Baise Matinale Dans La Cave De Seb

« J'ai trop envie de sentir ton sexe en moi, je suis en manque» Depuis prés de trois semaines, je n'ai pas revu Seb. Juste quelques mots sur internet pour essayer de coordonner nos emplois du temps. Il faut dire qu’après l'avoir limé sur le capot de ma caisse, l'excitation avait été telle qu'il me semblait difficile de vivre quelque chose d'aussi intense. Et pourtant!
Seb je l'ai connu il y a quelques mois. Petit hétéro en couple. Il à 29 ans mesure 1,70, un peu trapu, plus de 80 kilos. Brun cheveux en brosse coupés courts. Le style rugbyman, viril, gueule carrée un peu bourru. Ce qu'il cherche un mec de plus de 50 ans avec une grosse teub pour sucer. Ça il adore! Et un manche vigoureux pour bien le ramoner. Il kiffe un max aussi, c'est moi qui l'ai dépucelé. Et pourtant il s'affirme hétéro.

Lors de notre dernière rencontre, nous devions nous retrouver dans la cave de sa résidence. Finalement il n'avait pas les clés et nous étions partis dans ma caisse. En bordure d'une entrée d'un sentier de joggeurs, il était venu s'asseoir sur ma queue, et il s'était limé lui même, sur la banquette arrière, avant que nous sortions de la voiture moi dénudé presque entièrement et lui, le froc en bas des pattes. Et je l'avais défoncé pour le finir sur le capot de ma fiat. Son fion bien tendu et soumis aux assauts de ma virilité. Il miaulait mon petit hétéro, et il me le donnait son beau cul rebondi et imberbe.

Ce matin changement de décor, c'est par sms qu'il me supplie de venir. Il est dispo jusqu'à midi. Je lui dit être là pour 9h30. Bon je n'affecte pas spécialement les entraînements matinaux, mais je vais faire exception. J'arrive au bas de sa résidence. Il est derrière la porte du hall. En attente d'avoir sa pitance. Jean avec des rangers, un pull-over qui me fait penser au pull des pompiers bleu marine avec une fine rayure. Et ses cheveux gominés au gel plaqués sur son crane et coupés fort court.

On se serre la paluche comme deux potes. Et il me demande de le suivre. Il ouvre une porte sur le coté à droite avec son trousseau de clé, puis referme à double tours. Nous sommes dans un couloir de part et d'autres duquel il y a des cellules en face à face, simplement des portes en bois ajourées entre les tasseaux qui se croisent. Pas vraiment intime et discret. Et je sens déjà mon zob qui gonfle dans mon jean rien qu'à l'idée d’être surpris, mais aussi au plan que nous allons faire là, et l'excitation de sentir Seb fébrile mais bien motivé. Et interrogatif pour moi à la façon dont nous allons procéder.

