Deux Inconnus Sautent Ma Femme Sous Mes Yeux, Et Elle En Redemande.

JE REGARDE MA FEMME SE FAIRE SAUTER PAR DEUX INCONNUS SOUS MES YEUX.

Je m’appelle Pierre, un homme lambda comme Monsieur tout le monde. Mais j’ai la chance d’avoir plu à Rose, une belle femme de 27ans et je suis fière qu’elle m’ait choisi.
Mais je sais que je ne lui suffis pas sur le plan sexuel et qu’elle a des aventures.
Je ne suis pas un acharné du sexe, et le mien est de taille standard, enfin je crois.
Je l’ai mal pris au début mais pour ne pas la perdre, je fais contre mauvaise fortune bon cœur.

J’ai un petit accord avec elle, Rose me raconte tout et souvent ça me fait tellement d’effet que je la saute illico.
Je fantasme même de la voir dans les bras d'un autre en écoutant ses récits et le lui ai avoué.
Je l’imagine en train de tailler une pipe à un beau mâle, en étant prise en levrette par mes soins.

Pour l’anniversaire de notre rencontre, je l’ai invité à un souper dansant.
Le repas se déroule entrecoupé de danses. Rose boit un peu plus que de raison et comme à chaque fois que ça lui arrive, ça décuple sa libido.
Elle vient de revenir des toilettes et me glisse quelque chose dans la poche.

Je retire ce que j’y trouve au moment ou arrive un serveur et reste figé, son string dans la main.
Imperturbable, il nous demande ce que nous voulons comme dessert et ne peut s’empêcher de loucher sur sa poitrine généreuse.
Elle joue avec le tissu de sa robe lui dévoilant plus que de raison ses beaux seins laiteux.
Une fois le serveur parti, rouge comme une écrevisse, elle glisse son pied entre mes jambes et me compresse la verge en me demandant :
-Ça t’a plus ?
Je ne peux pas il dire que non vu ce qu’elle sent durcir à travers mon pantalon.

Je lui propose d’aller danser, la salle est très sombre et insidieusement elle glisse la main entre nous. Mon érection grandit encore sous ses caresses.
Ma main lui rend la pareille entre ses cuisses et en remontant sous le tissu, je m’aperçois qu’elle ne porte vraiment plus rien sous sa robe, et que sa vulve est complètement trempée.



Après 10 minutes je m’absente pour aller moi-aussi aux toilettes, la laissant se déhancher seule au milieu de la piste.
Je reviens à notre table et la cherche des yeux. Elle est toujours sur la piste et danse avec un homme d’une quarantaine d’années.
Il lui parle à l’oreille pendant qu’une de ses mains caresse le dos de ma femme et le pire, c’est qu’elle le laisse faire.
Elle m’a pourtant vu et me fait un grand sourire.
Elle me regarde en souriant puis dirige son regard vers son cavalier et l’embrasse sur la bouche d’un baiser profond, sensuel. Les mains de l’homme descendent sur son arrière-train pour l’obliger à se plaquer davantage contre lui.
Je reste seul rempli de sentiments contradictoires alors qu’il est à peine minuit.

À la fin du slow, il l’entraîne vers sa table où se trouve un autre homme, un noir baraqué.
Je ne sais comment réagir, elle se fout de moi mais ça m’excite.
Je la vois rire et continuer à boire, ne réagissant pas à la main posée sur sa cuisse qui la caresse en remontant jusqu’à se glisser sous sa robe, on dirait même qu’elle apprécie, fermant les yeux.
Voyant ça, le black vient se placer à coté d’elle et fait la même chose sur l’autre cuisse. Rose ouvre les yeux, surprise puis se laisse aller sur le dossier de sa chaise.

