La Lune Noire En Taureau - Chapitre Iii Jules
Cétait le dernier jour, et la fatigue se faisait sentir. Plus loin, un petit chemin de randonnée rejoint le GR. Je nai pas rencontré grand monde jusquà présent, peut-être, en me rapprochant de Barre des Cévennes.
Deux randonneurs sur la gauche à 100 mètres, jaccélère le pas pour les rejoindre.
« Bonjour, dis-je.
- Bonjour, répondirent-ils en cur ».
Au premier coup dil, la femme est jolie, une quarantaine dannées, de belles formes et des jambes musclées. Elle est très sexy avec sa jupette short de randonnée ! Lui fait plus vieux, mais bien entretenu ! La cinquantaine, taille, mince, dallure sportive, il semble plus réservé quelle. Allons-y !
« Vous suivez le GR 72 ?, demandai-je.
- Oui, nous rejoignons Barre des Cévennes où nous louons un gîte » répondit lhomme
Je me calais sur leur pas. Ils étaient sortis pour la journée au regard de leur équipement. Lhomme me demanda :
« Vous faites le GR 72 ?
- Je suis parti de St Laurent les Bains, jai gravi le Mont Lozère et je termine à Barre des Cévennes. La semaine a été épuisante, chaleur, orages. Jen ai plein les bottes ».
La dame parle !
« Au gîte, nous avons un jacuzzi, et cest bien agréable pour délasser les jambes après la randonnée !
- Je vous envie ! En ne laissant pas paraître mon sentiment dinjustice.»
Si cest pour me faire baver denvie, il vaut mieux que la dame se taise. Et si nous nous présentions ?
« Je mappelle Jules, et vous ?
- Cest Jane et moi Jim
- Je suis dAlbi, et vous ?
- Nous résidons à Jouy en Josas»
La conversation était lancée. Finalement Jane avait une conversation des plus instruites. Elle était drôle. Son sourire illuminait son visage. Jim partageait une passion commune pour la musique classique. Jappris que Jim était marathonien, et quavec Jane ils visitèrent plusieurs capitales européennes.
Je dois satisfaire une envie devenue pressante.
Depuis huit heures ce matin, je navais point mangé. Il était temps de se restaurer un peu. Je proposais à Jim de sinstaller près dun petit cours deau où nous pourrions nous rafraichir et reprendre un peu de forces en partageant nos repas. Ils randonnaient avec une bouteille de rosé, breuvage que jaccueillis avec plaisir après ces quelques jours au « pain sec ».
Était-ce dû à mon abstinence e, mais la vue de Jane titillait mon entre jambes. Nous cherchons toujours ce qui nous manque dis-t-on. Cest certainement la raison pour laquelle je ne pus mempêcher quelques allusions coquines. Ils semblent sympathiques et ouverts. Sont-ils coincés de la fesse ?
« Connaissez-vous celle de cette femme qui part en croisière et qui sauve 300 vies, lançais-je ?
- Non ?
- Cest une femme qui part en croisière et qui tient son journal de bord. Vendredi : Une folie m'a prise, je me suis acheté un billet pour une croisière d'une semaine en paquebot, nous partons demain! Samedi : Ça y est, nous avons embarqué sur ce magnifique navire, beau temps, mer calme. Dimanche : Fabuleux paysages! Par ailleurs, le commandant m'a invité à dîner à sa table et s'est montré très prévenant à mon égard. Lundi : Nouvelle invitation du commandant. Toujours aussi prévenant, mais j'ai un doute, il a voulu me faire visiter sa cabine. Mardi : Je n'ai plus de doutes quant à ses intentions libidineuses! Il devient même de plus en plus pressant! Mercredi : Cet homme est obsédé! Il m'a menacé de saborder le navire si je continuais de refuser ses avances. Jeudi : J'ai sauvé la vie de ...
- Cest ce qui sappelle joindre lutile à lagréable, sesclaffe Jane, les femmes sont prêtes à tout donner pour de grande cause !
- Et pour quelle grande cause te donnerais-tu ma chérie, interroge Jim ?
- Et bien toi mon chéri, répliqua-t-elle, je suis prête à tout pour toi ! ».
