Le Gîte Naturiste. 1Ère Histoire Interactive Des Internautes. 1er Chapitre

HISTOIRE INTERACTIVE.
Les aventures d’Anne et Patrick racontées par les deux protagonistes.

Vous êtes lecteurs de cette histoire mais si vous le voulez, vous pouvez aussi en être un des protagonistes. Il vous suffit de vous identifier à une des personnes présentes ou d’en créez une que je rajouterai dans le récit. A vous de voir si votre personnage vivra une histoire indépendante ou avec l’un des 2 protagonnistes
A vos claviers !!! en cherchant un peu vous trouverez mon mail sur ce site.

LE GITE NATURISTE
1er chapitre

PATRICK

Bonjour, moi c’est Patrick. J’ai 54 ans et je vis des aventures avec les femmes qui veulent bien de moi. Je fais 1m77 pour 80 kilos, yeux bleus tirant sur le vert, j’essaie d’entretenir mon corps pour plaire le plus longtemps aux femmes.

Une amie rencontrée sur le net m’a parlé d’un gîte de naturiste qui est à 50 kms de chez moi. C’est dans le 69, un corps de bâtiment avec 4 chambres, une piscine couverte et des caravanes disséminées dans la nature. Elle m’a encouragé à y passer quelques jours et j’ai accepté de suivre son idée. Elle devrait aussi avoir réservé cette semaine.

Bon, c’est décidé, je téléphone pour réserver. Et ce lundi matin je pars de chez moi et y arrive pour 11 heures.
Je vais m’inscrire à l’accueil et me retrouve logé dans une caravane. On dirait que l’hôtesse m’a regardé d’un air bizarre. Elle doit plus être habituée à voir des couples, enfin….

Une fois mes petites affaires installées, je fais un tour des lieux, c’est un coin de campagne splendide avec un petit étang.
Mais ce n’est pas mon jour, une pluie diluvienne se met à tomber.
Je me précipite à l’intérieur ou je me fais remonter les bretelles :
-Monsieur, vous êtes dans un gîte de naturiste, vos vêtements doivent rester dans votre caravane !

Bon, quitte à être à poil, autant que ça soit au bord de la piscine, je suis un piètre nageur mais pour un premier contact avec les autres résidents, ça sera plus facile pour moi.

Je me rends à la piscine couverte. Je passe sous la douche et muni de ma serviette j’arrive au bord de la piscine où se trouvent des transats.
Je suis quand même un peu gêné car pas l’habitude d’être complètement à poil devant les gens.
Ma queue n’en mène pas large.
Il n’y a pas grand monde, 3 couples.
Pour le premier, 2 jeunes amoureux qui n’arrêtent pas de se bécoter, aucune chance de ce coté là.
Le deuxième couple est néerlandais, des habitués du naturisme comme beaucoup de leurs concitoyens mais ils ne parlent pas un mot de français.
Le troisième couple est formé d’un homme assez âgé, dans les 70 alors que sa compagne me parait beaucoup plus jeune et ma foi je peux dire qu’elle est pilepoil mon genre de femme.

Je commence à apprécier le naturisme qui me permet d’admirer son corps sans voile.
Elle a les cheveux châtain, dans les 1,60m, 1,65m, des seins en poires. La chatte épilée bien dessinée. Qui sait ? Peut-être que qu’on pourrait sympathiser?

Je barbote dans la piscine et m’arrange pour sortir de l’eau vers eux, je vois que j’ai attiré son regard, ou plutôt une partie de mon anatomie.
Il faut dire que de ce côté là, je n’ai pas de complexe. Au repos, ma queue fait dans les 14/15cms et déjà 4,5cm de diamètre, ça impressionne toujours favorablement les femmes à mon égard.

Il y a un transat libre à côté d’elle, je vais vers eux, je les salue, étale ma serviette et m’allonge sur le dos. Discrètement je peux les regarder. Oui, lui semble avoir 70 ans grand, un peu bedonnant et presque chauve. Elle a encore de beaux restes de femme mature et surtout des seins denses, un peu lourds. Avec des aréoles brunes et des teutons très érectiles.

ANNE
Bonjour, moi c’est Anne.
J’ai 54 ans et vis seule. Je fais 1m64 et 60 kg, de petites rondeurs que j’assume. J’aime les balades, le tennis, les restaurants et danser.
Je fréquente un ami, Pierre, avec qui je sors et pars aussi parfois en vacances.

Nous sommes naturistes et cinq ou six fois par an, surtout pour décompresser, nous allons dans des centres naturistes, plus ou moins grands.

Là nous sommes pas trop loin de Lyon, dans un petit centre, et n’avons pas de chance.
Depuis deux jours que nous sommes là, il pleut, il fait frais. Alors entre la piscine, le sauna, il n’y a pas grand-chose à faire.
Nous sommes encore en début de printemps et peu nombreux sont les naturistes présents.
J’ai croisé trois couples, une femme seule et deux hommes seuls.

