Confinée... Et Dépucelée

Cette fois, c'était décidé : on aborderait plus ce confinement comme le premier. Pas question de se retrouver à quatre dans l'appartement, à se disputer la connexion internet, l'ordinateur familial, pour les cours à distance ou le boulot en télétravail, sans parler de cette promiscuité propre à l'isolement , même assoupli. Christophe et Corinne avaient décidé que leurs deux ados iraient l'un, le garçon Wilfried, chez sa grand-mère et l'autre, la fille Claire, chez sa tante Muriel. Interrogée par téléphone, celle-ci avait donné son accord sans barguigner car elle aimait bien Claire, qui passait son bac la même année. Outre les explications liées à la concurrence pour le web et la difficulté de se concentrer pour le travail, Corinne avait glissé à sa soeur :
- Grâce à toi, on pourra au moins baiser ailleurs que dans notre plumard en étouffant mes cris.
- Et moi, tu me demandes pas comment je vais pouvoir baiser ?
- Ah oui, c'est vrai mais bon, tu n'es plus mariée.
- Mais dis-toi bien que je ne suis pas devenue bonne soeur pour autant.
- Tu n'auras qu'à envoyer Claire se promener quand tu recevras ton mec, elle en a encore le droit.

La conversation en était restée là et Claire avait débarqué avec armes et bagages chez sa tante sans savoir qu'à peine elle et son frère partis, sa mère et son père s'étaient mis à forniquer avec ardeur du canapé à la table de la cuisine où Corinne s'était tellement grisée que Christophe en avait eu les oreilles bourdonnantes.
Muriel accueillit sa nièce dans une tenue assez relâchée : pantacourt moulant ses fesses charnue et tee shirt épousant la forme de ses seins lourds. Quinquagénaire comme sa soeur mais de deux ans plus âgée, elle lui ressemblait par sa coupe de cheveux blondis touchant ses épaules, son visage rond, ses yeux clairs mais avec quelques kilos en plus qui en faisaient l'incarnation de la beauté mûre voluptueuse. Divorcée depuis des lustres et sans , elle se montrait jalouse de sa liberté, en particulier sexuelle, ce qui lui valait les faveurs de jeunes mâles amateurs de "matures".

Elle se trouvait présentement en repos du fait que son commerce de lingerie était fermé à cause du confinement. C'est pourquoi la visite de sa nièce ne lui déplaisait pas. Au moins, elle aurait de la compagnie. Elle lui adressa juste cet avertissement :
- Bon, tu te doutes que j'ai parfois de la visite. Il s'appelle Mike. Tu serais gentille d'être discrète pendant qu'il sera là. Il ne vient pas pour jouer aux cartes, tu t'en doutes. Mais tu as 18 ans maintenant et tu n'es plus une oie blanche, non ?
- Mais oui ma tante, ne t'inquiète pas.

Muriel se trompait en partie. Certes, Claire était avertie des choses de la sexualité, mais de manière très superficielle. Elle était encore à l'âge de l'amour romantique. Son petit ami, Kevin, n'avait encore jamais pu la dépuceler, car elle avait toujours opposé un refus à toute tentative de déshabillage lorsqu'ils s'étaient retrouvés dans sa chambre, sous l'oeil il est vrai vigilant de ses parents. En particulier du père Christophe, beaucoup plus sourcilleux sur la vertu de sa fille que de son épouse à propos de laquelle il tolérait quelques incartades. "Le prix à payer pour être marié avec une belle femme", se consolait-il d'autant plus volontiers que lui-même n'était pas toujours exempt de dérapages conjugaux car il était aussi bel homme.
Muriel était avertie du goût de sa soeur pour le sexe, qu'elle partageait pleinement, et imaginait que sa nièce avait "déjà vu le loup". Aussi parla-t-elle très librement de sa nouvelle liaison.
- Mike est américain. Il a 32 ans et un corps... mmmhh, je ne te dis pas, tu le verras toi-même. Je suis folle de sa bite. Un vrai gourdin. Et il sait s'en servir, crois-moi. Il vient ce soir. Tu n'auras qu'à regarder la télé. Il ne fera juste que passer, il ne restera pas dormir. Il vient juste pour baiser.
Claire était estomaquée par la liberté de ton de sa tante. Elle savait qu'elle avait une vie un peu agitée sur le plan "sentimental" mais pas au point de donner des détails anatomiques sur son jeune amant.
Elle était assez impatiente de le voir.