Javais ma réponse. Jane ne semblait pas avoir froid aux yeux. Je dirais même, coquine. Jai bien remarqué comment elle mobservait. Jim semble indifférent ; ou il est aveugle, ou il est complice.
Nous étions étendus sur le sol pour une petite sieste réparatrice. Jétais à un mètre de Jane et Jim, qui étaient enlacées. Je repensais à la réponse de Jane à ma blague. Il y avait quelque chose de provocant, comme un défi quelle jetait à Jim. Serait-elle prête à quoi ? Je suis sûr quelle aime faire lamour, et le sexe des hommes. La réaction ne se fît pas attendre. Mon membre se raffermit à grande vitesse. Sa raideur était à laune du désert sexuel de ces dernières semaines. Jétais plus excité encore dimaginer quelle puisse observer de là où elle était, la belle boursouflure de mon pantalon.
Jim dit quil ne fallait plus tarder. Nous nous remîmes en route. Le temps était lourd, orageux. Jaimais de temps à autre rester derrière Jane et Jim. Javais une vue imprenable sur le joli postérieur de Jane qui aurait fait damner tout un conclave. Javais envie delle, cétait certain. Javais la conviction quelle aimait lamour. Je cherchais comment trouver un moment avec Jane sans Jim. Un miracle eu lieu :
« Chéri, nous pourrions proposer à Jules de venir se détendre dans le jacuzzi et dîner avec nous
le jacuzzi te fera le plus grand bien, et nous fêterons la fin de ton voyage !
- Cest avec plaisir que jaccepte, mais je ne veux pas vous déranger balbutiais-je.
- Nous avons besoin de compagnie, et la tienne est charmante ! »
Si ce nest pas une invitation à plus si affinité, je me fais moine. Jim semblait contrarié.
« Et moi ? Je vais cueillir les haricots ?
- Mais non mon chérie, tu es toujours au première loge !»
Alors là, Jane a vraiment une idée derrière la tête, ou plutôt ailleurs
Jane et Jim accélère le pas
Arrivé au gîte je dépose mes affaires. Jim me propose de passer mon maillot de bain dans la salle du même nom.
Quelques minutes plus tard, nous étions dans le jacuzzi. Quel bonheur de détendre ses muscles martyrisés. A mon goût, nous changions trop souvent demplacements. Mais quand même ! Mes compagnons de voyage moffraient un vrai bain de jouvence. Jaimerais les remercier.
« Je ne sais comment vous remercier pour ce bienfait leur dis-je.
- Me remercier, car jai pris linitiative de tinviter, précisa Jane.
- Je vous invite au restaurant, repris-je.
- Non, non, jai le dos en compote, un massage serait le bienvenu. Pendant que tu prépareras le dîner chéri ! ».
A cet instant, je compris que Jane avait échafaudé un plan. Elle voulait un contact physique. Son aplomb mavait vraiment impressionné et je trouvais Jim relativement serein. Ils sont complices jen suis certain. Je fermais les yeux pour mieux me détendre. Mais la proposition de Jane mobsédait. Que voulait-elle vraiment ? Je ne souhaitais pas me retrouver dans un imbroglio affectif. Soudain, une main, celle de Jane, vînt se poser sur mon maillot de bain. Elle remonta jusquà la taille, sinséra entre le maillot et ma peau et plongea vers mon membre alangui par leau chaude. Pas pour longtemps, la caresse raviva vite la bête. Rapidement mon dard se dressa, et je sentais à la manière dont sa main lemprisonnait un réel désir. Ma main sapprocha de sa cuisse proche de la mienne. Je décidais daller plus haut. Mon doigt inquisiteur frotta le tissu qui protégeait son abricot. En signe dacquiescement, elle écarta les cuisses. Javais la réponse à toutes mes questions. Jane me voulait, et elle maurait, quoiquen pense Jim. Cette perspective me mît dans un état dexcitation difficile à contrôler. Il était temps de quitter le jacuzzi.
Après nous être séchés, mous rejoignîmes le gîte. Je demandais à bénéficier de la salle de bain pour me raser.
