Bastien - Chapitre 2 : Made Fantasies
Partie 2 / Exhibit
Il était là, allongé sur la table de ping-pong du complexe sportif, entièrement nu, offert à la vue de tous. Il faisait beau, chaud pour lheure. Jai traîné chez mes amis jusque 23 heures avant de marrêter sur ce lieu de drague en plein centre-ville. Cest un espace ouvert, un complexe sportif avec un terrain en herbe, deux terrains de baskets, une salle de sport et deux tables de ping-pong. Cest là que je le retrouve, il y a un petit attroupement autour de lui. Tu parles ! Un beau mec, bien foutu, musclé sec, sa belle queue bandée entre sa main droite et lautre main qui titille sa rondelle, timagine que ça plaît et ça attire les regards. Dès que japproche, il me regarde et se relève. Il me sourit.
« Tu vas bien ? »
« Ouais pas mal ! »
« ça te dit de samuser de nouveau ? »
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1 mois avant : ce mec est venu me débusquer dans un bosquet où un mec me suçait allégrement. Cétait pas folichon. Le mec ne savait pas bien sy prendre. Jétais chaud mais il avait tendance à me faire descendre la libido ce mec. Alors quand ce beau mec est arrivé, mon regard la agrippé et il est venu memballer. En deux temps trois mouvements, je me courbais sur sa queue bien dure. Je léchais bien toute la hampe de ce magnifique mandrin, je dirai dans les 18 cm sur 4.5. Très plaisant ! ment lautre gars avait détalé, et nous étions maintenant seuls.
Mon bel homme ma proposé daller dans un endroit plus tranquille pour uvrer librement dans nos ébats. Bien cachés, il me baisse mon pantalon, mon boxer et soulève mon t-shirt. Il attaque mes tétons, les lèche, les triture avec les lèvres, les pince avec ses dents, et saide de ses doigts. Sa main att ma queue et me branle. Puis il veut que je lui rende la pareille, alors je lèche ses couilles velues, lèche son gland rose proéminent, et gobe jusquà ce que ses poils me chatouillent le nez. De longs va et vient auront raison de mon homme dun soir.
Il me relève, membrasse puis me branle très activement. Excité je ne tarde pas à jouir à mon tour dans un « hannnnnn » peu discret. Nous nous rhabillons. Un dernier baiser et chacun chez soi ! Je ne pensais pas - que dis-je je ne devais pas le revoir. Il ma glissé quil était de Paris et était rarement ici. Alors je pensais ne plus avoir affaire ou à faire avec lui.
Pourtant
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« ça te dit de samuser de nouveau ? »
« oui mais ici je pense que ça craint. Jai vu de jeunes mecs un peu énervés là bas et je pense quils vont venir par ici sous peu ! il vaudrait mieux décamper », et du regard je lui montre la direction de limmeuble de 15 étages surplombant notre place.
« ok » et il se rhabille rapidos.
A peine habillé, on entend des voix sapprocher, quelques cris, du verre qui se casse par terre. Inutile de rester là à attendre les emmerdes. On décide de partir du centre-ville. Jespérais quil allait me proposer daller chez lui. Mais il nen a rien été.
« on peut prendre ta voiture ? ». Oui bien sûr. Il me guide. On sort de la ville, on aborde la ville suivante, à gauche au feu, tout droit, je ne connais pas ce coin là. Ça ne fait que deux ans que jai emménagé dans le coin, alors je découvre un peu.
« Prends vers la gauche là ». On continue sur une route qui quitte les lotissements. On borde une rivière, les arbres se font plus nombreux.
« Je connais un parc tranquille le soir ». Il me dit de ralentir à labord du parc, on longe un mur et il me dit de me garer à proximité de la grille ouverte.
« Cest là, viens ! ». On sort de la voiture et nous passons la grille, le chemin monte un peu, de grands arbres bordent le chemin. Nous suivons le chemin jusquen haut, il serpente vers des ruines dune maison un manoir me dit-il détruite depuis la guerre 39-45.
« On va être bien ici ». Cest un coin découvert, il ny a pas de bosquets ou darbres pour nous cacher, mais il semble que nous soyons seuls.
« Désapes toi ! ». Jenlève mon t-shirt, il en fait de même. Il pose son pied sur le banc, défait ses lacets, je le regarde faire. Il enlève ses pompes et baisse son pantalon et son boxer. Je baisse le mien également, il me sourit. Il pose ses affaires sur le banc et minvite à faire de même. Il remet ses chaussures. Il est vraiment canon, rien que de le voir nu je suis déjà excité, fou de désir et de heureux de savoir que ce beau mec veut coucher avec moi.
« Fous-toi à poil là ». Je mexécute et nous sommes rapidement nus. Il sapproche et me roule un furieux patin. Si je nétais pas déjà excité par la situation, jaurais pu bander de suite rien quavec ce baiser torride. Sa langue fouille ma bouche, senroule autour de la mienne. Ses lèvres appuient sur les miennes, sa salive inonde ma bouche. Mes lèvres se déforment sous la puissante de feu de mon homme. Ses mains ne sont pas en reste : elles parcourent mon corps, mon torse, mon dos, mes fesses, mes couilles, ma queue
tout y passe.
Il est chaud bouillant. Son excitation est palpable, pas seulement dans son érection prodigieuse. Tout respire le sexe chez lui. Son envie de me baiser est palpable, je la sens, elle sort par toutes les pores de sa peau. Chaque mouvement de sa part est fait pour me faire monter rapidement et me mettre à lunisson de son besoin viscéral de me posséder.
