La Fin D'Une Amitié

1.
Vendredi, fin de matinée. Je suis devant chez toi, comme convenu. Je viens de sonner. J’attends que tu ouvres avec une boule au ventre. C’est quoi cette histoire ? On se connait depuis un petit moment maintenant et jamais j’avais pensé que je serais là devant ta porte pour ça… Nos mariages se sont effondrés, on a passé une soirée virtuelle à se branler. Mais t’avais un peu bu et c’était un peu étrange de t’entendre me demander comment je baisais les filles, alors que ce que tu voulais vraiment c’est que je te dise comme je te baiserais…
Tu m’as demandé de venir tout de suite, ce soir-là. Et putain j’en ai eu envie, si tu savais ! Mais je ne l’ai pas fait et on a remis ça à plus tard. A aujourd’hui…
Alors je suis là devant ta porte et j’attends que tu ouvres. J’ai déjà envie de toi. Je bande déjà un peu. Pas totalement, mais ma queue n’est plus molle. J’imagine qu’elle est dans ta bouche et que tu me suces, avant de l’enfoncer dans ta chatte trempée…
Tu ouvres !
Comme je le supposais, tu as un sourire un peu gêné et tu me regardes comme pour me dire « qu’est-ce qu’il se passe ». Je ne sais pas si on s’embrasse… Tu portes un jean serré et un chemisier à travers lequel j’ai plongé les yeux dès que tu m’as ouvert. On y voit la naissance de tes seins, qui ont l’air de vouloir exploser. J’ai envie de les prendre à pleines mains, à pleine bouche et de les lécher, les sucer, les embrasser. Je me retiens, j’ai peur que tu refuses et me repousses. Tu te retournes en m’invitant à rentrer. Tu marches devant moi. Je te regarde, je baisse les yeux sur ton jean qui met en valeur ton cul (je le vois tout de suite et ma queue durcit un peu plus). J’ai envie de te mettre la main dessus et de le caresser, de glisser peut-être mon doigt doucement entre tes fesses pour sentir ton sexe gonflé à travers le tissu. Je pense encore à ma queue dans ta bouche et j’ai du mal à retenir l’envie de te prendre dans mes bras pour te retourner et t’embrasser à pleine bouche, cherchant ta langue avec la mienne comme si c’était un sexe.

Je te suis.
Tu vas dans le salon et on s’assoit sur ton canapé. On n’a pas dit un mot, on se regarde. Et puis j’entends « j’ai envie de toi » … Je pense que c’est moi qui ai parlé, n’en suis pas sûr. Mais à ta tête je comprends que ce n’est pas toi qui l’as dit ! Tu as l’air surprise mais tu souris, comme soulagée que je n’ai pas demandé des nouvelles des s ou de ton boulot ! Alors je me rapproche de toi. Je pose la main sur ta jambe, pliée sur le canapé. Je remonte sur ta cuisse, dont j’aime la fermeté. Tu m’as dit que tu t’étais mise au sport, je vois que tu es musclée et tu sais que j’aime ça. Tu passes ta langue sur ta bouche, comme pour la préparer à ce qui va venir. Je n’y tiens plus ! Je te prends par les hanches et t’attire vers moi. Je t’accompagne pour que tu te retrouves face à moi, assise sur mes jambes, ton buste contre le mien. Tes seins contre ma poitrine. Et je prends ta bouche avec la mienne… Je t’embrasse avec gourmandise, prenant tes lèvres entre les miennes. Elles sont humides, déjà, comme un sexe. Nos langues jouent comme des doigts sur ton sexe. Je suis très excité, je sens ma queue qui gonfle et tu dois la sentir aussi, puisque tu es assise dessus. Mais elle attendra…
J’ai glissé un main sous ton chemisier. Elle passe entre ton soutien-gorge et ta peau pour arriver précisément sur ton téton. Il est dur déjà, lui aussi. Je le pince légèrement et ta bouche sourie, entre deux baisers. Le petit son qui s’échappe de ta bouche m’encourage à continuer. Je serre ta taille avec ma main, qui passe derrière ton dos et t’attire à moi. Je pousse mon sexe entre tes jambes, pour que tu sentes sa dureté à travers nos jeans. Tu me réponds en bougeant le bassin. Plus de doutes, on en a envie aussi fort l’un que l’autre !