« Cest la chambre à coucher - Ah ! Cest le lieu du crime pensais-je- puis plus fort, bon, je vais préparer lapéro,
- Jules, veux-tu venir me masser le dos ? Jai besoin de le détendre. »
Je montais les marches, à la fois excité par la perspective de Jane à ma merci, et inquiet par la curiosité de la situation.
Je pénétrais dans la mezzanine où Jane était étendue sur le ventre, nue, une serviette couvrant son dos et un peu plus que ses fesses
« Faites votre travail cher masseur, mordonna-t-elle.
- A vos ordres chère Madame, répondis-je avec enthousiasme !».
Je pris les côtés de la serviette qui lenveloppait et la plia sur ses fesses. Je préparais mes mains avec quelques gouttes dhuiles essentielles. Je me plaçais entre ses jambes et je commençais à lui masser le dos.
Jane me guidait sans aucune gêne : «Oui, cest bon, plus à gauche, là
». Je descendais doucement vers le bas de son dos, histoire de vérifier les limites de la dame. Aucun geste. Cest open bar semble-t-il ! Jentreprends les mollets, les cuisses. Je remonte vers les fesses. Aucune réaction, mieux, un encouragement :
« Un peu plus haut, encore, tu sens le point de tension
». Jétais carrément sur son bouton qui bourgeonnait dun désir qui ne pouvait plus être secret ! Je poursuivais mon exploration entre ses lèvres. Le chemin était déjà bien lubrifié. Jane était à moi.
Jentends : « Je sors quelques minutes sur la terrasse de laccueil pour regarder mes mails ». A ces mots, Jane se tourne sur le dos. Et me déshabille en un éclair. Elle prend ma tête et la porte vers le bas de son ventre. Ma langue sagite comme celle dun serpent. Puisquelle a décidé de tromper son mari, presque à sa vue, je ne vais pas la décevoir. Son bouton congestionné est une offrande au plaisir. Je musarde entre ses lèvres, je pénètre sa vulve, revient sur son abricot. Jentends sa respiration saccélérer. Elle gémît. Elle écarte totalement ses cuisses comme une danseuse réalisant le grand écart. Elle moffre la vision dune femme à la porte de la jouissance. Sans retenue, sans pudeur, rien que sa vulve gonflée pour ma langue. Elle jouit enfin, libérant des petits cris incontrôlés. Je restais là entre ses cuisses à faire lécole buissonnière. Elle se releva, me mit sur le dos, me murmura à loreille : « Je veux te boire ! ». Dans le parallélisme des formes, elle se mit à genoux entre mes cuisses. Ses mains se posaient sur chacune de mes cuisses. Dun mouvement lent, elle les remontait vers mon torse, déplaçant sa bouche vers ma friandise. Elle ouvrit la bouche, et enfonça mon pieu jusquà sa gorge. Mon Dieu ! Cest une gloutonne, une gourmande. Elle va le manger entièrement !
Mon bas ventre sirradiait à la mesure des « va et vient » de Jane. Je prenais sa tête entre mes mains pour quelle accompagne la montée de mon plaisir. Quelle s
Elle aime la B
Elle est ardente sur louvrage comme une mort de faim. comme si jétais un dessert dexception à un repas dordinaire. Elle voulait ma semence. Elle allait lavoir ! Sa main vient caresser mes bourses pleines à exploser. Une onde magnétique parcoure tout mon corps. Mes jets sont puissants et nombreux. Jai limpression que ma source ne se tarit pas. Elle boit, boit, boit encore mon breuvage. Jimagine sa satisfaction à se délecter du nectar dun autre homme que son Jim. Peut-être nen a t-elle jamais eu autant. Elle ne finit pas de me finir ! Un piranha, un cannibale jamais repus ! Je veux la posséder !
Jentends la porte du séjour souvrir.
« Cest moi ! Tout va bien ?
- Tout va bien mon chéri, Jules est un excellent masseur »
Quel sang froid !
« Ah oui, dis Jim ?
- Je nai plus mal au dos ! »
Cest sûr, avec un tel traitement, Jane avait du oublié ses douleurs !
Je me rhabillais rapidement sans oublier de murmurer à la muse de ma jouissance :
« Je ne veux pas partir avant de tavoir possédée coquine, tu ne pourras pas échapper à la jouissance de mes assauts. ».
