La Lune Noire En Taureau - Chapitre Iii Jules

C’était le dernier jour, et la fatigue se faisait sentir. Plus loin, un petit chemin de randonnée rejoint le GR. Je n’ai pas rencontré grand monde jusqu’à présent, peut-être, en me rapprochant de Barre des Cévennes.
Deux randonneurs sur la gauche à 100 mètres, j’accélère le pas pour les rejoindre.
« Bonjour, dis-je.
- Bonjour, répondirent-ils en cœur ».
Au premier coup d’œil, la femme est jolie, une quarantaine d’années, de belles formes et des jambes musclées. Elle est très sexy avec sa jupette short de randonnée ! Lui fait plus vieux, mais bien entretenu ! La cinquantaine, taille, mince, d’allure sportive, il semble plus réservé qu’elle. Allons-y !
« Vous suivez le GR 72 ?, demandai-je.
- Oui, nous rejoignons Barre des Cévennes où nous louons un gîte » répondit l’homme
Je me calais sur leur pas. Ils étaient sortis pour la journée au regard de leur équipement. L’homme me demanda :
« Vous faites le GR 72 ?
- Je suis parti de St Laurent les Bains, j’ai gravi le Mont Lozère et je termine à Barre des Cévennes. La semaine a été épuisante, chaleur, orages. J’en ai plein les bottes ».
La dame parle !
« Au gîte, nous avons un jacuzzi, et c’est bien agréable pour délasser les jambes après la randonnée !
- Je vous envie ! En ne laissant pas paraître mon sentiment d’injustice.»
Si c’est pour me faire baver d’envie, il vaut mieux que la dame se taise. Et si nous nous présentions ?
« Je m’appelle Jules, et vous ?
- C’est Jane et moi Jim
- Je suis d’Albi, et vous ?
- Nous résidons à Jouy en Josas»
La conversation était lancée. Finalement Jane avait une conversation des plus instruites. Elle était drôle. Son sourire illuminait son visage. Jim partageait une passion commune pour la musique classique. J’appris que Jim était marathonien, et qu’avec Jane ils visitèrent plusieurs capitales européennes.
Je dois satisfaire une envie devenue pressante.

En m’éloignant du couple je me disais : je suis sûr qu’elle regarde mes fesses. Soulagé, je revins vers eux.

Depuis huit heures ce matin, je n’avais point mangé. Il était temps de se restaurer un peu. Je proposais à Jim de s’installer près d’un petit cours d’eau où nous pourrions nous rafraichir et reprendre un peu de forces en partageant nos repas. Ils randonnaient avec une bouteille de rosé, breuvage que j’accueillis avec plaisir après ces quelques jours au « pain sec ».
Était-ce dû à mon abstinence e, mais la vue de Jane titillait mon entre jambes. Nous cherchons toujours ce qui nous manque dis-t-on. C’est certainement la raison pour laquelle je ne pus m’empêcher quelques allusions coquines. Ils semblent sympathiques et ouverts. Sont-ils coincés de la fesse ?
« Connaissez-vous celle de cette femme qui part en croisière et qui sauve 300 vies, lançais-je ?
- Non ?
- C’est une femme qui part en croisière et qui tient son journal de bord. Vendredi : Une folie m'a prise, je me suis acheté un billet pour une croisière d'une semaine en paquebot, nous partons demain! Samedi : Ça y est, nous avons embarqué sur ce magnifique navire, beau temps, mer calme. Dimanche : Fabuleux paysages! Par ailleurs, le commandant m'a invité à dîner à sa table et s'est montré très prévenant à mon égard. Lundi : Nouvelle invitation du commandant. Toujours aussi prévenant, mais j'ai un doute, il a voulu me faire visiter sa cabine. Mardi : Je n'ai plus de doutes quant à ses intentions libidineuses! Il devient même de plus en plus pressant! Mercredi : Cet homme est obsédé! Il m'a menacé de saborder le navire si je continuais de refuser ses avances. Jeudi : J'ai sauvé la vie de ...
- C’est ce qui s’appelle joindre l’utile à l’agréable, s’esclaffe Jane, les femmes sont prêtes à tout donner pour de grande cause !
- Et pour quelle grande cause te donnerais-tu ma chérie, interroge Jim ?
- Et bien toi mon chéri, répliqua-t-elle, je suis prête à tout pour toi ! ».


