Fiction Partielle - Je Me Fais Plaisir...
(écrit en 12.2010 grâce aux confidences dune amie rencontrée en club).
Je mappelle Cassandra. Je suis divorcée depuis quelques années après une erreur de jeunesse qui (poussée par mes parents) mavait fait épouser un homme de quinze ans mon ainé.
Je viens de fêter mes 30 ans, je suis une blonde naturelle (origines scandinaves et normandes), grande avec des seins ronds et de bonne taille dont je suis très fière. Jen prends grand soin, ne les laissant jamais sans soutien.
Sous ma taille fine sévasent mes hanches un peu larges à mon goût. Mes cheveux sont relativement courts car je nai guère le temps daller chez le coiffeur. Un coup de brosse ou de peigne suffit à les discipliner. Je prends soin de mon corps en faisant du fitness dans la salle de lentresol de limmeuble où se trouvent les bureaux de la société pour laquelle je travaille. Cela est très pratique et je peux y aller après le travail car elle ferme à 22 heures.
Ma vie professionnelle très enrichissante ne ma pas permis davoir un à lépoque de mon mariage. Quen aurais-je fait quand je passe mon temps à sauter dun avion à lautre ou dans un train pour parcourir lEurope.
Désormais, je moffre de temps en temps une séance de baise hygiénique sans lendemain quand je me laisse draguer au bar des hôtels où je descends ou en allant dans un club libertin de lavenue Foch. Avec toutes les précautions dusage de notre époque je suis tranquille. Je ne suis pas frustrée, au contraire, je pense être très équilibrée.
Lorsque je suis dans mon appartement au dernier étage dune tour résidentielle du sud de Paris, je contemple avec bonheur mon petit nid douillet. Rares sont les hommes qui y sont entrés en dehors de mes deux frères lorsquils viennent à Paris.
Il y a deux ans, je me suis laissé draguer par une femme de mon âge à la salle de fitness. Notre aventure a duré quelques mois. Je me laissais faire, retrouvant les habitudes de mes années dinternat où je me livrais aux délices du saphisme avec ma copine de chambre qui ma initiée mais je nai jamais été autre chose quune passive
Lorsque lappel des sens devient trop intense, jai tout ce quil faut pour me satisfaire.
Suivant mon humeur jutilise le canard vibrant que tout le monde connait ou mes doigts. Je place le canard sur mon clitoris et je le bloque quelques minutes. Cest très excitant de sentir ses vibrations qui se répercutent dans tout mon bassin. Ensuite, jouvre mes lèvres vaginales avec deux doigts et je me pénètre le plus profondément possible pour faire des va-et-vient pendant de longues minutes jusquà ce que ma jouissance éclate. Parfois aussi, je prolonge la séance sur mon grand lit. Séchée au sortir du bain, je mallonge nue, le buste calé par des oreillers, les jambes repliées et ouvertes. Jai a ma disposition plusieurs godes en silicone souple de tailles diverses et dautres plus rigides et plus « techniques » car pourvus dun mécanisme vibrant ou dergots et autres protubérances censées améliorer les sensations. Jinjecte du gel lubrifiant dans les orifices et je commence (ou prolonge) ma séance de masturbation. En premier, je glisse un petit Plug souple dans mon anus et je me caresse la chatte avec un des godes souples. Jutilise dabord le plus fin pour passer successivement aux deux tailles supérieures.
Le plus gros de couleur noire fait 5,5 cm de diamètre, le gland, bien marqué, en forme de champignon et le corps avec des veines dessinées en relief. Généralement, je le fixe avec la ventouse sur langle de la baignoire ou sur la table basse du salon. En montant et en descendant sur ce phallus artificiel je me conduis rapidement à la jouissance. Cest plus long quand je me sers dun gode motorisé car je nai pas les mêmes sensations. Je préfère nettement la souplesse des godes en silicone. Il marrive ainsi dutiliser deux godes souples, un pour chaque orifice. Là, suivant mon excitation du moment, il marrive dobtenir des orgasmes qui me laissent complètement tétanisée pendant de longues minutes après avoir expulsé de ma chatte quelques jets de liquide. Cest comme cela que jai découvert que jétais une « femme fontaine ».
