La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 662)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°661) - Monsieur le Marquis prend possession de soumise Estelle -
soumis Endymion MDE venait de comprendre limportance quavait Madame Anna pour le Maître, mais aussi de leurs émotions respectives de se retrouver. Pendant très longtemps encore, ils discutèrent et se rappelèrent de nombreux souvenirs de leur passé commun concernant toute lenfance du Maître, avec des magnifiques anecdotes dun à la fois heureux et espiègle. Une des plus insolites que retenue le soumis MDE était celle où le Maitre âgé de 12 ans et alors quil était de cur à léglise du village avait, avec ses copains et après le catéchisme, déboulonné et emporté la statue de Saint-Joseph qui trônait contre un pilier de lallée centrale. Scandale des bigotes du village ! Hélas, il ne pouvait pas remettre en place la statue puisque par bêtise de gaminerie, il avait jeté la dite statue dans la boutasse (mare profonde) de la cure. Son père, le Marquis de lépoque étant un mécène fort généreux avait financé et donc fait remplacer la statue. Et on nentendit plus jamais parler de la statue disparue et donc immergée. Mais deux ans plus tard, lors dune canicule sécheresse, la boutasse se trouva à sec et une bigote qui soccupait du jardin de la cure, vit un beau matin apparaitre un bras levé (celui de la statue) qui dépassait de la vase. Madame Anna présente ce jour-là dans le jardin de la cure vit la bigote sagenouiller et entendit celle-ci, les mains jointes dire tout haut en priant : « Miracle, Saint-Joseph est réapparu !
Lesclave MDE était touché de la confiance que lui accordait Monsieur le Marquis, il assistait à ces conversations intimes et insolites, certes en se faisant discret, couché sur le sol, nu aux pieds du Noble. De temps à autre Madame Anna, demandait au soumis MDE de venir près delle, près de son chariot, de se tenir à quatre pattes. Alors elle le caressait longuement, comme elle aurait caressé un animal, parfois encore, elle lui tendait du bout des doigts, un biscuit sec.
- Fais le beau, tire bien ta petite langue de toutou et viens chercher ce gâteau.
Malgré son âge, Madame Anna était joueuse et navait rien perdu de sa douce vivacité perverse
. Ses mains régulièrement se perdaient entre les fesses du chien soumis, lui titillant ses couilles, jouant avec sa nouille, lui se laissait caresser en soffrant généreusement... Mais déjà le temps était venu de partir, de quitter cette brave femme. Monsieur le Marquis lembrassa tendrement une dernière fois, en la serrant fort longuement dans ses bras. Anna pleurait, de grosses larmes roulaient sur ses joues. Elle était triste de voir partir son Edouard quelle avait tant chéri, elle qui navait jamais pu avoir ds. Le reverrait-elle un jour ?
- Porte-toi bien, mon Edouard, Fais attention à toi, prends soin de toi et continue de bien dresser ce petit cabot
!
Ce furent ses derniers mots, Monsieur le Marquis dEvans triste, et son soumis MDE la quittèrent et regagnèrent le petit port dun bon pas. Tout en marchant, le Maître dit à Son soumis quAnna avait été une douce et merveilleuse nounou. Elle avait été pour lui comme une seconde mère. Il dit encore à Son esclave que lorsquAnna avait demandé sa retraite, à feu Monsieur le Marquis, Père du Maître, celui-ci avait acheté pour elle, cette belle propriété sur cette ile Moustique quelle aimait tant
Et depuis, elle vivait ici, entourée de tout un personnel, au petit soin pour elle et tout était et encore financé par le Noble.
- Tu tes bien comporté mon chien avec cette vieille Dame, je te félicite
Tu as constaté la vivacité desprit de cette femme alors quelle a plus de quatre-vingt-dix ans ? Elle a été, avec les esclaves de mon père, toute aussi perverse que Madame Marie !
Endymion MDE avait aussi et surtout remarqué sa douce perversité, bien présente encore malgré son âge
Jamais, lui, lesclave MDE ne sétait fait tripoté par une vieille femme.
- Je crois quil nous attend depuis un bon moment, crois-tu quil osera me faire un reproche ? demandait Monsieur le Marquis dun ton désinvolte, à son soumis.
LorsquEtienne vit le Maître, le skipper se détendit subitement, il devint immédiatement aimable et respectueux.
- Avez-vous passé une bonne journée ? Monsieur le Marquis.
