La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 664)
soumis Endymion MDE au Château - (suite de l'épisode précédent N°663) - Des coïts incessants -
Ce fond de cale était très sombre, seule la trappe par laquelle avait été introduit et descendu Endymion MDE laissait passer un faible rayon de lumière. Il se coucha sur le sol, sous cette trappe, épuisé par toutes les épreuves subies au réveil, il grelottait tant par lhumidité ambiante que par la fatigue. Mais fort heureusement une épaisse couverture lattendait, pliée en quatre contre le mur de la coque et qui ne demandait quà servir ! Ainsi, il put se réchauffer et sendormir
Ce matin, le soumis MDE faisait pâle figure, de plus, à son réveil, il avait faim et soif, sa bouche pâteuse était encore imprégnée de ce gout durine et de foutre quil avait du ingurgité, peut-être en guise de petit déjeuner ? Le Croix-Rousse avait du reprendre sa route, le bruit des moteurs, lodeur de fioul et les craquements de la coque le laissait penser ! Bercer par un léger roulis, lesclave MDE nallait pas tarder de sombrer de nouveau dans un sommeil. Il sentit ses paupières très lourdes, il lui était de plus en plus difficile de garder les yeux ouverts... Quand il sursauta lorsquil entendit du bruit. La trappe juste au-dessus de lui venait de souvrir. Etienne descendait par lescalier de bois en tenant un bol dans les mains.
- Voilà ton petit déjeuner, salope
Un bol de lait dans lequel trempaient des morceaux de pain sec.
- Sois heureux le chien, je nai pas pu mempêcher déjaculer dans ce bol après avoir enculé soumise Estelle et avant de te le descendre, tu vas te régaler avec mon foutre, nest-ce pas ?
- Merci Monsieur ! Répondit lesclave MDE humblement.
- Monsieur le Marquis dEvans souhaite que tu restes enfermé ici pendant vingt-quatre heures. Jespère au moins que tu sais pourquoi ?
Endymion MDE nen connaissait pas la raison, il regardait comme hébété, le skipper.
- Tu as vraiment une tête dabruti en me regardant ainsi avec ces yeux de merlans frits.
- Hier Monsieur ?
- Oui hier, te dis-je, alors que tu avais une bite dans la bouche et une autre dans le cul
Tu ne te souviens pas petite salope ? Es-tu vraiment décérébré ? Ton seul neurone ne fonctionne plus le chien ? Hier au centre de remise en forme, nas-tu pas balancé ton foutre ?
- Si Monsieur ! répondit lesclave MDE, honteux en baissant la tête.
- Et un chien qui éjacule sans autorisation ne doit-il pas être puni ?
- Si Monsieur !
- Et bien voilà, le Maître a décidé de te punir ainsi, vingt-quatre heures séquestré, avec moi et Maximilien comme geôliers. Tu en as de la chance, non ?
- Oui Monsieur, merci Monsieur.
Étienne gifla lesclave MDE à trois reprises :
- Ferme ton bec maintenant, interdiction formelle de parler, tu es seulement autorisé à japper, geindre ou gémir, suis-je bien clair ?
Pour toute réponse, Endymion MDE émit un wooaaf, wooaaf
- Cest bien le clébard, allez bouffe maintenant, dit Étienne en montrant de son index le bol posé au sol
Étienne restait près de lui, bras croisés sur la poitrine, il regardait le soumis MDE plonger la tête dans cette pâté. Peu importe le contenu de ce bol, il avait faim, très faim. Il ne laissa rien, même quÉtienne lautorisa à prendre le bol en main et de boire, jusquà la dernière goutte, ce lait au goût spécial, à la fois amer et salé. Était-ce le foutre dÉtienne qui lui avait donné cette étrange saveur ?
