La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 658)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°657) - Une nouvelle règle mis en place entre la soumise et le soumis -

Monsieur le Marquis et Marie la cuisinière, Monsieur Henri et Madame Gabriella avaient attendu que le Croix Rousse ait retrouvé les eaux calmes de la mer des Caraïbes, pour prendre leur petit déjeuner. Ils étaient tranquillement installés autour d’une table en verre, sous laquelle, Endymion MDE était attaché, à plat dos, écartelé, chacun de ses membres liés aux pieds de la dite table. Ils discutaient sérieusement ce matin, très sérieusement même, car leur dialogue portait sur l’éducation à donner à la jeune et belle soumise Estelle. Selon les dires de Madame Gabriella, cette jeune esclave avait un bon et fort potentiel, mais ne parvenait pas à se libérer totalement, comme si elle refusait l’évidence. Il lui arrivait de discuter les ordres et mettait trop de freins à l’éducation enseignée. Madame Gabriella jugeait qu’elle ne progressait pas suffisamment, et par la même ne s’accomplissait pas réellement et paradoxalement quand elle obéissait (ce qui heureusement était la plupart du temps), la femelle, elle-même reconnaissait cet incroyable bonheur à obéir et à subir…

- A croire qu’elle y met une certaine mauvaise volonté, la preuve en est, elle est encore punie ! Rajoutait Madame Gabriella.

Monsieur le Marquis d’Evans écoutait avec attention, sans interrompre ce monologue. Le Châtelain, qui avait une grande expérience en ce domaine, savait que la méthode utilisée pour dresser cette jeune chienne n’était peut-être pas ment la bonne… La punir toute une journée ne lui semblait pas être une bonne solution. Certes un ou une esclave devait connaitre le châtiment, dès lors qu’une faute ou une désobéissance était commise, mais fallait-il que cette punition soit juste, dure, sévère, intense mais de courte durée ! Mais Monsieur le Marquis s’abstenait de tout commentaire, préférant jouer avec la pointe de son pied nu, à titiller les tétons de son esclave mâle, couché sur le sol, sous cette table de verre.



- Toi qui est un grand Maître internationalement reconnu, à l’immense expérience qui n’est plus à démontrer, je te demande conseil, penses-tu mon Cher Edouard que nous devrions envisager une autre méthode éducative pour qu’Estelle devienne une vraie esclave comme l’est ton chien mâle Endymion ? interrogeait Monsieur Henri, avec une franche admiration pour le Noble.

Monsieur le Marquis resta silencieux tout en souriant, il aimait que l’on dise du bien de son chien soumis. Il resta sans mot dire à contempler Endymion MDE, sous cette table, se faisant désormais comprimer et presser les couilles par une bottine de Madame Marie. Il aimait voir son esclave grimacer et se donner totalement. Il aimait l’entrainer dans cet univers de servitudes ou il n’existait plus que pour se donner. Il savait que cette exigence d’oubli de soi et de volonté de plaire au Maître répondait parfaitement aux attentes de son chien soumis MDE. Il était fier de le regarder ainsi, de le montrer asservi, de le voir excité et épanoui ! … Face à ce silence tranquille, Madame Gabriella intervint :

- Ecoutez Edouard, je vais être franche avec vous, vous êtes pour nous, comme un mentor, un modèle, vous êtes la Grande Référence dans le domaine de la Domination soumission, alors nous aurions besoin de vos conseils Edouard, s’il vous plait ! Insistait Madame Gabriella presqu’en implorant…

La Domina cherchait du regard son époux, elle voulait que ce soit lui qui dise à Monsieur le Marquis d’Evans ce dont ils espéraient pour Estelle, mais Monsieur Henri semblait quelque peu gêné. Avec moult précautions, il se lança malgré tout :

- Mon Cher Edouard, au cours de cette nuit, Gabriella et moi-même avons imaginé que tu pourrais former notre petite chienne en ton Château, en France. Nous pourrions te la laisser, le temps qu’il faudra pour que tu en fasses une parfaite esclave. Nous savons parfaitement que tu as un grand savoir avec en plus l’expérience, la structure et le personnel pour cela.
Bien évidemment, nous te paierons le prix qu’il faut pour tous les frais occasionnés à son éducation et à son gardiennage…

Monsieur le Marquis d’Evans continua encore quelques secondes son silence tout en les regardant tous les deux d’un air amical et plein de compréhension, sourire aux lèvres. Il est clair que les nombreux compliments qu’il venait de recevoir, le touchait beaucoup et savait qu’ils étaient sincères, connaissant bien ses deux amis de longue date. Alors, il posa sa main sur l’avant-bras de son très Cher Ami Henri, tout en le regardant droit dans les yeux.

