Philippe, Mon Voisin Impitoyable - Partie 5 (Fin)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Nous étions maintenant en juin 2011. Trois mois sétaient écoulés depuis que Philippe et moi avions passé notre première nuit ensemble dans lappartement de son ami. À partir de ce moment là, lorsque nous voulions nous voir, nous avions pris lhabitude de nous rendre là-bas et ainsi éviter de nous faire surprendre par notre entourage.
Il était 11h00 lorsque je fus réveillée par un bruit de porte. Que faisait Philippe encore ici à cette heure-là ? En effet, nous avions passé la nuit ensemble mais je lavais vu partir à son bureau deux heures plus tôt avant que je ne me rendorme. Interloquée, je sortis du lit et me dirigeai vers le salon afin de massurer que je navais pas rêvé lorsque je vis un homme qui nétait pas Philippe. En pleine conversation téléphonique, il ne mavait pas encore vu et sétait dirigé vers la cuisine. Prise de panique, je retournai dans la chambre où javais dormi. Si ce nétait pas Philippe, cet homme ne pouvait être que son ami, le propriétaire de lappartement. Je fourrai le maximum de choses dans mon sac, enfilai mon jeans et ma chemise à toute vitesse sans même prendre la peine de la boutonner, puis je me dirigeai vers la sorti en essayant de faire le moins de bruit possible. Au moment où jouvris la porte dentrée, il me vit.
-HEY TOI
Sans réfléchir, je me ruai hors de lappartement, en priant pour quil ne me ratt pas, et je retournai chez moi.
Quelques heures plus tard, lorsque mes parents rentrèrent du boulot, nous décidâmes de manger dehors. Vers 22h, alors que nous étions de retour chez nous, nous croisâmes Philippe, Nathalie et Lucas sur le palier en pleine discussion avec une autre personne : cétait lhomme de ce matin. Je me figeai. Un peu plus tôt, lorsque javais appelé Philippe pour linformer de lincident, il mavait juste dit quil allait gérer la situation et que je ne devais pas men faire, cependant, je ne mattendais pas à tomber sur cet homme le même jour, devant chez moi, alors que jétais avec mes parents et je fus extrêmement mal à laise.
Le lendemain, Philippe menvoya un message où il me donnait rendez-vous à lappartement de Richard, après son travail. Cétait un peu gênant de savoir que cet homme était au courant de tout et quil était même daccord pour nous prêter son appartement, mais cétait tout de même moins risqué que de se voir chez moi où chez Philippe. Vers 17h30, après mêtre douchée, jenfilai un string noir en dentelle, une robe rouge moulante qui mettait en valeur ma poitrine ainsi quune paire descarpin noire à talon haut. Jattrapai ensuite une veste, mon sac à main et je me rendis à lappartement.
Lorsque jarrivai 30 minutes plus tard, Philippe semblait déjà être là car des chaussures dhomme étaient à lentrée. Je me débarrassai de ma veste, de mes escarpins et de mon sac puis je me dirigeai vers le fond. Je pouvais entendre leau couler dans la salle de bain, il était sûrement en train de prendre une douche. Je rentrai dans notre chambre habituelle puis je mallongeai sur le lit quelques minutes en lattendant.
-Morgane ? demanda une voix.
Je me redressai immédiatement. Richard se tenait devant moi, torse nu et il se séchait les cheveux avec une serviette.
-Excusez moi, bafouillai-je en me levant, je croyais que cétait Philippe.
-Il ny a que nous deux, lança t-il en sapprochant.
Jétais terriblement gênée et lui avait les yeux braqués sur moi, ou plutôt sur mes seins qui nétait pas très couverts.
-Tu es vraiment magnifique, me dit-il.
-
merci, répondis-je en croisant mes bras sur ma poitrine.