- Excellente et émouvante ! lui répondit-il sèchement, sans plus de commentaire
Tous les trois regagnèrent le Croix-Rousse. Marie la cuisinière se chargea de laccueil à bord de Monsieur le Marquis puis de Son chien soumis. Très vite, comme si les minutes étaient comptées, elle le dévêtit, lui posa un collier autour du cou et lemmenait à quatre pattes, tiré en laisse dans le salon où Madame Gabriella et Monsieur Henri soccupaient de leur soumise. Estelle était posée à plat dos sur le sol, attachée, jambes tenues pliées et très écartées, bras liés dans le dos, sa chatte très exposée. Le sexe dEstelle était rouge pourpre comme sil avait été durement frappé. Au contact de la langue de lesclave MDE, Estelle se cabra en geignant, comme si ce simple contact la faisait terriblement souffrir pourtant Endymion MDE avait été doux et pleins dattention.
- Elle a la chatte en feu cette petite chienne, nous lavons baisé tout laprès-midi, elle a pris des queues et des godes de toutes tailles dans tous ses trous de salope ! Expliqua Monsieur Henri.
Endymion MDE avec attention, poursuivit délicatement son cunnilingus, alors que Monsieur le Marquis se pressait de quitter pantalon et sous-vêtements.
- Elle a pris des queues tout laprès-midi, me dis-tu mon cher Henri, sauf la mienne ! Cest étrange, cette terrible envie subite de la fourrer à mon tour ! Repris Monsieur le Marquis
.
Le Noble attrapa Son soumis par son collier, le tirant vers son sexe déjà bien raide.
- Lubrifie ma Noble queue, chien !
Lesclave MDE sempressa de donner satisfaction aux exigences du Maître, sa bouche maintenant experte, toute entière gobait ce membre déjà bien en forme, En quelques secondes seulement, elle le fit se tendre, et lamena à son apogée. Monsieur le Marquis donnait encore quelques grands coups de piston dans la gorge de son soumis, puis subitement se retira, poussant Son esclave brutalement, le jetant littéralement comme il aurait jeté un vulgaire mouchoir en papier. Avec empressement, Il se mit à genoux devant celle offerte et lenfourna dun trait. La belle Estelle hurla tant de douleur que de plaisir évident. Pour ces plaintes et cris jouissifs, Madame Gabriella ordonna à Endymion MDE, de venir poser sa bouche contre celle dEstelle.
- Elle me saoule cette petite garce à gueuler ainsi, baise lui la bouche avec ta langue de pute, je ne veux plus lentendre ! lança Madame Gabriella.
Mais lopération fut plus compliquée que prévue, Estelle bougeait la tête en tous les sens comme si elle faisait tout ce quelle pouvait pour ne pas laisser éclater son orgasme, tant elle était dans un état dexcitation extrême, si bien que le Maître stoppa ses vas et viens et observa ce qui se passait : Endymion MDE dut lui tenir la tête entre ses mains pour enfin glisser sa langue et la dévorer. Les deux esclaves sembrassaient maintenant à pleine bouche en se roulant une pelle bien baveuse. Un baiser fougueux au départ, puis devenu langoureux ensuite, comme sil était le signe fondateur dune toute nouvelle romance. Un moment magique, une nouvelle intimité partagée devant ces pervers Dominants, une découverte de lautre, comme léclosion dun nouvel érotisme imposé, comme si les deux esclaves se laissaient envahir par le sentiment miraculeux dun amour naissant.
Monsieur le Marquis, qui avait donc repris ses vas et viens cadencés, prenait son temps. En appui sur ses bras tendus, les jambes jointes, ses orteils arrimés au sol, Il embrochait la petite femelle, agaçait et tourmentait sa chatte, la pénétrant violemment, se retirant lentement. Un coït empreint dune volonté dominante sans faille, dun contrôle total, dune possession sans limite, il voulait que cette chienne renonce et accepte coute que coute, Sa volonté de faire delle, une chienne, une petite pute de chienne ! Et au moment même où il la sentit défaillir, ses coups de reins décuplèrent, jusquà ce quil jouisse en elle, longuement, abondamment et copieusement
La soirée fut calme à bord du Croix-Rousse, les Dominants comme les deux esclaves étaient éreintés par tant de jouissances. Dès le dîner terminé, unanimement ils décidèrent de passer rapidement au lit. Madame la cuisinière encagea le sexe du soumis mâle MDE, puis elle confia Endymion MDE aux deux skippers :
- Il faut le laisser tranquille cette nuit, il a besoin de se reposer ! Demain matin, dès le jour levé, lun de vous deux ira linstaller sur le pont supérieur, lattachera debout, membres en croix
Les deux skippers prirent bonne note des ordres reçus, Ils attrapèrent Endymion MDE par un bras lentrainant dans le poste de pilotage. Sous lune des deux couchettes, ils le firent allonger sur un petit matelas, lattachèrent dun pied à une lourde chaine, lui déposèrent une simple mais rêche couverture sur le dos et lui souhaitèrent de beaux et vicieux rêves...
(A suivre
)
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