- C’est un grand honneur que tu me fais mon Cher Henri. J’accepte de dresser ta petite chienne Estelle. Il faudra me la laisser six mois au moins pour que je fasse d’elle une vraie soumise hyper obéissante à tout ce qui sera exigé, mais aussi une petite salope et pute de chienne, comme tu attends d’elle, qu’elle devienne… Mais à une seule condition… (Le Maitre se tut un moment, Monsieur Henri restait suspendu aux lèvres de son ami Edouard)…. Pas question de dédommagement financier ! Tu entends mon cher Henri, entre amis, les services ne se paient pas ! (long silence) Elle rentrera au Château, dès notre retour en France, pour y être dressée, formée et modelée et je te la rendrai totalement assujettie et asservie, je peux te l’assurer.

Monsieur Henri et Monsieur le Marquis d’Evans se tapèrent dans la main, suivie d’une longue et chaleureuse poignée de main, relevant d’une véritable amitié entre eux deux. Madame Gabriella ne put s’empêcher de se lever pour embrasser sur les deux joues le Noble de deux bises relevant d’une infinie reconnaissance. Le marché était donc conclu, Estelle allait devenir pour six mois au moins, la propriété pleine et entière du Maitre. Pour fêter l’évènement, les quatre Dominants burent un jus de fruits bien frais et décidèrent de libérer soumise Estelle. Ce fut Madame Marie qui alla la chercher et la ramena au salon, pendant que Monsieur Henri détachait Endymion MDE et lui ordonnait de se tenir à quatre pattes, cul bien cambré.
soumise Estelle debout, mains sur la tête, cuisses écartées, exhibait son fessier à quelques centimètres du visage de l’esclave mâle MDE. Madame Gabriella se leva de son fauteuil, se dirigea près de Sa soumise et lui écarta des deux mains ses lobes fessiers.

- Toi le chien, viens renifler et lécher ce cul ! Ordonnait-elle à Endymion MDE, tout en obligeant la soumise à se mettre à quatre pattes, elle aussi et à présenter son cul, les genoux bien écartés.

L’esclave MDE ne se fit guère prier, alors que sa langue titillait ce petit bouton plissé, son esprit divaguait… Devant ses yeux s’affichaient des images d’une intensité érotique phénoménale. Il voyait soumise Estelle toujours à quatre pattes, la bouche serrée sur son sexe allant et venant au rythme des coups de reins de Maitre Henri. Endymion MDE avait même l’impression de sentir la chaleur de ses lèvres sur sa bite en feu… Pourtant, il n’en était rien, Estelle avait écarté un peu plus les cuisses et cambrait ses reins en offrant sa rosette. Endymion MDE la gratifiait d’une feuille de rose merveilleuse, humidifiant sa rondelle parfaitement détendue. Estelle gémissait et dandinait des fesses, cherchant cette langue lorsque celle-ci s’écartait un tant soit peu de son petit trou. Madame Gabriella stoppa cet anulingus, au bout d’une dizaine de minutes, estimant que le cul de sa chienne devait être suffisamment lubrifié. Elle installa alors Estelle, couchée à plat dos sur la table, son cul près du rebord, et lui fit relever les cuisses sur la poitrine. Monsieur le Marquis d’Evans, qui s’était dénudé, vint tout contre elle. Il posa son gland turgescent sur son trou du cul en amorçant une lente pénétration anale.