Dernièrement alors que jétais à Berlin pendant une semaine pour mon travail, je suis passée par un des quartiers chauds et je suis entrée dans un sex-shop avant de regagner mon hôtel. Jétais à la recherche déventuelles nouveautés et surtout dun uf vibrant dont javais vu la promotion dans une revue féminine qui signalait quil nétait pas encore vendu en France. Je lai effectivement trouvé et acheté. Mais ce qui ma le plus intéressé ce sont trois « machines à baiser » qui mont été présentées par une hôtesse. La première ressemblait à un cheval darçon très bas ou si on veut, un demi cylindre sur lequel on pouvait sasseoir de différentes façons. Au centre de lassise, un dispositif permettait de fixer des sexes factices de différents formats actionnés par un mécanisme interne imitant la pénétration. Il y avait même un e sorte de languette munie de picots en caoutchouc
La profondeur et le rythme de cette dernière pouvaient se régler grâce à une commande reliée à lappareil. On pouvait également lutiliser comme sellette pour attacher sur le ventre une femme ou un homme, soit pour le fouetter ou prendre à la bonne hauteur grâce à des pieds réglables.
Devant mon intérêt pour cet appareil, lhôtesse me précisa quil pouvait servir à la pénétration vaginale ou anale, que lon pouvait aussi choisir la taille du sexe car lappareil était vendu avec trois accessoires dont un gode articulé à tête rotative et un stimulateur clitoridien. Elle moffrit même de lessayer
Elle me guida vers une grande cabine dessayage du rayon lingerie où était installé un appareil de démonstration. Elle minstalla. Elle mit un préservatif sur le gode simple le plus fin et elle maida à masseoir. Pendant toutes ses explications, je métais bien excitée et ma chatte était lubrifiée. Tenant la commande dans sa main, elle fit monter le sexe lentement pour que je le sente et me laisse pénétrer. Puis elle accéléra les mouvements.
Oulla ! Que cétait bon ! Alternant les pénétrations rapides ou lentes, plus ou moins profondes, elle me conduisait à la jouissance. Pour voir le fonctionnement javais remonté ma jupe et jétais prise par cette machine, les cuisses grandes ouvertes. Pendant tout ce temps la vendeuse caressait sa chatte dune main par-dessus son pantalon très ajusté sous lequel, visiblement elle ne portait rien tellement les lèvres et son mont de Vénus étaient visibles. De lautre elle caressait mon pubis. Cétait chaud. Heureusement les rideaux de la cabine étaient bien fermés car je ne suis pas trop exhibitionniste.
Lorsque je me suis relevée, jai pris la vendeuse dans mes bras pour lembrasser et la remercier. Elle mavait bien fait jouir avec la machine, je lui devais bien çà ! Dun même geste, nous avons porté une main sur la chatte de lautre.
Cet appareil était tellement merveilleux que je passai commande dun exemplaire à livrer à Paris. Jai ensuite regagné mon hôtel où, avec délices, je me suis plongée dans un bain chaud pour me caresser deux fois jusquà lorgasme.
Deux semaines ont passé. On sonne à ma porte ! Oui cest bien çà ! Cest le livreur ! Jai été prévenue par mail du jour et de lheure de la livraison de mon achat berlinois et en prévision, jai pris une journée de repos...
Dès que la porte est refermée, je nempresse de déballer ma machine et je linaugure aussitôt avec le gros gode. Lorsque jaurai bien joui de la chatte, je changerai et je me sodomiserai avec le plus fin, celui essayé à Berlin. Je sens déjà que je vais moffrir de belles séances de plaisir avec cette machine.
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