Mon excitation est à son comble, je pourrais faire un esclandre ou aller leur casser la gueule mais ils sont plus baraqués que moi.
Par lâcheté, je laisse ma femme se faire ploter en public par ces deux inconnus, le bas de sa robe relevé, 2 mains disparaissant entre ses cuisses.
Son cavalier lui chuchote à l’oreille et lui glisse quelque chose dans la main, elle acquiesce et vient me rejoindre quelques minutes plus tard.

Rose me dit qu’elle m’aime mais qu’elle a adoré ce jeu de voyeurisme, elle me demande :
- J’espère quand même que tu étais jaloux, mais comme tu m’as avoué ton fantasme de me voir te faire cocu avec un autre homme, de me voir rentrer la chatte pleine de sperme alors pourquoi pas avec ses 2 là ?!
Je suis sur le cul et ne sais que lui répondre, me sentant coupable de l’avoir poussé à ce jeu dangereux.

Est-ce l’occasion ou jamais de donner une réalité à mon fantasme ?
Voilà des années que je l’imaginais en femme adultère, rentrant toute souillée de sperme. Et là, au pied du mur, allais-je me dégonfler, laissé passer une telle occasion de voir mon épouse se faire sauter par un autre ?
Me rappelant mes propos, quand nous nous retrouvions au lit, l’imaginant souillée par un autre homme, léchant son con plein du jus de son amant, je lui explique, inquiet de la tournure des évènements.
- Je ne savais pas ce que je disais, je t’aime mais là, tu en demandes beaucoup.
Rose me rétorque :
-C’est notre anniversaire, je ferai comme tu le voudras mais quel merveilleuse preuve de ton amour ce serait.

Je ne veux que son bonheur et sais pertinemment que si je dis non, elle se les tapera un de ces jours alors….
- Peut-être, mais ce type et son copain ne me plaisent pas.
- Eh bien, figure-toi qu’à moi si, tu rêves de me voir baiser par des inconnus mais tu n’as pas le courage de tes paroles.
- Mais ils n’ont qu’une idée, c’est de t’enfiler, et de t’accrocher à leur tableau de chasse!
- Et alors! Justement c’est ce coté là qui me plais et qui m’excite, tu n’avais qu’à pas me rentrer dans la tête des idées pareilles, tout cela est de ta faute.
- Tu veux vraiment te faire sauter par ces types ?
- Et pourquoi pas ? Me rétorque-t-elle.
Je l’aime et veut qu’elle s’épanouisse. Je lui donne mon accord du bout des lèvres mais lui lance que je veux être présent à mon cocufiage.
Elle esquisse une petite moue et me montrant une carte de visite, me répond qu’elle va contacter l’inconnu pour voir s’il est d’accord et m’embrasse tendrement.

Elle sort pour téléphoner et 2 minutes plus tard revient pour dire que c’est OK. Que nous n’avons qu’à nous rendre à l’adresse sur le bristol.

Nous sommes allés à l’adresse indiquée, un studio au dessus d’un entrepôt dans une banlieue déserte.
Un coin plutôt lugubre.
Arrivés à l’étage, elle sonne et son cavalier vient lui ouvrir.
Il s’appelle André, il nous fait rentrer et me présente le Black.
-Voici Walter, mon collègue de New-York, il ne comprend pas le français, et vous, c’est Pierre, je crois ?
Je lui réponds et m’assieds dans le siège qu’il me propose.

Sans plus se préoccuper de moi, il se dirige vers Rose et l’embrasse à pleine bouche, ses mains s’égarant sur le corps de ma femme, à la découverte des ses trésors, caressant ses seins, son sexe, malaxant ses fesses.
Je devine leurs langues emmêlées, les deux corps sont soudés dans cette étreinte fougueuse, sexe contre sexe, j’ai envie d’en voir plus.
Walter la retourne pour l’embrasser à son tour avec fougue.
André en profite pour descendre la fermeture éclair et lui retirer sa robe.
Elle est désormais complètement nue, ne portant rien sur la poitrine avec cette robe et le string au chaud dans ma poche.
Elle offre à leurs regards ses fesses aux courbes voluptueuses et sa poitrine au galbe parfait de ses seins.
Je vois les regards ravis des deux hommes fixés sur son corps.
-J’ai bien fait de venir, dit l’américain en anglais.