Je descendais les escaliers. Javais un certain embarras. Comment me présenter à Jim le plus naturellement possible ?
La meilleure des manières de se sortir dune situation pesante, cest laction. Je devais prendre possession de ma chambre dhôte. Jen parlais à Jim qui me proposa de my emmener.
Jacceptais bien volontiers, même si la perspective de me retrouver seul avec Jim dans la voiture minquiétait.
En effet, dans la voiture, le silence était pesant. Jim me demanda :
«Ça va Jules ?
- Je me sens calme et délassé. Un peu sonné.
- Comme trouves-tu Jane ? »
Aie, Jim ce doute-t-il de quelque chose ? Je répondis :
« A vrai dire, tu as de la chance de lavoir à tes côtés.
- Jen suis le premier convaincu.
- Tu ne la trouves pas attirante ? »
Cest sûr, il se doute de quelque chose ! Je bafouillais :
« Euh
à vrai dire
- Ecoute veux-tu être mon ami ? »
Quelle question ! Où veux-tu en venir Jim ?
« Oui bien sûr Jim, dis-je perplexe.
- Alors, aucun sujet, aucun tabou, ne doivent faire rempart à notre relation. Es-tu prêt à devenir mon ami ? »
Jen ai maintenant la certitude. Jim est complice des infidélités de Jane. Lui dire ou ne pas lui dire. Cest la question !
« Je comprends
Je ne sais pas
Je suis embarrassé Jim.
- Tu as quelque chose à me dire ? »
Oui, jai quelque chose à te dire ! Mais es-tu prêt à entendre les agapes de ta femme, Jim ?
« Jane est très attirante
- Et
Et m
Je lai b
et elle a adoré. Comment te le dire ?
« Je suis un homme, répondis-je platement !
- Bon dieu, Jules, accouche ! Je vais taider ! je vous ai vu dans la chambre à coucher. Elle avait mon accord, et tu en as bien profité. Nest-ce pas ?
Tu étais donc consentent, Jim. Me voilà soulagé !
« Euh
oui
- Elle suce comment ? »
Epargne-moi les détails Jim !
« Jim ! Euh
divinement
- Et tu nes pas maladroit de ta langue visiblement ! Alors voilà Jules, si tu veux être mon ami, nous devons être complices. La règle du jeu est simple. Tu pourras bénéficier des faveurs de Jane quà sa propre initiative. De ton côté, tu nen prendras aucune sans notre accord. Et si tu tombes amoureux de Jane, alors nous nous ne reverrons plus. Capito ?
Moi, je suis daccord pour tout ! Jane était un bon coup !
« Capito ! »
Nous arrivions devant sa chambre dhôte. Je prenais possession de ma chambre. Je ne risquais pas avec mes hôtes, la soixantaine bien sonnée, de me trouver dans la même situation ! Avec eux, jallais pouvoir me reposer !
Je regagnais la voiture de Jim. Sur le chemin du retour Jim me dis :
« Ce soir je serai le maître du jeu, Jules, et tu en percevras les intérêts.
- Vos désirs sont des ordres Monseigneur ! »
La perspective de mintroduire dans Jane mexcitait davance. Quel généreux homme, ce Jim !
Lapéritif fut des plus joyeux, le dîner qui suivit aussi. La soirée était douce et Jane était resplendissante. Elle portait une jupe et un chemisier qui mettait en valeur ses attraits. Excitante, sensuelle, javais beaucoup de mal à regarder ailleurs. Sen est-elle aperçue ? Lambiance était à la coquinerie, et Jane et Jim sy entendaient. A mots à peine voilé, nous évoquions la fin daprès midi torride que mous avions vécue Jane et moi. Jim nétait pas le dernier à plaisanter. Jadorai son auto dérision et le recul quil avait sur les situations. Et cest lui qui lança véritablement la soirée qui restera au panthéon dEros :
« Je suis convaincu quune femme ne peut reconnaître le corps de son compagnon les yeux bandés, affirma-t-il avec ostentation !
- Nimporte quoi, repris Jane, chaque homme est différent : la texture de sa peau, ses formes, son odeur.
