Mon Voisin, Mon Premier Amant

J’ai déjà abordé le sujet de mon mariage raté, il faut que je fasse amende honorable. Si mon ex mari m’a frappé fait traverser notre chambre sans que mes pieds touchent le sol, pour terminer contre la commode contre laquelle mon nez s'est brisé. Ce geste totalement impardonnable est aussi une conséquence de mon inconséquence. J’avoue que depuis un long moment je trompais allégrement mon mari.
Pourquoi? Hé bien mon mari , dont j’étais particulièrement amoureuse au début de notre relation avant et juste après notre mariage, pendant 2 ans environ. La période peut être pas divine mais je crois assez normale pour un couple. Encore que, et c’est la raison de ma traîtrise, jamais mon mari n’a réussi à me satisfaire sexuellement. Je rêvais de folies, il n'aimait pas ça. Un exemple flagrant, il refusait que je lui fasse une fellation qui allait jusqu'à son terme, jamais je n’ai pu , il n’a jamais voulu jouir dans ma bouche. Certaines femmes refusent car elles n’aiment pas, ne supportent pas.
Je peux comprendre c’est surprenant au début. J’avais expérimenté avant mon mariage avec d’autres petits copains, j’ai bien sûr eu le hoquet de ma vie la première fois, mais j’ai aimé. Rien de plus agréable que de regarder le garçon apprécier cette caresse, j’adore leurs mimiques au moment crucial.
Et j'aimais la sensation de contrôle qu’on à sur l’homme à ce moment. J’aime sentir leur sperme couler dans ma bouche ou jaillir selon les fois. La texture et le goût sont variables, même avec un même partenaire certaines fois c’est plus agréable que d’autres. La satisfaction dans leurs yeux quand on montre que l’on avale leur semence, avez vous remarqué cette fierté. Je n’aime pas celles qui recrachent, c’est un peu le réflexe de pro enfin je le vois comme çà. A la place d’un homme je trouverais humiliant qu’on fasse ça. Ce qui est vraiment agréable c’est les hommes qui acceptent de partager avec nous leur sperme, j’ai eu quelques hommes qui adoraient ça.

En règle générale de super amants.

J’avais beau proposer toutes les choses qu’un homme en général fantasme sans jamais l’avoir, moi je voulais bien, echangisme, trio avec une autre femme ou un autre homme. Mon mari a fini par dire que ce sont des pratiques dégueulasses. Il me disait tout le temps que j’étais malade, nymphomane.
Depuis le jour du mariage il insistait pour qu’on fasse un bébé. J’avais 18 ans, je poursuivais mes études, je voulais vivre un peu avant de me retrouver avec un gosse. Attention j’en voulais un mais pas tout de suite. J’en veux toujours un, mais la situation n’est pas idéale.

A force d’avanies de ce genre j’ai pris le parti de subvenir moi même à mes désirs. Je passais du temps sur les sites pornos du net, je m'équipais de vibromasseurs, de gods et autres jouets.
J’utilisais ceux-ci quand mon mari était absorbé par le foot ou un dossier du travail. Je ne me cachais pas, devant le PC, nue ou demi-nue, je me faisais plaisir avec mes jouets. Au début j’espérais qu’il finirait par me sauter dessus et me baiserait. Jamais il n’a eu cette idée, il ne voulait pas, grommelant que j’étais dingue il allait coucher ou s’enfermait dans son bureau. Cette situation me rendait folle. J’avais droit de temps en temps à une saillie, mais loin de satisfaire mes sens. Petit à petit je me faisais à l’idée de prendre un amant, non pas pour quitter mon pari, pour avoir enfin du plaisir avec un mâle.

Il faisait chaud en cette fin de printemps, j’avais sur moi une robe légère croisée fermée par une ceinture à la taille. Les petits courants d’air, passant sous le tissu, me rafraîchissent les cuisses et le minou. Celles qui se sont promenées sans culotte savent combien c’est agréable.
Mauvaise épouse mais bonne maîtresse de maison, je balayais ce matin là l’allée qui longeait la maison le long de la clôture du jardin de nos voisins. J'aperçois Jean-Pierre notre voisin, mon mari et moi avons sympathisé avec ce couple, on avait même fait quelques pique niques et barbecue dans nos jardins.


Coucou, Jean-Pierre lui lançais-je en agitant la main

Salut Lisa, tu vas bien? Il fait déjà chaud !!

Oh je vois tu ne t’habille même plus ??