J’abandonne ton sein à regret pour te prendre par la taille. Je passe une main dans ton dos, descend pour passer sous ton jean en sentir ta peau, tes fesses. Je caresse de cette main curieuse ta peau délicieuse… Je t’attire un peu plus vers moi, nous nous embrassons toujours et ma queue a durci tellement que je me demande comment elle peut rester enfermée dans mon jean.

Tu te détaches légèrement et d’une main agile, commence à déboutonner mon pantalon. Tu as dû sentir toi aussi la pression de ma verge. Tu vas la chercher de ta main et la sors avec douceur mais fermement. Elle se présente alors à toi, épaisse et courte, le gland dressé vers ton ventre. Tu poses alors tes mains sur mes cuisses et glisse en arrière. Tu t’accroupis par terre devant moi et regarde mon sexe avec une sorte de gourmandise. Je sais ce que tu vas faire et j’en frémis déjà. Tu te rapproches et donne un coup de langue sur mon gland. Comme pour le saluer… Mais c’est quand tu la glisses dans ta bouche offerte que j’ai un gémissement de plaisir. Ta bouche me semble brûlante, j’ai l’impression que tu me baises ! Tu prends mon pantalon et le fais glisser juste assez pour dégager mon sexe en entier. Toujours en gardant le gland dans ta bouche, tu commences à me branler. Doucement, et en laissant couler la salive sur mon membre pour qu’il soit trempé et glissant… Ta main commence à caresser mes couilles, trempées elles aussi par le liquide brulant. J’ai envie de te prendre. Par la chatte ou le cul, je m’en fous. J’ai envie de te baiser, c’est tout, je suis très excité. Mais je me contiens et te laisse continuer à me branler en me suçant. Tu le fais avec délice, comme si tu mangeais une glace l’été, sous un soleil accablant. Ça t’a tellement manqué ! Tu en as rêvé si souvent depuis quelques mois, même si tu as rebaisé une fois. Ce n’était pas assez, alors tu en profites comme si c’était la dernière fois ! Ma queue, elle, a continué à gonfler dans ta bouche. Tu la branles et caresse mes couilles. C’est délicieux et je m’abandonne totalement, ne m’occupant plus de toi. Je te laisse me gâter.
Le rythme de ta main s’accélère et je commence à sentir que le plaisir monte jusque mon gland. C’est trop tôt pour jouir, je viens à peine de t’offrir mon sexe. Mais je n’ai pas reçu une tel hommage depuis des mois et le plaisir est trop grand. Alors que tu me pompes merveilleusement, je ne peux plus me retenir et lâche ma semence dans ta bouche délicieuse, pensant sans doute que je suis entre tes cuisses et que tu jouis avec moi.
Il n’en est rien mais tu ne sembles ni surprise ni fâchée. Au contraire, tu me demandes si c’était bon. Je te souris et m’excuse de ne pas avoir pu me retenir. « C’était l’objectif ! » me réponds-tu. « Maintenant tu vas pouvoir t’occuper de moi… ».
Oui, j’en meurs d’envie !

2.
Tu te relèves alors que je me redresse devant toi. Je dégrafe à mon tour ton jean et le baisse jusqu’au bas de tes cuisses, qui s’écartent légèrement. Ta culotte est si fine que je devine tes poils sur ton sexe. Je pose un doigt entre tes cuisses et sens tout de suite que ta chatte est humide. A travers le fin tissus je commence à appuyer tout en faisant des petits cercles. Je te caresse doucement en cherchant la fente où plus tard je vais plonger ma queue regonflée de désir. Mais pour le moment je passe le doigt derrière le tissu et vais sentir la peau humide de ta vulve. Je la caresse avec mon doigt, qui explore juste les bords de ce petit trou gluant. Je titille ton bouton, qui se dresse devant moi et semble m’appeler. Je fais alors glisser ta culotte avec les mains, en en profitant pour caressez la peau de tes cuisses écartées devant moi. J’approche ma bouche d’entre tes jambes et dépose un baiser sur ton sexe. Je l’embrasse d’abord avec les lèvres, puis glisse des coups de langue dans cette fente humide. Son odeur m’envahit, à la fois douce et âcre. Je pense à ta bouche tout à l’heure, qui m’avait fait penser à cette chatte. C’est maintenant ta chatte qui me fait penser à ta bouche. Je travaille avec ma langue comme si je t’embrassais les lèvres. J’avale ton jus avec bonheur. Je sens que ma queue, qui a craché son foutre dans ta bouche il y a peu, apprécie tout cela. Je la sens vouloir redevenir plus grosse, car cela l’excite de me voir goûter à ce trou.
