La Mante Religieuse. (12/14)
Jai suivi les gendarmes qui sont montés au-dessus de la ferme de mes beaux-parents partis en cendres après que je me fus occupé des deux frères jumeaux avec un sèche-cheveux tombé dans leur bain les électrocutant.
La liste des corps qui sentasse à la morgue sallonge car au-dessus de la maison de mamy Denise un corps pendu vient dêtre trouvé près dune tente où japprends après les avoir suivis quAurélien est ce pendu.
William donne lordre à Viviane une de ses gendarmettes qui mavoue quils vont convoler en justes noces de maccompagner chez ma grand-mère alors quil a pour but de me sauter comme lont fait tous ses cousins.
Tous non puisque mon mari ma quitté en se suicidant sans mavoir touché.
Nous sommes montées dans ma chambre et pour la première fois malgré le malheur qui maccable jai des rapports lesbiens avec la petite qui semble bien connaître ces pratiques nouvelles pour moi.
Nous sommes sous la douche et Viviane semble avoir du mal à se détacher de moi malgré lheure qui avance.
Elle me lave dirigeant leau de la poire de douche sur ma chatte et même à lintérieur lécartant avec deux de ses doigts me faisant plier les genoux, une décharge longe ma colonne vertébrale me procurant un plaisir moins intense quavec sa bouche ou ses doigts mais un plaisir tout de même.
Arrête petite chérie, ton fiancé va revenir et sil nous trouve dans une situation compromettante, il pourrait refuser de tépouser.
Rien à craindre, il sait que jaime les femmes étant bi depuis ma puberté, tout a commencer le jour de mes seize ans avec une amie que javais invité et quil ma fallu raccompagner à son hôtel que javais réservé non loin de chez mes parents car la place manquait pour la loger.
Arrivé dans la chambre jai été subjugué quand elle ma pris dans ses bras pour membrasser.
Jai trouvé sa bouche et sa langue divine sans parler de sa chatte qui a rapidement ruisselé car je devais lapprendre de sa part elle était une femme fontaine et fréquemment quand son excitation était trop forte son corps relâchait des petits jets de cyprine que jai eu plaisir à boire.
Je suis resté le restant de la nuit et cest elle qui ma appris à faire jouir et à jouir avec une partenaire féminine.
Et comment William le sait-il ?
À la brigade nous faisons des gardes et nous avons une pièce où il y a deux lits pour nous reposer quand par chance la nuit est calme.
La plupart des fois nous sommes deux mais comme ce soir William sera seul car une équipe est partie en renfort dans une caserne non loin dici car une grosse manifestation va avoir lieu demain.
Lors dune de ces gardes jétais seule avec Véronique une collègue et contrairement à moi qui mallonge tout habillée jai eu la stupeur de voir quelle se mettait nue.
Elle ma avoué être dans limpossibilité de se coucher habillé.
Mon instinct chasseur avec les femmes ayant eu des amants et plusieurs maîtresses après lépisode de ma découverte des rapports lesbiens dans cette chambre dhôtel je me suis approchée et je lai caressé trouvant sa vulve prête à maccueillir,
Nous nous sommes vautrés nue toute les deux sur sa couchette quand après plusieurs orgasmes réciproques, nous avons vu William entrer.
Il était venu rechercher un papier pour finir un rapport important quil devait transmettre.
Sans se démonter et sans se poser de questions si nous aimions les hommes il a sorti sa queue et me la mise dans la bouche pour que je le suce.
Son sexe ma plu et même si je lai vu pénétrer Véronique étant dune jalousie maladive tout est resté caché en moi parce que je participais.
Après ma bouche et la chatte de Véronique cest mon anus qui a eu ses faveurs.
Il était le premier, mais la folle de sexe et de cul que jétais devenue la accepté sans aucun problème.
Quelques jours plus tard Véronique a changé daffectation pour rejoindre la Côte dAzur après avoir fait préalablement à notre aventure une demande daffectation au soleil.
Jai continué à être sa maîtresse chaque fois où nous étions de garde ensemble.
William habitait dans la caserne où nous avons des logements de fonction et quand il a acheté sa maison au centre dAlby nous avons commencé à y habiter jusquà ce que nous décidions de nous marier.
Nous venons de descendre quand la voiture de gendarmerie entre dans la cour de chez mamy.
William en sort, Viviane va le rejoindre et je les vois parler quelques minutes.
Sans se retourner la gendarmette part vers le portail quand une autre voiture sarrête et je la vois sasseoir à larrière.
Me voyant le regardant par la fenêtre de la cuisine il me fait signe de venir.
Excuse-moi Noami, jai des choses à te dire et je veux éviter à ta grand-mère dentendre ce que je vais te demander.
Ce soir je suis de garde à la gendarmerie et je souhaite que dans une heure tu viennes me rejoindre.
Jai des informations importantes à te communiquer même si dans notre déontologie cest la justice qui devrait te les donner, et puis tu sais ce que tu mas promis, si tout est calme je souhaite tavoir à moi pour le restant de la nuit.
Tu verras nous sommes bien installés et nous avons à notre disposition une salle de repos où nous pourrons passer un bon moment.
Mais, je viens de perdre mon mari !
De cela aussi nous en reparlerons dès que tu mauras rejoint.
