La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 661)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°660) - Pris en double dans le Hammam -
Sitôt après avoir été nettoyé à grandes eaux par un jet puissant, Endymion MDE fut conduit, peu après, dans un immense hammam. La chaleur humide et lobscurité des lieux le déroutèrent un peu. Il explora à tâtons lespace et trouva un petit banc carrelé, posé à dix centimètres du sol, sur lequel il sassit. Jambes repliées, coudes posés sur ses genoux, tête dans ses mains, il attendait sagement et tranquillement en appréciant cette douce et agréable moiteur. Peu à peu, ses yeux shabituaient à lobscurité, ainsi, il saperçut quil nétait pas seul ici. Deux ombres venaient de passer devant lui, tout près de lui. Il essaya décarquiller un peu plus les yeux, mais il ne parvenait pas à distinguer précisément ces silhouettes mélangées à la forte buée vaporeuse. Soudainement, face à lui, à hauteur de son visage, il vit le contour dun entre-jambe, une main ferme lui attrapait sa chevelure, lobligeant à se redresser un tant soit peu. La main bien agrippée à sa tignasse, le contraignait et le tirait en avant, mais le bras de celui le maitrisant, restait tendu, lui imposant alors une posture en quadrupédie. Il fut entrainé ainsi à quatre pattes, dans une autre partie du hammam, un recoin beaucoup plus sombre et peut-être un peu moins chaud. Celui qui lavait conduit et tiré assez brutalement jusquici, sétait assis sur un banc en pierre, avait écarté les jambes, ramené son bras près de son abdomen, et ainsi le visage du chien soumis MDE à se tenir entre ses cuisses et plus précisément poser sa bouche sur une belle paire de couilles glabre. Lesclave MDE comprit bien vite ce quil lui restait à faire.
Alors que sa langue entrait en action, au même moment il sentit deux mains se poser et saccrocher à ses hanches, elles le soulevèrent et lui firent comprendre quil devait se tenir jambes tendues, cul cambré et à bonne hauteur.
Bien vite le doigt pénétrant fut remplacé par une grosse queue et donc deux bites le pénétraient maintenant profondément, vigoureusement, elles le possédaient activement, lesclave MDE se laissait fourailler et se donnait généreusement, il savait que le Maître aimait le voir se comporter telle une chienne, une petite chienne, très salope, de plus en plus docile et toujours en chaleur. Combien cette rencontre avec Monsieur le Marquis dEvans lui avait été salutaire. Le Noble Maître lui avait permis de prendre conscience de ce quil était, sans honte, ni tabou, lui imposant de vivre ce quil était avec Lui, pour Lui, de vivre cette soumission dans la plénitude et de saccepter tel quil était !
Une des mains de son enculeur était passée sous son abdomen. Cherchait-elle à savoir si cet enculé, plié en deux, bandait ? Non seulement sa bite était raide, drue et dure mais elle mouillait abondamment. Un pouce cueillait ces intimes sécrétions et lubrifiait son gland en le massant sauvagement, puis cette main empoignait son chibre et le branlait dangereusement.
-
Onh n ! ooonnn ! Implorait-il la bouche pleine !
Mais de puissants jets de foutre faillirent l. Ce chibre logé dans sa bouche de pute avait envoyé sa sauce avec vigueur, inondant son palais et sa gorge ! Endymion MDE nen pouvait plus, il tentait de crier telle une bête sous la tempête, mais cette bite baveuse restait empalée en lui, alors quune autre lui pilonnait puissamment toujours le cul, électrisant sa prostate. Et puis il y avait cette main, de plus en plus rapide qui lui branlait frénétiquement sa nouille
Lesclave MDE nen pouvait plus, vraiment plus
Le dernier coup de reins lui fut fatal ! Au moment même, où il se faisait arroser copieusement le cul et ses entrailles, à son tour, il envoyait son foutre abondant et épais en de nombreux jets sur les pieds de celui assis.
Endymion MDE avait joui, abondamment joui
Son violent orgasme le désemparait, le désespérait
Cette jouissance, lui avait apporté autant de plaisirs que de désarrois
Il était maintenant recroquevillé en chien de fusil sur le sol humide et chaud, transpirant, haletant, des larmes roulaient sur ses joues. Un pied sapprocha de sa bouche, une main, lui attrapait sa chevelure.