Je remonte vers ce nouveau trésor et glisse un doigt dans la fente. Il s’enfonce sans peine et du liquide s’écoule même le long de ma main. Tu es déjà trempée et dans ma tête apparaît une queue énorme qui te pénètre là, debout devant moi ! Une grosse bite qui te prend par surprise et te baise jusqu’aux couilles ! Ce sont pourtant mes doigts qui te font gémir à ce moment-là.
La baise attendra ! Je te caresse maintenant avec deux doigts, tellement ta fente est large. Ils vont et viennent en toi et j’essaie de les amener vers cet endroit magique où tu devrais te perdre… Tu as du mal à tenir debout et je sens tes jambes fléchir. Tu te tortilles sous mes caresses, la main dans la bouche et les yeux perdus au loin. Je t’amène alors doucement sur les coussins, où je te couche sur le dos. Je passe la tête entre tes jambes, toujours prisonnières de ton pantalon serré… Je te lèche alors avec la même gourmandise que tu avais lorsque tu suçais ma queue. Ma salive se mélange à ton jus et coule entre tes fesses. J’y glisse une main et caresse d’un doigt ton petit trou. Je n’y rentre pas encore, attendant que tu me le demandes… Ma langue continue à explorer ta chatte et ton clitoris s’est gonflé sous les coups de ma langue et de mes doigts. J’entends que ta respiration s’est accélérée, cela m’encourage à continuer. Je te caresse et te lèche, la chatte et le cul. Dans ce dernier j’ai enfin glissé le bout de mon doigt et tu as poussé pour qu’il y en ait plus. Je suis désormais à la moitié du chemin, la moitié dans ton trou, l’autre qui attend que tu m’y invites ! Mais je ne veux pas aller plus loin, ni que tu jouisses trop vite, comme je l’ai moi-même fait. Alors je te caresse avec douceur mais en appuyant sur ton bouton, en m’enfonçant doucement dans ton sexe trempé. Ma langue te lape puis va s’enfoncer contre mes doigts.
Je me décide à libérer tes jambes et fais glisser ton jean sur tes chevilles, puis l’enlève. J’écarte tes jambes, les mains posées à l’intérieur de tes cuisses, fermes et dures, les muscles tendus. Je te lèche avec plus de vigueur et tu commences à sentir ton plaisir monter. Ton bassin oscille tu as posé tes mains sur ma tête pour me guider dans ma tâche, ce qui la rend encore plus agréable. C’est bien moi qui te lèche mais nous sommes bien ensemble. J’ai envie que tu te caresses pendant que je suis en toi avec ma bouche, avec ma langue, avec mes lèvres. Je prends ta main el la guide sur ton sexe. Tu as compris. Tu commences à faire des cercles sur ton bouton qui bande et puis très vite ton doigt descend pour fouiller entre tes lèvres. Je les embrasse et retire ma langue pour te laisser faire.