En ce début d’après-midi, alors que je suis sur un transat au bord de la piscine à écouter la pluie tomber, je vois arriver un homme. Pierre, à mes côtés, comme souvent, dort.
Je n’ai encore jamais vu cet homme dans le centre, il doit être nouveau.
Il approche et plonge dans l’eau. Comme je n’ai pas grand-chose à faire je le regarde.
Il semble grand et musclé mais sans trop.
C’est le type d’homme qui m’attire, je le reconnais.
Je me pose une question : serait-ce cet homme avec qui j’ai dialogué sur le net et à qui je me suis confiée en lui disant que j’irai quelques jours me détendre dans un gite naturiste ?
Je crois même lui avoir proposé d’y aller aussi… Cette question reste sans réponse.

Il nage, moi les yeux mi-clos, je le regarde sortir de l’eau et venir vers le dernier transat libre, celui qui est à côté de moi.
Il s’approche, je peux bien le voir. Super. Il est imberbe mais a une belle toison sombre autour de son sexe, peut-être est elle même un peu trop longue me dis-je car, car ce qui m’impressionne c’est son sexe qui au repos est imposant, superbe, beau. Il semblerait encore plus grand si ses poils étaient moins longs !
Il me salue, pose la serviette et s’allonge sur le dos.
Le couple de hollandais est maintenant dans la piscine et fait des allers-retours. Le couple de jeunes qui a rapproché les deux transats se caresse et s’embrasse comme s’il était seul au monde.


Au bout de quelques minutes, mon « bel inconnu » s’adresse à moi et on commence à converser. Je lui demande :
- Vous êtes d’où ?
- Je suis Jurassien, ce n’est pas très loin.
- Et vous restez combien de temps ?
- Je ne sais pas, ça dépendra….
- Vous avez loué une caravane ou êtes venu en camping-car ?
- Je suis dans la caravane N° 2.
- Vous êtes seul ici ou accompagné ?
- Vous êtes direct vous. Je devais retrouver une amie qui semble m’avoir posé un lapin. Je me prénomme Patrick, et vous ?
- Anne.

On parle de tout, de rien, de la pluie et du beau temps à venir. Il veut aussi savoir si je connais bien le centre, si je viens souvent. Il me parle sans se préoccuper de Pierre, il ne sait pas encore que c’est mon ami.
Je crois que c’est mon bel inconnu avec qui je converse par mail mais je ne vais pas le lui dire.
Je suis très flattée qu’il me parle et bien sûr je me tourne légèrement vers lui. Ainsi il peut voir mes seins, l’un « posé » sur l’autre et donc mieux voir leur taille. J’ai des seins en forme de poires mon TP est de 95D. Ils sont denses et je le reconnais un peu lourds.
Ainsi moi aussi je peux le voir lui, sa poitrine, son ventre, ses cuisses mais surtout son sexe nonchalamment posé sur une de ses cuisses. Qu’il est beau, long et gros, même au repos.


PATRICK

J’ai lié la conversation avec ma voisine, ma foi c’est une bien belle femme et je ne peux m’empêcher de baisser les yeux sur sa magnifique poitrine.
Je ne suis pas de bois et ce que je redoutais se produit, je ne suis pas un habitué du naturisme moi, et mon cerveau réagit aux stimuli que lui envoient mes yeux.
Les appâts de ma voisine déclenchent en moi une réaction bien naturelle sans pour autant aller jusqu’au bout.
Ma verge amorphe sur ma cuisse, prend un peu ses aises et gonfle, prenant quelques centimètres supplémentaires. Je suis un peu gêné car je m’aperçois qu’il n’y a pas que ma voisine qui lorgne sur mon bas-ventre.
Les deux jeunes ont suspendu leurs ébats et me regardent aussi.
Anne, ma voisine me regarde en souriant et me fait remarquer que je ne passe pas inaperçu.
Son homme dort encore.


ANNE
Lors de notre bavardage, je vois, étonnée mais intéressée, son sexe qui s’allonge.
Il prend des dimensions plus grandes, sans pour autant se raidir. Il est de plus en plus excitant. Je lui fais remarquer que je suis honorée de lui faire un tel effet.

Alors comme je suis aussi une provocatrice, tout en bavardant, je passe de façon très naturelle une ma in sur un sein en m’attardant sur le tétin que je pince entre deux doigts.
Et bien sûr je ne peux détacher mes yeux de ce sexe hors normes, d’ailleurs les deux jeunes se sont assis sur leur transat et te regardent aussi.
Le jeune a un corps assez poilu sur la poitrine, le ventre et autour du sexe.
Ce dernier semble fin et long mais moins que le tien. La fille a des seins en poire genre 85b avec des aréoles petites et roses et des tétons fins mais qui ont une longueur incroyable d’au moins 2 cm. Son pubis semble lisse au niveau des lèvres mais avec un triangle étroit de poils courts au-dessus.
Tes yeux passent de moi à eux. Les Hollandais ont quitté la piscine. La pluie semble s’arrêter et le soleil commence à percer.
Nous poursuivons notre bavardage, je me mets même assise maintenant face à toi, jambes un peu écartées. Tu vois bien mes « mamelles » de femme mûre, qui sont un peu lourdes et aussi mon sexe lisse, avec des lèvres bien roses. Je t’interroge.
-Vous dinez où ce soir?
-Je ne sais pas, je ne connais pas le coin, vous pouvez peut-être me proposer la bonne adresse ?


