La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 657)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°656) - Marie la cuisinière sabandonne et soumise Estelle aussi
-
Au cours de la nuit, après deux ou trois autres enculades supplémentaires, le soumis MDE avait été détaché, sorti de cette cage et libéré des accessoires lui tenant ses orifices grands ouverts. Malgré des menottes lui barrant les bras dans le dos, lesclave MDE, couché sur une simple paillasse posée sur le sol de la soute du Croix Rousse, sétait endormi rapidement et sans doute longtemps. Il fut réveillé bruyamment, par des craquements sinistres de la coque du navire. Manifestement le bateau avait dû reprendre sa route et devait naviguer dans des vagues importantes sinon une forte houle. Létat de la mer faisait gîter le navire, le secouant de bâbord à tribord, des vagues sécrasaient contre sa coque provoquant un roulis très vite inconfortable. Endymion MDE fut pris de nausées, avec une sensation de malaise et de vertiges. Pâle et frissonnant, il nen menait vraiment pas large. Dieu merci, Monsieur le Marquis sinquiéta de son chien soumis. Il vint le rejoindre, le libéra de ses entraves et le fit monter sur le pont en le plaçant au centre du bateau.
- Regarde lhorizon et tout ira mieux Mon chien. Nous avons quitté la mer des Caraïbes pour lAtlantique et toujours ici, les bateaux sont plus secoués. Tout ira mieux dans une heure ou deux !
Pour rassurer son chien soumis, Monsieur le Marquis le serra dans ses bras. Endymion MDE était surpris de lintensité de ses sentiments envers le Maître et de la plénitude quil éprouvait ainsi enlacé. Comment son asservissement avait-il pu prendre une telle magnitude en si peu de temps ? Blotti tout contre le Maître, lesclave jeta un bref regard dans le sien. Il était dune intensité incroyable, comme si le regard du Maître le transperçait, comme si Monsieur le Marquis lisait les pensées de Son soumis, comme si lâme du Dominant entrait en contact avec celle de son esclave.
- Lair frais semble tavoir fait du bien, tu as repris des couleurs mon chien, alors mets-toi à genoux et tête au sol, prosterne-toi à mes pieds.
Endymion MDE avait été capté par ces yeux bleus, par ce regard impérial, il hésita quelques petites secondes avant dobéir. Monsieur le Marquis ne le lui reprocha pas, il sassit dans un large fauteuil en rotin, face à son chien soumis. Il commença à passer le bout de ses doigts dans les cheveux de son esclave et à effleurer délicatement ses oreilles, sa nuque, son cou et ses épaules. La légèreté et la douceur de ses gestes firent frissonner Endymion MDE qui sabandonnait à la volonté du Maître, mais aussi à cette quiétude et cette sérénité. Il était maintenant complètement détendu, ses nausées avaient disparu, ses craintes aussi.
- Dici peu, nous allons accoster à Moustique, mon chien, une île privée, richissime et merveilleuse. Une île qui abrite un massif corallien magnifique, une île dont le rivage alterne entre caps et criques sablonneuses, une île des stars de la jet-set et des milliardaires, comme moi. Une île qui va te permettre de passer une journée de détente inoubliable
Toujours prosterné en levrette, Endymion MDE écoutait le Maître. « une journée de détente inoubliable » avait-il annoncé ? Ces quelques mots pris au premier degré ne pouvait que réjouir sinon étonné Endymion MDE, mais fallait-il encore que ces mots soient pris au pied de la lettre. A quoi lesclave devait-il sattendre ? Le Maître permit à Son esclave de relever la tête du sol. Il tourna son visage vers cette main caressante, avec la ferme intention de lembrasser avant quelle ne quitte sa joue.
- Chaque chose se mérite Mon chien, plus tard
peut-être ! Allez va, va rejoindre cette douce et bonne Marie, elle doit préparer le petit déjeuner, tu laideras dans ses préparatifs.
Madame Marie avait ce regard pervers des grands jours. Il ne trahissait pas ses intentions ! ni sa fameuse réputation de femme perverse et parfois sadique avec une poigne de fer implacable. Endymion MDE connaissait maintenant très bien Madame la Cuisinière, il sattendait au pire, à juste titre dailleurs
- Cest à cette heure-là que tu décides enfin à venir me rejoindre ?
Endymion MDE savait quil était inutile dapporter une quelconque réponse. Il se contenta de baisser la tête en signe de grand respect et dhumilité.
- Mets-toi à plat à ventre au sol et vient jusquà moi pour honorer mes pieds, là est ta place sale cabot !
Le sol était détrempé et sale, il y avait ici ou là de la mousse qui jonchait le sol, mais aussi quelques petits morceaux de détritus et restes alimentaires.
- Alors la serpillère quattends-tu pour venir jusquà moi.
Et plus Endymion MDE avançait en rampant, et plus Madame Marie reculait. Elle le faisait crapahuter en long et en large en rampant et ainsi patauger sur ce sol graisseux et glissant jusquau moment où elle attira lesclave MDE dans un recoin de cette cuisine. Elle ouvrit un grand placard dans lequel était installée soumise Estelle tenue debout et attachée, dans une posture des plus contraignantes. Des cordages fermement nouées lui maintenaient les cuisses largement écartées dégageant bien son sexe lui aussi tenu ouvert grâce aux petits anneaux de ses piercings dans lesquels étaient passés une cordelette écartelant ses lèvres intimes. Ses seins étaient étranglés par de gros élastiques les entourant et les comprimant tout en les lui séparant bien.