J’avais ma réponse. Jane ne semblait pas avoir froid aux yeux. Je dirais même, coquine. J’ai bien remarqué comment elle m’observait. Jim semble indifférent ; ou il est aveugle, ou il est complice.
Nous étions étendus sur le sol pour une petite sieste réparatrice. J’étais à un mètre de Jane et Jim, qui étaient enlacées. Je repensais à la réponse de Jane à ma blague. Il y avait quelque chose de provocant, comme un défi qu’elle jetait à Jim. Serait-elle prête à quoi ? Je suis sûr qu’elle aime faire l’amour, et le sexe des hommes. La réaction ne se fît pas attendre. Mon membre se raffermit à grande vitesse. Sa raideur était à l’aune du désert sexuel de ces dernières semaines. J’étais plus excité encore d’imaginer qu’elle puisse observer de là où elle était, la belle boursouflure de mon pantalon.
Jim dit qu’il ne fallait plus tarder. Nous nous remîmes en route. Le temps était lourd, orageux. J’aimais de temps à autre rester derrière Jane et Jim. J’avais une vue imprenable sur le joli postérieur de Jane qui aurait fait damner tout un conclave. J’avais envie d’elle, c’était certain. J’avais la conviction qu’elle aimait l’amour. Je cherchais comment trouver un moment avec Jane sans Jim. Un miracle eu lieu :
« Chéri, nous pourrions proposer à Jules de venir se détendre dans le jacuzzi et dîner avec nous…le jacuzzi te fera le plus grand bien, et nous fêterons la fin de ton voyage !
- C’est avec plaisir que j’accepte, mais je ne veux pas vous déranger balbutiais-je.
- Nous avons besoin de compagnie, et la tienne est charmante ! »
Si ce n’est pas une invitation à plus si affinité, je me fais moine. Jim semblait contrarié.
« Et moi ? Je vais cueillir les haricots ?
- Mais non mon chérie, tu es toujours au première loge !»
Alors là, Jane a vraiment une idée derrière la tête, ou plutôt ailleurs… Jane et Jim accélère le pas…

Arrivé au gîte je dépose mes affaires. Jim me propose de passer mon maillot de bain dans la salle du même nom.
Je m’exécute, et reviens dans le séjour. J’ai le sentiment que ma silhouette ne laisse pas indifférent. Ni Jane, ni curieusement Jim. Ah non ! J’espère qu’il n’aime pas les hommes !

Quelques minutes plus tard, nous étions dans le jacuzzi. Quel bonheur de détendre ses muscles martyrisés. A mon goût, nous changions trop souvent d’emplacements. Mais quand même ! Mes compagnons de voyage m’offraient un vrai bain de jouvence. J’aimerais les remercier.
« Je ne sais comment vous remercier pour ce bienfait leur dis-je.
- Me remercier, car j’ai pris l’initiative de t’inviter, précisa Jane.
- Je vous invite au restaurant, repris-je.
- Non, non, j’ai le dos en compote, un massage serait le bienvenu. Pendant que tu prépareras le dîner chéri ! ».
A cet instant, je compris que Jane avait échafaudé un plan. Elle voulait un contact physique. Son aplomb m’avait vraiment impressionné et je trouvais Jim relativement serein. Ils sont complices j’en suis certain. Je fermais les yeux pour mieux me détendre. Mais la proposition de Jane m’obsédait. Que voulait-elle vraiment ? Je ne souhaitais pas me retrouver dans un imbroglio affectif. Soudain, une main, celle de Jane, vînt se poser sur mon maillot de bain. Elle remonta jusqu’à la taille, s’inséra entre le maillot et ma peau et plongea vers mon membre alangui par l’eau chaude. Pas pour longtemps, la caresse raviva vite la bête. Rapidement mon dard se dressa, et je sentais à la manière dont sa main l’emprisonnait un réel désir. Ma main s’approcha de sa cuisse proche de la mienne. Je décidais d’aller plus haut. Mon doigt inquisiteur frotta le tissu qui protégeait son abricot. En signe d’acquiescement, elle écarta les cuisses. J’avais la réponse à toutes mes questions. Jane me voulait, et elle m’aurait, quoiqu’en pense Jim. Cette perspective me mît dans un état d’excitation difficile à contrôler. Il était temps de quitter le jacuzzi.

