Le Casque
Partie 2:
Il s'avance encore un peu et comme répondant à un signal, j'entrouvre les lèvres. Il plonge alors son pouce dans ma bouche, l'enfonce puis le ressort plein de salive qu'il badigeonne sur mes lèvres sèches. Puis sa main dirige son membre entre les bords humides. Son gland et sa large couronne se frayent lentement un passage puis d'un mouvement de hanche il le pousse doucement en avant. Je sens le goût salé et âcre de son sexe chaud. Il est très excité d'avoir mis son organe dans ma bouche.
Ses reins basculent légèrement en arrière et repartent vers l'avant, enfonçant un peu plus son sexe en moi. Il continue ce va-et-vient doucement, sans précipitation. Il ne veut pas provoquer de hauts le coeur mais chacune de ses pressions se fait un plus insistante, pousse un peu plus loin son gland, durcit un peu plus sa verge. Elle grandit inexorablement dans mon gosier, devient rigide, épaisse. Des veines se gonflent sur sa hampe humide.
Mon sexe se durcit au même rythme que ses mouvements, chaque poussée électrise sa surface, déclenche une onde de plaisir qui se rue dans mon cerveau. Galvanisé, je resserre davantage mes lèvres et englouti son membre aussi profondément que je le peux. Ma bouche est remplie tout entière par sa verge mais instinctivement, je sais ce qu'il faut faire pour empêcher les hauts le coeur. Erwin adore la manière dont je le suce.
Kybe
Ce que je suis en train de voir est complètement dingue ! Erwin vient de mettre sa bite dans la bouche d'Azoruss. Ce dernier laisse mon pote s'enfoncer dans son gosier, puis se retirer, puis s'enfoncer à nouveau, encore et encore. Sa bite est devenue énorme et bien raide !
Erwin finit par se déboutonner complètement, baisse son froc et son slip à mi-cuisse, tout en continuant son mouvement de va-et-vient. Je m'aperçois alors que son sexe rentre presque entièrement dans la bouche d'Azoruss. Je lui lance:
- Mais comment il fait ça ?
- Jsais pas trop mais c'est exactement ce que je voulais, qu'il me répond.
- Le secret, c'est d'y aller tout doucement, pour qu'il s'habitue. Puis il montre le casque fixé sur sa tête:
- Avec ça sur son crâne, il doit vraiment ressentir la pipe qu'il me fait, c'est comme s'il se suçait lui-même !
Erwin enlève son tee-shirt, découvrant son ventre saillant et velu. La toison autour de son sexe est noire et fournie. Il cesse ses va-et-vients et met sa main derrière la nuque d'Azoruss, l'attirant vers lui.
Tandis que le sexe pénètre encore plus profondément dans sa bouche, son visage s'enfonce dans la toison pubienne d'Erwin. Puis mon pote relâche la pression de sa main et quand la base de son gland s'apprête à resurgir des lèvres d'Azoruss, il l'attire à nouveau vers lui. Il recommence encore et encore.
- Enfoiré, que c'est bon ! lance-t-il.
Son jouet sexuel apprécie visiblement d'être guidé ainsi: il bande comme un taré !
Je m'approche d'eux. Le corps d'Azoruss oscille sous la conduite d'Erwin. Bien qu'imberbe, son nombril est recouvert de poils sombres qui descendent jusqu'à la base touffue de son sexe suivant une ligne verticale. J'ai tellement envie de lui ! Ma bite est douloureuse dans ma main. Je regarde Erwin:
- Tu me le laisses un peu !
Il ne répond pas tout de suite, baisse le regard, voit mon sexe bien raide et finit par aquiesser en souriant, ses yeux sont pleins d'excitation. Alors je me colle à coté de lui.
L'information passe immédiatement à travers les casques: Erwin vient à peine de se retirer de la bouche de notre victime que celui-ci se déporte sans attendre à la hauteur de mon entrejambe et commence à avaler la bite que je lui présente. Mon sexe s'engouffre impatiemment dans sa bouche chaude. Je ferme les yeux tout en me balançant d'avant en arrière.
Mais l'excitation devient trop forte et je n'arrive pas à me contrôler plus longtemps: je jouis dans sa bouche. De longs jets de sperme jaillissent de mon sexe, mon corps tressaute sous les coups de l'orgasme.
Le regard brillant d'Erwin accroche le mien. Je découvre alors qu'Azoruss vient de poser ses mains au sol. Il déploie son corps derrière lui, se met à quatre pattes, écarte les cuisses et cambre ses reins.