- Offre ta croupe salope, Cambre toi ! Ecarte bien ton cul ! Ordonnait Madame Gabriella tout en fessant les cuisses relevées d’Estelle

Le gros gland faisait son chemin, la queue du Maître s’enfonçait inexorablement, le cul d’Estelle finissait par céder définitivement, Endymion MDE voyait disparaitre ce magnifique sexe dans cet orifice imberbe.
Maintenant les coups de reins allaient bon train, Monsieur le Marquis d’Evans pilonnait l’arrière train et défonçait sérieusement la belle soumise Estelle, offerte, lascive et gémissante de plaisir évident à cette sauvage sodomie.

- Branle-moi bien avec ton petit cul de salope, donne-toi et offre du plaisir à ma Noble Queue ! ordonnait le Maître.

Cette belle enculade semblait avoir excité tous ceux présents. Ni une, ni deux, Madame Marie était montée sur la table, avait retroussé sa jupe et s’était assise sur le visage de soumise Estelle pour se faire dévorer le minou. Monsieur Henri, avait baissé son short et engouffrait sa queue raide entre les lèvres de l’esclave mâle MDE, et se faisait sucer allègrement, alors que Madame Gabriella, s’était rapidement chaussée d’un gode ceinture et lui prenait le cul, le ramonant sauvagement…

- Vous n’êtes que des catins, des putes, des grosses salopes à remplir ! Lançait à la cantonade Madame Marie excitée, tout en pinçant sévèrement les mamelons d’Estelle.
- Oui des grosses chiennes, bonnes à baiser à souhait ! reprenait Monsieur Henri au bord de l’éjaculation,

Les deux esclaves, tels deux pantins se faisaient et se laissaient prendre par tous les trous, secoués et asservis, ils offraient bas-ventres et bouches à leurs assaillants en s’abandonnant sans la moindre retenue. Tous deux étaient là à attendre que les Dominants jouissent en eux et prennent leur plaisir. Monsieur le Marquis éjacula en abondance et à plusieurs reprises dans le cul d’Estelle, alors que Monsieur Henri inondait la bouche d’Endymion MDE. Madame Marie se releva ruisselante, Madame Gabriella se laissait tomber dans un fauteuil, totalement éreintée de ses vifs coups de reins…

- Vient nettoyer ma queue Mon Chien ! ordonnait le Maître…

Sans une once d’hésitation Endymion MDE se précipita à quatre pattes. Délicatement, il prit le sexe du Maître avec une infinie douceur et le lécha avec mansuétude, soumise Estelle, quant à elle, nettoyait de la même manière, le gode ceinture. Dès qu’ils eurent terminé, les deux esclaves durent se mettre, le regard bas, à genoux devant les dominants, avec mains sur la tête.

- J’ai à vous parler ! dicta Monsieur le Marquis.

Comme d’habitude, il laissa un temps de silence pour mieux capter l’attention des deux soumis.

- Chienne Estelle, ce matin a doublement fauté, elle doit être punie, sévèrement punie. D’une part, elle a été négligente, ou tout au moins inattentive, puisqu’elle a renversé la bassine contenant l’eau de vaisselle, d’autre part elle a joui sans autorisation. Cette dernière faute est lourde de conséquence. (Le Maitre se tut encore quelques instants). Je considère que ces deux fautes méritent une longue flagellation. (Il se tut encore, longuement…) Au stade de votre asservissement, et afin que vous puissiez donner toujours le meilleur de vous-même, il me semble judicieux de vous associer, l’un à l’autre, dans une forme de solidarité sans faille, pour vous voir toujours attentifs, motivés et sans cesse obnubilés par cette constante volonté de stricte obéissance. Ainsi, soumise Estelle va être châtiée et par solidarité Endymion MDE, Mon chien subira la même sentence, le même traitement et vice versa dorénavant, il en sera donc ainsi désormais… A chaque fois que l’un commettra une faute, une punition collégiale vous sera distribuée. Tel est, à tous les deux, le nouveau règlement que je vous impose désormais.

