La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 663)

soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°662) - Réflexions intimes dans les délices de la douleur -

Le soumis MDE dormait, profondément lorsqu’il sentit une main se faufiler et glisser à l’intérieur de ses cuisses jointes. Il pensait rêver. Dans un état semi-léthargique, il chercha à se retourner et à éloigner cette main qui maintenant s’agrippait à ses couilles. Deux claques sur sa joue gauche et des hurlements le ramenaient à la raison et le réveillaient définitivement :

- Comment oses-tu, sale pute !

Une main s’était plaquée contre son cou enserrant sa gorge, Endymion MDE suffoquait.

- Écarte tes cuisses de salope, grosse chienne et laisse toi tripoter les burnes comme je l’entends, sinon je te les broie sur le champ !

Le skipper Maximilien semblait furieux, il fit sortir le chien soumis MDE de sa couche en le tirant sauvagement, une main accrochée à son collier l’autre à ses burnes. Il le posa à plat dos sur le sol, le dévisageant d’un air hautain et très sévère.

- Tu te dis une grosse pute, et tu ne te laisses même pas tripoter les noix, que dis-je tes noisettes de petit cabot ! Je ne sais pas comment Monsieur le Marquis va interpréter tes agissements… sûrement très mal ! Tant pis pour toi… Une pute est pute, jour et nuit et doit être disponible vingt-quatre heures sur vingt-quatre. En attendant, mets-toi à genoux, là devant moi, bouche grande ouverte, j’ai envie de pisser !

Maximilien sortit son sexe semi-tendu de son caleçon et le posa sur les lèvres d’Endymion MDE. Il le somma d’avaler correctement, de ne rien faire tomber, pas la moindre goutte, sinon… La première giclée manqua d’ Endymion MDE, un jet jaune et dru éclaboussa son arrière gorge, tout contre ses amygdales. Les urines étaient chargées avec un goût d’ammoniaque prononcé. Maximilien laissa à l’esclave MDE d’ingurgité puis il recommença, une bonne dizaine de fois et lorsque sa vessie fut vidée, il donna à lécher son gland en tirant largement sur son prépuce.

De petites sécrétions blanchâtres séchées y étaient collées :

- Allez bouffe bien, nettoie bien ma queue grosse salope, hein que tu l’aimes ma queue ?

Le skipper s’excitait, sa bite durcissait… Il attrapa de ses deux mains la nuque du chien soumis MDE et s’enfournait violemment. Il se fit sucer longtemps en traitant Endymion MDE de tous les noms d’oiseaux, tous plus vulgaires les uns de autres. Le soumis MDE était désormais bien réveillé, une queue dans la bouche et une bonne dose d’humiliations, une telle recette lui suffisait pour aiguillonner et attiser des irrépressibles envies qui le mettrait en érection si sa nouille n’était pas encagée. Il sentit son bas-ventre frémir, ces entrailles se comprimer, son anus s’ouvrir… Il avait soif d’une queue, d’une queue bien planté dans son cul ! Sa nouille cherchait à s’épanouir dans cette cage trop étroite… Il était simplement en chaleur, telle une femelle acceptant l’approche du mâle. Mais il était trop tard… Maximilien venait d’éjaculer très rapidement et sans aucune retenue, de lui foutrer dans sa bouche de pute, de lui envoyer sa sauce en fond de gorge (termes utilisés par lui au moment de son orgasme)….

Le jour pointait sur un océan calme, le ciel était limpide, des alizés apportaient un semblant de fraîcheur. Maximilien entrainait l’esclave MDE dehors, sur le pont supérieur du Croix rousse, tenu fermement par son collier. Comme Madame Marie l’avait exigé la veille au soir, le skipper attachait solidement par des bouts l’esclave, membres tenues tendus et étirés, comme écartelé. Avant de le laisser là, il caressa son cul, glissa ses doigts dans sa raie, titilla gentiment son anus, puis lui claqua le cul à deux reprises, comme ça, pour le plaisir juste avant de repartir !

Endymion MDE, nu, écartelé, face à l’immensité d'un océan très calme ce matin, face à lui-même, il regardait le soleil se lever. Dans la contrainte et l’assujettissement, son corps tout entier était bercé par un léger tangage.
Sensation d’irréel et de légèreté, des images saccadées se succédaient dans sa tête, lui faisant revivre ces dernières quarante-huit heures. Humiliations, contraintes, douleurs, pénétrations, plaisirs, tout s’entrechoquait… Sentiments contradictoires se heurtaient et l’envahissaient et ce sexe encagé qui se plaisait à trahir ses envies, ses mamelons qui s’amusaient à dévoiler son excitation… Consentement muet… Consentement inconscient et instinctif… Il était consentant malgré lui et ça l’excitait fortement en prenant un tel plaisir de n’être plus rien, juste un pantin qui a des trous à bourrer pour vides-couilles. Son Corps s’offrait tout entier à cette immensité, alors que la raison aurait pu le r…

Monsieur le Marquis était là, discret, appuyé au bastingage du Croix-Rousse derrière Son chien soumis, réduit au rang d’objet. Il l’observait tel un prédateur près de sa proie. Le Maître aimait Son soumis MDE, sa sensibilité, son obéissance, sa docilité, sa perversité ! Il savait que ce manque de liberté qu’Il lui imposait était compensé par le bonheur de n’avoir plus aucune responsabilité. Il savait que Sa présence, Son regard suffisait à lui donner les premiers émois et les premiers frissons avant même de le toucher. Il en ressentait une immense fierté. Il savait que le désir de soumission et d’appartenance à Lui, le Maître, était grandissant. Endymion MDE ressentait le besoin de se soumettre complètement, entièrement, totalement !… A pas feutrés Monsieur le Marquis d’Evans s’était approché de l’esclave MDE, sa main glissa sur son fessier, le faisant sursauter.