********
Il débarqua sur le coup de 20h alors que les deux femmes terminaient leur dîner. Muriel s'était pomponnée et avait revêtu une tenue que Claire trouva indécente : une robe débardeur sans soutien-gorge et très décolletée lui arrivant à mi-cuisses. Jamais elle n'aurait osé porter ça. Elle se colla à Mike en l'embrassant et Claire découvrit une espèce de macho à queue de cheval et barbe de trois jours, au sourire enjôleur et au regard perçant qui la dominait d'une tête. Parlant un français correct teinté d'accent, il interrogea Claire sur sa présence avant de se faire tirer par le bras, Muriel étant visiblement impatiente de l'amener dans son lit. Claire alluma la télévision après avoir débarrassé la table. Le chambre toute proche semblait calme et Claire commençait à s'intéresser au programme quand les premières explosions verbales franchirent la cloison. Elle monta le son pour ne pas les entendre mais la tante était si peu discrète dans le plaisir que Claire entendit distinctement les "ouiiii ouiii", les "encooore encooore", les "plus fooort" et surtout un "vas-y, jusqu'aux couilles !" qui lui fit piquer un fard devant son écran. Un cri perçant conclut ces ébats et le calme revint dans la chambre. Le couple en sortit quelques minutes plus tard après être passé dans la salle de bain. Muriel se montra vêtue d'une simple serviette nouée autour des seins qui faillit tomber quand Mike l'embrassa avant de s'en aller.
Puis la tante, assise dans le canapé, s'épancha devant sa nièce :
- Hou là là, quelle séance ! Mike était en super forme. Long et dur, comme je l'aime. On ne t'a pas gênée, j'espère ?
- Nnnn non non, pas du tout, éluda Claire, le rose aux joues.

En fait, elle était complètement tourneboulée et elle dormit mal. La sexualité exacerbée du couple chamboulait ses hormones. Que se passait-il donc dans cette chambre ? Elle voulait savoir. Et pour cela, prête à toutes les transgressions.

Mike était prévu pour revenir deux jours plus tard, en plein après-midi. Claire était censée "faire un tour" pendant ce temps là. Elle fit mine d'accepter mais pendant que sa tante prenait une douche pour recevoir son amant quelques minutes plus tard, elle se glissa dans la penderie de la chambre après avoir fait croire à Muriel qu'elle sortait. Il ne restait plus qu'à attendre, porte légèrement ouverte. En priant que sa tante n'ait pas l'idée de prendre un vêtement mais l'inverse était plus probable.

Dans son réduit, Claire était fébrile. Mais qu'est-ce qu'elle était en train de faire ? Il était cependant trop tard pour reculer et d'ailleurs, elle entendait la voix de Mike. Et s'ils faisaient l'amour en dehors de la chambre ? Elle aurait bonne mine. Mais la porte s'ouvrit et le couple, enlacé et riant, fit son entrée. Claire entrouvrit un peu plus l'armoire et son regard put plonger sur l'intégralité du lit où sa tante et son amant avaient basculé. Elle les regarda, la bouche sèche, s'embrasser en se déshabillant mutuellement. Ce fut vite fait pour la tante qui ne portait que sa mini robe sans rien dessous, même pas un slip mais un peu plus long pour Mike. Quand Muriel baissa son boxer, Claire étouffa un cri de surprise dans sa main. L'érection du jeune homme était vraiment époustouflante. Elle disparut rapidement dans la bouche de la tante et Claire découvrit l'art de la fellation. Muriel y prenait visiblement un plaisir vivace et la voyeuse ressentit pour la première fois une onde de chaleur dans son bas-ventre juvénile. Jamais elle n'aurait cru que mettre un sexe d'homme dans la bouche puisse procurer autant de plaisir à une femme. Et à un homme aussi, évidemment.

- On se fait un petit 69 ?
Muriel venait de faire cette proposition à son amant. Allongé sur le lit, le couple se mit en position de telle sorte que Claire eut la vue sur les fesses, les couilles et le sexe de l'homme, englouti à nouveau par la bouche de sa tante, pendant qu'à l'autre bout, il plongeait le museau entre ses cuisses.
Puissante révélation ! Dans son armoire, Claire était maintenant cramoisie, moins du fait de la chaleur du lieu que du spectacle inédit qu'elle était en train de découvrir. Jamais elle n'avait vu, même chez son père, l'anatomie masculine aussi bien exposée.