- Cette petite garce à fait choir la bassine contenant leau de vaisselle, elle va savoir de quel bois je me chauffe lorsquune esclave est étourdie et négligeant. Cest simplement intolérable !
Madame Marie semblait réellement furieuse. Elle sadressa une nouvelle fois à soumis Endymion MDE :
- Toi, tu as intérêt de me lécher correctement les bottes si tu ne veux pas me subir.
Lesclave MDE sappliqua, sa langue glissait sur ces bottines, appuyait sur ce cuir pour que le contact de sa langue soit ressenti au travers de cette chaussure. Madame Marie sen étonna :
- Mais cest bien ma pute, tu sembles savoir désormais utiliser ta langue
une petite langue de chienne
Tiens glisse la, le long de ma jambe, remonte la doucement, tranquillement.
Alors quEndymion MDE sexécutait, Madame Marie tirait mollement sur les pinces japonaises fixées aux tétons dEstelle. Celle-ci gémissait bruyamment. Etait-ce de douleur ou de plaisir ? Les deux à la fois sans nul doute, car si Endymion MDE croyait ce quil entrcevait, Estelle assurément contenait désespérément un orgasme. De sa chatte tenue grande ouverte, des petites gouttelettes de cyprine séchappaient. Evidemment Madame Marie sen apercevait, et elle gifla à deux reprises la jeune soumise.
- Davoir souillé le sol avec leau de vaisselle une première fois ne te suffit pas petite garce, voilà maintenant que tu inondes le fond de ce placard avec ta mouille de chienne lubrique en chaleur
Il ny avait pas seulement Estelle qui était excitée, Madame Marie, elle aussi létait tout autant. Davoir à sa disposition deux dociles et obéissants esclaves aiguillonnaient ses désirs. Elle avait attrapé Endymion MDE par sa chevelure et lui maintenait son visage sous sa jupe ample, son museau entre ses cuisses.
- Je nai pas encore eu le temps de faire ma petite toilette ce matin, cest ta langue de pute qui va faire ce travail !
Le contact de la langue dEndymion MDE sur ses grandes lèvres puis glissant en elle à la recherche de son clitoris déjà bien gonflé de désir, fit perdre pied très rapidement à Madame la Cuisinière. Elle écarta un peu plus les jambes tout en tenant bien cette tête plaquée contre son intimité. Son ventre chaud et déjà bien humide ondulait et basculait davant en arrière pour donner le rythme. La moiteur et les odeurs intimes dégagées par ce sexe excitait terriblement le mâle soumis MDE, sa queue était raide et suintait, une terrible envie de se branler le titillait sinon le tourmentait. Alors pour éviter toute dérive, lesclave MDE osait poser ses mains sur le corps de Madame Marie. Elle le laissa faire. Ses doigts effleurèrent et caressèrent lintérieur de ses cuisses, puis ses mains vinrent se placer sous les fesses de la Cuisinière pour la soulever un peu et porter à nouveau cette délicieuse fleur à ses lèvres. Madame Marie sentit de nouveau cette langue, cette douce langue, laper avec désir sa chatte ruisselante. Son corps trahissait ses désirs, elle se cambrait tant et plus pour venir à la rencontre de cette suave bouche. Le chien soumis MDE, lui non plus, ne parvenait plus à se contrôler, il léchait et suçait, titillait ce clitoris, jusquà le faire exploser. Il voulait donner, tout donner pour déclencher un orgasme dévastateur. Madame Marie tant et plus gémissait, criait et ruisselait. Cette langue, cette foutue langue, fusse-t-elle celle dun chien soumis, prenait le contrôle de tout son être. Elle se laissa aller, emportée par un orgasme dune rare intensité. Elle jouissait, secouée par de violents spasmes incontrôlables, en inondant le visage de lesclave MDE
Essoufflée, haletante, elle maintenait fermement dune main, la tête de lesclave MDE, entre ses cuisses pour quil sabreuve de ses sucs intimes, de lautre, elle tirait brutalement sur la chaînette reliant les pinces japonaises jusquici fixées aux mamelons de soumise Estelle. La jeune soumise Estelle hurla sous le choc, mais au même moment, sa chatte se mit à perler puis dégouliner littéralement, elle ne put contenir son orgasme masochiste
- Mais que se passe-t-il ici ?
Monsieur Henri avait été interpellé par les cris de sa chienne soumise. Il était précipitamment entré dans la cuisine, puis sétait approcher delle et la voyant trempée, il questionna aussitôt Madame Marie :
- Lui aviez-vous autorisée la jouissance ma Chère Marie ?
La cuisinière, à peine remise de ses émotions, se faisant toujours brouter son petit minou, sursauta :
- Elle a joui cette petite garce ? Non, bien sûr que non, votre petite chienne nétait pas autorisée à jouir, Mon Cher Henri !
Monsieur Henri sapprocha alors de la chienne femelle Estelle, la dévisagea sévèrement, puis décida de la punition.
- Soit, puisque tu ne sais pas te tenir, puisque tu es incapable dobéir, je vais te laisser ainsi, toute la journée, enfermée dans ce placard. Tu pourras méditer tranquillement !
Il referma la porte du dit placard, puis quitta la cuisine, emmenant avec lui, à quatre pattes, tenu en laisse soumis Endymion MDE
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!