Nous avançons vers le fond et sur la droite, il ouvre une porte battante et me fait entrer. Le sol de la cave est en sable. Un matelas recouvert d'une housse en tissu rouge ardent jonche le sol. Il y a quelque cartons de part et d'autres entassés. J’ôte mon blouson et je viens le poser sur le haut de la porte pour cacher un peu notre intimité. Mon blouson ne recouvre qu'une partie de l'ouverture.
Seb tombe à genoux sur le matelas. La langue pendante en me regardant lascivement, comme une supplique. Je retire mes chaussures et m'approche en montant sur le matelas debout. Ma main droite à juste rajustée mon sexe qui bandait à gauche et je retire la boucle de ma ceinture. Seb approche déjà ses mains pour me palper au travers du tissus. Il en veut vraiment. J'ouvre les boutons et mon pantalon tombe sur mes jambes. A peine descendu, il plonge sa main dans mon boxer pour vérifier l'état du matos. Tout se fait sans un mot. Puis il baisse des deux mains mon froc d'un coup sec. Sa bouche n'est qu'a quelques centimètres de mon sexe. Il pousse un soupir et tend la langue , il lèche précautionneusement mon gland à peine décalotté, puis aspire entièrement ma queue entre ses lèvres. Je pousse un râle de contentement à mon tour. Qu'il est bon d’être aspiré ainsi par une bouche pulpeuse et chaude. Quel bien être. Il choppe ma teub d'une main de chaque coté et concentre sa langue sur mon gland.
Il le décalotte et rabat bien le prépuce ce qui fait encore plus renfler ma bite, et il s'active sur le renflement de mon intimité. De lampées en succions, de léchouilles baveuses en aspirations en fond de gorge. Je suis trop bien mais attentif aux bruits et aux choses qui nous entourent.
Nous n'avons pas allumé la lumière du couloir. La lumière naturelle passe par un soupirail et je détaille Seb, ses cheveux plaqués au gel. J’att son crane et je m'enfonce en lui. Je veux qu'il me prenne dans sa bouche en entier. Mon pieux de 19 sur 5 de large, lui ravage le fond de sa gorge. Deux, trois hauts le cœur, je desserre mon emprise quelques secondes, et lui vient à nouveau se jeter sur mon morceau de viande turgescent. Ah il aime la bite, il n'y a aucun doute la dessus. Il est à quatre pattes et moi toujours debout. Je passe mes mains sous son pull-over collant a son corps et vient attr ses mamelons, que je titille d'abord légèrement, puis un peu plus fermement. Il commence à ahaner le bougre. Je passe une main sur ses fesses. Il a toujours son fut, et caresse son boule, pour lui faire comprendre ou va mon intérêt. Et il est muet et prêt à tout pour prendre du plaisir. Son gode ne lui suffit plus. Il lui faut de l'action. Et j'adore ce mec qui ne dit rien mais qui agit.
Il se redresse et ouvre son pantalon pour le descendre. J'en profite pour me débarrasser complètement du mien, qui était resté en bas de mes jambes. Il se remet à hauteur de ma bite en se baissant le corps en deux. Je chope sa bite qui est demie molle avec un filet de pré sperme qui l'humecte. Il est déjà bien excité me dis-je. Et je le branle, en palpant ses burnes de l'autre main. Et sa queue se redresse. Il me demande de m'allonger. Et reviens emboucher mon zgeg. Nous sommes en 69 et je lui bouffe bien sa teub à mon tour et c'est la première fois qu'il bande un max. Je dirais 16-17 mais je lui fais de l'effet. Lui qui me dit ne bander qu'avec sa meuf. Je considère ça comme un honneur.


De mon coté ses caresses buccales me font un bien fou. Loin de notre première rencontre, ou il suçotait sans conviction. Là on voit qu'il y prend un certain plaisir. C'est un goulu. Il me bouffe carrément la bite, mais je ne m'en plaindrais pas. Je gobe ses boules fraîchement rasées. Et il couine encore. Mais tout en le suçant, ce que je vise c'est son trou qu'il me présente. J'ose un doigt sur sa rondelle, qu'il a d'avance graissée de gel. Son trou fait penser au cul d'un babouin. La rosette est plissée, et ne demande qu'a s'ouvrir. Ma langue s'y aventure précautionneusement. Il glousse déjà mon Seb, il adore les gâteries dans son antre. Et avec un doigt je commence à lui travailler. Il est toujours archi concentré sur ma queue. Je ne vais pas m'en plaindre, mais j'essaye de ne pas trop réfléchir aux bonnes ondes que je ressens, pour ne pas monter trop vite. Il reste du boulot à effec quand même.