Jean-Pierre était torse nu, un tout petit short en guise de vêtement. Je ne l’avais jamais vu comme ça. Il avait 45 ans, sa femme Odile 40 je crois, ils avaient un ado de 16 ans qui me matait souvent pensant que je ne le remarquais pas. C’était normal à son âge.
Moi à cet instant je matais Jean-Pierre, je m’étais approchée.

Tu fais quoi? dis-je

Oh je vais creuser pour faire un bassin, pas une piscine . La vache c’est dur.

Ah oui j’imagine, mais je vais pas t’aider.

Je me rendais compte pour la première fois qu’il était plutôt bel homme, et surtout là je voyais un torse de sportif, des abdos en tablette de chocolat, des muscles saillants sur les bras et les épaules. En sueur sous le soleil il était beau. Son visage tanné et marqué par le grand air. il travaillait dans le bâtiment comme chef ou ingénieur je ne sais plus. Il faisait assez ancien militaire, comme les héros de films américains. Sont short devait être trop petit, il lui moulait les fesses et surtout son sexe de telle maniére qu’il aurait pu être nu.
Je voyais que au repos son sexe avait une taille intéressante. Je commençais à ressentir une attirance pour son corps.

Et Odile çà va? perverse je me renseignais sur sa femme.

Oh elle est partie avec le gamin chez ses parents pour quelques jours.

Ils t'ont abandonné alors.. Viens dîner avec nous ce soir.

Je ne veux pas vous déranger, je m’ouvre une boite et je mange devant la télé les pieds sur la table.. Normalement j’ai pas le droit mais là.

C’est vrai quand c’est interdit ça parait meilleur hein? Tu veux de l’eau fraîche. Viens j’en ai à la maison.

Ah je veux bien oui là mienne a bien chauffé déjà.

Il saute la clôture d’un bond, J’admire son agilité.
Je vois Jean-Pierre sous un angle inconnu.
Je suis comme une araignée attirant sa proie dans sa toile. Dans ma tête j’ai déjà décidé que j’allais tout faire pour le séduire. En marchant vers la maison je desserre la ceinture de ma robe, ce qui permet au tissu de glisser et de dévoiler un peu plus mes charmes. Je pense qu’il devrait y être sensible. Jamais il n’a formulé le moindre désir, mais certains regards quand nous étions ensembles m’avaient interpellés. Je crois que jamais il n’aurait tenté quoi que ce soit, mais il ne résisterait pas non plus.

Dans la cuisine je lui sortais une bouteille d’eau glacée, il buvait à la bouteille, à grandes goulées. Quelques gouttes étaient sur son menton, qui tombèrent sur sa poitrine.
J’avais desserré cette ceinture, mais peut-être plus que prévu. Je fis un mouvement, la ceinture tomba au sol, ma robe s’ouvrit en grand me dévoilant nue à son regard. Il cessa de boire, tenant toujours la bouteille à sa bouche. Ses yeux me détaillent, il semblait figé.

Ohhh dis-je

Au lieu de refermer prestement ma robe un coup d'épaule la fit glisser au sol, j’avançais vers Jean-Pierre, instinctivement ma démarche était lente et déhanchée. Ma main gauche se posa au milieu de sa poitrine, la droite sur la bosse de son sexe dans son short.
Il baissa la bouteille, puis la posa sur la table. Ses yeux étaient rieurs, il s'amusait de la situation. Je me hissais sur la pointe des pieds, pour atteindre sa bouche. Il posa ses mains sur mes fesses, me tira vers lui et me hissa légèrement. Nos bouches se touchent et un long baiser qui me fait tourner la tête s'ensuivit. Si vous avez déjà eu des papillons dans le ventre, c'était mon état. Sous ma main j’avais senti sa queue se mettre à gonfler. Ma bouche descendait lentement sur sa poitrine, léchant sa peau, le sel de sa sueur se déposait sur ma langue.

Attends, je vais prendre une douche dit il

Non dis-je en regardant ses yeux de ma position agenouillée.
Nos j’adore tu sens l’homme.

Il sourit, mes mains attaquèrent le short que je glissais sur ses cuisses musclées.
Pas de sous-vêtements, sa queue me saute au visage, heurtant mon nez au passage.
Quelle belle queue. Jean-Pierre est circoncis, je n’aime pas particulièrement J'ai un faible pour la découverte du gland caché dans son écrin de peau. Bel engin long et épais, les mains fébriles je pose mes doigts sur la base de sa bite.

Ohhh quelle belle queue, tu m’avais caché ça..

Je crois qu’on se cache plus rien là.

J’ai très envie tu sais.

Tu me donnes très envie Lisa.

