La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N°1483)

Camélia au Château - Devenue chienne Maera - (suite de l'épisode N°1479) -

- … Si tu désobéis tu seras sanctionnée, dit-il d'un ton autoritaire et calme, tout en me regardant de ses yeux bridés…

Je restais ainsi immobile et silencieuse, en me demandant ce qu'il voulait bien dire par le jeu du Mikado ? Jeu qui m'était encore méconnu jusqu'à maintenant à part celui que je jouai avec les petites baguettes de couleur. Je n'eus pas le temps de réfléchir bien longtemps car je sentis le contact de sa main baladeuse et charnue me caresser tout d'abord la croupe avec gourmandise. Puis il continua jusqu’à la raie de cul pour descendre à mon anus d'une main possessive et très dominante dans le geste clair d’une prise de possession assurée. Le chinois prit alors un lubrifiant qu'il étala sur mon trou du cul de salope en introduisant aussi un de ses gros doigts lubrifié et épais qu’il faisait aller et venir afin de me dilater le cul. Le contact était froid mais il se réchauffa très vite par ses va-et-vient d’un doigt fort inquisiteur. Ensuite, il lubrifia aussi différents objets dont je ne savais pas lesquels ils s’agissaient, comme j'étais positionnée le dos à lui. C'est alors que je sentis le contact de ce que je suppose être une première baguette au bout arrondi rentrant dans mon fondement anal et très en profondeur, jusqu'à ce qu'il n'y ait plus que quelques centimètres resté à l’extérieur de mon cul, à la sortie de mon anus. Le Dominant renouvela l'opération, une par une baguette à la fois, jusqu’à avoir maintenant une bonne douzaine de baguettes chinoises de Mikado dans mon cul dilaté… Mais pour le moment, il ne faisait pas manœuvrer l’ensemble qui restait juste bien planté dans mon fondement…

L’asiatique s'arrêta un long moment afin de savourer du regard connaisseur son insolite ‘bouquet’ où les baguettes au bout arrondi étaient comme des tiges et mon cul comme un pot de fleurs !... Puis il se saisit d'autres objets et se mit face à moi.

Je gardais la tête baissée, puis il se saisit de mes deux seins et il les joint entre eux avec deux baguettes et un large élastique les enserrant afin de bien les maintenir comprimés l’un à l’autre. Puis il ajusta sur chacun de mes deux tétons déjà très serrés, une baguette maintenue par un autre élastique plus petit… Une douleur subite envahit mes seins et tétons mais paradoxalement je ressentis aussi de l'excitation avec ma chatte qui s'humidifiait grandement, mon bas-ventre ne restant pas insensible à ce traitement... Le chinois se recula de nouveau un long moment comme pour observer attentivement le spectacle et son œuvre d'art. Ensuite il vint se placer derrière moi. Il me caressa encore le cul allant jusqu’à fouiller ma chatte, me branlant longtemps au passage mon clito érigé et mes lèvres intimes gorgées d’excitation. Il en profita aussi pour me doigter avec perversité et sans ménagement, faisant aller et venir son doigt épais à vive allure dans mon vagin trempé et réactif avec l’abondante cyprine qui en dégoulinait… Ma respiration devenait plus forte et rapide et je me retenais de ne pas jouir alors qu’il accélérait encore son doigtage comme un forcené…

Puis d’un coup, il retira son gros doigt et entreprit d’enfoncer, de nouveau, d’autres baguettes au fond de mon fondement… Et plus il y avait de baguettes dans mon rectum et plus mon trou s’élargissait de plus en plus de l'intérieur et de manière permanente par une dilatation exquise en sensations. Ainsi, je me sentais alors très ouverte, remplie, pleine et complètement distendue de l'intérieur... Il continua alors jusqu'à ce qu'il y en ait une vingtaine de baguettes. L’asiatique Dominant s'arrêta un moment dans ses mouvements, m’observa encore longuement et je me sentais vraiment n’être plus qu’une chose, un jouet exhibé et ça m’excitait, je dois bien l’avouer… Ensuite, il se saisit d’une autre baguette qu'il fixa à mon clitoris avec un élastique. Et enfin, il vint placer un métallique écarteur vaginal et circulaire dans mon sexe servant de support ensuite à la fixation de deux autres baguettes, soit une à chaque lèvre intimes.
J'eus toutes les peines à retenir un cri de douleur car mon clitoris dressé et serré par un élastique était douloureux mais aussi générait des spasmes excitants de plaisir remontant sur tout mon échine. Mais je réussis à ne pas crier et je pris une grande inspiration tout en restant toujours aussi silencieuse et immobile. Le chinois me regarda encore un long moment puis se déplaça sur chaque côté pour me voir sous les coutures… Quand me dit d'un air pervers vicieux et sadique :