-Et toi Jules, quen penses-tu, Jim se tournant vers moi ? »
Je ne savais que penser de cette affaire, mais lhypothèse de Jim méritait une prolongation :
« A vrai dire, la vue joue un rôle très important dans lidentification dune personne. Lobscurité fait perdre beaucoup de références. Comment vérifier ton hypothèse ?
- Cest simple, affirma Jules, faisons un test. Bandons les yeux de Jane, et proposons-lui nos index à toucher.
- Excellente idée mon chérie. Mais pour que le test ait une valeur scientifique, il faudra me faire dautres propositions ! »
Jane avait plus dun tour dans son sac et, visiblement, jallais avec bonheur, en faire les frais ! Délicieuse Jane, à quelle sauce me mangeras-tu ?
Nous tavions placée, assise à califourchon sur une chaise, les yeux bandés, les bras semi tendus, la paume des mains orientée vers le ciel. Jim avait imaginé un protocole sophistiqué qui devait faire perdre toute référence spatiale à Jane. Jétais persuadé que ce nétait que de la poudre aux yeux avant den avoir plein les yeux !
Au signal de Jim, je mapprochais de Jane, et je plaçais mon index droit dans la paume dune des mains de Jane. Elle avait une minute pour identifier lappartenance de lextrémité proposée. Jane caressait mon doigt, mais jaurais préféré que ce ne soit pas mon petit doigt ! Partie remise ? Puis après un nouveau protocole silencieux nous nous reculions, Jules demandait à Jane le résultat du test :
« Alors, chérie, as-tu deviné à qui appartenait les doigts ?
- Euh, pas facile en effet, au hasard, je dirais que le tien était à gauche.
- Perdu, cétait celui de Jules, voyons avec les mains
»
Je me réjouis de la progression du test. Après la main, que peut-on proposer ?
Jane me caressa la main dans tous les sens. Mais à la question posée par Jim, une nouvelle fois, tu te trompais. Fait un effort Jane ! Ce que tu dis ensuite fusa comme un uppercut. Jétais ko debout par la tonalité provocatrice et excitante de ta proposition :
«Mes mains ne vous reconnaissent pas, mais mes seins, jen suis sûr !
- Tu es sûr ?
- Oui, oui, jen suis sûr. Caressez mes seins
»
Jim déboutonna le chemisier de Jane. Puis il minvita à dégrafer son soutien gorge pour libérer ses seins.
Je pris le sein droit. Nos caresses semblaient combler daise Jane. Le téton que javais en main pointait comme un obélisque. Ma verge grossissait au diapason de tes murmures de satisfaction. Au terme de 5 minutes, nous attendions à nouveau le résultat :
« La main à ma gauche est celle de Jules.
- Effectivement ma chérie, tu avais raison.
- Vous mavez émoustillé. Jaimerai continuer le test dans la chambre. Jai des propositions à vous faire. Mettons-nous nus. »
- Excellente idée dis-je.
- Alors, devant une telle unanimité, concluait Jim, je propose quà chaque fois que Jane réussit le test, elle demande à lun ou lautre daccomplir un gage.
- Génial, mon chérie. Jules prépare toi ! ».
Jétais scotché ! Elle veut ma tringle et lannonce sans pudeur !
Il ne fallut pas longtemps pour nous déshabiller. Puis nous conduisons Jane vers la mezzanine. Jules retira le dessus de lit, et je couchais Jane sur le dos.
« Alors, Madame le cobaye, dis Jim, quel est le prochain test ?
- Je fais le pari que je suis capable de reconnaître lindex et la langue de chacun. Chacun à votre tour, pendant trois minutes vous me caresserez ma pimprenelle, puis de même ensuite avec votre langue. Allez, à louvrage ! »
Encore une fois, Jim souhaita brouiller les pistes. Il mindiqua quil voulait commencer. Jai 6 minutes à attendre. Cest long pour un homme dans mon état.
Jim sappliqua à jouer de son doigt comme un virtuose. La montre indiquait trois minutes. Je tapais sur lépaule à Jim, afin quil débute la deuxième phase. La vision de la tête de Jim entre les cuisses de Jane mexcita au plus haut point. Mon membre gorgé de sang me paraissait énorme. Trois minutes, jai un peu triché. Cétait à mon tour.
