La Fin De Mes Vacances

Je venais de connaitre ma première fois avec un homme au beau milieu de mes vacances dans le sud (comme je l'avais raconté lors de ma première histoire). Il m’aurait presque fait oublier les femmes ! Ce corps de quinquagénaire musclé, autoritaire et rassurant, doublé d’une belle personnalité… J’avais un fort respect pour lui ainsi qu’une réelle attirance.
Je rentrais chez moi après notre première fois sur le sable de la plage, complètement ailleurs, perdu dans mes pensées. Moi, l’hétéro, celui qui passe son temps à regarder les femmes, je venais de me soumettre au sexe d’un homme. Pire encore, j’avais aimé ça et l’idée de le sentir encore en moi me faisait un point à l’estomac.
De retour sur mon lit, je recevais un message de lui. Prévenant et gentil, comme je l’avais découvert. Il semblait ravi de cette première fois tous les deux et impatient de me revoir. Nos échanges continuèrent et il me proposa un nouveau rendez-vous quelques jours après. Sa femme partait toute la journée et il était seul chez lui. J’avais hâte de le revoir, parler avec lui. J’espérais un rendez-vous intense.
Cette fois-ci, je me préparais avant d’aller le voir et je stressais comme lors de notre première rencontre. A ce stress était mêlé une vraie excitation sexuelle. Cette fois-ci, je savais qu’il me plaisait, j’avais envie de lui mais j’étais loin d’être un pro du sexe entre mecs. Qu’est-ce qui plait aux hommes de cinquante ans ? Je ne savais plus comment m’habiller. J’arrivai chez lui au début de l’après-midi et j’étais en proie aux doutes ; est-ce que ce rendez-vous serait aussi bien que le premier ? L’avais-je idéalisé ?
Sa femme, commerciale, venait de partir et ne rentrerait que le lendemain matin. Une aubaine. Je sonnais à son appartement à quelques centaines de mètres de la plage, il m’ouvrit la porte avec un grand sourire. Je retrouvais l’homme jovial qui m’avait retourné dans tous les sens du terme. J’entrais, l’odeur du parfum de sa femme flottait encore dans l’air chaud.

J’étais d’abord un peu mal à l’aise, j’entrais dans leur intimité. Il me proposa alors une bière pour se décontracter. Sa femme et lui étaient devenus des colocataires. Ils payaient leurs factures ensembles, ils habitaient au même endroit, comme des amis de longues dates. La passion s’était visiblement éteinte. Peu de photographies de leur couple ornaient les murs. Je me baladais dans le salon, regardant les rares cadres où ils prenaient la pose ensembles, figés dans le temps. Sa femme était très belle, une petite brune souriante et à la peau dorée par le soleil, une femme que j’aurais pu mater à la plage. Elle et lui ne couchaient pas souvent ensemble, d’après ses aveux. Je le regardais en l’imaginant faire l’amour à sa femme. Je restais silencieux, un léger sourire au coin des lèvres. Je m’assis à côté de lui sur le canapé, je le collais. Son jean lui moulait l’entre-jambe et je posais mes yeux sur cette belle bosse. J’avais résisté moins d’un quart d’heure avant de le mater intensément. Son t-shirt blanc faisait ressortir son bronzage et ses muscles saillants. D’un coup, j’avais envie de le caresser, je voulais qu’il soit à moi. Il se pencha sur ma nuque et me fit un baiser délicat. Mon cœur me brulait. Je savais que la machine s’était relancée. Comme j’étais heureux qu’il me touche ! Sa délicatesse et son apparente force brute m’excitait au plus haut point. Je ne me sentais plus l’âme d’un jeune homme vierge hésitant, je me sentais dans le corps d’un garçon libre et rempli de désirs. Nous nous enlacions sur son canapé, tantôt lui sur moi, tantôt moi sur lui. Il enleva mon tshirt et parcouru mon torse avec sa langue. Je fis de même avec le sien et pris soin de l’envoyer à l’autre bout de la pièce. Je le fixais droit dans les yeux. J’avais pour but de le faire rougir. L’exciter un maximum, lui résister, le faire languir en attendant le moment où sa force naturelle de dominant prendrait le dessus et où il me baiserait sans retenue pour notre plus grand plaisir. Je comprenais alors que si j’aimais