Les Joies De L'Onanisme.
(fiction écrite en 06.2012).
Je me nomme Audrey, jai 30 ans depuis le début de lannée. Divorcée sans , jai un bon poste dans ladministration à Paris où je possède un petit appartement dans un immeuble ancien, rénové entièrement quand jai fait cette acquisition.
Petite brune (1.65m) avec des cheveux noirs ondulés tombant au dessus des épaules, jai dimmenses yeux bleu pervenche, un petit nez à la pointe légèrement relevée et des lèvres pulpeuses. Jai une belle poitrine bien rebondie (je porte des soutifs en 85.D) et des hanches bien galbées au dessus dune taille plutôt étroite.
Je me considère comme une belle femme et je crois que je ne suis pas la seule à voir les regards enflammés que certains collègues de travail, hommes ou parfois femmes peuvent me jeter. Mais je ne suis pas prête à succomber à leurs tentatives de séduction.
Un mariage raté avec un condisciple au sortir des mes études supérieures et un divorce pénible à cause de nos parents respectifs qui ny comprenaient rien faisaient que je nétais pas encline à tenter une nouvelle aventure même passagère.
Bien sur Loïc, mon ex, nétait pas mon premier homme. Dès que mon corps a pris ses formes au cours de mon adolescence, jai eu des flirts avec les copains de lycée mais, là encore je ne me laissais pas convaincre facilement de succomber. Cela explique que jai perdu ma virginité assez tardivement, en fait lors de la fête de fin de première année en fac de droit.
Javais dansé toute la soirée avec Hervé, un bon copain avec qui jaimais bavarder et parfois travailler nos cours ensemble. Sans que je sois saoule, jétais un peu partie et ayant fumé un pétard (pour essayer), je planais un peu, si bien quHervé a profité de cette euphorie pour me faire lamour, debout dans un recoin de la salle où nous faisions la fête. Il a été doux et prévenant quand il a su quil était le premier mais cette étreinte à la sauvette ne ma pas laissé un souvenir impérissable.
Javais découvert cette pratique au cours de mon adolescence en parlant avec une copine. Je ne dis pas quelle ma initié, mais ce sont ses propos qui ont éveillé ma curiosité au point que je me suis caressée en prenant ma douche le soir même
jusquà ce que la jouissance déferle pour la première fois dans mon corps. Depuis ce soir là, je me caresse au moins une fois par semaine, effleurant les bourgeons de mes seins pour les faire dresser puis, je laisse descendre mes mains sur mon ventre jusquà mon bourgeon damour que je fais rouler entre deux doigts en maintenant mes lèvres ouvertes avec lautre main. Puis, descendant encore plus bas, jintroduis deux doigts dans ma chatte où je mime le coït dun sexe male.
Pendant que jétais avec Loïc, jai continué de me caresser de la même manière. Jai tenté de lentrainer dans des jeux sexuels un peu plus poussés que la sempiternelle baise du samedi soir, toujours dans la même position, sans fantaisie. Mais rien ny a fait jusquau soir, où lassée de son peu dempressement à mon égard, je débute une discussion sérieuse avec Loïc au cours de laquelle il mannonce froidement que lors de notre mariage, il a rencontré un homme avec lequel il entretient depuis, une relation homosexuelle.
Cette révélation me plonge dans un profond désarroi et dun commun accord nous décidons de nous séparer. Loïc demande et obtient sa mutation pour retourner dans sa Bretagne natale et je me retrouve seule dans un minuscule studio où jentrepose les meubles qui me restent. Puis, je trouve à acheter avec laide de mes parents cet appartement où je vis actuellement. Aucun homme ny est entré !
Après quelques mois de frustration sexuelle, je reprends mes habitudes masturbatoires manuelles jusquà ce quun jour, jentre dans un sex-shop, plus par curiosité que par envie de faire un achat.
Voulez-vous que je vous aide à choisir ? Je suppose que cest votre premier achat ?
Oui, effectivement, je cherche dabord quelque chose de simple pour me pénétrer autrement quavec les doigts.
Je comprends, je vais vous montrer ce que nous avons et vous pourrez même en essayer un certain nombre en cabine.
Pendant tout ce dialogue, jai limpression de rougir jusquaux oreilles et encore plus lorsque la vendeuse dépose devant moi une bonne dizaine de godes de tailles et de formes diverses
Il y en a même un que je trouve gigantesque, noir avec des veines bien marquées, au moins 30cm de longueur avec un gland qui dépasse le diamètre de mon bras et une paire de couilles grosse comme une orange ! Comment une femme peut avoir du plaisir avec une telle pénétration ? Je men étonne auprès de la vendeuse :
Comment peut-on jouir avec un tel engin ? On doit avoir limpression dêtre écartelée !
Non, rassurez vous, ce genre de gode entre bien mais il faut dabord shabi avec des jouets plus petits.