PATRICK.

Bon dieu ! Elle n’arrête pas de me provoquer, elle s’est redressée de son siège et à posé ses jambes sur le sol. Elle est maintenant face à mois et écarte sans aucune pudeur les cuisses.
Entre sa main droite qui triture innocemment une pointe de sein déjà tendue et sa chatte offerte aux lèvres bien dessinées à moins d’un mètre de moi, je ne peux réfréner l’ascension de mon engin en pilotage automatique qui doucement, à mesure qu’il se gorge de sang, progresse vers mon bas-ventre.
Je reste stoïque, ne bougeant pas un muscle du transat, répondant à ses questions sans trop réfléchir à mes réponses.
Ses yeux ne me regardent même plus, fixés sur le centre névralgique de mon corps.
Ma teub, par à-coups, devenue toute raide, vient de quitter ma cuisse gauche et barre mon ventre, cachant le nombril.
Il ne reste plus que le couple de jeunes autour de la piscine, la fille a le regard fixé sur moi et ce qu’elle voit doit l’exciter car sa main droite a saisit le sexe de son compagnon et le branle sans vergogne. Il lui sourit et me fait un clin d’œil complice.
Le voisin d’Anne continue de dormir.
Jusqu’ou va-t-elle m’aguicher avant que je ne lui saute dessus ?


ANNE.

Et je profite donc de sa réponse pour lui dire :
- Si vous voulez ce soir Pierre et moi allons diner à la ville voisine dans un restaurant sympa. Vous pouvez nous accompagner. Et j’ajoute : Oui Pierre, c’est lui, (montrant l’homme qui dort à mes côtés) c’est un ami avec qui je vais très souvent en vacances.

Et sur ces paroles, je me lève. Enfin tu me vois debout. Je « bombe » ma poitrine pour te défier et je dis à mon ami
- Pierre, la pluie a cessé, reste encore un peu à la piscine, moi je vais me promener dans le domaine.

Et sur ce, te faisant un large sourire, je sors et vais sous les douches attenantes au bassin. Je me mets sous l’eau chaude c’est super bon. Je prends mon flacon de savon liquide et je savonne mon corps. J’ai volontairement laissé la porte entrouverte.

PATRICK

Bon dieu ! Elle vient de se mettre debout et j’ai pendant un instant son « Mont de vénus » bien bombé avec une fente séparant deux lèvres charnues à quelques centimètres de mes yeux.
Quel spectacle !
Elle s’éloigne en faisant ressortir ses seins lourds et se dirige vers les douches.
De la main elle me fait un signe discret m’invitant à la suivre.
Je la suis quelques instants après, rouge de honte, montrant à la vue du jeune couple ma barre bien à l’horizontal, je ne sais plus ou me mettre sous le regard envieux de l’homme et gourmand de sa compagne.
J’ai enfin passé le cap ne leur montrant plus que le coté pile.
Quand j’arrive au niveau des douches, je m’immobilise soudain devant le spectacle que m’offre Anne. Elle a sciemment laissé la porte ouverte et le spectacle est merveilleux, elle s’enduit les mains de savon et caresse lascivement toutes les parties de son corps.

Ses 2 mains sont au niveau du ventre et lentement par des mouvements rotatifs, s’éloignent l’une de l’autre, la droite arrive aux seins passant de l’un à l’autre tandis que la gauche s’est égarée dans la fourche de ses cuisses, comme elle est légèrement de profil, je ne peux en voir plus.
Je ne veux pas faire le « voyeur » mais je peux lui proposer moi aussi un petit numéro savonneux. Je rentre dans la douche juste en face de la sienne laissant moi aussi la porte ouverte et m’enduit de savon.
Elle m’a vu et m’observe du coin de l’œil.
Après m’être enduit le torse, je passe à mes fesses et mes hanches et en point final, je me saisis de ma verge de la main droite en « m’astiquant » consciencieusement le dard.
On dirait qu’un accord tacite est signé entre nous, chacun découvre le corps de l’autre sous les caresses qu’il se prodigue lui-même.
Elle vient de se mettre face à moi et je vois son majeur qui coulisse dans son abricot bien dessiné.
Je n’ai encore jamais vécu une telle chose, je la caresse avec ses mains, elle me caresse avec les miennes, nous ne nous cachons rien, il n’y a plus aucun jardin secret que nos yeux n’aient exploré. Je n’aurais jamais cru que ça me fasse un tel effet, j’en ai presque mal tellement mon engin est devenu dur.

Fin du premier chapitre.

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