Son pantalon en toile très fine ne peut cacher la monumentale érection qui le déforme.
André caresse la poitrine de Rose puis s’agenouille entre ses jambes pour la lécher avec beaucoup d’application.
Cette vision du gars collé contre mon épouse qui tout à l’heure m’avais mis en colère désormais m’excite au plus haut point.
Je suis sur que sa chatte est déjà trempée!
Elle se laisse faire, basculant sa tête en arrière sur l’épaule de Walter et l’embrasse dans le cou, il lui prend à pleines mains les seins fermes aux pointes érigées et colle ses lèvres aux siennes.
André se relève et l’embrasse à son tour, glissant la main droite dans la fourche de ses cuisses pour frotter le pubis gorgé de désir.
Sous les caresses des deux hommes qui balayent son corps de leurs mains, elle leur annonce :
-Laissez-moi faire, à mon tour de découvrir par quoi le petit chaperon rouge va se faire dévorer !
André traduit et ils arrêtent leurs attouchements.
Elle les mène par le bout du nez, domptant les deux mâles conscients qu’elle se donnera toute entière à eux, je n’en reviens pas !

Elle leur fait une danse à réveiller un eunuque, se caressant la poitrine lascivement tout en les regardant lubriquement pour bien les chauffer avant de s’agenouiller devant André.
Elle défait la large ceinture, déboutonne le pantalon, pose ses mains au niveau des hanches, tirant sur le tissu pour le faire descendre avec le slip sans aucune difficulté.
Elle stoppe sa progression dès qu’elle peut libérer son sexe.
Elle le découvre en même temps que moi. Je sais que j’ai une bite de taille normale assez fine. Mais ce que je découvre me relègue aussitôt au rang de petites bites, avec un membre d’une taille approchant les 20 cm.
Mais ce membre imposant n’a pas l’air de l’effrayer, ça serait plutôt tout le contraire, elle est comme hypnotisée par le rostre dressé.
J’en suis encore à comparer mentalement mon infériorité que Rose se jette sur son pieu la bouche ouverte, introduisant au plus profond de son gosier la verge bandée en gloussant de joie.
C'est la 1ère fois que je la vois avec un autre homme, étonné de l'ardeur qu'elle met pour sucer cette queue.
Mais elle ne s’attarde pas plus longtemps et s’attaque cette fois-ci au pantalon de l’américain.
Elle a plus de difficulté à faire descendre le futal retenu par son contenu, elle force d’un coup pour le faire descendre à mi-cuisses.

Ce que je vois en même temps que Rose me laisse sans voix, bouche bée.
Un mandrin comme je n'en ai vu avant que dans les films pornos pend entre ses cuisses.
Sa queue à peine gonflée par de désir est déjà aussi longue que celle de son complice et d'une épaisseur énorme, presque monstrueuse.
Rose essaie de contrôler difficilement l’effet de rejet devant ce pénis hors normes.
Délicatement, il se saisit de sa main droite pour l’amener au contact de son sexe.
Elle serre ses doigts sur ce tuyau démesuré, lui, la tête incliné vers le bas, l’incite d’un regard à aller plus loin.
Rose glisse sa main avec une lenteur désespérante le long de son engin qui prend vie sous ses caresses langoureuses.
Je suis bien à 2 mètres de la scène mais la croissance exponentielle de ce chibre me met sur le cul.
Son gros dard enfle et gagne en longueur à chaque aller-et-retour de la main de Rose.
Cet homme est un vrai diesel, la croissance est lente mais quand va-t-elle se terminer ?
Il faut bien 2 minutes à ma femme pour arriver à ses fins et voir dressée fièrement devant ses yeux une colonne de chair qui doit largement dépasser les 25 cm.
Mais ce qui est terrifiant, c’est l’épaisseur de ce gourdin, il lui faut pratiquement les deux mains pour l’encercler.
Il la prend par les cheveux, forçant sa bouche à accueillir sa verge démesurée.
Je croyais qu’elle opposerait une résistance mais au contraire elle écarte en grand ses lèvres,
respirant bruyamment et tentant de ne pas s' à chaque fois qu’il fore sa bouche.
Je suis même sûr qu’elle y prend plaisir à chaque fois qu’il revient à la charge d’un coup de rein s’enfonçant le plus profond possible dans sa gorge en lui disant des mots crus, obscènes, que je ne saurais traduire.