- chienne Maera MDE, tu garderas les mikados dans ton cul de catin pendant une bonne trentaine de minutes, voire une heure selon ma volonté… Comme ça ton cul de pute continuera à bien se dilater. Et tu garderas aussi les baguettes à tes mamelles de chienne… Sauf sur ta chatte de salope car je vais maintenant prendre possession de celle-ci… Et dans la nuit, je la reprendrai très certainement dans différentes positions du Kamasutra... Tu as bien sûr l'interdiction formelle de jouir ainsi que d'émettre le moindre son et même de bouger, sans quoi tu seras sévèrement sanctionnée... Il est inutile de préciser que j'attends d'une chienne MDE un comportement irréprochable étant donné le grand Maître de Renom auquel tu appartiens …

Le chinois enleva alors sans ménagement écarteur, baguettes et élastiques de mon sexe, donc à mon vagin et clitoris. La circulation revenant d'un coup subit, je sentis une vive douleur qui s'empara de mon être puis s'estompa alors au fil des minutes qui passaient. Ensuite, il se mit alors derrière moi, sa grosse queue déjà sortit de son pantalon. Elle était déjà bien dressée, il était visiblement très excité alors il m'enfonça d'un coup, et sans concession sa grosse verge violacé dans ma chatte toujours aussi trempée… L’asiatique me pilonna pendant quelques minutes, prenant possession de mon corps par cette saillie vaginale d’une rare intensité, accélérant les va-et-vient comme un forcené à toute allure, il me pilonnait, me besognait comme s’il faisait la course, dans une rapidité et une force inouïe, à grands coups de reins si rapides que sa queue allait et venait en moi à mille à l’heure ! Je sentais sa bite grossir encore dans ma chatte de salope quand à cause de cette folle allure, il ne tint pas longtemps et il jouit très rapidement dans des gémissements et râles de jouissance en une éjaculation fortement sonore.
Cette première copulation fut donc intense mais très rapide…

Je sentis alors son sperme couler à chaudes gouttes dans mon vagin. Il se retira et m’imposa de lui nettoyer, avec ma langue, sa verge mollissant et souillée de sperme mélangé de ma cyprine… Pendant que je le léchais avec avidité et application, il se reprit quelques minutes, histoire de récupérer son souffle tel un sprinteur du 100 mètres après une course folle. Son sexe nettoyé, il se retourna et se pencha en avant, dos à moi, afin de me présenter son cul face à mes lèvres en écartant ses fesses de ses grosses mains. Alors, il exigea que je lui lèche son anus. Je m’appliquai à la tâche, passant et enfonçant légèrement le bout de ma langue sur son anus et ses parois avec gourmandise… Cela dura une bonne dizaine de minutes et il devait y trouver un grand plaisir car il recommençait à bander de mon doux et savoureux travail de langue. Plus je m’occupais de son cul, et plus il se branlait en même temps jusqu’à obtenir une nouvelle érection… Ensuite, il me coucha sur le dos et me releva les jambes alors que j’avais toujours les seins et le cul occupés par les baguettes…

Le chinois présenta ensuite son visage contre mon clitoris dans une parfaite position de 69. Je me mettais alors à lécher de nouveau son cul de manière langoureuse et habile alors qu'il me prodiguait cette fois un cunnilingus des plus agréables. Cet ébat dura également une bonne dizaine de minutes. Alors, il s'arrêta tout à coup, se releva puis me présenta sa grosse bite dressée devant mes lèvres pour que je lui fasse une fellation. Je m'appliquais alors à le pomper goulûment alternant les va-et-vient et les bruits de succions, allant avec cadence de bas en haut puis de haut en bas, afin d’agir comme s’il me pénétrait la chatte dans le rythme des allers et venues, avec ma bouche chaude et humide comme un vagin trempé. Et je n'oubliais pas la moindre parcelle de sa hampe, ni de son gland violacé de sa verge qui gonflait et se durcissait encore plus, jusqu’à que l’asiatique jouissait par la suite dans ma bouche par un grand flot de sperme.
J'avalais tout d'une traite ne laissant bien sûr pas couler la moindre goutte. Il se retira ensuite de ma bouche et je nettoyais de nouveau avec ma bouche de salope les dernières traces de sa chaude semence. De nouveau, il m’accorda quelques minutes de répit …