Mon choix se porte sur trois « jouets », comme les appelle la vendeuse. Le premier est relativement mince, un peu plus gros que mon majeur, avec un bout arrondi et un corps qui forme des vagues. Le second est en silicone couleur chair, souple et muni dune ventouse à la base :
Comme cela, vous pouvez le fixer sur une surface lisse comme langle de la baignoire et vous avez les mains libres pour faire autre chose.
Comme celui de couleur noire, le corps cylindrique est muni de reliefs imitant les veines du pénis, plus ou moins dessinées et le gland a la forme dun champignon, bien renflé et protubérant. Le troisième est un double dong (cest écrit sur lemballage) dont une fois de plus la vendeuse mexplique lusage. Je nai pas de relation saphique mais comme les deux extrémités sont de taille sensiblement différente, cela peut être intéressant de lutiliser entre mon premier choix dun gode rigide et celui en silicone qui est déjà de belle taille :
Avant darrêter votre choix, si vous voulez, vous pouvez en essayer qui sont assez proches.
Sur le moment je ne relève pas le sens de la proposition de la vendeuse, une jeune beurette à qui je ne donne pas plus de 20 ans mais avec un regard de braise qui doit faire des ravages. Un peu plus grande que moi (sans talons), elle a de longs cheveux noirs coiffés en queue de cheval, un visage allongé illuminé par de grands yeux marron soulignés de fard, un nez fin et des lèvres ourlées fardées de deux couleurs. Son corps menu est cependant relevé par une poitrine assez forte et des hanches bien galbées. Je ne suis pas portée sur les filles, mais je dois dire que ma vendeuse est plutôt canon.
Nous entrons dans une vaste cabine dessayage plutôt confortable pour un tel lieu : vaste, avec deux chaises rembourrées, deux parois de miroirs et une troisième occupée par un meuble à plusieurs tiroirs dont elle sort une série de « jouets » de toutes tailles et de toutes formes, des préservatifs et un flacon de gel :
Voila, nous avons tout ce quil faut pour vous satisfaire ! Par mesure dhygiène, nous allons utiliser les godes couverts dun préservatif. Ce sont des « jouets » de démonstration utilisés fréquemment.
OK ! je vois.
En me donnant ces explications, la vendeuse a préparé un gode absolument identique à celui de mon premier choix. Elle me dit quon peut lutiliser aussi bien avec que sans le système vibratoire. Un peu gênée de devoir mexhiber devant une autre fille, je relève ma jupe et je fais glisser mon tanga que jenlève avant de masseoir, les jambes écartées sur une des chaises.
Lorsque je prends en main le petit gode, la vendeuse vient mettre la sienne par-dessus et me guide pour dabord agacer mon bouton damour qui est sorti de son capuchon tant je suis excitée. Ensuite elle me guide pour le faire naviguer entre mes lèvres intimes et ensuite entrer doucement dans ma chatte toute trempée. Lorsquelle met en route le système vibratoire, il ne me faut pas plus de deux minutes pour quun orgasme terrible me déchire.
Jessaie ensuite seule un gode en silicone presque semblable à celui que jai choisi mais sans système de ventouse. Couvert dun préservatif, je lintroduis dans ma chatte gorgée de mes sécrétions où il entre avec une grande facilité. Je suis bien remplie mais je ne fais que quelques mouvements de va et vient car je sens à nouveau le plaisir monter dans mon ventre. Je nai pas envie de jouir une seconde fois devant la vendeuse.
Dès que jarrive chez moi, je mempresse de déballer mes emplettes, de me mettre nue dans ma salle de bain et, ayant fixé le gode à ventouse sur langle de la baignoire, je mempale dessus. Quand je me sens bien en place, je commence des mouvements de bas en haut en fléchissant les jambes. Les mains posées sur mes seins, je pince doucement les tétons entre mes doigts. Waouh que cest bon ! Je continue mes mouvements de haut en bas sur ce sexe artificiel jusquà ce que la jouissance memporte à nouveau. Deux fois en un peu plus dune heure, je nai jamais connu çà !
Depuis ce soir là, je me caresse de plus en plus souvent. Je suis retournée acheter dautres godes dans ce sex-shop ce qui fait que désormais, jai une collection dune dizaine de sexes factices, toujours prêts à memmener au septième ciel. Mais cela a réveillé ma libido qui était en sommeil. Désormais je vais me mettre en chasse de mecs qui voudront bien me sauter et me faire jouir, mais juste pour cela !
Je sais comment faire : jai une collègue de travail qui fréquente les clubs libertins, je vais lui demander si je peux faire une sortie avec elle. Chaque fois que nous évoquons le sujet, elle est tellement enchantée de lambiance quelle a fait naître mon envie de me rendre compte par moi-même
mais çà, cest une autre histoire !
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