Dépossession - 2
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Hier soir, mon voisin est rentré bourré de soirée et sest trompé de porte. En me voyant nu en train de me branler, il ma obligé à le sucer. Puis il a envoyé les photos de la fellation à ma copine.
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Je navais pas reçu de nouvelles de ma copine suite à la soirée dhier. Elle avait reçu les photos, cétait sûr. Vous ne pouvez pas imaginer à quel point je me sentais honteux. Je pressentais quelle allait menvoyer un message de rupture dans les heures à venir.
Nous étions samedi. Javais besoin daller faire les courses, je me réveillais donc tôt ; les murs du logement étaient trop fins et jentendais distinctement les bruits de ronflement de mon tortionnaire, dans la chambre dà côté.
En sortant je me souvenu que mes clés avaient disparu. En priant que ce cher voisin me redonne mes clés aujourdhui javais de lespoir je me suis mis en route pour faire mes courses laissant la porte non verrouillée.
Cest lors de mon retour les bras chargés que jai découvert dans ma chambre que ma copine était posée dans le lit, en train de regarder des vidéos Youtube. Elle était entrée sans me prévenir. Étant donné la situation, je comprenais quelle sétait permis ce luxe. Elle se retourna, possédait une mine grave, les sourcils froncés. Elle était vraiment belle. Ses cheveux ondulaient sur ses épaules et sa tunique mettait en valeur son buste.
Je posais mes sacs en silence. Je nai pas eu le temps de me retourner avant de recevoir une claque monumentale. Cétait elle qui sétait levée. Je tombais à la renverse, à ses pieds.
- Cétait quoi les photos dhier, connard ?
Jétais terrifié, lorsque Céline se fâchait elle pouvait vraiment me faire peur. La bonne nouvelle cétait que mon voisin semblait absent, à côté. Du moins je nentendais plus aucun bruit sortir de sa chambre.
- Je suis désolé, vraiment désolé.
- Mais bien sûr. Ça fait des semaines que tu me bassines avec des histoires de plan à 3, je connais tes fantasmes mon cur. Tu ne vas pas me faire croire que tu ne las pas fait exprès !
- Non, je te jure !
Elle fronça à nouveau les sourcils :
- Tu ne ten tireras pas comme ça ! Je ne veux rien savoir ! Si tu navoues pas maintenant cest terminé entre nous. Ça fait déjà plusieurs jours que je pense à rompre de toute façon, tu te branles beaucoup trop, pire quun collégien.
Ok, cette situation avait dégénéré bien plus que je ne le pensais. de mentir pour sauver mon couple, je pris un air coupable, totalement tétanisé par la peur dêtre délaissé. Je laimais profondément et la perdre à cet instant, après lépreuve dhier, ne pourrait que menfoncer un peu plus dans la honte.
- Oui, daccord, je lavoue.
- Tu avoues quoi ? Insista-t-elle, furieuse.
- Javoue que jai... sucé un garçon.
- Cest tout ?
- Oui, oui, bredouillais-je.
Elle inspecta ma poubelle et y trouva quelques mouchoirs.
- Ha, heu, ça cétait pour messuyer. Je
Je suis vraiment désolé, cétait une erreur, ça ne se reproduira plus jamais, je te le jure.
Elle me remit une claque.
- Jespère bien ! me cracha-t-elle. Je ne sais pas encore si je vais te quitter. Il faut que jy réfléchisse. Je peux pas rester avec un homme qui suce des bites pendant ses soirées de libre..
- Je te promets que cétait la première fois et que je ne le referai plus jamais !
- Pourtant tu avais lair daimer sur les photos.
Je restais silencieux. Oui, sur les photos, je semblais totalement prendre mon pied, et mon érection était parfaitement visible sur lun des clichés. Jacquiesçais dun signe de tête. Celine avait la mine grave, souffla, pris son sac, sorti sans rien dire de plus et je restais comme un con, ayant avoué à ma copine lavoir trompée plutôt que davoir demandé son aide suite à ce quon pourrait qualifier dun viol.
Elle revint dans laprès-midi alors que je moccupais sur internet. Depuis que mon voisin mavait volé mes clés je navais pas osé aller les lui demander et avais limpression davoir perdu toute notion dintimité.
Céline se tenait maintenant devant ma porte.
- Je te pose un ultimatum, chéri.
Ok, ça semblait grave. Au moins elle ne mannonçait pas quelle me quittait. Je lécoutais en silence.
- Je ne veux pas te quitter. Nous passons de bon moments ensemble, et japprécie ta compagnie.
Super, cétait une bonne nouvelle.
- En revanche, je te lai dit, je sais que tu te branles vraiment trop souvent. Ta sexualité est complétement incontrôlable, je sais que tu te fais facilement manipuler par tes émotions, et ce qui sest passé hier en est une nouvelle preuve. Je ne peux pas me permettre que tu me trompes une nouvelle fois. Jai besoin que tu me prouves que tu maimes et que tu tiens à moi.
Je me suis approché delle, voulant la rassurer que mon amour lui était destiné inconditionnellement. Et cétait vrai : en quelques semaines, je métais vraiment attaché à sa présence et la perdre me ferait beaucoup de mal. Elle recula dun pas et leva sa main mobligeant à marrêter.
- Non, tes promesses ne me suffiront pas, jai vu ce que ça donnait. Il faut que puisse en avoir le cur net. Tout ça me stress tellement de ne pas savoir !