Pourquoi Philippe mavait t-il donné rendez-vous ici alors que Richard était là ? Dailleurs, où était Philippe ? Et pourquoi Richard narrêtait pas de me regarder comme ça ? Avant que je neu le temps de comprendre, Richard me poussa sur le lit, puis en une fraction de seconde, il sallongea sur moi et commença à membrasser. Je me débâtis du mieux que je pus, mais ça ne servis à rien tant il était imposant. Furieusement, il fit remonter ma robe, puis il glissa sa main sous mon string et menfonça un doigt dans la chatte.
-ARRÊTEZ, hurlais-je lorsquil libera enfin ma bouche.
-Cest quoi ton problème ? me lança t-il énervé. Il ma dit que tu avais lhabitude de le faire sauvagement.
-Mais de quoi vous parlez ? lui demandai-je effrayée.
-Si tu es là cest que tu as accepté le marché ma grande !
-Laissez-moi partir sil vous plait, le suppliai-je.
Il se releva et recula un peu tandis que jarrangeai ma robe et tentai de me remettre de mes émotions.
-Écoute, me dit-il en sappuyant contre le mur, Philippe ma promis un moment avec toi en échange de mon silence sur votre
aventure !
-Je ne suis pas une prostitué, répliquai-je estomaquée.
Je nen revenais pas, ça ne pouvait pas être vrai. Philippe naurait pas pu me faire une chose pareille, ce nétait pas possible. Mais en même temps où était-il ? Pourquoi ne mavait-il pas appelé ? Jétais en colère, plus que je ne lavais jamais été auparavant. Jétais sidérée. Il ne me respecterait donc jamais ? Jétais sa chose, son pantin, juste un fourre queue. Je mavançai vers la porte mais Richard me barra la route.
-Laissez-moi partir, lui ordonnai-je, rouge de honte et de colère.
Il me dévisagea un moment de la tête aux pieds, sans dire un mot, puis il se poussa enfin.
-Sache juste une chose ma grande, me dit-il dun air amusé, si tu pars, rien ne mempêchera de révéler ton petit secret. Je sais où tu habites et je suis certain que tu naimerais pas que tes parents apprennent que leur petite fille chérie se tape leur voisin et ami marié de 50 ans depuis des mois, dès quils ont le dos tourné
Mon sang se glaça. Et moi qui pensais que la situation ne pouvait pas sempirer, javais tord. Lidée même que mes parents sachent que je couchais avec un homme marié qui avait lâge dêtre mon père suffisait à meffrayer, je ne laurais pas supporté. Je ne savais plus quoi faire, je narrivais plus à réfléchir. Comme je nétais toujours pas parti, Richard se glissa derrière moi et me plaqua contre le mur. Résignée, je me laissai faire. Lentement, il passa ses mains sous ma robe en me caressant les cuisses du bout des doigts, attrapa les ficelles de mon string puis violemment, tira dessus et elles cédèrent. Je pouvais entendre sa respiration saccélérer derrière moi. Il se pencha sur moi et membrassa langoureusement le cou. Il posa ensuite sa main sur mon entrejambe et me doigta. Je ne voulais pas que cet homme me fasse ressentir ces choses là, mais cétait plus fort que moi et je commençai à mouiller. Il glissa ensuite sa main libre dans mon décolleté et me caressa les seins. Soudain, il magrippa par les cheveux puis à nouveau, il me poussa violemment sur le lit. Je tombai sur le ventre. Même si je ne pouvais pas le voir, je sentis le lit senfoncer sous son poids puis je lentendis défaire sa braguette. Il sallongea ensuite sur moi, écarta mes jambes, puis dun mouvement brusque, il me pénétra.
Je ne pu retenir mes cris. Javais la sensation de me faire écarteler tant sa queue était large, peut-être même plus large que celle de Philippe.
-Tes très étroite, me murmura t-il à loreille, cest parfait.
Il dut sy prendre à plusieurs reprise avant de me remplir complètement.
En retournant chez moi une heure plus tard, je repensai à ce que je venais de faire. Je fus envahis par un mélange de honte et de colère. Javais accepté dêtre la chose de cet homme, je ne me reconnaissais plus. Lorsque jarrivai devant chez moi, je craquai. A cette heure-ci, mes parents nétaient probablement pas encore rentrés. Sur un coup de tête, je sonnai chez Philippe mais cest Lucas qui mouvrit.