Puis le couple se désunit. A quatre pattes face à l'armoire, dont Claire avait oublié qu'elle comportait un miroir, Muriel s'offrait à Mike pour être prise par derrière. Quand elle fut pénétrée, elle ouvrit grand la bouche, lâcha un "oui !" sonore et se mit à balancer les hanches sur fond de claquements de peaux. Claire vit les seins et les cheveux de sa tante se balancer de conserve tandis que l'homme à la queue de cheval (et pas seulement à la tête) percutait la croupe qu'il fixait du regard. Inconsciemment, la voyeuse s'était mise à se masturber mais l'exiguïté du lieu lui fit commettre un geste fatal. Un porte-manteau tomba, figeant le couple. Muriel se rua vers l'armoire et découvrit sa nièce la main entre ses cuisses :
- Mais qu'est-ce que tu fous là, espèce de petite voyeuse !
- Je... excuse-moi, je...
- C'est nul ce que tu fais. Tu veux nous regarder baiser, hein, c'est ça ?
- Ah, euh, non, je m'en vais, dit-elle en sortant de l'armoire, rougissante et penaude.
- Eh bien non, tu vas nous regarder franchement, sans te cacher. Et tiens, tu vas même nous filmer avec mon smartphone. Hein Mike, qu'en dis-tu ?

L'Américain était écroulé de rire. La situation était trop cocasse. Il se paluchait pour ne pas trop débander.
- Allez, hop, voilà mon appareil, je l'ai mis en vidéo, tu nous filmes et tu te tais ! asséna la tante.
Après quelques coups de langue, elle avait remis de la vigueur dans le pénis de son amant qui, debout au bord du lit, se préparait à la pénétrer à nouveau. Il la prit par les chevilles qu'il écarta et s'enfonça jusqu'à la garde. Sur le côté, Claire, honteuse et confuse, filmait la scène, le cadrage un peu tremblotant.
- Filme aussi son cul ! souffla Muriel entre deux halètements.

Petit à petit, Claire se prit au jeu et gagna en assurance. Son cadrage fut plus ferme, plus varié. Le couple changeait de position. La tante cavalait sur la bite proéminente de son amant, face à lui ou de dos. Elle souriait à l'objectif comme pour une photo de mariage. Mais dans la frénésie de leur rapport, elle finit par oublier la vidéaste. Le couple baisait maintenant franchement, résolument, assez bestialement. Mike cognait dur ce qui plaisait à sa partenaire qui l'encourageait dans ce sens. Claire avait une intense envie de se frotter la chatte mais avait besoin de ses deux mains pour assurer le cadrage. Elle fixa un moment le visage de sa tante, irradié de plaisir et enregistra de fait les mots crus qui s'échappaient de sa bouche, tout à l'honneur du pénis de son amant. Claire ressentit alors comme une sorte d'onde d'électricité dans son bas-ventre. Ce fut aussi le moment où Muriel, écartelée, ses pieds dans les mains pour mieux s'ouvrir, connut un violent orgasme suivi aussitôt d'une opulente éjaculation de Mike dont une partie sur le ventre de sa maitresse. Claire filma le tout et courut vers les toilettes avant d'abandonner le smartphone sur le lit. Elle se sentit dépucelée... virtuellement.