- Ne tavise surtout pas à toucher ta nouille petite salope, ici en permanence tu es filmé par des caméras thermiques très sophistiquées et à labri de lhumidité par leur étanchéité, nous voyons tout ce qui se passe ici, du poste de pilotage malgré lobscurité ambiante, je te dis ça, comme ça, cest un conseil dami
Sur ces entrefaites, le skipper quitta lesclave MDE, il regrimpa à léchelle, sextirpa à lextérieur par la trappe étroite, la referma, la verrouillant même, comme sil craignait que le soumis MDE sévade, alors quil était enchainé par un pied, alors que le Croix-Rousse était en pleine mer
La punition décrétée par le Maître paraissait terrible, Endymion MDE aurait préféré le fouet à lenfermement et à la séquestration.
Depuis le poste de pilotage, Étienne et Maximilien riaient à gorge déployée. Depuis déjà cinq bonnes minutes, tous deux avaient les yeux rivés sur les trois écrans de contrôle. Ils voyaient lesclave MDE sinquiéter, se tordre et blêmir. Depuis des micros planqués dans cette geôle, ils lentendaient respirer et gémir fortement. Ils le voyaient secoué par des spasmes violents, il se levait, saccroupissait, se couchait, parfois même se frottait le trou de balle contre le sol, se prenait les couilles à pleines mains, en se recroquevillant sur lui-même tout en haletant et suffoquant. La dizaine de gouttes de ce produit aphrodisiaque, quils avaient déposé dans ce bol de lait, faisaient effet. Le moment était venu pour eux de faire entrer en action, un certain Camille...
Camille était un esclave, un homme dune soixante dannée, homosexuel, un détraqué de la queue, un vicieux obsédé, un cochon pervers, un débauché de la première heure, un ardent enculeur, un sodomite en puissance, un cavaleur de culs ! Mais il était devenu esclave car derrière ce baiseur de pédés il avait des pulsions encore plus profondes pour ce fort penchant quest la soumission.
- Ote tes mains ? salope ! Ordonnait Maximilien
Il ne le pouvait pas, il fallait quil se branle, ça faisait tellement longtemps. Il sastiquait frénétiquement quand bien même des gifles lui étaient assénées sur le visage. Les deux skippers ne parvenaient pas à le maîtriser et à le faire obéir. Il se masturbait tant et plus. Ce ne fut que lorsque Maximilien le choppa par les couilles et les lui broya, quil sarrêta subitement au bord de lapoplexie. Alors ainsi tenu, il dut glisser dans une petite ouverture latérale, une petite trappe verticale donnant dans la cale où était enfermé Endymion MDE
Lesclave MDE, toujours habité, par les démons aphrodisiaques de la chair se trémoussait toujours autant, il avait enfourné deux doigts dans son cul et se massait en espérant trouver le calme et lapaisement.
Sans se retirer de ce cul prit jusquà la garde, Camille, attrapa lesclave MDE par les cheveux, lui mordilla les oreilles, le nez, les lèvres, lui enfourna sa langue profondément. Avec fougue et véhémence, il lembrassait à pleine bouche, un baiser bien baveux, alors que ses hanches recommençaient un vas et viens lent et indolent car sa verge navait pas débandé dun iota. Il nen fallait pas plus pour exacerber leurs sens, ces deux chiennes lubriques saccouplaient encore. Cette fois-ci, le soumis MDE avait pris les choses en main. Installé en levrette, cul relevé et bien offert, il se saisissait de ce membre dru et ferme et se lenfournait lui-même dans le fion. Un coït infernal recommençait, les coups de butoirs devenaient plus sauvage, plus bestial, plus animal. Avec férocité Camille, plantait sa queue, la ressortait pour lengouffrer plus encore, plus loin, plus profondément. A chaque coup de reins, des cris sortaient de leur gosier respectif, des hurlements incontrôlables, sans équivoque non plus, ces deux chiennes lubriques prenaient un réel et vrai plaisir. Deuxième éjaculation dans une douce complainte et ce nétait pas la dernière
Pendant ces vingt-quatre heures, Endymion MDE fut pris maintes fois autant par le cul que par la bouche, et lorsque Camille sessoufflait, lui-même le sollicitait
Totalement dépravé, avili et débauché, il cherchait de la queue, la queue de son mâle, que celui-ci lassaille encore et toujours plus
(A suivre
)
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