Il me retourne rapidement, me dit de mettre un pied sur le banc et de ses mains il me fait me pencher.
Son majeur vient aider à la tâche. Lenjeu est clair, il faut rapidement préparer ce trou pour y mettre sa queue bien dure qui nattend que cela. Il veut la mettre au chaud et coulisser, limer mon trou devenu bouillant de désir pour son gland.
Il la compris et très vite, il pénètre, senfonce, force le passage. Je retiens mon souffle, fais leffort pour ouvrir mes sphincters. Jai mal, il attend. Puis il senfonce doucement. Ressort. Crache sur sa queue capuchonnée, étale la salive sur son bout avant de lenfoncer plus loin en moi. Je retiens ma respiration un moment, accepte la douleur, puis souffle. Il senfonce un peu plus. Jai moins mal. Il senfonce jusquà la garde. Il sarrête.
« Ça va ? ». Maintenant oui. Il commence un va et vient lent. Je ne dis rien. Il accélère et rapidement il prend un bon rythme de croisière. Ma respiration saccélère et je marque mon plaisir par des souffles et quelques gémissements. Je ne peux me retenir quand cela me fait du bien. Certains y arrivent, pas moi, jai la jouissance sonore. Ce ne sont pas non plus des cris, mais des gémissements, des râles et des souffles.
Il sarrête brusquement. « Chut ! ». Jattends, et je regarde autour de nous. Imaginez
nous sommes emboités depuis 10 minutes, complètement à poil dans un parc public à minuit et demi un soir de début dété. Si quelquun est là, soit il se rince lil, soit on va prendre cher.
« Non ! Rien ! On est seul » et il reprend ses mouvements quil accélère et intensifie. Il donne de grands coups maintenant, sa peau claque contre mes fesses. Il respire fort lui aussi. Jai terriblement chaud, je transpire. Mon trou chauffe. Il crache sur sa queue de nouveau. La salive fraiche réduit lincandescence de ma muqueuse. Des gouttes de sueurs glissent de son corps sur le mien, son torse se colle à mon dos. Nous sommes en nage. Il enroule ses bras autour de mon torse et donne de violents coups de butoir dans mon trou. Je ne peux réfréner de grands « haaaan » de surprise et de plaisir mélangés.
Il se détache de moi et appuie de ses deux mains sur mes mains, je creuse les reins. Ses coups sont plus longs et plus secs, je sens sa queue sur de nouvelles parties internes, il excite ma muqueuse dans dautres endroits. Il ressort sa queue entièrement. Lair pénètre dans lantre, rafraichit avant un nouveau coup de butoir. Il refait cela trois ou quatre fois. Puis il reprend son rythme dendurance, régulier mais rapide. Sa queue butte contre la prostate. Elle délire, me fait partir dans un grand délire de plaisir.
Puis il accélère dun coup, je ne sais plus depuis combien de temps je suis dans cette position, un pied sur le banc, le cul offert. Il att mes hanches et donne de violents coups. 1, 2, 3, 4 puis un cinquième. Et là il enchaîne par une accélération de fou. Je décolle sous leffet de sa force. Je ne sens plus quune chaleur intense dans tout mon bas ventre. Mes yeux sont clos. Je vis ses coups de queue dans mon trou. Mon corps tout entier est rythmé par ses mouvements de bite. Je ne gémis plus. Ce ne sont plus que de longs râles continus. Lui aussi respire fort, gémit puis crie quand, dans un ultime effort, il lâche sa crème, son jus dhomme au plus profond de mon cul.
Deux puis trois allers et retours finissent de combler sa jouissance. Il att ma queue et me branle. Il ne faut pas plus de 4 ou 5 branles pour quà mon tour je lâche ma semence sur le gravier. Je suis exténué. Je respire fort. Il lâche ma queue, att sa bite et se retire. Lair frais pénètre dans mon cul ouvert et cela me ramène à la douce réalité. Jamais je ne me suis senti aussi vivant.
Déjà il se rhabille. Je fais de même. Jai du mal à retrouver une respiration normale. Mais déjà nous reprenons le chemin pour retourner à la voiture.
« Cétait bon », ce sera notre seul échange sur ce qui vient de se passer. La suite de la conversation tourne autour de « tu peux me déposer ? » ou « alors tu vis à Paname ? ». Alors que nous arrivons à la grille du parc, nous voyons un jeune homme descendre du parc par lallée à notre gauche, celle que nous avions empruntée pour entrer dans le parc. Je me demande sil nous a vus.
Il nous dépasse. Il se retourne. Il sarrête, nous regarde. Il sourit.
« Bonsoir
». Est-ce bien lheure des politesses ? La seule chose qui tourne dans ma tête est « nous a til vu ? ».
« Bravo ! » et il fait mine de repartir. Il sort du parc, nous le suivons. Il part vers la droite après ma voiture. Je vais pour ouvrir ma voiture, il sarrête, se retourne et me regarde fixement.
« Tes super endurant ! Wow ! Cétait super !».
Je souris. Un merci est la seule chose qui sort de ma bouche.
« À plus
»
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Je dépose mon bel amant dans le centre-ville. Il ne sait pas quand il reviendra, il part en Argentine puis en Uruguay pour trois mois. En fait, je ne le reverrai plus. Ce fût notre deuxième et dernière rencontre.
Pour ce qui est du jeune voyeur, il ne mavait pas encore tout dit !
Mais ce soir là, je ne le savais pas.
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