*******
Mike resta à dîner et Claire put mieux le découvrir et même l'apprécier. Elle lui trouva un charme viril et comprit sa tante d'avoir été séduite. Puis il s'éclipsa, laissant les deux femmes face à face.
- Alors, comment le trouves-tu ? interrogea Muriel.
- Charmant, vraiment.
- Et très bon baiseur, comme tu l'as vu, petite coquine. Autre chose que ton mec, hein, avoue-le ?
- C'est que... je n'ai jamais fait l'amour avec Kevin.
- Quoi ? Ne me dis pas que tu es encore vierge.
- Si.
- Alors ça ! Une jolie fille comme toi, ça m'épate. Les garçons ne sont plus ce qu'ils étaient. De mon temps, il y a longtemps que tu serais passée à la casserole. Ta mère et moi, on était dépucelée à ton âge. Mais qu'est-ce qu'elle fait, ta mère ? Elle ne t'a pas proposé une contraception ?
- Euh, non, pas vraiment. Enfin, si, mais avec des capotes.
- Celles de ta mère, je suppose, elle doit en user pas mal. Et tu ne t'en ais jamais servi. Bon, je vais prendre les choses en mains. Tu ne repartiras pas d'ici encore pucelle. Au moins que ton séjour serve à quelque chose.
- Quoi ? Tu veux m'obliger à faire l'amour ?
- Pas à faire l'amour. A baiser. Ne me dis pas que notre show ne t'a pas donné envie. J'ai bien vu que tu te branlais en nous regardant.
Claire se tient coite. Difficile de nier l'évidence. L'accouplement torride de sa tante et de son amant lui avait mis le feu au bas-ventre. Et une intense envie d'être remplie. Elle écouta sa tante lui signifier son "programme".
- Pour commencer, tu vas faire un test PCR pour vérifier que tu n'as pas le covid. Je me charge du reste.
******
Claire fut un peu chamboulée par le langage très vert de sa tante, même si elle le connaissait déjà. Les allusions à la vie libertine de sa mère, sans la surprendre totalement, la mirent aussi mal à l'aise. Elle avait donc une vie en marge de son couple, ce qui confirmait ses doutes. Mais son père ne semblait pas s'en formaliser. Perdue dans ses pensées, elle se conforma néanmoins aux directives de sa tante et s'exécuta tout en travaillant devant son ordinateur. Qu'est-ce qu'elle lui préparait ? Elle lui fit essayer divers sous-vêtements de son magasin, tous affriolants. Claire ne se reconnaissait plus devant le miroir. Une vraie vamp. Muriel lui prêta une robe adéquate, décolletée et moulante.
- Tu as de beaux nichons et un cul bien cambré fait pour la baise, comme moi et ta mère, lui asséna-t-elle en la regardant.

Et c'est dans cette tenue qu'un soir, elle accueillit avec sa tante le dénommé Mike flanqué d'un nouveau venu prénommé Pham, un Vietnamien longiligne aux traits fins, relation du couple, âgé d'une trentaine d'années, que Claire trouva d'emblée "très beau". Elle comprit d'emblée que c'était l'homme que lui avait choisi sa tante pour lui faire connaitre le sexe.
A table, elle se montra nerveuse, fébrile. Pham ne cessait de regarder ses seins gonflés par le soutif pigeonnant que le décolleté exposait généreusement. Mike et Muriel semblaient s'amuser en les regardant. A l'heure de débarrasser la table, la quinquagénaire prit se nièce à part :
- Alors, il te plait, mon copain Viet ?
- Il n'est pas mal, oui.
- Il te dévore des yeux. Il veut te baiser, c'est clair.
- Mais... je ne sais pas si...
- Taratata. Je l'ai choisi pour toi. J'ai déjà couché avec lui, c'est un expert. Il n'a pas une grosse bite comme Mike, c'est ce qu'il te faut au début, il ne te fera pas mal. Laisse-toi faire, bon dieu. Tu n'es quand même pas coincée du vestibule ?
Claire ne put s'empêcher de sourire. Sa tante était décidément irrésistible. Et d'ailleurs, elle se l'avouait, elle se sentait prête à "coucher". La virginité lui pesait depuis un bon moment. Ses copines ne la chambreraient plus. Muriel servit le café dans le salon et s'assit sur le sofa avec Mike, laissant le canapé en face à Pham et Claire.

Celle-ci commença à se détendre. Plusieurs verres de vin et l'empressement de Pham à son égard lui chatouillaient peu à peu l'intimité. Le Vietnamien l'interrogea sur les difficultés d'étudier à distance et lui-même lui raconta son télétravail. Pendant qu'ils conversaient la tasse de café à la main, Muriel et Mike se bécotaient sur le sofa, indifférents à leur conversation. Ils avaient déjà avalé leur café. La mini robe de Muriel était remontée très haut et la main de Mike caressait ses cuisses, s'insinuant peu à peu vers le bas-ventre. Claire les observait du coin de l'oeil tout en répondant à Pham. Muriel gloussa quand Mike atteignit le slip, bien visible entre les cuisses écartées. Claire avait de plus en plus de difficulté à s'intéresser aux propos de Pham, qui s'en aperçut et s'interrompit. Tous deux regardèrent Muriel prendre sa robe par le bas et la tirer au-dessus de sa tête, apparaissant en sous-vêtements. Mike fit de même avec sa chemise, révélant son torse sec et musclé, légèrement velu. Ils allaient donc baiser là, devant eux, sans gêne aucune. Muriel libéra ses seins et retira son slip avant de se pencher vers le sexe proéminent que son amant avait libéré. Au même moment, Pham posa sa main sur la cuisse de Claire et remonta lentement, lentement.