jouer avec les femmes, j’aimais aussi jouer avec le désir d’un bel homme mur. Il se redressa alors et se fut le moment que je choisis pour lui déboutonner sa braguette. J’avais littéralement l’eau à la bouche. Son sexe était déjà au garde à vous, prêt à partir à la bataille. Je pensais subitement à sa femme, je subtilisais sa place. Sans aucune gêne, sa queue était ma possession. Il n’avait pas couché avec elle depuis quelques jours tandis que je lui donnais mes fesses pour la seconde fois. Je pris sa queue en bouche instinctivement, comme une vraie petite garce. Inutile de lui tourner trop autour et de le faire languir d’avantage, nous n’en pouvions plus. Lui debout tandis que je le tenais en bouche à quatre pate sur le canapé, il s’appliquait à rendre docile mon petit fourreau. J’étais connecté à lui, je ne pensais plus à rien d’autre qu’à notre plaisir. J’avais mal à la mâchoire avec ses coups de reins incessants. Il était chaud comme la braise. Des goûtes de transpiration perlaient sur son ventre et les veines de son cou ressortaient avec l’excitation. Il me dominait physiquement et mentalement. Il avait les clés de mon plaisir. Dans un geste débordant d’autorité, il me renversa et me mit sur le dos au bord du canapé. Il se positionna en face de moi. J’avais hâte, je voulais crier mon impatience, lui hurler mon désir.
Mes fesses sont trempées d’excitation alors qu’il rentre en moi. Contrairement à notre première fois, je le sens vraiment passer. Je laisse échapper un gémissement et ma bouche reste grande ouverte. J’ai du mal à encaisser un morceau pareil mais il me caresse doucement le ventre, les bras. Il me parle d’une voix suave et chaude, il est d’une tendresse infinie avec moi. L’inverse d’une brute. Il sait m’amadouer, me relaxer pour que je puisse l’accueillir. La queue de mon quinqua ne mollit pas, il m’impressionne. Il commence à faire coulisser son manche en moi et se penche pour m’embrasser fougueusement. Ses hanches bougent lentement pour ne pas me brusquer ni me faire de mal. Sa cadence s’accélère tandis que j’agrippe ses bras et enfonce mes ongles dans ses triceps sans m’en rendre compte. J’ai le souffle court lorsqu’il me pistonne et mes cris le guident dans sa quête pour me combler. Mon partenaire s’enlève de moi d’un coup vif qui me frustre. Je le regarde avec des yeux qui veulent dire « ne t’arrêtes pas, pitié ». Il me sait déçu mais il joue simplement avec moi. Je me dandine pour qu’il me pénètre encore mais ses baisers me font comprendre que lui et lui seul mène la danse. Pourtant, je tente tout. Je me relève, lui empoigne le sexe tout en lui remettant du lubrifiant et me positionne dos à lui en travers du canapé. Je lui tends ma croupe naturellement et je sens sa grosse queue contre mes fesses tremblantes. Je lui caresse le torse en me retournant tandis que lui me caresse le dos. Je bouge mes fesses sur sa queue mais il prend son pied à me voir trépigner. Il me titille avec son gland mais se retire à chaque fois que je me tends vers lui. Je suis dans tous mes états. Qu’on en finisse, qu’il me baise encore et tout de suite, ma poitrine me brule de désir et je transpire de partout. Il m’embrasse alors le haut du dos tout en me tenant les hanches, je le sens prenant un appui sur le canap’. Sa matraque est tellement dure qu’il me pénètre sans forcer. Il est en grande forme aujourd’hui et je comprends que je suis son jouet sexuel. Je sens son sexe au plus profond de moi car ses va-et-viens se font de plus en plus énergiques. Mes yeux se ferment fortement et je gémis sans retenue. Cet homme, c’était définitivement le désir absolu de tout passif et c’était l’homme de ma première fois. Un vrai paradis. Il prenait mes mains et les tenait fermement dans mon dos. Complètement dominé, je reçus une très légère fessée. Puis une autre, et encore un autre. Il se lâchait complètement avec moi et reprenait son statut de dominant naturel. Après s’être occupé de mon cas avec des coups de buttoirs puissants, il me redressait et me conduit dans sa chambre. Il m’agrippait