Après nous être séchés, mous rejoignîmes le gîte. Je demandais à bénéficier de la salle de bain pour me raser.
J’étais tellement excité, que j’envisageais de me soulager moi-même. Mais je savais que je n’avais plus longtemps à attendre. Je me rasais consciencieusement. On ne sait jamais ! Je regagnais le séjour. Jane et Jim semblaient bien perturbés. Jane monta un escalier qui devait aboutir à la mezzanine. Jim me dit doucement :
« C’est la chambre à coucher - Ah ! C’est le lieu du crime pensais-je- puis plus fort, bon, je vais préparer l’apéro,
- Jules, veux-tu venir me masser le dos ? J’ai besoin de le détendre. »
Je montais les marches, à la fois excité par la perspective de Jane à ma merci, et inquiet par la curiosité de la situation.
Je pénétrais dans la mezzanine où Jane était étendue sur le ventre, nue, une serviette couvrant son dos et un peu plus que ses fesses
« Faites votre travail cher masseur, m’ordonna-t-elle.
- A vos ordres chère Madame, répondis-je avec enthousiasme !».
Je pris les côtés de la serviette qui l’enveloppait et la plia sur ses fesses. Je préparais mes mains avec quelques gouttes d’huiles essentielles. Je me plaçais entre ses jambes et je commençais à lui masser le dos.
Jane me guidait sans aucune gêne : «Oui, c’est bon, plus à gauche, là… ». Je descendais doucement vers le bas de son dos, histoire de vérifier les limites de la dame. Aucun geste. C’est open bar semble-t-il ! J’entreprends les mollets, les cuisses. Je remonte vers les fesses. Aucune réaction, mieux, un encouragement :
« Un peu plus haut, encore, tu sens le point de tension… ». J’étais carrément sur son bouton qui bourgeonnait d’un désir qui ne pouvait plus être secret ! Je poursuivais mon exploration entre ses lèvres. Le chemin était déjà bien lubrifié. Jane était à moi.