Deux options s'offraient alors à elle : la repousser, fermer l'accès à son slip, peut-être même se lever en protestant et se réfugier dans sa chambre, laissant le jeune homme en plan et le couple fornicateur à ses ébats. Ou alors, s'abandonner, jouer le jeu, ouvrir ses cuisses, laisser le jeune homme la caresser et la préparer au coït inéluctable sur le canapé, à quelques mètres de celui de sa tante dans une promiscuité invraisemblable.

Quand sa tante se retrouva entièrement nue sur Mike tête bèche, dans la longueur du sofa, dégustant le pénis comme lui dégustait sa chatte en même temps, tous deux absorbés dans leur délectation buccale en 69, Claire craqua d'un coup. Elle prit Pham par le visage et l'embrassa goulûment. Ses cuisses s'ouvrirent en même temps sous les doigts du Vietnamien comme si elle avait entendu un Sésame. Puis elle imita sa tante et tirant elle-même sa robe au-dessus de sa tête, révélant son corps somptueux à son futur amant. Slip et soutien-gorge valsèrent vers le sol tandis que Pham offrait une bite longue et fine à la bouche pulpeuse qui s'en empara d'abord avec prudence puis bientôt avec volupté. Que c'était bon ! Elle se révéla une suceuse instinctive mais douée. La raideur du pénis enchantait sa bouche avide. Son goût aussi.

Elle s'interrompit juste quand elle entendit le cri de sa tante qui venait de se faire pénétrer en levrette sur le sofa. Le spectacle de la grosse queue de Mike entrant et sortant de l'antre de sa tante à quatre pattes, nichons ballottants et croupe agitée, déclencha dans le tréfonds de Claire une onde de chaleur. Elle était prête, archi prête. Pham le comprit et l'allongea sur le canapé, l'ouvrant bien large, un de ses pieds reposant sur le dossier. Il se coiffa d'un préservatif, bien en vue afin de la rassurer et s'avança lentement, avec précaution, positionnant son gland à l'entrée de sa vulve et la laissant agir à petits coups. C'est elle-même qui provoqua l'instant décisif en allant à sa rencontre d'un léger coup de reins. Elle poussa un petit cri mais accompagna l'entrée du pénis qui peu à peu s'introduisit complètement. Pham entama sa cadence en creusant avec précision. Passée la douleur initiale, Claire ressentit une onde de bien être qui la renseigna. Cette queue, elle l'attendait. Surprise : sa tante était à ses côtés, toujours nue, son smartphone en main, pour immortaliser l'instant historique par une photo et même une vidéo.
- Laisse-toi aller, baise, ma chérie, baise, lui souffla-t-elle, tout en pressant les fesses du Vietnamien de sa main libre comme pour l'inciter à s'enfoncer, geste totalement superflu mais que l'intéressé prit comme une invitation à accélérer son rythme. Ce qu'il fit.

Alors, Claire se mit à beugler comme elle ne l'avait jamais encore fait. Elle se prit les pieds à pleines mains comme elle l'avait vu le faire par sa tante, chevilles croisées sur le dos de son amant, pour faire de son vestibule un boulevard et favoriser l'action du sexe long et fin du Vietnamien. Celui-ci creusait, vissait et tournicotait avec science comme pour préparer le juvénile vagin à une vie sexuelle pleine et épanouie. Les yeux écarquillés, la bouche béante, libérant des sons venus du ventre, Claire vivait son dépucelage comme un moment d'une rare félicité. Son corps en ébullition reçut les multiples assauts comme la libération d'une chasteté trop longtemps concédée. Pham eut toutes les peines du monde à se retenir devant tant d'enthousiasme mais quand Claire, cabrée en arc de cercle, reçut le premier orgasme sexuel de sa vie, il se retira en se comprimant la verge, trop désireux de poursuivre pour ne pas se laisser aller à son plaisir. Un peu de sang tachait le canapé que Muriel effaça d'un coup d'éponge et dit :
- Bon, maintenant que c'est fait, on ne va pas en rester là. Vous les garçons, vous êtes encore gaillards et moi j'ai encore envie. Pas toi Claire ?
- Euh... si.
- Allez, tout le monde au lit.