Ensuite il décida de faire manœuvrer les baguettes dans mon cul, les empoignant toutes ensemble dans la paume de sa main fermée et il leur fit faire, doucement, un premier va-et-vient puis continua à les faire coulisser dans mon cul, doucement toujours, en leur faisant faire un mouvement rotatif, circulaire, le faisant coulisser contre mes parois anales, avant d’amplifier ses allers et venues des baguettes aux bouts arrondis… Je ressentais un vrai plaisir anal, mais différent d’une sodomie, à vrai dire, c’était autre chose comme sensations. C’était à la fois très agréable et un peu douloureux, un mélange de petits spasmes, de frissons délicieux et excitant et d’une douleur supportable… Cela dura encore un long moment jusqu’à que l’asiatique décide de retirer alors les élastiques et baguettes attachées à mes seins et tétons. Pour ensuite, enlever une par une et sans trop de délicatesse, les baguettes que j'avais dans mon fondement devenu bien dilaté, élargi. A chaque baguette enlevée, j’avais droit à une fessée sur chaque fesse et dont l’intensité montait crescendo et donc à la vingtième et dernière baguette retirée, mon cul était très chauffé et rougi par cette dernière claque cinglante sur les deux fesses… Une fois ceci fini, le chinois se coucha sur le lit sans un mot et me fit signe de me coucher sur le tapis. Je m'endormis rapidement fatiguée de toutes ses épreuves et contente de pouvoir trouver un peu de sommeil...

Mais pendant cette nuit, il vint me réveiller trois fois pour me prendre dans diverses positions du Kamasutra tout en m’interdisant de jouir ca j’étais juste sa chose, son jouet prêté pour la nuit, une simple marionnette à être utilisée uniquement pour son unique plaisir. Mon seul plaisir autorisé, me dit-il, était la découverte de ces nouvelles positions sexuelles du Kamasutra ainsi que celui d’honorer le Maître qui me soumet… Après avoir été prise une dernière fois dans ces conditions, je terminai ma nuit avec en réalité très peu de sommeil acquis… Dès le lendemain matin, il se réveilla quelques secondes après moi, puis se leva et claqua des doigts pour me faire signe de le suivre se saisit de ma laisse et de mon collier. Il tira dessus pour m'imposer le rythme qu'il voulait que je prenne, puis se dirigea vers la salle de bain. Et exigea que je l’aide à se préparer en lui faisant sa toilette. Ensuite nous nous dirigeâmes à la salle des Invités… Après quelques minutes de progression dans les couloirs et les escaliers du Château, nous arrivâmes dans cette vaste pièce où le petit déjeuner était déjà servi et nous attendais. Le Maître des Lieux était là, déjà attablé, en train d'échanger avec d’autres invités. L'hôte chinois s'installa pour prendre son petit-déjeuner et j'en profitais pour manger en silence dans ma gamelle qui était déjà posée au sol et qui n’attendait que ma présence. Le Maître Vénéré s'adressa au chinois avec un ton cordial :

- Vous avez passé une bonne nuit, très cher ? J’aimerai entendre que ma chienne Maera MDE vous a satisfait ? Vous avez l'air préoccupé ! Alors si je peux vous apporter mon aide, ça sera avec plaisir, cher ami…
- J'ai passé une très bonne nuit avec Votre chienne Maera MDE, elle a été très obéissante, docile et soumise parfaitement dressée en tout point... Ah, si toutes les soumises pouvaient être comme les Vôtres ! … Mon inquiétude est, en réalité, parce que j’’ai quelques soucis avec mes soumises qui ne sont pas si obéissantes et je rencontre bien souvent des difficultés avec celles-ci, difficultés qui sont de manière assez récurrente. Et qui de mieux que Vous Monsieur le Marquis d'Evans, la référence dans le Monde de la Domination/Soumission pour avoir de précieux conseils ou bien une quelconque aide, dit l'hôte chinois

Le Maître des Lieux sourit, restant silencieux en réfléchissant, heureux de ce qu'il venait d'entendre… Puis il prit la parole :

- Très cher, ça sera toujours pour moi un immense bonheur de pouvoir aider un Dominant sollicitant Mon expérience... Je vous propose que l'on continue cette conversation dans mon bureau pour être plus à l'aise ou bien vous pourriez m'expliquer, plus en détails, les difficultés que vous rencontrez. Mais avant tout, je vous encourage à signer les contrats, qui restent pour rappel le but de votre visite ici, à signer donc avec mon offre tarifaire relative à nos affaires commerciales et sans aucune négociation de votre part… Et en retour, vous profiterez pleinement de Mon expérience de la Domination/soumission, lui répondit Monsieur le Marquis tout en se saisissant de ma laisse pour que je le suive, invitant son hôte à le suivre…

Le large sourire du dominant chinois était déjà à l’évidence une réponse positive à la proposition du Maître des Lieux …

(A suivre …)

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