Le barreau est si gros qu’il n'entre même pas à la moitié dans sa petite bouche, elle le recrache en toussant dans un flot de bave avant de retourner d’elle-même au supplice.
Je me mords la lèvre à ce spectacle stupéfiant ne sachant comment réagir.
Elle n’a pas l’air de me demander du secours, au contraire, soumise, elle accepte de se plier à tous ces caprices, comme une vraie pute.
J’ai depuis un moment déjà sorti ma verge et commencé à me masturber.

D’où je suis, je vois à la fois la verge du black qui s’active et André en train de lui tripoter la chatte. Il se met en retrait pour profiter du spectacle avant de se placer derrière elle en disant :
-Ce n’est qu’un amuse-bouche, ma jolie !
Elle suce Walter avidement, ne tenant aucun compte de ma présence, je vois sa joue déformée par le gland trigonocéphale, les mâchoires ouvertes au maximum pour laisser aller et venir cette matraque dans sa bouche au rythme des mouvements du black, aspirant cette teub autant qu’elle le peut.
Pour ce qui est du plaisir, le black est plutôt Speedy Gonzales. Au bout de quelques minutes, il lui éjacule sur le visage une grosse dose de foutre épais qu'elle s’empresse de nettoyer avec plein d'ardeur. Mais contrairement à moi, ça n’a aucun effet sur son nœud qui reste toujours au garde-à vous.

André vient d’étaler une poignée de préservatif sur la table basse, il chausse sa bite d’un morceau de latex avec dextérité,
Après lui avoir copieusement sucé la chatte, il la fait mettre à quatre pattes.
Elle se cambre pendant qu’il écarte les lèvres vaginales de ses doigts, titillant les chairs de sa langue, avant de la prendre aux hanches et présenter sa bite devant la fente trempée pour la pénétrer lentement. Je vois le gland qui écarte les chairs pour aller se planter au plus profond de son ventre.
Je l’entends couiner quand les couilles s’écrasent sur ses fesses, le chibre lui laboure la moule.

Rose a repris en main le sexe du black qui lui présente à sucer. Sans hésitation elle se jette dessus comme une affamée, le reprenant voluptueusement en bouche.
Elle se comporte comme une vraie trainée. Je suis sûr que si je lui avais proposé ça, elle m’aurait traité de sale lubrique.
André la défonce la tenant fermement par les hanches pendant qu’elle tète à pleine bouche l’épi formidable du Black au gré des mouvements d’André.
Ses seins ballottent dans tous les sens sous les poussées de plus en plus violentes d’André.
Elle est coincée entre ces pines qui lui remplissent totalement les deux orifices.
Jamais je ne l’ai entendue jouir ainsi, Ses cris sont étouffés par le bouchon de chair qui obstrue sa bouche.