Elle sorti alors une petite boite en carton. Je reconnu immédiatement lobjet, pour lavoir souvent vu durant mes plaisirs nocturnes. Elle louvrit, le pris en main, et me regardant dans les yeux, déclara :
- Si tu veux que nous restons ensemble chéri, il va falloir porter ça. Cest non négociable.
Je restai silencieux. Ma bite était en feu : javais toujours rêvé dune relation basée sur la chasteté ; car lobjet quelle tenait alors était une cage à destination de mon pénis, ce qui lui donnerait un contrôle total sur ma sexualité.
- Céline, est-ce que tu me donnes le temps pour y réflechir ?
- Non. Tu choisis maintenant.
Je fixais lobjet. Dans ma tête, javais déjà choisi : je voulais tenter lexpérience. Je men approchai, il me semblait vraiment petit, javais peur davoir mal.
- Daccord, je vais le porter.
Satisfaite de ma réaction, elle continua de me regarder avec patience, dans lattente dune action. Je compris que cela serait à moi dinstaller cette cage. Jentrepris alors de retirer ma ceinture, baisser mon pantalon et mon caleçon. Je bandais comme un âne. Impossible dans cette situation de mettre la cage. Elle madressa alors un :
- Profites-en, cest la dernière fois que tu te branles pour un moment.
La regardant avec malice, je serais ma main autour de ma bite et commença les va et bien. La vue de la cage mavait totalement excité, je ne tins que quelques secondes. Je crachai mon sperme dans des mouchoirs, et vaincue, ma bite se rétracta. Je pris la cache dans mes mains, essayant den comprendre son fonctionnement. Tout ce temps, Céline me regardait avec amusement : elle savait que cette chasteté serait une épreuve dure pour moi. Mais je pense quelle avait raison, cela assurait son contrôle sur mes branlettes, je pourrai mieux la satisfaire. Cest avec cette pensée que jencageai mon chibre et fixa le cadenas. Elle tendit la main : je lui remis les clés de mon sexe, à présent hors de portée. Jétais maintenant sous son contrôle.
- Chéri, je pense que tu as pris la bonne solution. Elle souriait, les yeux à demi-clôts. Je vais diriger ta sexualité, et tu vas aimer ça, jen suis sûre.
Elle sapprocha alors de moi, menlaçant. Je pris un de ses seins dans mes mains, cherchant du réconfort. Elle était chaude, douce, jy trouvais une tendresse que ces dernières heures ne mavaient pas offerte.
Alors que nous nous embrassions, elle malaxa mon chibre encagé qui ne pouvait plus grandir.
- Maintenant, tu es mon petit encagé. Cest trop mignon.
Je souriais aussi, en me demandant où tout ça aller nous amener. A mon tour je passais une main sur ses fesses, entre ses cuisses, senti la douceur de ses courbes. Elle me lassa faire jusquà ce que je jatteigne son abricot. Céline me tapa la main.
- Jai cru comprendre que ta bouche te servait bien en ce moment.
Je souris de nouveau. Elle sassit sur le canapé, je descendis ses bas (elle était en collant), soulevant sa jupe. Japprochai mon visage, senti lodeur forte de son sexe humide. Elle mattrapa les mains, quelle serait fortement sur les côtés de ses jambes, me paralysant les bras. Jentrepris linspection de son clitoris, et senti immédiatement ses genoux sécarter sous mes caresses. Nous continuâmes ainsi un temps, son souffle court me rendait fou. Mon sexe encagé me brûlait.
- Sil te plait, libère-moi, jai envie de toi.
- Non, pas cette fois, ça tapprendra, répondit-elle entre deux gémissements discrets. Elle leva son visage vers le plafond, se concentrant sur son plaisir.
Quelques minutes passèrent et je fusionnais peu à peu avec son vagin. Ma tête cherchait son plaisir par tous les moyens. Elle ne pu sempêcher de laisser échapper un cri de plaisir lorsquelle atteint lorgasme, me serrant fortement la tête, mempêchant presque de respirer.
- Dieu du ciel, cest tellement bon ! Tu nas jamais été aussi efficace que ça ! Cette cage est encore plus efficace que je ne le pensais !
Jétais heureux davoir pu lui offrir ce plaisir. Je nosais le penser, mais cétait peut-être la première fois que jarrivais à la faire jouir.
Nous remirent le couvert jusquà l, ses cuisses se refermaient sur moi, je ne réfléchissais plus à moi, seulement elle, seulement son plaisir comptait. Seulement son sourire, ses tremblements. Je nétais plus rien si ce nest loutil de son plaisir.
La tête couverte de cyprine, je reçu un baiser de la nouvelle maitresse de mes désirs.
- Jai fait le bon choix. Tu es devenu quelquun dautre. Je naurais jamais pensé que cette cage puisse te changer autant.
Il est vrai que hors de ma cage, jaurais pris les devants pour quelle soccupe de moi. Jaurais retourné la situation pour mon plaisir personnel. Finalement, cest elle qui aurait été oubliée. Cette cage ne faisait que me permettre de renvoyer lascenseur à ma bien aimée pour les plaisirs de ces derniers mois.
Par instinct et me surprenant moi-même, je lui apportai de quoi à se rincer et pris soin de menquiert de ses rendez-vous de la journée.
En sortant, elle glissa ses mains entre mes jambes.
- Jespère que tu vas thabi à lappareil, parce que tu vas le garder un petit moment !
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