Ma langue léchait sa tige, qui durcissait à chaque seconde. Je happais le gland avec ma bouche, Jean Pierre posait ses mains sur la tête et ma nuque, tous les hommes font ça.
Alors que ma bouche descendais sur son sexe gonflé, je passais ma main entre mes cuissses, mes doigts sur mon minou le trouvérent tout moite et ouvert. Mon bouton saillait au haut de ma fente, il était sensible comme tout.
Je prenant sa queue au fond de ma gorge, plus loin que jamais je ne l'avais fait, c’était excitant, j’avais des frissons malgré la chaleur. Le sexe de JP éttait inondé de salive, je m’acharnais sur cette queue, tellement sevrée pendant des mois j’avais hâte de le fair gicler dans ma bouche. JP ne l’entendait pas ainsi, sans un mot il me sortait de ma prosternation, pour me monter sur la table de cuisine, sur le dos, j’écartais largement mes cuisses, il s’agenouillait à son tour. Ses doigts écartent mes lèvres, sa langue, va et vient dans ma chatte du bas en haut, j’entends ce bruit mouillé qui m’exite. Il touche mon clito, je frémis, je me cambre en poussant un cri.

Viens prends moi dis-je en haletant.

Il se redresse place son sexe contre ma vulve mouillée. Sans être brutal, mais avec force il enfonce sa queue en moi, profondément. Il bute au fond de mon vagin. Ce choc crée une onde qui me parcourt et me fait soupirer. Il a posé ses mains sur mes seins qu’il pétrit, agaçant mes tétons, j’aime la façon dont il me prend. Il me regarde avec un sourire.
Il doit penser qu’il à de la chance, mais c’est sans doute moi qui assouvis le plus gros désir.
Je vois maintenant que je n’ai pas fait l’amour depuis des années. Je sens qu’il me désire, qu’il a envie de me faire crier de plaisir. Il doit sentir que je veux son sperme, je veux sentir sa semence en moi. Je gémis, j'exulte, je caresse mon clito de ma main droite,
Ses couilles frappent mes fesses, il me prend, me laboure comme une salope.


Oh c’est bon .. c’est bon.. dis moi que je suis une salope, dis le..

Salope, tu es une vraie salope, tu aimes que je te baise?

Oh oui baise moi, baise moi j’ai envie de te faire jouir dans ma bouche.

Oh vraiment, vraiment salope alors.. allez viens..

Il me descend de la table, je me prosterne devant le “dieu bite”, ma bouche plonge sur son sexe, je retrouve le gout de mes doigts quand je me branle sur sa queue. Ma main gauche att les couilles bien gonflées de mon amant. Je les presse, les malaxe comme pour pomper le jus qu’il va faire jaillir dans ma bouche.
Je sens sa queue qui tressaille, il est sur le point de jouir, je force ma bouche à aller plus loin je prends un risque jamais je n’ai fait jouir un homme dans ma gorge, là j’en crèves d’envie.
Son gland est dans ma gorge, au fond il gonfle, je ne peux plus respirer ou presque, je sens sa queue sauter plusieurs fois, le sperme chaud épais, coule dans ma gorge, directement je ne déglutis presque pas, il gicle et coule en moi. Ça dure longtemps, je refoule même su perme par mes narines. Je crois n’avoir jamais fait de pipes plus profonde et réussie que ce jour-là. Je jouis même de sentir JP m’enfoutrer aussi totalement la bouche. Ma chatte goutte sur le carrelage.
JP retire sa queue, j’ai avalé tout le foutre, il ne reste que ce qui est passé par mes narines, je le récupère avec mon doigt et le pose sur ma langue. Je le regarde

Oh c’est bon, j’adore çà !!

Dis donc Lisa tu caches bien ton jeu tu m’a totalement vidé dit JP

Tu dînes avec nous ce soir? Dommage que tu ne reste pas la nuit

Tant que tu veux… comment tu m’a dit de t’appeler déjà? Salope? ça te va bien.


Jean Pierre et moi avons passé quelques nuits ensemble quand nos conjoints par chance étaient absents tous les deux. Si j’avais rencontré JP avant, j’aurais pu l’épouser et sûrement que je ne l’aurais pas trompé. Les heures passées avec lui sont bien douces dans ma mémoire.
Je suis plutôt lesbienne maintenant, mais si je le revoyais là, je crois que çà pourrait marcher au moins pour une nuit.

Voilà vous pouvez l'approuver ou pas, me soutenir ou me cracher dessus peu importe j’ai pris du bon temps, je l’assume.

Lisa

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