Il part me laissant sur ma faim, quont-ils trouvé qui lui donne lassurance de pouvoir me baiser sans prendre de gant face à la disparition dAurélien ?
Lheure qui suit est interminable et il est juste 60 minutes quand je me gars devant le bâtiment ou il mattend.
Il me fait entrer dans son bureau et me fait asseoir sur la chaise lui faisant face comme si jétais une prévenue.
Noami, je vais te montrer la photocopie dune lettre trouvée dans la tente où Aurélien a séjourné un long moment avant de la mettre dans les pièces à conviction pour le juge qui va être saisi de notre enquête suite à ce qui ressemble de plus en plus à un suicide par pendaison de ton mari.
Je compte sur toi pour rester discrète si dautres que moi tinterrogent et faire celle qui découvre ce que je te montre.
Il me tend des feuillets où je peux lire.
« Confession suite à la mort de toute ma famille. »
« Tout commence à ma naissance, ma maman semble avoir fauté avec des hommes venus du nord de lEurope campé dans notre ferme.
Les rapports sexuels quelle a eus avec lun deux voir les trois lui ont apporté un garçon aux cheveux blonds contrairement à mes frères qui sont tous les quatre très noirs.
Dès que jai été en âge de comprendre, mes frères mont signifié quils mexcluaient de notre fratrie jusquà me reléguer en bout de table loin deux lors de nos repas.
Par chance jétais très doué à lécole et jai pu commencer des études de médecine à la fac.
Jai passé ma première année sans problème mais à la fin de la deuxième, jai été refusé le quota habituel ayant été réduit.
Cest là que jai eu la chance de rencontrer Noami que jai décidé dépouser persuadé que les brimades de mes frères sarrêteraient devant sa beauté et sa gentillesse.
Le soir de nos noces, ils lont fait coucher dans la chambre libre au bout du couloir nous interdisant de consommer notre mariage.
Quand le moment de retourner à la fac est venu je suis monté sous cette tente que javais installée préalablement incapable davouer mon échec qui les aurait ravis fermement décidés à me venger.
Cest Antoine qui a été le premier à mourir quand sa voiture a plongé dans un ravin après que dans la nuit je suis allé desserrer la bride arrière de ses freins.
Pour preuve, si vous la retrouvez, je lai caché dans ma tente avec mes empreintes et les traces de liquide de frein qui a coulé dessus. »
Henri était innocent.
Oui, dans cette pochette plastique voila la clef en question.
Je continue cest passionnant, je dois tavouer que ce quil dit pour la chambre où jai été relégué est exact mais javais honte den parler.
Arrête de me prendre pour une andouille, je suis de la famille et comme je te lai dit je connais le droit de cuisage que tes beaux-frères ont fait valoir sur toi, cest Antoine qui a suppléé son père incapable de bander.
Ne craint rien, la version dAntoine sera dans mon rapport et ce que tu as fait avec ton beau-frère disparaîtra à jamais.
Je le vois venir, sil a toujours en vue de me baiser certainement dans la salle de repos que je vois quand je regarde sur le côté et où je peux voir lun des lits où Viviane et Véronique se sont fait plaisir, je comprends quil veuille taire le droit quil tient à sapproprier.
« Ma vengeance ayant commencé, la mort de notre père que jai vu le soir où jétais derrière les carreaux à les épier attendant le moment de moccuper de mon deuxième frère Henri ainsi que notre mère que jai vu tourner dans la pièce avant que le médecin vienne et lhospitalise ma beaucoup marqué.
Quand jai été au courant quHenri passerait une partie de sa nuit dans le hangar jai compris comment léliminer.
Si jétais en règle générale exclue de leurs travaux la crise dappendicite de Jules a permis lété dernier que je conduise la moissonneuse qui devait tourner sans sarrêter les jours où ils faisaient secs.
Cest grâce à cette saison où jai conduit cet engin que jai pu moccuper des sécurités et la mettre en marche,
Quel plaisir jai eu quand il a entendu le moteur démarrer et que les faucheuses ont commencé à le découper en rondelles, 20 ans de brimades ont été supprimés en quelques secondes.»
Tu vois nous pouvions penser quil sétait suicidé mais ton mari nous donne la bonne solution à cette énigme.
Sa vengeance est plus plausible et cest ainsi que je vais orienter mon rapport.
Comment a-t-il pu avoir ce cran de voir son frère disparaître, je crois que moi je tournerais de lil dans la même situation.
Cest normal, tu es une femme avec sa sensibilité.
Pauvre pomme, merci à Aurélien davoir repris à son compte laction que la mante religieuse à mener contre Henri arrivant à mexclure de ces actions alors que je lai humilié en me faisant prendre par lun ou par lautre devant lui quand je le faisais asseoir sur sa chaise.
Faut-il quil mait aimé pour sembler me pardonner toutes mes turpitudes mais quand janalyse ce qui sest passé, je crois que je suis née pour être une salope et le droit de cuissage que jai accepté a été le révélateur de la femme que je suis ?
Quand je regarde William, cest à travers sa tenue de gendarme la queue de cet homme qui mintéresse faisant fi des sentiments que peut avoir Viviane ma maîtresse pour lui et sil me demandait maintenant de me lever et de le suivre cest en courant que je franchirais les quelques mètres me séparant de ce lit qui nous tend les bras
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