Azoruss
Le sperme dans ma bouche est chaud, il a un goût doucereux et âcre. Je l'avale alors qu'une partie dégouline sur mon menton. Erwin adore ce qu'il voit!
Je comprends tout de suite ce qu'il veut d'autre. Je pose mes mains au sol. A quatre pattes, je lui offre mes fesses. Je l'observe retirer fébrilement son slip et son pantalon. Il passe derrière moi. Il écarte davantage mes cuisses avec ses mains et se met à genoux dans l'espace ainsi libéré.
Il est très excité de me voir à quatre pattes, les couilles pendantes, la bite en érection.
Avec son pouce, il recueille les secrétions sur son gland et en enduit ma rondelle. Il caresse longuement les pourtours de mon trou, remet encore du lubrifiant. Il fait tomber de sa bouche un gros jet de salive sur mon orifice, il y enfonce un doigt pour faire pénétrer le liquide puis le retire et recommence encore. Mon trou n'est plus qu'un puits de félicité.
Puis Erwin regarde le gars agenouillé devant moi. Je reconnais Kybe comme étant le second type avec qui je viens de jouer mais je ne m'étonne pas de sa présence.
Erwin a très envie que je reprenne Kybe dans ma bouche alors j'écarte à nouveau les lèvres et il y enfonce son sexe. Il y a encore du sperme sur son gland. Je le nettoie avec ma langue puis je l'avale. Il se retire puis frotte son gland sur mon menton pour y récolter le sperme restant. Il enfonce à nouveau son sexe entre mes lèvres et je le nettoie à nouveau.
Il répète l'opération plusieurs fois et à la fin, quand il ne reste plus rien sur mon menton, il introduit à nouveau son membre entre mes lèvres.
Erwin, derrière moi, transpire beaucoup. J'ai aussi très chaud. Est-ce lui ou moi ? Quelqu'un pourrait-il me libérer de cet étau qui me serre la tête ?
D'un mouvement de bassin, Kybe se retire complètement et ré-engage son gland. Cette fois-ci, il appuie avec sa main sur ma nuque, doucement mais avec fermeté. Sa bite progresse lentement dans ma bouche, glisse peu à peu vers le fond de ma gorge jusqu'à ce que son bas-ventre soit contre mon visage. Je suis envahi par l'odeur chaude de sa transpiration.
Erwin vient aussi d'enfoncer son membre dans mon trou. Je sens la pression de son sexe qui déforme mon anus. Immédiatement, une myriade de picotements se ruent sous mon crâne. Ses mouvements de reins deviennent plus amples, s'enfonçant de plus en plus profondément en moi. Les picotements se démultiplient, deviennent si nombreux qu'ils ne forment plus qu'une onde de plaisir infini.
Kybe
Azoruss est à quatre pattes entre nous deux. Son corps athlétique est pris entre deux mouvements de va-et-vient. Il est devenu notre proie, notre jouet, notre objet sexuel. Et cela m'excite comme c'est pas permis ! Je suis à nouveau tout dur dans sa bouche. Je sens ce mélange de transpiration et de savon qui émane de sa peau. Cela me rend fou ! Son trou est maintenant bien dilaté car le sexe de mon pote s'enfonce sans retenue jusqu'aux couilles. A chaque fois qu'elles viennent taper contre son cul, notre proie gémit. La cambrure parfaite de ses reins témoigne de sa complète soumission au porteur du casque émetteur. Mon pote nous regarde. Je sais que la vision de mon sexe s'enfonçant dans la bouche d'Azoruss l'excite aussi follement que le spectacle de sa bite pénétrant son trou. Je sais aussi que le casque transmet cette excitation à notre victime. Je comprends que c'est un cercle sans fin: son cerveau percoit le plaisir qu'il procure à l'émetteur et pour le prolonger il sait qu'il ne doit pas s'arrêter.
Au bout d'un moment, nous inversons les rôles.
- C'est à toi de faire le boulot maintenant, montre-moi un peu de quoi tu es capable !
Alors Azoruss s'avance et redresse la tête. Avec sa main droite, il empoigne la hampe épaisse et la maintient fermement devant sa bouche. Puis il pose le gland dilaté sur sa langue et le fait coulisser de bas en haut, répétant inlassablement ce mouvement tout en s'attardant longuement sur le frein.
Erwin grimace de plaisir, son visage est en sueur. Il se tourne vers moi et me dit:
- Ce mec sait exactement où mettre sa langue ! Cet appareil est carrément génial !