Je lui susurre que j'ai trop envie de le baiser. Deux puis trois doigts lui élargissent le fondement. Il s'ouvre, son cul bien rond devient à point. Je vais pouvoir passer à l'action. En fait il se relève, se présente face à moi et viens s'asseoir sur ma queue. Il aime guider la manœuvre. Et descends très lentement. Il se redresse à deux reprises pour reprendre mon manche et le réintroduire dans sa fente. Et le voilà qui descend dans de petits râles, qui me font penser que c'est son kiff.
«ah tu aimes ça ma salope, la bite qui entre et te défonce?»
Il ne me répond pas, mais il acquiesce en silence. Un macho viril hétéro ne reconnaîtra pas de go, que c'est trop bon. Ça il me le dit sur le net, par textos, c'est plus facile à livrer. Il ne veut pas accepter qu'il prend son pieds à se faire défoncer, en face à face , et pourtant. Je suis aux anges sa queue est bandée et ballotte au dessus de moi. Il monte et descend pour rentrer ma queue à fond de cale. Puis il remonte, la fait parfois sortir puis revient se placer, la guide de sa main pour la réintroduire et descendre encore plus vite.
Moi je donne des coups de reins comme je peux. Et l'action des deux donne un rythme chaloupé qui n'est surtout pas déplaisant du tout.
«Je veux te baiser mieux que ça, Seb. C'est toi qui contrôle tout. Présente moi ton cul»
Il se met debout, pose ses mains sur les parois du mur en béton qui lui fait face. Écartes un peu les jambes. Je viens me positionner dans son dos et entre ma bite dans son trou, déjà bien ouvert. Il se cambre pour m'offrir sa rondelle entière. Quelle salope, ce mec. Et me voilà parti et il se met à couiner à chaque coup d'épée au plus profond de lui. Je le ramone et il ondule de la croupe. Mes mains caressent ses jambes, puis attnt ses hanches, pour mieux le limer. Putain qu'il aime ça. Je ralenti le rythme pour pouvoir durer. J'adore voir un petit macho prêt à tout. Les bras écartés qui retiennent son poids pour éviter qu'il ne mange le béton. Et son cul offert ainsi, qui demande toujours plus. Et moi je dois contrôler ma respiration et bien respirer pour durer encore et toujours. Je me lasse et lui demande de se mettre en levrette. A genoux le cul offert, il est beau aussi. Je lui claque gentiment les fesses. Il me dit au bout de quelques allers retours qu'il n'aime pas cette position qui lui fait mal. Je dé-cule et le fais allonger sur le coté, légèrement en chien de fusil.
Et je me réintroduis lentement en lui. Et là je me lâche en coups de reins généreux. Une belle bourrade et il soupire tellement ça lui plaît. Les oui, les ah , hein, oh , ouh, humm se succèdent. Il va me faire l'alphabet si je continue. Je ressors lui relève les jambes et me mets en missionnaire, mais là il n'aime pas. Pas assez souple Seb. Il revient s'asseoir sur moi après m'avoir fait allonger à nouveau mais il se met à l'inverse d'avant, c'est son dos qu'il me présente. Puis fait partir ses bras en arrière à hauteur de ma poitrine pour me faire les abdos à l'envers en venant absorber ma bite dans son cul. Cette position là je l'avais faite qu'une seule fois. Oh la vache, je vais pas tenir longtemps encore. C'est trop bon. Il est vraiment accro. Il lui en faut toujours plus , mais que devrais je dire? Tout cela dure quelques minutes car je le sens faiblir, mais quel délice. Il se relève et se remet face au mur, jambe écartées et buste baissé. Comme sur le capot de ma caisse, en fait. Et là c'est parti pour l'apothéose. Je lui dit que c'est une chienne, qui aime trop se faire déchirer le cul. Et il me réponds: «Oui c'est ta bite que j'aime, c'est trop bon, elle est bien large, tu me fais trop de bien, j'en avais trop envie» . Et il se branle de façon vigoureuse. Et moi je sens mes jambes qui flageolent, je tremble, je sens la jouissance proche. Notre corps à corps viril m'a trop chauffé. Dans ces cas là, je ralenti pour faire durer le plaisir et mon Seb se balance d'avant en arrière pour accélérer la cadence, quand moi je cherche à la ralentir. Et de gauche à droite pour bien sentir ma queue en lui. Je sais qu'il va me faire cracher d'une minute à l'autre. Lui ça y est il y arrive au moment ou il souffle et éructe. Je me libère aussi. Lui asperge le matelas et les cartons qui lui font face. Et moi je me libère en lui en redoublant de bestialité dans mes coups de reins. Et je ralenti pour rester ainsi sans bouger. Mon sexe en lui pour bien lui montrer que je le possède à l'instant présent. Nous sommes repus et rassasiés de sexe. Quel super plan il vient de me faire vivre encore. J'en redemande. Quel chaud du cul ce mec sous ses airs rustres et bourrus. Il me redit que je suis le seul mec avec qui il baise. Il se sent bien et en confiance avec moi. En tous cas je viens de vivre un superbe moment de plaisirs partagés.


Merci de vos encouragements et de vos commentaires. J'avoue que plus de 6000 lectures pour la première partie le 6/4 cela fait vraiment plaisir.

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