Je l’encourage, je l’injurie;
-Espèce de chienne, tu aimes ça de te faire baiser comme une salope, tronchée comme une truie !
Ma femme pousse un cri assourdi par la queue qu’elle a entre les lèvres quand André la sodomise à sec de son majeur, le faisant entrer en totalité dans son cul mais cette salope recule ses fesses pour faire pénétrer ce doigt encore plus profondément à l’intérieur de son anus.
La tenant par les seins, il présente son sexe devant l'œillet fripé de Rose après l’avoir enduit de gel lubrifiant.
Elle sent la pression sur son petit trou et se cambre de façon à bien lui faciliter la pénétration.
Les rares fois ou Rose m’a laissé la sodomiser, il fallait que je tienne ma queue à la base pour ne pas qu’elle se plie.
Mais son bélier n’a pas besoin de tuteur pour entrer, je le vois disparaître toute entier entre ses fesses, il la taraude avant de replonger dans l'autre trou de ma femme, passant de l’un à l’autre.
Après plusieurs va-et-vient, il retire sa tige d’acier de son fondement, enlève prestement le préservatif et lui dit de le finir, elle a à peine le temps de le prendre en bouche qu’un liquide tiède se répand sur sa langue et son visage.
Elle savoure sa liqueur, se tenant face à moi, elle n’a aucun remord dans les yeux.
Attendant le prochain assaut, elle me demande ;
-Tiens soit gentil, passe-moi du gel et une capote!
Non seulement elle se fait troncher devant moi, mais en plus, elle me traite comme son larbin !
Elle prend le préservatif XXL que je lui tends et l’enfile avec amour sur la tige pharaonique du black toujours aussi raide.
Il la positionne à genoux, les bras sur la table basse, et présente sa queue devant son cul alésé par son ami.
Il exerce une pression de son défonce-cul gigantesque en la maintenant fermement par les hanches sur l’orifice de ma femme qui cède petit à petit, laissant ainsi pénétrer ce démonte-pneu énorme dans son petit trou.
Je suis en train de me branler en regardant ma femme se faire éclater la rondelle sous mes yeux par un Black monté comme un étalon !!!
Elle me fait cocu et au lieu d’empêcher cela, je n’arrive plus à me retenir et envoie la purée !
Mais qu’est-ce que je suis en train de faire ???

Il la prend fermement par les hanches, faisant pénétrer les trois quart de son manche mais elle en veut plus et s’accrochant fermement aux bords de la table elle projette son popotin en arrière pour faire entrer la totalité de sa matraque dans son petit cul.
Quelques secondes d’éternité passent puis, tout doucement, il manœuvre avec précaution son outil dans le colon accueillant.
Elle l’exhorte d’y aller franchement. Il n’a pas besoin de traduction pour comprendre ce qu’elle désire et il lui assène des pénétrations de plus en plus violentes.
Rose a beau en demander plus, aux yeux larmoyant et aux crispations de son visage, je vois bien qu’elle soufre du diamètre inusité du braquemard.
Soudain André l’agrippe par les cheveux et la force à me regarder et grommèle.
- Regarde ton cocu de mari qui te laisse te faire enculer sans broncher! Dis-lui que tu aimes te faire troncher devant lui, petite pute !
- Oh, oui j’aime les grosses queues qui me remplissent bien le cul !

André se retourne vers moi et me commande :
-On va prendre ta femme chacun dans un trou mais avant que je bourre sa chatte, je veux que tu me suces, il n’y a pas de raison qu’il n’y ait qu’elle qui dérouille et tu as intérêt à t’appliquer sinon !!!
Malgré mon opposition à sa proposition incongrue, je cède de peur que ça tourne mal avec ces deux lascars. Je n’aurais jamais dû accepter ce deal.
Rose me fait signe d'approcher, je me mets à genoux à contrecœur. Elle se saisit de la queue d’André et la porte à mes lèvres pendant qu’il lui maltraite les bouts de ses seins.
-Tu vas voir comme c’est bon de sucer une aussi bonne bite !
Je voudrais m’enfuir mais André m’a saisi la tête à deux mains et appuie dessus me forçant à ingurgiter son chibre, il est gros et long mais je préfère que ce soit le sien plutôt que celui du black! Je suis surpris par la chaleur qui se dégage de cette bite

