Le Fils De Jean (18 Ans Plus Tard)
Suite de lhistoire « le fils de jean »
Après lépisode des vacances, il na plus été question de relation entre mon fils et nini ; du moins je le pensais. Jusquà ce soir, 18 ans plus tard, où en rentrant dun séminaire de cinq jours, je constate quelle est tendue, fuyant mes questions sur ses occupations, ce qui nest pas son habitude quelques soient ses sorties ; surtout sil y a eu quelques conquêtes entre temps. De plus, elle se dit fatiguée et fuit mes caresses ; intrigué, mais ne voulant pas la brusquer, je lui dépose un bisou et lui souhaite une bonne nuit. Il sera temps den discuter demain.
Cest dans la nuit que jai lexplication et je dois dire que cela ma laissé un peu pantois. Se collant contre moi, dans le noir, elle me demande de lui pardonner son attitude dhier soir, mais quelle avait honte et ne savait pas comment me le dire ; enfin elle avoue : « jai couché avec ton fils ».
Explication de nini :
Après ton départ, jai eu la visite de Béa, (femme de mon fils) ; rapidement, elle ma parlé de son couple et en autre le fait que comme nous, il pratiquait des relations en trio, et que Paul lui parlait souvent de moi et de nos relations, il y a 18ans lors de nos vacances, et quil avait toujours envie de moi. Cette révélation, tout en me surprenant, ma bouleversé ; je me suis alors souvenue de nos étreintes, parfois sauvages, et du plaisir quil avait su me donner, mamenant même à me refuser à toi, à sa demande et ce que je navais pu lui refuser. Il avait fallu la fin des vacances pour que je reprenne pied et que je lui refuse de devenir sa maitresse ; ensuite tu mas avoué nous avoir vus et que tu mavais laissé prendre mon plaisir. Et comme prévu, notre amour avait été le plus fort.
Afin de cacher mon émotion, je la questionnais sur leurs sorties et je découvrais que comme nous, elle le faisait cocu à sa demande, quelle recevait des hommes et quensuite elle lui en faisait le récit ; je retrouvais nos jeux et une douce chaleur commençait à envahir mon ventre.
Elle mavait pris la main et se penchant vers moi, elle a déposé un baiser sur mes lèvres en mavouant quelle aussi avait envie de moi. A nouveau sa bouche sest posée sur mes lèvres et sa langue sest mis à jouer avec la mienne. Il na pas fallu longtemps pour que je lui réponde dautant plus quune main sétait invitée sous ma jupe et que son doigt, écartant les bords de mon string, jouait avec mon clitoris.
Tu connais mes envies avec les femme et rapidement nous nous sommes retrouvées dans notre chambre et fougueusement nous nous sommes offertes lune à lautre ; jai aimé jouer avec sa jeune poitrine, ferme, les pointes saillantes , les tétons se dressant sous mes lèvres ; jai aimé lécher sa vulve pleine cyprine et je me suis offerte à ses caresses , à ses pénétrations, avec mon gode culotte et nous nous sommes aimées toute la journée , sans retenue, comme deux amoureuses.
Après un long moment de douce détente, dans les bras lune de lautre, elle est revenue sur les envies de ton fils, mexpliquant quelle aimerait moffrir à lui, comme toi tu moffres ; elle savait que cétait une situation un peu délicate pour moi, mais elle espérait que jaccepterais, un peu aussi pour elle. Après mavoir fait une nouvelle fois jouir en me possédant sur le canapé comme tu aimes me prendre, elle est partie espérant que jaccepterais au moins une fois de satisfaire leur envie commune. Un dernier baiser et je me suis retrouvée, pantelante de plaisir et pleine dhésitation et denvie. La nuit a été très longue et mes hésitations toujours aussi manifestes ; jen avais envie, mais javais peur de tes réactions et aussi des intentions de Paul. La journée sest écoulée et quand je tai appelé, je nai pas osé te parler de mes envies, alors que mon ventre réclamait une pénétration ; si tu avais été là, je pense quil ny aurait pas eu de suite.
Vers Midi , Béa ma téléphoné pour que je viennes manger le soir chez eux, et comme une idiote, je nai pas osé refuser, alors que je me doutais de la suite de leurs envies ; mais le ventre toujours en manque, je me suis préparé pour la soirée : une jupe portefeuille, courte et un chemisier transparent, un soutien sein laissant voir mes pointes de seins et sans string ; tu vas dire que jétais provoquante et tu as raison ; plus lheure passait, plus mes envies de retrouver la puissance de son sexe me ravageaient et ma chatte était pleine de cyprine quand je suis arrivée chez eux ; cest Paul qui ma accueilli , mexpliquant que Béa avait un peu de retard ; je compris alors que le piège venait de se refermer et que ce soir je serais à nouveau à lui.
La porte à peine refermer, il ma plaqué contre le mur et sa langue est venue fouiller ma bouche, il ma arraché le corsage, pétri avec force les seins, puis en ouvrant les pans de ma jupe, il ma fouillé la chatte. Jai envie de sa queue et ouvrant son pantalon, je pris en main son membre bandé et je lui ai dit de me prendre .magrippant à ses épaules, jai entouré ses hanches avec mes jambes et quand son chibre sest présente à lentrée de la grotte, il sest enfoncé dune seule poussée. Je nai pas pu retenir un cri de plaisir ; je retrouvais mon jeune amant des vacances et je venais de me livrer à lui, sans détour, lui réclamant de me posseder, de me faire jouir, de me prendre comme sa maitresse. Mallongeant sur le sol, il a pris possession de moi sa queue me labourant la chatte, me percutant, ressortant pour mieux me posséder ensuite ; pour mieux le sentir, jai remonté les jambes sur ses épaules et sa queue est venue percuter le fond de ma matrice déclenchant des ondes de plaisirs ; je jouissais sous le joug de ton fils et le reste ne comptait plus ; jétais sous lui, jétais à lui et il le savait soudain senfonçant au plus profond de moi, il ma rempli de son sperme ; de longs, nombreux et chauds jets de sa semence mont engrossé.
Alors que je prenais une douche, jai entendu Béa rentrer ; je suppose quelle attendait un appel de sa part ; déçue de son retour, jai repris mes vêtements et le corsage en piteux état, je suis revenu dans la salle ; les deux tourtereaux sembrassaient passionnément et brutalement un grand froid dans mon corps et je me suis enfuie, sans que Béa puisse me retenir.
De retour à la maison, je me suis blottie dans le fauteuil et jai pleuré, ne sachant plus où jen étais. Javais envie de lui, javais envie delle , mais aussi je comprenais que je nétais que passade pour eux.
Pendant tout le récit de Nini, je me suis tenu tranquille, même si mon sexe demandait autre chose ; blottie contre moi, javais écouté ses aveux, avec des sentiments partagés ; en effet si jaimais quelle sorte avec dautres hommes, en principe je le savais , ou au moins à son retour, elle me racontait sa soirée ; ce navait pas été le cas et de plus le fait que cela soit mon fils, et surtout quelle se soit livrée ainsi me faisait penser quil ny avait pas quune histoire de cul, et très honnetement, je pensais quelle ne navait pas tout dit ; malgré tout lenvie a été plus forte que le reste et à mon tour, je lai possédé, plus furieusement que dhabitude, la faisant crier sans doute à la fois de plaisir et de douleur car pour une fois , je prenais mon plaisir brutalement, la défonçant en lui pinçant les tétons saillants, avant de la retourner pour la prendre en levrette, comme mon fils lavait prise.
A suivre
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