-OÙ ES TON PÈRE ? lui hurlai-je sans pouvoir me contrôler.
-Quest ce quil tarrive ? me demanda t-il inquiet.
-Je texpliquerai plus tard, il faut que je vois ton père !
Avant quil nai eu le temps de se retourner, Philippe surgit derrière lui.
-Je men occupe, lança t-il à Lucas avant de sortir et de fermer la porte derrière lui.
-Tes quune merde Philippe ! lui dis-je écoeurée.
-Je devais trouver un moyen pour quil la boucle
chuchota t-il.
-Et donc tu mas prise pour une pute ?
-Quest ce que ça change pour toi ? Cest pas comme si tu navais pas déjà lhabitude de tenvoyer en lair avec tout le monde
Il avait à peine fini sa phrase que ma main avait atterri dans sa figure. Au même moment, Lucas qui avait sûrement dû nous espionner par loeilleton, rouvrit là porte, choqué.
-Salaud ! lançai-je à Philippe les dents serrées. Cest terminé !
Puis je rentrai chez moi, furieuse.
Le lendemain, alors que jétais encore dans mon lit, ma mère débarqua dans ma chambre en trombe.
-Ma chérie, réveille-toi.
-Quest-ce quil ya ? demandai-je à moitié endormie.
-Philippe est là, il a besoin de quelque chose dans les affaires de ton père, mais moi je dois y aller et ton père est déjà parti. Tu peux ten occuper sil te plait ? Je suis vraiment en retard
Puis, avant que je neus le temps de répliquer, elle membrassa sur le front puis sen alla, me laissant seule avec Philippe. Je savais bien pourquoi il était là et ce nétait pas pour nous emprunter quelque chose. Jétais prise au piège.
Face contre mur, le pyjama aux chevilles et incapable de me libérer de son emprise, Philippe me labourait sauvagement la chatte. Ses coups de reins étaient tellement violants que je peinais à tenir sur mes jambes.
-
cest moi qui décide
quand cest terminé
entre nous
petite pute
! lâcha t-il entre plusieurs va-et-vient.
Je me contentai de gémir, malgré moi, parce que même sil mavait prise de force contre le mur de ma chambre, comme la dernière des catins, mon corps, lui, ne voulait pas quil sarrête. Après mavoir pilonné pendant de longues minutes, il se retira de ma chatte pour venir frotter sa queue contre mon anus. Avant que je neus le temps dessayer de me libérer à nouveau, il mécrasa encore plus contre le mur. Il me plaqua ensuite une main sur la bouche puis avec la même violence que tout à lheure, il essaya de sintroduire dans mon cul et après plusieurs tentatives, il réussi. Mes hurlements étouffés résonnèrent dans lappartement, se mêlant à sa respiration saccadée et ses grognements de plaisir.
-Salope
petite salope
taimes ça, hein !
Mon corps ne mappartenait plus, jétais totalement soumise à ses volontés. Il me défonça le cul ainsi pendant ce qui me sembla être une éternité, tout en me balançant des mots crus, puis il retourna dans ma chatte un instant avant de menculer à nouveau. Il posa ensuite sa main sur ma hanche et mobligea à me cambrer le plus possible, ce qui lui permis de me pénétrer encore plus profondément et plus sauvagement. Je ne savais plus si je criais de douleur ou de plaisir
peut-être les deux parce quil ny avait plus aucun doute, jétais complètement atteinte étant donné que jarrivais quand même à prendre mon pied dans tout ça. Il resserra son étreinte sur ma bouche et ma hanche, puis dans un dernier grognement de plaisir, il éjacula dans mon cul. Lorsquil me lâcha enfin, je me laissai tomber au sol, à la fois euphorique et exténuée. Puis sans madresser un regard, il remonta sa braguette et se dirigea vers la porte. Soudainement envahie par la honte davoir aimé ça, je le regardai sen aller, sentant mes larmes monter, puis il se retourna :
-Maintenant, cest terminé, me lança-il avec mépris, avant de me laisser seule, par terre et humiliée.