Il le sucote comme une friandise puis enfin ses lèvres roses et charnues s'écartent plus largement pour engloutir le gland en entier, se referment ensuite sur sa hampe épaisse qu'elles pressent délicatement comme un fruit mûr. De la salive coule le long de son menton. Il transpire, ses cheveux collent à ses tempes, ses joues sont rouges, elles se gonflent et se creusent au fur et à mesure des mouvements qu'il imprime à sa tête. Ses yeux sont brillants, fiévreux: ils sont dirigés vers l'émetteur.
Erwin ne le lâche pas.
-Fais pas ton timide ! ordonne-t-il.
Alors Azoruss déserre l'étreinte de ses lèvres pour mieux s'empaler sur le manche de son bourreau. Son corps se tend et pousse lentement sa bouche grande ouverte vers le bas-ventre de mon pote.
- Ouai, comme ça, c'est bien ! l'encourage Erwin.
Tandis qu'Azoruss s'active sur la verge de son maître, je l'enjambe et me met à califourchon au-dessus de lui. Je place mon sexe entre ses deux fessiers que je prends à pleine main pour les rapprocher l'un contre l'autre. Je fais coulisser ma bite dans ce fourreau serré et humide . Mon bas-ventre commence à me brûler. Alors je relâche ses fesses et m'attarde maintenant sur sa rondelle velue. Je presse mon gland jusqu'à ce qu'il pénètre entièrement dans son trou, puis je continue à m'enfoncer.
Azoruss transpire maintenant de plus en plus, le bas de son dos est luisant de sueur et l'odeur de sa transpiration devient plus forte , plus ennivrante. Je pose mes mains sur ses flancs humides et j'exerce lentement un mouvement de va-et-vient avec mes reins.
Notre victime se remet à gémir sous l'emprise de mes déhanchements. Ses râles, étouffés par le sexe d'Erwin, deviennent de plus en plus rapprochés tandis que j'accélère mes mouvements. J'ai l'impression que mon gland grossit encore, mon bas-ventre fourmille délicieusement mais je crois pouvoir résister encore un peu.
Je vois Erwin qui commence à grimacer: il est au bord de l'orgasme. Il finit par émettre une longue plainte tandis que d'épais filets de salive et de sperme se mettent à dégouliner sous le menton de notre victime.
Tout à coup ma verge est comprimée par des spasmes qui contractent le trou d'Azoruss. Il vient d'éjaculer lui aussi, répandant sa semence sur le sol. Je réalise que le casque vient de transférer l'orgasme d'Erwin sous le crâne de sa proie.
La vue du sperme fait surgir en moi une avalanche de picotements dans mon bas-ventre. Je me retire précipitamment et j'éjacule en longs jets sur le dos d'Azoruss.
Je reste un long moment au dessus de lui. Son odeur se mélange à celle du sperme et me trouble. Je ferme les yeux.
Je sens tout à coup une masse heurter ma jambe gauche. Azoruss vient de s'effondrer contre moi. Tandis que j'écarte ma cuisse, son corps s'affale complètement sur le sol, inerte.
Je m'accroupis, secoue son épaule, mais il ne réagit pas.
- Qu'est-ce qui se passe ? qu'est-ce qui lui arrive ? demande précipitament Kybe.
Il y a un début d'affolement dans sa voix.
Je ne lui réponds pas. Je soulève la tête d'Azoruss, elle est brûlante.
Je retire le casque, la peau est rouge sous le cylindre plat. Son menton est souillé de sperme.
Avec mes doigts, j'écarte ses lèvres, ouvre sa bouche: je ne veux pas qu'il s'étouffe.
- Je crois que le choc émotionnel a été trop violent sous son crâne. Vite apporte-moi une serviette !
Tu m'avais dit que c'était sans danger, que ça se passerait bien ! gémit Kybe, de plus en plus affolé.
-Arrête et apporte-moi cette putain de serviette !
Je l'entends s'éloigner, ouvrir son sac, fouiller à l'intérieur.
J'approche mon visage au-dessus de celui d'Azoruss, écoute attentivement: il respire !
Je l'appelle par son nom, le secoue énergiquement. Rien. Il reste inconscient.
Kybe revient en courant, il me tend sa serviette.
Qu'est-ce qu'on va faire ? qu'est-ce qu'on va faire ? pleurniche-t-il.
Il m'énerve. J'ai envie de lui dire de partir, qu'il dégage au plus vite mais j'ai besoin de lui.