- Lèche ton foutre chienne, nettoie tes souillures salope
Cette voix nétait autre que celle de cet homme qui lavait accueilli à son arrivée. Il était debout maintenant, se faisant lécher et nettoyer les pieds. Il se pencha près du soumis MDE, toujours en position ftale, dune main, il lui écarta le cul, un de ses doigts le pénétra, il le ressortit pleins de foutre et le lui donna à lécher. Il recommença à trois ou quatre reprises, puis juste avant dabandonner lesclave MDE, il larrosa et le marqua copieusement de son urine
Trois heures intenses étaient passées. Endymion MDE après sêtre une nouvelle fois lavé et rhabillé de sa chasuble, fut remmené près du Maître. Dès quil le vit, il se prosterna à ses pieds pour présenter ses plus humbles excuses.
- Maître, Oh Vénéré Maître, Votre chien na pas su se contenir, il a lourdement fauté, il a joui. Il vous prie daccepter ses plus humbles excuses et supplie de le sanctionner dune lourde punition quil mérite.
Le Maître regarda longuement son chien soumis prosterné. Il aimait le voir pitoyable, implorant Sa grâce, lui demandant pardon. Il aimait le sentir à Ses Nobles Pieds :
- Viens me baiser les pieds Mon chien, Viens te faire pardonner. Tu sais que mon pardon nexclus pas la sanction
Lhôte de cette fastueuse maison dialoguait maintenant, avec Monsieur le Marquis. Tous deux assis sur dimmenses sofas, lesclave MDE couché à leurs pieds, reparlaient de cette jouissance interdite.
- Tu sais mon Cher Edouard, moi aussi, je vais devoir punir mon soumis, celui qui a enculé le tien. Je lui avais ordonné de faire jouir Endymion MDE en moins de cinq minutes. Il a pris trois fois plus de temps pour y parvenir
Les deux Dominants avaient inventé un jeu quelque peu machiavélique, en obligeant un des esclaves à faire jouir lautre en un court instant et à lautre de contenir son éjaculation.
- As-tu passé un bon moment parmi nous Mon cher Edouard ? demandait lhôte.
Monsieur le Marquis répondit que ces trois heures lui avait semblé très courtes. Les massages et les soins prodigués par lensemble du personnel avaient été fabuleux. Il avait joui à plusieurs reprises entre leurs mains expertes. Il se sentait terriblement bien détendu, agréablement décontracté.
Une fois Endymion MDE changé et rhabillé en collégien, Monsieur le Marquis obligea Son soumis à remercier correctement son ami de longue date en posant ses lèvres sur ses souliers, puis à son tour par une poignée de mains chaleureuse, le congratulait et le remerciait chaleureusement pour son accueil et son savoir-faire. Le Maître et Son esclave MDE quittèrent alors ces lieux érotiques et pervers mais néanmoins magiques !
- Nous nallons pas de suite regagner le port, jai encore ici, une visite à faire ! Informait le Maître.
Monsieur le Marquis dEvans, dun pas soutenu, entrainait son chien soumis MDE dans ces rues verdoyantes. Où lemmenait-il encore ?
Au bout dun bon quart dheure de marche et arrivé devant une immense villa, il sonna à linterphone. Un grésillement se fit entendre près dun portillon. Le Maître le poussa et entrait dans la propriété luxuriante. Un homme, noir, en complet vint à leur rencontre.
- Oh, cest vous !
Ici ?
bonjour Monsieur le Marquis dEvans ! mais quel bon vent vous conduit ici ?
Lhomme sinclinait respectueusement devant le Noble en lui serrant la main.
- Je suis de passage ici, et je ne pouvais pas, ne pas venir voir ma chère Anna, comment va-t-elle ?
Lhomme répondit que Madame Anna vieillissait doucement mais sûrement, ces problèmes de cécité lennuyaient terriblement. Il dit aussi quelle devrait être très surprise de cette visite impromptue et pourtant tellement et ardemment espérée par elle.
- Elle va être très agréablement surprise, vous le savez Monsieur le Marquis ! Quest-ce quelle va être heureuse de vous revoir
Je cours vite lavertir
Madame Anna, Madame Anna, il y a de la visite pour vous !
Madame Anna était une très vieille femme, une femme noire, quasiment impotente, elle était dailleurs dans un chariot, installée à lombre des palmes dun cocotier. Lorsquelle entendit du bruit, elle chercha du regard ceux qui approchaient. En fronçant les yeux, elle aperçut celui qui à grandes enjambées venait près dElle. Monsieur le Marquis dEvans lembrassait chaleureusement, puis sagenouillait devant-elle en posant son visage sur ses jambes.