fermement les bras tandis que j’avais un peu de mal à marcher à cause de l’excitation. Titubant, haletant, transpirant, je découvrais sa chambre à coucher jusqu’alors inconnue. Très jolie, simple, un grand lit avec des draps blancs. Je le devançais et grimpais sur le lit en lui présentant mon derrière. J’avançais de manière féline sur le matelat. Je m’allongeais sur le ventre tout en le regardant. Puis, ultime provocation, je levais fièrement mes fesses pour l’exciter un maximum. Avec lui, je n’avais peur de rien. Je pouvais faire tout ce qui me plaisait, sans honte, sans gênes. Il me sauta presque dessus en m’enfournant une nouvelle fois son membre ferme. Mes cuisses étaient serrées ce qui augmentait mes sensations et les siennes. Mon petit cul serrait intensément son membre et je n’arrivais même plus à ouvrir les yeux. Tenant fermement les draps, je commençais à me contracter. Lui dire que j’allais jouir était devenu impossible. Tantôt les mâchoires crispées, tantôt la bouche grande ouverte, mon orgasme était tout proche. Mes muscles se contractaient, son sexe toujours plus à l’étroit en moi. La délivrance était enfin là : je déversais un torrent de sperme sur son lit en criant de plaisir.
Je tremblais comme une feuille et finis par lâcher un rire montrant à quel point j’étais surpris d’avoir pris autant mon pied. Ma respiration se faisait haletante, je transpirais de partout, je soupirais de longues secondes après l’orgasme. Ralentissant la cadence, mon beau quinqua m’enlaçait. Je m’excusais d’avoir rempli son drap de ma semence, chose dont il était complètement indifférent. Il m’avait tant donné, je voulais le remercier de la meilleure des manières. Je le fis basculer sur le dos, nos corps trempés se remboitèrent puissamment et je m’appliquais à bouger mon bassin afin de le faire venir à son tour. Son corps luisant et bronzé m’excitait encore, sa queue ferme glissant au fond de mes fesses me faisait de nouveau bander. Alors que mes déhanchements avaient pour but de le faire jouir, je me rendais compte que cette position me provoquait des sensations nouvelles. J’avais le dessus pour une fois et il me laissait dicter la cadence. Ses mains caressaient mes fesses lorsqu’elles ne les écartaient pas pour faciliter le passage de son imposant membre en moi. Mes doigts parcouraient son torse bombé. Après quelques minutes de chevauchement, mes râles s’intensifiaient et je sentais la sève monter inexorablement. Un nouveau flot de jus s’échappa de mes couilles et aspergea le ventre de mon quinqua. Je me penchai alors sur lui pour me reposer tandis qu’il continuait son limage. J’étais éreinté et n’en pouvais plus de sentir en moi son sexe qui me ramonait et c’est alors qu’il se retira de moi. Ses bras m’incitèrent à me mettre sur le dos. Servile et épuisé, j’obéissais. Il vint se mettre à genou au niveau de ma tête, les jambes bien écartées au niveau de ma bouche pour que celle-ci accueille ses lourdes burnes remplies. La main sur le vier, il astiquait vivement son manche alors que ma langue lui lustrait le dessous de la hampe et ses deux belles boules pendantes. Dans un rugissement quasi plaintif, il me balança sur le torse et le ventre son précieux nectar. De longs jets pour une très longue baise d’été. Son membre était encore raide, rouge et luisant. Les draps étaient humides de transpiration, je sentais les battements de mon cœur raisonner sur mon périnée. Quel homme j’avais en face de moi… J’avais vraiment choisi le bon pour m’apprendre le sexe entre mecs. Il me proposa une douche, puis nous fîmes un long tour à la plage. Entre longues conversations sur la vie, le sport, les femmes, il me proposa en fin d’après-midi de passer la soirée chez lui, proposition que j’acceptais instantanément. Il prépara l’apéro, fit à manger léger pour le soir, puis me prit une nouvelle fois dans son lit. Le lendemain matin, j’eu droit à une nouvelle leçon dans sa douche italienne. Je repartis chez moi exténué, le cul rouge et des souvenirs plein la tête, alors que lui semblait encore chaud comme la braise.