- Tu es beau ainsi offert à la nature et au grand large mon chien, une bien belle image que tu m’offres, je viens d’immortalisé cette belle illustration de Mon esclave avec deux ou trois photos !

Le Maître lui avait attrapé sa nouille encagée, il sortit une petite clé de la poche de son bermuda pour lui libérer son sexe gonflé et tuméfié en déverrouillant la cage.

- J’aime te voir impudique Mon chien, j’aime te voir afficher tes bandaisons sans même te poser de question !

Le Maître lui caressa gentiment la bite, point trop, juste pour qu’elle soit bien raide, bien tendue vers ce ciel d’un bleu azur.
Endymion MDE regardait cette main posée sur sa nouille, la branlant doucement.

- Mais ce matin mon chien, je Veux plus encore de toi, je Veux que tu réfléchisses à ton statut d’esclave face à la mer. Je Veux t’éprouver pour te permettre de progresser plus encore, uniquement pour ton bien, uniquement pour que tu comprennes bien que Ma satisfaction est beaucoup plus importante que tes blessures et souffrances. Es-tu prêt, mieux encore, à accepter pour avancer et développer ton conditionnement d’esclave à mes Nobles Pieds ?

Sans la moindre hésitation, en toute humilité, dans le dépouillement, le renoncement et le total abandon, Endymion MDE répondit :

- Maître, Oh Vénéré Maitre… je sais que Vous êtes toujours bon avec moi, je n’arrive pas à me désaltérer de cette soif de Vous appartenir corps et âme, alors faites de moi, sur mon corps vous appartenant, ce qu’il vous semble utile de faire, fusse douloureusement…

Le Maître semblait satisfait de la réponse de son soumis, alors il héla Madame Marie qui arriva dans l’instant avec deux petites valises en mains. Elle ouvrit devant les yeux du soumis MDE, la première dans laquelle, toute une série de godes, tous plus monstrueux les uns des autres, étaient soigneusement rangés.

- Je te laisse choisir Mon chien, lequel veux-tu dans ton cul ? Demandait le Maître.

Endymion MDE savait que peu de temps lui serait accordé alors, malgré il se résigna.

- Le troisième en partant de la gauche Vénéré Maître.
- Tu viens de faire un bon choix, mon chien ! Regarde ce gode est long et d’un bon diamètre, oui d’un gros calibre. Jamais jusqu’ici tu n’as pris un tel morceau dans ton fion de salope !

Le Maître brandissait sous ses yeux, l’objet quelque peu effrayant. Tandis que Madame Marie passait immédiatement à l’action, elle sortit de cette même valise, un pot de gel lubrifiant, elle l’ouvrit, récoltait sur la pointe de ses doigts une quantité non négligeable de cette crème et enduisait soigneusement et largement le cul du soumis MDE en glissant ses doigts dans son anus, alors que Monsieur le Marquis lui maintenait écarté son sillon anal.
Ce fut le Maître qui se chargea de l’introduction de l’objet, d’abord, il fit tourner la pointe de ce gode sur l’anus de l’esclave MDE, l’imprégnant de gel, puis tout doucement le poussait. Endymion MDE se raidissait et gémissait.

- J’ai mal Maître !
- Détends toi mon chien, offre-moi ta croupe, décontractes tes muscles anaux et cambre bien tes reins, donne toi ma pute, je le VEUX ! Je sais que tu es capable maintenant de prendre cet objet que je glisse lentement dans ton petit cul de salope !

Le Maître savait qu’en humiliant un tant soit peu Son chien, il parviendrait mieux encore à ses fins, l’objet glissait inexorablement entre les fesses de l’esclave écartant largement et dilatant ses entrailles. L’objet était entré dans ce cul soumis en provoquant par là même occasion une terrible excitation à celui « engodé » qui affichait une érection hors norme.

- Et bien tu vois quand tu veux Mon chien ! C’est bien ce que je te disais, tu peux faire plus, toujours plus, te donner plus encore, c’est à quoi je VEUX que tu parviennes, sans cesse me montrer ta volonté de dépasser tes limites et de m’accorder une plus grande confiance encore ! Fit remarquer le Maître.