Je me redresse et décide de remettre mon sexe dans ta bouche. Il n’a pas encore retrouvé sa vigueur mais l’idée qu’il grossisse en toi m’excite. Tu continues à te caresser et prend ma verge que je tiens dans la main. Du liquide s’en échappe encore, reste de l’éjaculation prématurée il y a peu. Je me branle en même temps que tes lèvres le sucent. Je sais ce que tu aimes, alors je te propose mes couilles. Ta langue les récompense et je me surprends à aimer ça. Je regarde ta main sur ton sexe et profite du spectacle. J’ai surtout envie de caresser tes seins. Je dégage donc ta poitrine et commence à passer ma main. Celui que je tien est ferme, pas trop gros, la taille parfaite. Je m’imagine en train de jouir dessus… Merde ! Il faut se calmer, sinon je vais encore éjaculer avant même de t’avoir pénétrée ! J’ai remis ma queue dans ta bouche et cela fait son effet. La queue timide a repris de la vigueur et redeviens dure. « C’est bon ? » Cette fois-ci c’est toi qui poses la question. « Oui, c’est délicieux, continue… ». Je recommence à bander, et avec ça l’envie d’être en toi commence à monter. Je me retire donc de ta bouche et me couche le long de ton corps, soulevant ta jambe pour la passer contre ma hanche.
Je t’embrasse. Nos langues se mélangent, nos lèvres son gourmandes. Mais tu as dû comprendre mon manège, car tu tournes tes fesses un peu plus vers mon ventre et je sens ta main qui prend ma queue. Tu me branles un peu, comme pour en tester la nervure, la dureté, puis me dirige doucement vers l’endroit où il y a peu ma langue puis tes doigts s’agitaient. Je suis à l’entrée de ta chatte. Je sens sur mon gland son humidité poisseuse et délicieuse. Je m’enfonce doucement, juste à l’entrée. Cela rentre facilement. Tu es trempée et tes cuisses écartées m’invitent à poursuivre ma route. Je m’enfonce donc un peu plus et t’entend murmurer « baise-moi », doucement mais fermement, comme l’ordre d’une maîtresse impatiente ! Alors je m’enfonce un peu plus, sachant que ma queue va durcir encore dans ton con humide et doux. Je bouge entre tes cuisses, ondulant avec toi qui m’accompagne. Ton cul commence à claquer sur mon ventre et ce bruit m’excite, m’engage à accélérer et à vraiment te baiser. Je m’agrippe au sofa et accélère le rythme. Tu n’as pas envie de douceur maintenant, tu veux juste que je te prenne et jouir. Ma main est sur ta hanche et c’est à toi que je m’agrippe désormais. La position ne convient pas. Je te redresse alors et te mets à genoux sur le canapé. Je me cale derrière toi, tout cela sans que mon sexe ne soit sorti de toi, et te prends alors par les hanches. Je te baise sans vraiment aller vite, mais le rythme est régulier et surtout je vais jusqu’au fond de toi, mon ventre claque contre ton cul et je ne m’arrête pas. Je laisse couler un filet de bave de ma bouche jusqu’entre tes fesses. Je te mouille pour recevoir mon doigt. Je ne vais pas t’enculer, c’est notre première fois. Mais je vais aller avec un doigt accen ton plaisir. Mon pouce te caresse puis rentre doucement, alors que sous lui ma queue s’enfonce dans ta chatte plus qu’humide. Mon autre mains passe sur ton ventre puis remonte prendre un sein. Je te caresse puis m’amuse d’un téton. Dressé, celui-ci semble aimer cette caresse… Je m’y attarde donc, pendant que de mon doigt et ma verge je te comble plus bas. Je sens les caresses sur ta chatte par tes doigts agiles. Il ne manque qu’une queue que tu pourrais sucer pour que ton plaisir soit complet. Cela viendra sans doute, mais tu le sais c’est notre première fois et tout n’est pas possible… Je repose mes mains sur tes hanches et te ramène à moi, en rythme, pour t’empaler sur mon chibre. J’accélère. Tu suis mon rythme de tes fesses mais aussi te ta main. Le plaisir monte en toi et ton ventre brûle maintenant. J’accélère encore et des petits cris commencent à sortir de ta bouche. « Oui…oui… ne t’arrête pas, ne t’arrête pas… » sont des encouragements à ce que je continue et ma queue revenue à sa taille voulue te baise désormais comme tu veux. Ta main sur ta chatte accélère et tu finis par exploser en un orgasme qui t’emporte comme une vague ! Tu ondules avec frénésie, ton dos se redresse puis se creuse, tes fesses viennent claquer contre mon ventre avant de s’éloigner. Puis tu t’effondres sous moi, heureuse et transies, prête à recommencer…

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