J’entends : « Je sors quelques minutes sur la terrasse de l’accueil pour regarder mes mails ». A ces mots, Jane se tourne sur le dos. Et me déshabille en un éclair. Elle prend ma tête et la porte vers le bas de son ventre. Ma langue s’agite comme celle d’un serpent. Puisqu’elle a décidé de tromper son mari, presque à sa vue, je ne vais pas la décevoir. Son bouton congestionné est une offrande au plaisir. Je musarde entre ses lèvres, je pénètre sa vulve, revient sur son abricot. J’entends sa respiration s’accélérer. Elle gémît. Elle écarte totalement ses cuisses comme une danseuse réalisant le grand écart. Elle m’offre la vision d’une femme à la porte de la jouissance. Sans retenue, sans pudeur, rien que sa vulve gonflée pour ma langue. Elle jouit enfin, libérant des petits cris incontrôlés. Je restais là entre ses cuisses à faire l’école buissonnière. Elle se releva, me mit sur le dos, me murmura à l’oreille : « Je veux te boire ! ». Dans le parallélisme des formes, elle se mit à genoux entre mes cuisses. Ses mains se posaient sur chacune de mes cuisses. D’un mouvement lent, elle les remontait vers mon torse, déplaçant sa bouche vers ma friandise. Elle ouvrit la bouche, et enfonça mon pieu jusqu’à sa gorge. Mon Dieu ! C’est une gloutonne, une gourmande. Elle va le manger entièrement !
Mon bas ventre s’irradiait à la mesure des « va et vient » de Jane. Je prenais sa tête entre mes mains pour qu’elle accompagne la montée de mon plaisir. Quelle s…Elle aime la B…Elle est ardente sur l’ouvrage comme une mort de faim. comme si j’étais un dessert d’exception à un repas d’ordinaire. Elle voulait ma semence. Elle allait l’avoir ! Sa main vient caresser mes bourses pleines à exploser. Une onde magnétique parcoure tout mon corps. Mes jets sont puissants et nombreux. J’ai l’impression que ma source ne se tarit pas. Elle boit, boit, boit encore mon breuvage. J’imagine sa satisfaction à se délecter du nectar d’un autre homme que son Jim. Peut-être n’en a –t-elle jamais eu autant. Elle ne finit pas de me finir ! Un piranha, un cannibale jamais repus ! Je veux la posséder !
J’entends la porte du séjour s’ouvrir.
« C’est moi ! Tout va bien ?
- Tout va bien mon chéri, Jules est un excellent masseur »
Quel sang froid !
« Ah oui, dis Jim ?
- Je n’ai plus mal au dos ! »
C’est sûr, avec un tel traitement, Jane avait du oublié ses douleurs !
Je me rhabillais rapidement sans oublier de murmurer à la muse de ma jouissance :
« Je ne veux pas partir avant de t’avoir possédée coquine, tu ne pourras pas échapper à la jouissance de mes assauts. ».
Je descendais les escaliers. J’avais un certain embarras. Comment me présenter à Jim le plus naturellement possible ?
La meilleure des manières de se sortir d’une situation pesante, c’est l’action. Je devais prendre possession de ma chambre d’hôte. J’en parlais à Jim qui me proposa de m’y emmener.
J’acceptais bien volontiers, même si la perspective de me retrouver seul avec Jim dans la voiture m’inquiétait.
En effet, dans la voiture, le silence était pesant. Jim me demanda :
«Ça va Jules ?
- Je me sens calme et délassé. Un peu sonné.
- Comme trouves-tu Jane ? »
Aie, Jim ce doute-t-il de quelque chose ? Je répondis :
« A vrai dire, tu as de la chance de l’avoir à tes côtés.
- J’en suis le premier convaincu.
- Tu ne la trouves pas attirante ? »
C’est sûr, il se doute de quelque chose ! Je bafouillais :
« Euh…à vrai dire…
- Ecoute veux-tu être mon ami ? »
Quelle question ! Où veux-tu en venir Jim ?
« Oui bien sûr Jim, dis-je perplexe.
- Alors, aucun sujet, aucun tabou, ne doivent faire rempart à notre relation. Es-tu prêt à devenir mon ami ? »
J’en ai maintenant la certitude. Jim est complice des infidélités de Jane. Lui dire ou ne pas lui dire. C’est la question !
« Je comprends…Je ne sais pas…Je suis embarrassé Jim.
- Tu as quelque chose à me dire ? »
Oui, j’ai quelque chose à te dire ! Mais es-tu prêt à entendre les agapes de ta femme, Jim ?
« Jane est très attirante…
- Et…
Et m…Je l’ai b…et elle a adoré. Comment te le dire ?
« Je suis un homme, répondis-je platement !
- Bon dieu, Jules, accouche ! Je vais t’aider ! je vous ai vu dans la chambre à coucher. Elle avait mon accord, et tu en as bien profité. N’est-ce pas ?
Tu étais donc consentent, Jim. Me voilà soulagé !
« Euh…oui…
- Elle suce comment ? »
Epargne-moi les détails Jim !
« Jim ! Euh…divinement…
- Et tu n’es pas maladroit de ta langue visiblement ! Alors voilà Jules, si tu veux être mon ami, nous devons être complices. La règle du jeu est simple. Tu pourras bénéficier des faveurs de Jane qu’à sa propre initiative. De ton côté, tu n’en prendras aucune sans notre accord. Et si tu tombes amoureux de Jane, alors nous nous ne reverrons plus. Capito ?
Moi, je suis d’accord pour tout ! Jane était un bon coup !
« Capito ! »
Nous arrivions devant sa chambre d’hôte. Je prenais possession de ma chambre. Je ne risquais pas avec mes hôtes, la soixantaine bien sonnée, de me trouver dans la même situation ! Avec eux, j’allais pouvoir me reposer !
Je regagnais la voiture de Jim. Sur le chemin du retour Jim me dis :
« Ce soir je serai le maître du jeu, Jules, et tu en percevras les intérêts.
- Vos désirs sont des ordres Monseigneur ! »
La perspective de m’introduire dans Jane m’excitait d’avance. Quel généreux homme, ce Jim !