Le Maitre ordonnait à soumis Endymion MDE de se relever. Monsieur le Marquis s’adossait à sa poitrine et se mit à caresser la verge de Son chien soumis tout en lui massant les couilles énergiquement. Son massage était à la frontière entre plaisir et douleur. C’était toujours là où jouissait davantage l’esclave mâle. Le massage fut intense, si bien qu’au bout de quelques minutes, l’esclave MDE osa dire :

- Aaaah… je … je vais éjaculer Maître !
- Non, je ne l’ai pas permis et tu sais que tu ne dois jouir qu’avec mon autorisation.
- Aaaah… Oui, Maître, mais… Aaaah…
- Non. Pas de « mais ». Tu fais ce que je te dis, esclave ! Si tu désobéis, tu le paieras, et tu feras punir soumise Estelle d’ailleurs !

L’esclave MDE n’avait pas le droit d’utiliser le mot « mais » quand son Maître exigeait quelque chose de Lui. Endymion MDE s’efforçait donc de penser à autre chose qu’à ce plaisir-douleur que Monsieur le Marquis lui procurait si expertement jusqu’à ce qu’il jugea que la bite de son esclave soit suffisamment bandée.

- Approche de ce banc, ma pute de chien !

Il s’agissait d’une sorte de banc à punition qui avait du servir bien des fois. Il mesurait une soixantaine de centimètres de haut et le siège concave était à cinquante centimètres de long par autant de large. Une barre était installée derrière les chevilles et maintenait les jambes immobiles du soumis MDE contre la base du banc. Des liens permettaient de retenir ses poignets bien en place contre les pieds de l’autre côté du banc. La surface sous sa poitrine et son ventre était très lisse et douce, probablement en raison de nombreuses années d’utilisation.

Monsieur le Marquis commença à frapper méthodiquement Son chien soumis, utilisant d’abord son martinet en daim, le frappant des épaules au bas des cuisses, n’évitant que ses reins. Puis il passa à un martinet à lanières de cuir plus épais et plus rigide, puis à un autre avec des lanières nouées en cuir, puis à sa cravache et ainsi de suite jusqu’à sa canne et enfin à son fouet en fils de nylon. A chaque changement d’instrument, il caressait la chair de Son esclave, de plus en plus vive, de manière experte et délicieuse. Pas un seul instant, la queue d’Endymion ne débanda, car le Maître avait trouvé le rythme entre tolérance et intolérance à la douleur. Il n’en fut pas de même pour les dix derniers coups portés, ils furent terribles, en ne plus pouvoir en endurer davantage… Mais l’esclave MDE se résignait et acceptait la sentence, quand bien même, lui-même n’était pas fautif… Mais sa nouille était très bandée, d’une érection puissante, ce qui dénotait l’excitation forte à ce châtiment. Le Maître lui caressa le cul doucement puis empoigna ses testicules et les serra fort dans sa main. La douleur différente, intense, faisait oublier toutes les autres et permettait au soumis MDE de s’envoler un peu plus haut. Il lui semblait maintenant comme s’il se regardait, comme s’il voyait cet esclave nommé Endymion MDE de l’extérieur : il se voyait penché sur ce banc. Il constatait que cet esclave gémissait, car il souffrait encore, mais sa souffrance lui était indifférente, car il planait de plaisir jouissif. Son Esprit était rendu dans un paradis d’excitations que seules les masochistes peuvent atteindre.

Le Maître le détacha puis Lui et Monsieur Henri aidèrent l’esclave mâle à se relever, puis ils l’allongèrent sur le sol. La chienne Estelle tremblante et quelque peu terrifiée regarda longuement le soumis MDE. Son regard pitoyable implorait le pardon, Endymion MDE lui renvoyait une image d’apaisement et de sérénité. Il lui fit même un clin d’œil discret pour la rassurer définitivement. Alors à son tour elle s’installa sur le banc à punition, et accepta le douloureux traitement sans trop gémir, sans trop se plaindre. Et lorsque la sentence fut terminée, le Maître attrapa solidement la femelle meurtrie par son collier et l’entraina ainsi tenue, tête au sol, près de l’entrejambe de l’esclave mâle MDE.

- Suce le, tu lui dois bien ça petite chienne ! Mais attention à toi Endymion MDE point de jouissance… Dicta le Maître ! ...

(A suivre…)

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