Deux semaines était passées depuis que Philippe mavait lâchement jeté. Après avoir déprimé pendant les quatre premiers jours, javais fini par juger que cétait un mal pour un bien. Depuis, il avait tenté plusieurs fois de me revoir, mais je lévitais. Un jour, alors que je rentrai chez moi, je le trouvai planté devant ma porte à mattendre. Il essaya de me retenir pour me forcer à lécouter mais Lucas arriva au même moment et il prit ma défense contre son beau-père. Même si cétait maintenant évident quil savait, il ne me posa pas de question avant que je ne me sente prête à tout lui raconter et à mon grand étonnement, il ne men tint pas rigueur.
Cet après-midi là, alors que jétais en train de nettoyer ma chambre, je tombai sur la clé de lappartement de Richard. Je lavais complètement oublié et maintenant que je ne voyais plus Philippe, je nen avais plus besoin. Sur un coup de tête, je décidai de me rendre chez lui afin de la lui rendre. Jenfilai une petite robe noire assez courte et zippée sur le devant, puis je sortis de chez moi. Lorsque jarrivai là-bas, jhésitai un moment, et finalement, je sonnai.
-Morgane ? me dit-il étonné.
-Bonjour
, lui répondis-je timidement.
Pourquoi étais-je venu ? Jaurais très bien pu laisser la clé dans la boite aux lettres.
-Tu veux rentrer ? me proposa t-il.
Il me troublait et je ne savais pas pourquoi. Jaurais du être dégoutée par cet homme car lui aussi avait profité de moi en me menaçant de tout révéler à mes parents si je ne couchais pas avec lui, cependant, je décidai de rentrer.
-Jai
je
je suis venue vous rendre votre clé en fait, lançai-je hésitante, après un long silence.
-Tu nétais pas obligée de monter, me dit-il dun air amusé en se rapprochant de moi. Tu aurais pu la laisser dans ma boite aux lettres !
-Je sais
, répondis-je en rougissant.
Les jambes en coton, je mappuyai sur le mur derrière moi. Il sapprochait de plus en plus et ma respiration commençait à saccélérer.
-Pourquoi es-tu vraiment là ? me demanda t-il dune voix rogue.
Le regard sombre, il me dévorait des yeux et il se colla à moi. Il mexcitait.
-Je
jai aussi laissé quelques affaires chez vous
, réussis-je à articuler, la gorge sèche.
-Je ten prie, vas les récupérer
Mais je ne bougeai pas, je nétais clairement pas venu pour ça. Lentement, il ouvrit la fermeture de ma robe, dévoilant petit à petit ma poitrine, nue. Il posa ensuite ses mains sur mes seins et commença à les caresser et à jouer avec mes tétons, tout en soutenant mon regard. Cétait une véritable . Puis subitement, il mattrapa par les cuisses et me souleva. Je lagrippai avec mes jambes, passai mes bras autour de son cou et je lembrassai fougueusement. Il me cala ensuite contre le mur pour défaire sa braguette, écarta mon string pour avoir accès à ma chatte, puis dans un rythme effréné, il me baisa sauvagement dans tout lappartement, jusquà lépuisement.
Richard et moi nous sommes fréquenté plusieurs mois avant quil ne soit de repartir à létranger. De son côté, Philippe essaya de me récupérer à de nombreuses reprises, jusquà ce quil découvre que je couchais avec son ami et que ce dernier le menace. Après le départ de Richard, Philippe tenta encore de revenir vers moi mais je lenvoyai sur les roses. Aujourdhui, cela fait deux ans que je sors avec Lucas et tout va très bien entre nous. Malgré tout, Philippe continue de me tourner autour, mais je nai pas encore cédé à la tentation.
...FIN...
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