Quatre corps nus prirent la direction de la chambre de l'hôtesse, où les attendait le lit XXL, théâtre des ébats habituels. Claire était un peu décontenancée par la tournure des événements. Finir par une mini partouze, cela faisait beaucoup pour une première. Surtout avec sa propre tante. Mais celle-ci la rassura une fois sur le lit :
- Franchement, tu m'as épatée. J'aurais voulu connaitre un dépucelage aussi réussi que le tien. Le mien, il était plutôt raté, mais je me suis rattrapée. Tu ne trouveras pas toujours un amant aussi compétent que Pham et je t'engage à poursuivre ton apprentissage avec lui. Tu vas voir, ça va bien se passer, et ça restera évidemment entre nous. Maman n'en saura rien. Regarde ces belles queues. Elles ne te font pas envie ? Tu veux laquelle ? La pine de Pham ou la bite de Mike ? Ce n'est pas tout à fait pareil. Je te prête Mike si tu veux. Ne commence pas ta vie sexuelle par des choses conventionnelles. Tu as le temps pour ça. Et puis, je l'avoue, j'ai envie de baiser avec Pham. Ce qu'il t'a fait m'a mis le feu et ça va faire une sacrée vidéo souvenir pour toi. Oui, je sais, la queue de Mike est très grosse mais maintenant, tu peux l'accepter. Le travail a été fait et bien fait. Allez, suce-le d'abord, mon Mike, tu vas voir, c'est jouissif.

Claire encaissa le discours bouche bée. Certes, sa tante avait la réputation dans la famille d'être un peu outrancière dans ses propos mais jamais elle ne l'aurait imaginée aussi vulgaire. Mais on était encore en plein acte sexuel et en un sens, ces mots y participaient, si bien que Claire en fut plus excitée que choquée. Couchée sur le côté, elle saisit le membre viril en demi érection de l'Américain avec deux doigts et le porta prudemment à sa bouche comme s'il allait la mordre. Mais après quelques coups de langue, elle s'enhardit et le gland occupa sa langue avec un appétit croissant. Le sentir gonfler sous son action linguale lui donna à la fois de l'assurance et du plaisir. Puis ce fut carrément une pipe observée par les deux autres protagonistes qui se masturbaient mutuellement et en même temps sur le lit. Quand le pénis de l'Américain devint l'équivalent d'une petite matraque, Claire se retira en s'essuyant les lèvres. Il fallait désormais passer au stade supérieur et la perspective suscitait en elle une légère appréhension. Sa tante la rassura :
- T'inquiète pas, tu sous-estime notre souplesse à ce niveau. On va bien graisser sa queue et ça va rentrer tout seul. Tu m'en diras des nouvelles. Tu vas voir ce que c'est d'être bien remplie.

Muriel se mit elle-même à la tâche après avoir coiffé Mike d'un préservatif et largement enduit celui-ci de gel. Elle imposa à sa nièce une position allongée, saisit le pénis de l'Américain et le guida vers la vulve palpitante de sa nièce. L'homme dosa habilement sa pénétration, observant l'attitude de la jeune fille laquelle, comme au moment de son dépucelage, écarquilla les yeux et ouvrit grand la bouche à mesure que son amant s'enfonçait en elle. Mais quand il commença son forage intermittent, elle exhala de profonds soupirs et vint à sa rencontre en jouant alternativement des pieds, des mollets et des cuisses. Elle baisait. Instruit de son état, l'Américain put enfin labourer à sa convenance et le nouveau couple put pleinement s'adonner à son coït.

Entre temps, Muriel s'était rassurée et allongée à côté, très ouverte, Pham entre ses cuisses parallèlement à l'autre mâle et tout aussi actif. La pièce s'emplit de grincements de plumard, de râles féminins, de choc de peaux et d'une odeur sui généris de corps en pleine exsudation hormonale. Les deux femmes croisèrent plusieurs fois leur regard, ravi chez l'une, étonné chez l'autre mais la bouche en banane chez les deux. Claire lâcha même un "ah c'est bon, que c'est bon" qui devait préluder par la suite à des propos beaucoup plus crus inspirés par sa tante. La virilité exacerbée des deux hommes autorisa une grande variété de positions, Claire prenant en la circonstance un cours accéléré d'une sexualité complète et inventive alors qu'elle venait à peine d'être dépucelée. Elle imitait sa tante avec un mimétisme touchant. Quand Muriel jetait ses bras en arrière, Claire faisait de même. Quand la tante s'attrapait les orteils pour mieux s'ouvrir, la nièce les attrapait aussi. Quand la quinquagénaire empoignait les fesses de son amant, la jeune fille pétrissait celles du sien. Même les cris d'extase étaient poussés à l'unisson. Face contre face avec sa tante alors qu'elles étaient toutes deux prises en levrette, Claire s'entendit même dire, entre deux halètements, par la quinquagénaire dans le feu de l'action :
- Tu seras une baiseuse comme moi et ta mère.