Aide-moi, on va l'essuyer. Et après, on l'emmènera sous la douche.
Azoruss
J'entends l'eau qui martèle mon crâne, qui frappe le sol. J'ouvre les yeux. Je suis assis à même le carrelage, le dos contre la paroi des douches, mes jambes sont allongées devant moi. Kybe est debout, il me fait face.
Il porte seulement un short. L'eau est froide. J'ai mal à la tête.
- Qu'est-ce ... qu'est-ce que je fais ici ?
Le visage de Kybe vient de s'éclairer, il sourit:
- On a eu très peur, tu es tombé dans les vestiaires après le match.
Je le regarde sans rien dire. Je suis sonné. Mes oreilles bourdonnent.
Il a l'air gêné, se balance machinalement sur ses jambes. Il hésite, puis demande:
- Tu ne te souviens de rien ?
- Nan. (silence). J'ai froid. (silence). Tu veux bien m'aider à me relever ?
Il me tend la main. Je la saisis, m'aggrippe à son bras, me hisse péniblement à sa hauteur.
Je grimace, mon crâne me lance.
-Est-que ça va ? me demande-t-il en coupant l'arrivée d'eau.
J'ai un drôle de goût dans ma bouche. Je le regarde. Il baisse les yeux
-Ou est Erwin ?
- Il est parti.
Sa voix déraille, il déglutit, passe la main sur son short.
- Comme tu ne réagissais pas, il m'a aidé à te transporter jusqu'ici. On a pensé que l'eau te ferait du bien. (silence). Mais il pouvait pas rester.
Il me redemande, anxieux:
-Est-ce que ça va ?
Je fais quelques pas. Je ressens une gêne, une sensation très étrange, comme quelque chose qui serait collé entre mes fesses. Je me rends compte alors que je n'ai pas de sous-vêtement.
- Ou est mon caleçon ?
- On ne voulait pas que tu sois ... Il hésite, son regard ne cesse de bouger.
-On a préféré enlever ton pantalon et ton caleçon pour éviter qu'ils soient trempés.
Il frotte le haut de sa cuisse avec sa paume. Il baisse aussitot les yeux dès qu'il croise mon regard. Pourquoi est-il si nerveux ? J'essaye de le rassurer:
- Merci pour ce que vous avez fait pour moi. Je crois que ça va, j'ai mal à la tête mais je pense que ça va aller.
D'un pas lent, je me dirige vers les casiers en continuant à lui parler:
- Je n'avais rien manger avant le match, je crois que mon malaise vient peut-être de là.
Je me retourne vers lui:
- Et toi ? ça va ? tu as l'air bizarre ?
J'ai l'impression d'avoir pris en faute un . Il rougit.
Oui, oui, ça va, mais j'ai eu très peur. (silence). Quand je t'ai vu tomber ... (silence). Tu ne te souviens de rien ?
Je lui fais signe que non puis je rejoins mon casier et commence à m'habiller. Il est à coté de moi, il tient quelque chose dans sa main.
- Tiens, ça te fera du bien, dit-il en me tendant une portion individuelle de liquide énergétique
Je le remercie puis lui dit:
- Vas-y, il est tard. Je vais me débrouiller, ne t'inquiète pas.
-Tu es sûr ?
- Oui, ça va aller.
Nos regards se croisent. J'ai le sentiment qu'il veut me dire quelque chose.
Mais il ne parle pas. Il finit par baisser les yeux. Puis il prend son sac et se dirige vers la sortie
14 juin 2092
J'ouvre les yeux en sursaut. Le vestiaire a disparu. Les chiffres orangés du réveil spatio-mural brillent dans le noir, ils indiquent 4H10 du matin. J'entends la respiration régulière d'Iryna à mes côtés. Mon coeur bat la chamade.
Je passe mes doigts sur le tissu de mon caleçon. Je suis presque surpris de n'y trouver aucune souillure. Tout avait l'air si réel ! Je redresse la tête. Le détecteur de mouvement allume aussitôt la lampe à la tête du lit.
Je soulève le drap et me dirige vers la salle de bain. Tandis que je me soulage au-dessus du bidet, j'ai la sensation d'une irritation au fond de ma gorge. Et voilà, une angine qui se prépare !
J'ouvre la bouche en grand devant le miroir et je scrute le fond de mon gosier. Je ne vois rien d'anormal. Puis je regarde machinalement mon visage; c'est à ce moment-là que je découvre les traces rouges de chaque coté de mon front.
Fin.
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