L’apéritif fut des plus joyeux, le dîner qui suivit aussi. La soirée était douce et Jane était resplendissante. Elle portait une jupe et un chemisier qui mettait en valeur ses attraits. Excitante, sensuelle, j’avais beaucoup de mal à regarder ailleurs. S’en est-elle aperçue ? L’ambiance était à la coquinerie, et Jane et Jim s’y entendaient. A mots à peine voilé, nous évoquions la fin d’après midi torride que mous avions vécue Jane et moi. Jim n’était pas le dernier à plaisanter. J’adorai son auto dérision et le recul qu’il avait sur les situations. Et c’est lui qui lança véritablement la soirée qui restera au panthéon d’Eros :
« Je suis convaincu qu’une femme ne peut reconnaître le corps de son compagnon les yeux bandés, affirma-t-il avec ostentation !
- N’importe quoi, repris Jane, chaque homme est différent : la texture de sa peau, ses formes, son odeur.
-Et toi Jules, qu’en penses-tu, Jim se tournant vers moi ? »
Je ne savais que penser de cette affaire, mais l’hypothèse de Jim méritait une prolongation :
« A vrai dire, la vue joue un rôle très important dans l’identification d’une personne. L’obscurité fait perdre beaucoup de références. Comment vérifier ton hypothèse ?
- C’est simple, affirma Jules, faisons un test. Bandons les yeux de Jane, et proposons-lui nos index à toucher.
- Excellente idée mon chérie. Mais pour que le test ait une valeur scientifique, il faudra me faire d’autres propositions ! »
Jane avait plus d’un tour dans son sac et, visiblement, j’allais avec bonheur, en faire les frais ! Délicieuse Jane, à quelle sauce me mangeras-tu ?
Nous t’avions placée, assise à califourchon sur une chaise, les yeux bandés, les bras semi tendus, la paume des mains orientée vers le ciel. Jim avait imaginé un protocole sophistiqué qui devait faire perdre toute référence spatiale à Jane. J’étais persuadé que ce n’était que de la poudre aux yeux avant d’en avoir plein les yeux !
Au signal de Jim, je m’approchais de Jane, et je plaçais mon index droit dans la paume dune des mains de Jane. Elle avait une minute pour identifier l’appartenance de l’extrémité proposée. Jane caressait mon doigt, mais j’aurais préféré que ce ne soit pas mon petit doigt ! Partie remise ? Puis après un nouveau protocole silencieux nous nous reculions, Jules demandait à Jane le résultat du test :
« Alors, chérie, as-tu deviné à qui appartenait les doigts ?
- Euh, pas facile en effet, au hasard, je dirais que le tien était à gauche.
- Perdu, c’était celui de Jules, voyons avec les mains… »
Je me réjouis de la progression du test. Après la main, que peut-on proposer ?
Jane me caressa la main dans tous les sens. Mais à la question posée par Jim, une nouvelle fois, tu te trompais. Fait un effort Jane ! Ce que tu dis ensuite fusa comme un uppercut. J’étais ko debout par la tonalité provocatrice et excitante de ta proposition :
«Mes mains ne vous reconnaissent pas, mais mes seins, j’en suis sûr !
- Tu es sûr ?
- Oui, oui, j’en suis sûr. Caressez mes seins… »
Jim déboutonna le chemisier de Jane. Puis il m’invita à dégrafer son soutien gorge pour libérer ses seins.
Je pris le sein droit. Nos caresses semblaient combler d’aise Jane. Le téton que j’avais en main pointait comme un obélisque. Ma verge grossissait au diapason de tes murmures de satisfaction. Au terme de 5 minutes, nous attendions à nouveau le résultat :
« La main à ma gauche est celle de Jules.
- Effectivement ma chérie, tu avais raison.
- Vous m’avez émoustillé. J’aimerai continuer le test dans la chambre. J’ai des propositions à vous faire. Mettons-nous nus. »
- Excellente idée dis-je.
- Alors, devant une telle unanimité, concluait Jim, je propose qu’à chaque fois que Jane réussit le test, elle demande à l’un ou l’autre d’accomplir un gage.
- Génial, mon chérie. Jules prépare toi ! ».
J’étais scotché ! Elle veut ma tringle et l’annonce sans pudeur !
Il ne fallut pas longtemps pour nous déshabiller. Puis nous conduisons Jane vers la mezzanine. Jules retira le dessus de lit, et je couchais Jane sur le dos.
« Alors, Madame le cobaye, dis Jim, quel est le prochain test ?
- Je fais le pari que je suis capable de reconnaître l’index et la langue de chacun. Chacun à votre tour, pendant trois minutes vous me caresserez ma pimprenelle, puis de même ensuite avec votre langue. Allez, à l’ouvrage ! »
Encore une fois, Jim souhaita brouiller les pistes. Il m’indiqua qu’il voulait commencer. J’ai 6 minutes à attendre. C’est long pour un homme dans mon état.
Jim s’appliqua à jouer de son doigt comme un virtuose. La montre indiquait trois minutes. Je tapais sur l’épaule à Jim, afin qu’il débute la deuxième phase. La vision de la tête de Jim entre les cuisses de Jane m’excita au plus haut point. Mon membre gorgé de sang me paraissait énorme. Trois minutes, j’ai un peu triché. C’était à mon tour.
Mon doigt immédiatement parcouru ta vallée qui était inondée. Je remontais vers ton bouton qui était lui aussi gonflé par l’afflux de sang. Je le caressais avec ardeur et Jane gémissait en écho. Jules me tape sur l’épaule. Ma bouche embrasse le sexe de Jane à pleines lèvres. Elle est totalement offerte, ouverte. Son bassin accompagne mes coups de langue, alors que ses soupires se transforment en une longue plainte de plaisir. Jules me tape sur le dos. Déjà ?
Quelques instants passent. Jane implorait :
« Continue, continue, je n’en peux plus… », Je vois la main de Jane se porter sur ton abricot pour en finir.
Jim me murmure : « Fais la jouir avec ta langue. Elle adore que le pouce joue avec son anus ».
Pendant que Jim reprend la main de Jane, et se pose devant ses seins, je plonge entre les cuisses de Jane. Je pose ma main droite sur le ventre de Jane que je caresse, et le pouce de ma main gauche se présente devant la petite porte. Ma langue virevolte entre ses lèvres et son abricot. Puis mon pouce pénètre son petit conduit. Je l’entends feuler comme une chatte en chaleur. Elle pousses son sexe contre mon visage comme si elle voulais absorber ma tête entière. Plusieurs jets chauds inondent mon visage. C’est une fontaine de jouvence. Je ne peux m’extraire de cet endroit magique. Je reste à butiner comme un bourdon.