Pour retenir ce gode bien ancré au plus profond de ce trou, Madame Marie fixait autour de la taille du soumis MDE, un harnais de cuir bloquant l’objet. Elle lui tapota les fesses gentiment…

- Te voilà pris jusqu’à la garde petite salope, et manifestement tout ceci semble te plaire, si j’en juge ta nouille ! lui lança la perverse cuisinière en lui donnant à sucer son doigt sur lequel elle avait cueilli de cette bite gonflée et gorgée de sang, un peu de bave qui s’échappait du méat du gland violacé !

Pendant ce temps, Monsieur le Marquis avait ouvert la seconde valisette, elle contenait une multitude de pinces, de tailles différentes. Le Maitre en posa une quinzaine, des petites mais bien mordantes sur son prépuce retroussé. Il s’amusa à faire une corolle, tels des pétales de fleurs, autour d’un gros pistil rouge écarlate et turgescent à souhait ! Il en posa plusieurs également sur et près des tétons du soumis MDE, puis deux grosses lui pinçant la taille. Il sortit un gros marqueur noir, le déboucha, puis alla inscrire sur le haut des fesses, en lettres majuscules : « MDE » et sur son front « MA PUTE » ! Il photographia à plusieurs reprises son chien soumis, sur plusieurs angles…

- Pendant deux heures tu vas rester ainsi à réfléchir sur ton sort, à chaque quart d’heure, l’un d’entre nous viendra voir si tout se passe bien et te rajoutera quelques pinces ou accessoires supplémentaires… dictait le Maître

Toujours tenu attaché et écartelé, le soumis MDE physiquement souffrait, mais mentalement se réjouissait de satisfaire les volontés du Maitre. Mieux encore qu’il n’ait pu le faire, il voulait le servir et persévérer dans la totale satisfaction de Ses exigences. Plus encore, il acceptait de Lui, frustration et privation, entrainement et châtiment. Rien ne pouvait plus l’arrêter, son esclavage était en marche, lancé à vive allure, plus rien ni personne, ne pouvait le faire changer d’avis, trop heureux d’être cet esclave masochiste... Le premier quart d’heure venait de s’écouler, l’esclave MDE vit arriver la jeune chienne Estelle tenant entre ses mains, deux poids.

- Désolée Endymion MDE, je suis contrainte et obligée de te poser ces deux poids sur tes couilles ! lui annonça-t-elle comme navrée.
- Ne t’inquiète pas pour moi, Estelle, je lutterai et résisterai, lui répondit l’esclave MDE plus fort que jamais.

Elle nouait énergiquement les burnes du soumis avec un lien de coton et accrocha les deux poids et les fit se balancer entre ses cuisses.

- Ces poids doivent être toujours en mouvement, m’a-t-on exigé de te dire, faute de quoi, je serai punie ! Disait Estelle en s’inquiétant et en disparaissant.

A chaque quart d’heure, Endymion MDE vit défiler tous les Dominants. D’abord Madame Gabriella qui rajouta des pinces sur l’intérieur de ses cuisses et sous les bras, puis Monsieur Henri qui lui mit un écarteur de bouche, puis le skipper Maximilien qui lui posa quelques électrodes sur ses couilles les branchant sur une petite boite électrique, puis Etienne, le second skipper qui pinça ses lobes fessiers avec des accessoires métalliques très mordants, puis Madame Marie, qui elle se contenta d’inscrire sur le corps quelques inscriptions obscènes. Sur le haut de ses fesses d’abord, elle notait « BON A ENCULER » et faisait une flèche descendante en direction de son cul, sur son pubis ensuite, elle inscrivait « NOUILLE RIDICULE ET INUTILE » même si celle-ci était semi-érigée, enfin sur sa poitrine elle portait « CHIENNE A BAISER »

Le dernier quart d’heure, ce fut de nouveau Monsieur le Marquis qui revint voir son soumis… Il lui rajouta encore une multitude de pinces sur tout son corps, puis il s’appuya sur le bastingage et sortit de son bermuda son sexe tendu. En regardant bien son soumis MDE, il se masturba lentement et très longtemps, prenant devant lui un vrai plaisir à le voir se donner et souffrir pour lui. La seule présence du Maître excita de nouveau l’esclave MDE. Malgré son écartèlement, malgré les pinces posées sur tout son corps, les poids arrimés à ses couilles et gigotant entre ses cuisses, son cul encombré d’un énorme gode, malgré les électrodes qui le faisait sursauter à chaque décharge électrique, malgré cet écarteur de bouche le faisant baver tant et plus, malgré les graffitis inscrits ici ou là sur son corps… sa nouille se redressait fièrement. Certes, elle témoignait de son excitation, mais aussi de son total abandon, de sa reddition et de sa capitulation. Le Maître était fier de Sa chose, de Son objet, du courage qu’il avait su garder pendant cette longue et pénible séquence. Il appela tous ceux à bord, puis exigea qu’Estelle libère son soumis MDE de toutes les pinces, qu’elle les ôtât, une à une, seulement avec ses dents et positionnée à 4 pattes.

Libéré, détaché, soutenu par les deux skippers, Endymion MDE, totalement épuisé et éreinté fut conduit en fond de cale et enchainé à un anneau cadenassé au pied par deux mètres d’une chaîne fixée au mur… Ce fond de cale était sombre et humide …

(A suivre…)

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