Elle ne se formalisa pas de cette réflexion qui, en d'autre temps et d'autre lieux, l'aurait heurtée. Rien n'était plus important que le énième orgasme qu'elle sentait monter en elle et qu'elle accompagnait d'ardents coups de cul. Elle jouit en postillonnant dans le visage de sa tante qui connut aussitôt la même extase, à la différence qu'elle était alors sodomisée par la fine queue du Vietnamien transcendé par les deux globes charnus de la quinquagénaire. Il éjacula le premier suivi quelques minutes plus tard par l'Américain qui avait arraché sa capote pour gicler sur les reins veloutés de Claire. Et la tension retomba dans la chambre. La tante étreignit sa nièce qui fondit en larmes. Mais c'étaient des larmes de joie. Encore incapable de mettre des mots sur le plaisir inouï qu'elle venait de prendre, elle se contenta de le savourer sur le lit, alanguie avec sur la peau les perles de sueur qui étaient celles de l'amour physique enfin découvert.

******
La suite du séjour confiné fut pour Claire un mélange de travail et de sexe. A deux reprises, le lit de Muriel fut le théâtre d'ébats tumultueux où la jeune fille put poursuivre son apprentissage accéléré de la sexualité sous l'oeil vigilant de sa libertine de tante. Elle découvrit en même temps son corps, la sensibilité de ses seins et ses fesses aux caresses, la jouissance du cunnilingus, mais aussi le corps de l'homme. Après avoir vu Muriel lécher couilles et anus, elle l'imita. La fellation n'eut plus de secret pour elle. Elle eut même droit, à sa demande après avoir observé sa tante dans la même situation, à une double pénétration anale-vaginale avec Pham dans son cul encore vierge. Ce fut donc une autre personne qui revint chez elle à la fin du confinement. Claire était devenue femme et la première à l'avoir deviné fut sa mère, Corinne. L'oeil pétillant de sa fille, sa petite moue satisfaite, une certaine aisance du corps avec des seins et des cuisses en partie découverts alors qu'auparavant dissimulés, tout révélait en elle le sexe épanoui parce que révélé. Corinne téléphona à sa soeur :
- Qu'est-ce qui s'est passé avec Claire chez toi ? Je ne la reconnais plus.
- Tu veux vraiment le savoir ?
- Oui, dis-le moi.
- Elle a baisé, et même bien baisé.
- Quoi ? Et avec qui ?
- Deux copains bien membrés qui l'ont fait jouir et qui ont assuré le succès de sa vie sexuelle ad vitam aeternam. Tu devrais me remercier.

Un silence suivit au bout du fil cette révélation. Corinne l'encaissa avant de lâcher entre ses dents :
- J'espère que tu lui as fait prendre toutes les précautions.
- Pas de problème, rassure-toi. Et s'il te plait, pas de morale. Ta fille est bien ta fille, si tu vois ce que je veux dire. Elle aime autant le cul que toi et moi.
Corinne raccrocha sèchement. Elle s'était bien fait avoir. Elle aurait dû s'en douter. Muriel avait toujours été transgressive. Une brève conversation suivit avec Claire durant laquelle elle lui annonça : "je sais tout". Mais cela n'alla pas plus loin. Au fond, cette situation l'arrangeait. Elle avait toujours craint que ce "grand passage" se passe mal pour sa fille et visiblement, cela n'avait pas été le cas. Grâce à sa soeur. Et puis, si un jour Claire apprenait ses frasques, elle serait plus compréhensive. Pas question cependant, dans l'immédiat, de prévenir Christophe, le mari, cela viendrait en son temps peut-être.
Quant à Claire, lorsqu'elle retrouva ses copines, elle leur annonça d'un ton dégagé :
- Vous savez quoi les filles ? Pendant le confinement, j'ai vu le loup.
Applaudissements, bises, commentaires demandés et produits. Claire omis cependant de montrer ce qu'elle gardait précieusement : la vidéo de son dépucelage. Et oublia aussi de préciser que les loups étaient deux...

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