Jules t’interroge :
« Alors ? As-tu retrouvé tes petits ma chérie ?
- Bien sûr, tu étais le premier et Jules le second !
- Ce n’est pas possible, comment fais-tu ?
- De toi, j’ai une certaine habitude et de Jules un souvenir récent.
Incroyable Jane !
- Tu as gagné, quel est le gage ?
- J’ai besoin d’être transpercée, écartelée, comblée. Vous devez terminer votre œuvre exige Jane, tout en se plaçant en levrette. Chéri, pardonne-moi, mais je n’ai jamais eu à faire à si bel équipement. Jules accompli ta promesse de tout à l’heure. Chéri, laisse-moi aspirer de tes entrailles tous tes sucs. J’en veux des litres ».
Elle voulait s’offrir à mes assauts sous l’œil de Jim. Son côté garce m’excitait plus encore. Comme si j’en avais besoin !
Je me plaçais derrière sa magnifique et accueillante croupe. Elle n’attendait qu’une chose, que mon membre vienne combler sa vulve et son ventre en feu. Je m’introduisais doucement mais fermement, jusqu’à la garde de mes bourses tendues comme des outres pleines. Elle cria de bonheur, m’invitant ainsi à répéter l’opération.
Jim était à genoux devant Jane. Je voyais la tête de Jane s’enfoncer à chacun de mes coups de reins.
Je vois Jim au comble de l’extase. Ses yeux étaient exorbités, comme s’il ne voulait pas perdre un instant de la vision de Jane offerte. Je pourfendais Jane. Mon piston glissait dans l’étui de Jane tellement lubrifié. Je remplissais totalement son ventre. Ma pointe et mes réservoirs frappaient en mesure la profondeur des chairs de Jane et son abricot. La main de Jane vient presser mes bourses, comme une poire à parfum. Elle veut ma semence. Les spasmes de Jane s’accélèrent. J’entends Jim :
« Tu n’as pas honte, petite coquine de te donner au premier homme venu. C’est un beau calibre, n’est-ce pas ? Il te fait jouir ma chérie. Tu n’as pas honte.
- Oui…oui…Il me fait jouiiiiiirrr… »
J’explosais dans Jane. A chaque contraction de mes bourses, un jet puissant de semence cognait les chairs de son étui.
J’ai vu Jim se crisper, et sans aucun doute, envoyer sa délicieuse décharge dans la bouche de Jane. Quant à Jane, inondée de nectar, elle hurlait sa jouissance dans un orgasme inter sidéral.

Nous restâmes quelques temps imbriqués, puis nous nous sommes étendus. Jane m’enveloppais de ses bras, tandis que Jilm en faisant autant de Jane. Nous sombrâmes dans un sommeil irrésistible.

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