Mon doigt immédiatement parcouru ta vallée qui était inondée. Je remontais vers ton bouton qui était lui aussi gonflé par lafflux de sang. Je le caressais avec ardeur et Jane gémissait en écho. Jules me tape sur lépaule. Ma bouche embrasse le sexe de Jane à pleines lèvres. Elle est totalement offerte, ouverte. Son bassin accompagne mes coups de langue, alors que ses soupires se transforment en une longue plainte de plaisir. Jules me tape sur le dos. Déjà ?
Quelques instants passent. Jane implorait :
« Continue, continue, je nen peux plus
», Je vois la main de Jane se porter sur ton abricot pour en finir.
Jim me murmure : « Fais la jouir avec ta langue. Elle adore que le pouce joue avec son anus ».
Pendant que Jim reprend la main de Jane, et se pose devant ses seins, je plonge entre les cuisses de Jane. Je pose ma main droite sur le ventre de Jane que je caresse, et le pouce de ma main gauche se présente devant la petite porte. Ma langue virevolte entre ses lèvres et son abricot. Puis mon pouce pénètre son petit conduit. Je lentends feuler comme une chatte en chaleur. Elle pousses son sexe contre mon visage comme si elle voulais absorber ma tête entière. Plusieurs jets chauds inondent mon visage. Cest une fontaine de jouvence. Je ne peux mextraire de cet endroit magique. Je reste à butiner comme un bourdon.
Jules tinterroge :
« Alors ? As-tu retrouvé tes petits ma chérie ?
- Bien sûr, tu étais le premier et Jules le second !
- Ce nest pas possible, comment fais-tu ?
- De toi, jai une certaine habitude et de Jules un souvenir récent.
Incroyable Jane !
- Tu as gagné, quel est le gage ?
- Jai besoin dêtre transpercée, écartelée, comblée. Vous devez terminer votre uvre exige Jane, tout en se plaçant en levrette. Chéri, pardonne-moi, mais je nai jamais eu à faire à si bel équipement. Jules accompli ta promesse de tout à lheure. Chéri, laisse-moi aspirer de tes entrailles tous tes sucs. Jen veux des litres ».
Elle voulait soffrir à mes assauts sous lil de Jim. Son côté garce mexcitait plus encore. Comme si jen avais besoin !
Je me plaçais derrière sa magnifique et accueillante croupe. Elle nattendait quune chose, que mon membre vienne combler sa vulve et son ventre en feu. Je mintroduisais doucement mais fermement, jusquà la garde de mes bourses tendues comme des outres pleines. Elle cria de bonheur, minvitant ainsi à répéter lopération.
Jim était à genoux devant Jane. Je voyais la tête de Jane senfoncer à chacun de mes coups de reins.
Je vois Jim au comble de lextase. Ses yeux étaient exorbités, comme sil ne voulait pas perdre un instant de la vision de Jane offerte. Je pourfendais Jane. Mon piston glissait dans létui de Jane tellement lubrifié. Je remplissais totalement son ventre. Ma pointe et mes réservoirs frappaient en mesure la profondeur des chairs de Jane et son abricot. La main de Jane vient presser mes bourses, comme une poire à parfum. Elle veut ma semence. Les spasmes de Jane saccélèrent. Jentends Jim :
« Tu nas pas honte, petite coquine de te donner au premier homme venu. Cest un beau calibre, nest-ce pas ? Il te fait jouir ma chérie. Tu nas pas honte.
- Oui
oui
Il me fait jouiiiiiirrr
»
Jexplosais dans Jane. A chaque contraction de mes bourses, un jet puissant de semence cognait les chairs de son étui.
Jai vu Jim se crisper, et sans aucun doute, envoyer sa délicieuse décharge dans la bouche de Jane. Quant à Jane, inondée de nectar, elle hurlait sa jouissance dans un orgasme inter sidéral.
Nous restâmes quelques temps imbriqués, puis nous nous sommes étendus. Jane menveloppais de ses bras, tandis que Jilm en faisant autant de Jane. Nous sombrâmes dans un sommeil irrésistible.
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