il emporte nos deux jouissances. Je viens sur les carreaux du lavabo, et sa crème se répand dans mon antre vaincue. Il se retire, se rhabille et sans un mot, repart vers sa voiture. Je file chercher du papier pour messuyer les fesses, la main gauche et le gland.
Tout du long du trajet, je nai pas arrêté de me dire :
« Putain ! quel cadeau cette année !!! »
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