- Oh Anna, Anna
combien je suis content de te revoir !
Endymion MDE crut voir des larmes glisser sur les joues de Monsieur le Marquis, tant il était ému.
- Oh mon doudou, mon Edouard, tu es revenu, comme je suis contente de te sentir contre moi !
Cette femme pleurait en caressant le visage du Maître. Lémotion était telle quEndymion MDE, même sil ne comprenait rien de la situation, sentit des sanglots lui presser la poitrine. Il était resté debout tête basse, mains croisées dans le dos près dune balustrade enserrant la terrasse. Pendant un long moment, les deux protagonistes restèrent ainsi, sans discuter jusquau moment où Madame Anna proposa :
- Et si nous allions faire un tour dans la propriété, jai tant à te dire. Tiens Edouard, pousse donc ce satané chariot !
Ils partirent longuement, très longtemps
plus de deux heures sûrement, laissant Endymion MDE immobile, à lombre ! Lorsquils revinrent enfin, Monsieur le Marquis poussa le chariot jusque devant Son esclave.
- Voilà ma bonne Anna celui dont je tai parlé, mon nouvel esclave, entré au Château, il y a maintenant un an !
La vieille femme avait bien du mal à distinguer celui qui était devant elle.
- Est-il au moins séduisant ? interrogeait-elle.
Monsieur le Marquis répondit quil était devenu, au fil des mois, très obéissant et là était limportant.
- Tu as raison mon cher Edouard
Ces chiens doivent savoir se soumettre et obéir. Jaimerai tant voir à quoi il ressemble
Mais tu sais, mes yeux me font défaut
Je vois maintenant plus grand-chose, mes doigts sont mes yeux désormais
Monsieur le Marquis avait compris, il exigea que son chien soumis se mette à poil, là, instantanément, immédiatement. Une fois nu, il attrapa son chien soumis par un bras, lentrainant vers cette vieille femme. La Dame Anna fit glisser sa main droite sur lintérieur de la cuisse gauche dEndymion MDE, la remontant inexorablement vers son entrejambe. Lorsque le revers de sa main fut en contact avec les couilles de lesclave mâle, ses doigts sagrippèrent à ses burnes et les tâtèrent, les palpèrent, les soupesèrent. Telle une experte, cette vieille femme auscultait, examinait ces couilles avec attention. Elle sintéressa ensuite à la nouille du soumis, la caressa longuement, faisant rouler le prépuce pour découvrir le gland. Au contact de cette main, fut-ce celle dune vieille et impotente femme, lesclave MDE ne put retenir son excitation, sa queue se redressait
- Ce chien semble bien monté
Maintenant la main de la vieille femme glissait sous les couilles dEndymion MDE
- Allons petit, ne ta-t-on pas appris à écarter les cuisses !
Le mâle MDE sécarta et cambra son cul. Le majeur de Madame Anna glissait dans son sillon jusquau contact de son anus.
- Approche petit, laisse mon doigt te prendre le cul !
Bien que très cambré, Monsieur le Marquis écartait les lobes fessiers de son chien soumis pour faciliter laccès à son trou. Le doigt fripé par lâge glissait en lui à plusieurs reprises, Endymion MDE ne put contenir quelques gémissements !
- Humm, ton chien semble aimer se faire mettre, je suppose que son cul prend de bonnes queues, il est très tonique et souple à la fois. Tourne-toi petit, que je touche tes fesses
Et pendant que Madame Anna caressait les fesses de lesclave MDE, Monsieur le Marquis jouait avec ses tétons et les lui pinçant sévèrement. Endymion MDE serrait les lèvres pour ne point geindre. Sa queue était terriblement bandée, la vieille Anna, la lui caressa encore après avoir passé sa main entre les cuisses du chien mâle excité.
- Tu as fait un bon choix mon Edouard, écoute ta vieille nounou ! Cest elle qui te le dit
- Merci Anna, je suis content que mon chien soumis te plait
. Dis donc, je te redis comme je me souviens de tous les merveilleux souvenirs de mon enfance
Quand tu étais ma nourrice au Château, en France, ce que tu as été formidable avec moi. Tu mas appris tellement de choses
Et mon père qui tavait embauché, toi la perverse avec les esclaves de feu mon père et si doucereuse avec moi, ton Edouard que tu dorlotais dans mon berceau et durant toute ma scolarité à lécole du village
(A suivre
)
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