J’ai voulu voir ma femme me cocufier sous mes yeux et je me retrouve à faire une fellation à un homme pour qu’il puisse être au mieux de sa forme pour prendre ma femme par devant pendant que son complice la sodomise, quel TABLEAU !!!
Finalement au bout d’un moment, je commence bien malgré-moi à y prendre goût mais je suis sauvé par le gong.
De nouveau en pleine forme, il m’ordonne de lui mettre un préservatif et me rejette comme une vieille chaussette, demande au black de se relever, la queue toujours encastrée entre les fesses de ma femme.
Il plie les genoux, frotte sa bite sur la vulve de ma femme, arrive à ses fins et s’introduit d’une seule poussée dans son con.
Un grand cri à mi chemin entre la douleur et le plaisir sort de ses lèvres…
-Noooonnnn, arrêtez …. Ohhhh, huuummmmm… C’est trop bon !!!

Elle crie faisant semblant de se débattre mais, embrochée deux cotés sur ces pieux, coincée entre ces hommes qui font 30 centimètres de plus qu’elle, ses pieds touchent à peine le sol.
A chacune de leurs poussées coordonnées, son corps est complètement suspendu entre eux.
Le black a passé les mains sous ses cuisses pour que tout son poids ne repose uniquement sur leurs gourdins.
Je regarde halluciné ma femme se faire double pénétrer par 2 hommes hyper-membrés sans réagir devant la beauté sauvage de ce tableau.
Ma douce transformée en furie, ruisselante de sueur, une vraie pute se faisant prendre par deux mâles aussi suintants qu’elle, tronchant sans aucun complexe mon épouse.
Cela semble durer une éternité, Rose gémit comme une chienne qu’elle est en encourageant ses partenaires à la limer ainsi plus fort et plus profond.
André me regarde de temps en temps d’un air narquois me traitant de lopette et d’impuissant.

Au rythme de leurs respirations qui s’accélèrent, ils ne vont plus tarder à éjaculer.
André abdique en premier et se vide à l’intérieur de Rose, encore une chance qu’il est une capote !
Après une dizaine de secondes, il se désaccouple de la bête à trois dos.
Mais Rose est toujours collée au black, il la soulève maintenant de ses bras puissants et la laisse s’embrocher jusqu’à la garde sur sa matraque, son trou du cul est dilaté au maximum par ce pilon noir.
Je suis tellement excité que je ne peux me retenir, ma branlette solitaire se termine en des jets de foutre, avant la fin du spectacle.
Je n’aurais jamais cru que de voir ma femme se donner devant mes yeux à d’autres hommes me procurerais autant de plaisir.
André l’invective :
-Je savais que tu étais une grosse salope, je l’ai vu dans ton regard dés les premiers instants à la façon dont tu t’es collé à moi en dansant.
Dans un grognement formidable, le black se retire du cul de ma compagne, qui a un rictus de douleur, la repose au sol, arrache le préservatif et lui éjacule de longues trainées qui maculent sont corps.
Ils l’ont reprisent à tour de rôle dans la soirée avant de nous virer comme des malpropres.

Une fois rentré chez nous, je remarque que Rose a du mal à s’asseoir et je trouve que c’est bien fait pour elle, elle l’a voulu, elle la eu!
Nous nous mettons au lit et elle me demande avec un petit sourire :
- Alors, ça t'a plu de me voir baiser avec ces inconnus? Je t’avoue que je suis un peu honteuse mais je n’ai jamais été aussi excitée d’être « prise » que devant tes yeux, et quels mâles, j’ai pris un pied terrible !!!

Je ne réponds pas, me mets sur elle et l’encule à mon tour.
La sensation est bizarre, son petit œillet est si alésé par ses deux amants que je rentre sans aucune résistance.
Je suis tellement excité par cette folle nuit que je l’honore rapidement. Je contemple sur son corps et son sexe les multiples preuves des violences et des souillures répétées qu’elle a subit.

Au bout de quelques minutes elle me dit simplement.
-Bonne nuit, mon amour, et merci encore pour le cadeau d’anniversaire !

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